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Un poste de manager boutique est à pourvoir chez Free à La Roche-sur-Yon dans le département de la Vendée

Free recherche un(e) manager boutique H/F à La Roche-sur-Yon. Les lecteurs d’Univers Freebox étant, a priori, concernés par le monde des télécoms et de Free en particulier, nul doute que certains d’entre vous seront intéressés et qualifiés pour ce poste.

LE POSTE

A ce poste clé, vous serez un leader et une source d’inspiration, et motiverez votre équipe pour l’amener à exprimer tout son potentiel.

  • Vous valorisez les relations humaines en offrant à votre équipe toutes les conditions pour fournir un service vraiment exceptionnel.
  • Vous tissez des liens avec vos collaborateurs et les abonnés Free.
  • Vous comprenez les besoins des abonnés Free et vous prenez plaisir à leur fournir la solution la mieux adaptée.
  • Vous contribuez au développement des Free Centers par la qualité de votre gestion et par les nouvelles idées que vous apportez.
  • Vous avez la responsabilité de la gestion du Free Center, en leader résolument tourné vers l’action, ambitieux et autonome.

PROFIL RECHERCHÉ

  • Vous avez l’âme d’un leader et vous savez motiver votre équipe pour offrir une qualité de service
  • Vous avez déjà dirigé une équipe dans un point de vente d’un opérateur télécom ou d’une enseigne télécom.
  • Vous combinez d’excellentes compétences à la fois en termes de gestion et de pragmatisme.
  • Vous savez vous adapter aux situations imprévues et vous vous épanouissez dans un environnement dynamique.
  • Vous ne disposez peut-être pas d’une grande expérience technique mais vous avez soif d’apprendre.

Caractéristiques de l’offre

Expérience : 3 ans d’expérience dans la distribution télécoms
Formation commerciale : Bac+3
Type de contrat : CDI

CONDITIONS PRATIQUES

CDI
Temps plein
Samedi

Niveau d’expérience requis : Expérience exigée

Niveau d’étude requis : Bac +2 à Bac +4

Permis requis : Permis non obligatoire

Prise de poste : Dès que possible

Type de salaire : A définir selon profil

Avantages salariaux : Remboursement des frais de transport
CE
Mutuelle
Carte ticket restaurant
Primes d’intéressement et de participation
Salaire fixe + variable attractif

Postulez ici.

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Boutique : Free marque un triplé chez la lanterne rouge de la Ligue 1

Free annonce l’ouverture prochaine d’une troisième boutique à Saint-Etienne.

“Saint-Etienne : une étoile sur le maillot et bientôt 3 boutiques Free”, annonce ce 21 octobre l’opérateur sur Twitter. Actuellement dernier au classement de la Ligue 1, la préfecture de la Loire va accueillir un nouveau Free Center au sein du centre commercial “Centre Deux”, situé au sud de la ville. Le premier a ouvert des portes en 2013, place du Peuple au centre-ville et le second en mai dernier dans le centre commercial Aushopping de Villars, en périphérie.

L’opérateur a pour ambition de passer le cap des 150 boutiques d’ici la fin de l’année et atteindre les 200 d’ici 2023. Pour l’heure, Free compte 143 boutiques. Pas moins de 14 ouvertures sont à venir, à  Caen, Paris (13e), Tours, Nantes (deux boutiques), Reims, Laval, Nice, Dieppe, Aubagne, Quimper, Saint-Malo et Nevers.

Les missions d’un Free Center

Les boutiques de l’opérateur assurent 3 missions convergentes. La première est d’élargir la base d’abonnés via le recrutement de nouveaux clients ou la conversion d’abonnés fixes existants vers le mobile et réciproquement. Le seconde coule de source, à savoir “assurer une mission de Service Après-Vente auprès des abonnés existants et rassurer par la présence physique”. Et enfin de communiquer sur la marque Free en matérialisant sa présence à proximité des abonnés tout en promouvant l’intérêt de son offre. Il s’agira aussi désormais de booster la vente de terminaux via la nouvelle offre Free Flex. Autre nouveauté depuis juillet, l’opérateur propose les smartphones disponibles sur son site, directement à l’achat dans ses Free Centers, désormais équipés de stocks.

Pour rappel, Free dispose aussi d’une présence physique complète grâce à son réseau de bornes de souscription d’abonnements mobiles et de distribution automatique de cartes SIM. Pour cela, l’opérateur s’appuie sur un partenariat avec le réseau de magasins « Maison de la Presse » et « Mag Presse ». A fin décembre 2020, Free comptait environ 1 500 bornes sur l’ensemble du territoire.

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Ça s’est passé chez Free et dans les Télécoms… le géant du streaming s’invite sur la Freebox, dix chiffres à retenir pour appeler…

Comme chaque semaine, nous vous proposons notre chronique « Ça s’est passé chez Free et dans les Télécoms … » Celle-ci vous propose de vous replonger dans les événements qui ont fait l’actualité de la semaine en cours, mais durant les années, les décennies, voire les siècles précédents. Ces événements concerneront Free bien sûr, mais plus largement les télécoms et le numérique. Souvenirs, souvenirs …


18 octobre 1996 : la France passe aux numéros téléphoniques à 10 chiffres

Dernière étape d’une longhe histoire de télécommunications en France ! Depuis el 18 octobre 1996, les numéros de téléphone comportent désormais dix chiffres. Un long chemin qui a commencé avec 5 chiffres en 1896, puis passé par une lettre pour le numéro de central puis deux fois deux chiffres… En 1928, chaque abonné pouvait composer lui-même sur le cadran les trois premières lettres du nom de central puis deux fois deux chiffres. Les numéros intégralement numériques n’arriveront qu’en 1963 !

Avec une croissance des besoins de plus d’un million de numéros par an, le plan de numérotation à huit chiffres approchait de ses limites dans certaines régions” , affirmait alors France Télécom pour expliquer le plan de numérotation à dix chiffres.


18 octobre 2011 : YouTube débarque sur la Freebox Révolution

Salut YouTube ! La première plateforme de streaming débarquait sur vos écrans le 18 octobre 2011, directement sur la Freebox Révolution, gratuitement. Un joli ajout, même si la saisie sur télécommande pouvait toujours s’avérer une galère (ce qui n’a pas tellement changé aujourd’hui…), qui permettait ainsi aux abonnés de retrouver l’entièreté du contenu proposé sur la plateforme.


20 octobre 2004 : la Freebox passe à l’ADSL2+ gratuitement

Une première en Europe ; Free mettait à disposition l’ADSL 2+ pour ses abonnés Freebox éligibles. Cette nouvelle norme permettait l’accès à Internet très haut débit (à l’époque), avec 15 Mbit/s en download et 1 Mbit/s en upload, sans changement de prix.

Au commencement, seules quelques zones étaient concernées du fait de la nécessité d’équiper les NRA en conséquence, avec parmi elles évidemment Paris et l’Île de France, Strasbourg, Lyon et ses environs…Le déploiement à grande échelle ne serait acté que quelques semaines plus tard.


20 octobre 2006 : Iliad/Free rachète le premier opérateur de fibre

Une grosse acquisition à l’époque, la maison-mère de Free annonçait un accord signé pour racheter Citéfibre. Lors de l’annonce le 20 octobre 2006, il s’agissait du premier opérateur FTTH, avec 3000 kilomètres de fibre, 1400 foyers raccordables à Paris et 500 clients. Pour reposer le contexte : il y a 15 ans, la fibre était bien moins démocratisée qu’aujourd’hui et tout restait à faire !


20 octobre 2008 : la Bbox vient empiéter sur les plates-bandes de Free

Tada qui voilà ? C’est Bouygues Telecom ! ♫ L’opérateur a lancé il y a maintenant 13 ans sa première offre triple-play, avec un nom qui marche bien : la Bbox. Trois offres étaient proposées à l’époque, dont l’une au même prix de la Freebox (29.90€/mois). Autre nouveauté que Bouygues Telecom mettait en avant : il était le premier opérateur à intégrer des heures de communications vers les mobiles, tous opérateurs 24H/24 et 7j/7. Pour en bénéficier, il fallait opter pour l’offre à 39.90€ par mois.

Une autre offre propose quant à elle un accès à internet simple, pour 19.90€/mois. D’autres services étaient proposés pour les abonnés mobiles, comme la notification par SMS lors d’un message vocal sur le répondeur BBox ou la numérotation simplifiée.


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La fibre Free s’installe dans trois nouvelles communes du département de la Haute-Garonne

Free continue d’étendre son réseau fibre à travers toute la France. L’opérateur nous informe que grâce aux à ses équipes Free Réseau, la fibre Free est disponible sur les communes de Castagnac, Latour et Massabrac dans le département de la Haute-Garonne depuis le 14 octobre.

Après l’intervention d’un technicien agréé afin d’installer la fibre Free, les abonnés Freebox disposeront d’un meilleur débit.

Ainsi, les possesseurs de Freebox Mini 4K et Freebox Révolution bénéficieront désormais d’un débit descendant maximum de 1 Gbps et d’un débit montant de 600 Mbps.

Les abonnés Freebox POP pourront également atteindre une vitesse de 5 Gbps partagée en download entre plusieurs équipements (2,5 Gbps maximum en download pour l’appareil branché sur le port spécifique de la Freebox POP), ainsi que 700 Mbps en upload.

Et enfin, les utilisateurs de Freebox Delta ou Delta S seront capables d’obtenir un débit descendant de 8 Gbps au mieux, ainsi qu’une vitesse de 700 Mbps en débit montant.

Chaque jour nous vous tiendrons informé de l’expansion de la fibre Free et des communes fibrées par le réseau Free.

[affiliation]delta[/affiliation]

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Free recherche un manager boutique à Saint-Étienne dans le département de la Loire

Free recherche un(e) manager boutique H/F à Saint-Étienne. Les lecteurs d’Univers Freebox étant, a priori, concernés par le monde des télécoms et de Free en particulier, nul doute que certains d’entre vous seront intéressés et qualifiés pour ce poste.

LE POSTE

A ce poste clé, vous serez un leader et une source d’inspiration, et motiverez votre équipe pour l’amener à exprimer tout son potentiel.

  • Vous valorisez les relations humaines en offrant à votre équipe toutes les conditions pour fournir un service vraiment exceptionnel.
  • Vous tissez des liens avec vos collaborateurs et les abonnés Free.
  • Vous comprenez les besoins des abonnés Free et vous prenez plaisir à leur fournir la solution la mieux adaptée.
  • Vous contribuez au développement des Free Centers par la qualité de votre gestion et par les nouvelles idées que vous apportez.
  • Vous avez la responsabilité de la gestion du Free Center, en leader résolument tourné vers l’action, ambitieux et autonome

PROFIL RECHERCHÉ

Vous avez l’âme d’un leader et vous savez motiver votre équipe pour offrir une qualité de service maximale.

  • Vous avez déjà dirigé une équipe dans un point de vente d’un opérateur télécom ou d’une enseigne télécom.
  • Vous combinez d’excellentes compétences à la fois en termes de gestion et de pragmatisme.
  • Vous savez vous adapter aux situations imprévues et vous vous épanouissez dans un environnement dynamique.
  • Vous ne disposez peut-être pas d’une grande expérience technique mais vous avez soif d’apprendre.

Caractéristiques de l’offre

Expérience : 3 ans d’expérience dans la distribution télécom
Formation commerciale : Bac+3
Type de contrat : CDI

CONDITIONS PRATIQUES

CDI
Temps plein
Samedi

Niveau d’expérience requis : Expérience exigée

Niveau d’étude requis : Bac +2 à Bac +4

Permis requis : Permis non obligatoire

Prise de poste : Dès que possible

Type de salaire : A définir selon profil

Avantages salariaux : Remboursement des frais de transport
CE
Mutuelle
Carte ticket restaurant
Primes d’intéressement et de participation
Salaire fixe + variable attractif

Postulez ici.

 

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Un poste de conseiller commercial boutique est à pourvoir chez Free à Strasbourg dans le département du Bas-Rhin

Free recherche un(e) conseiller commercial boutique H/F à Strasbourg. Les lecteurs d’Univers Freebox étant, a priori, concernés par le monde des télécoms et de Free en particulier, nul doute que certains d’entre vous seront intéressés et qualifiés pour ce poste.

LE POSTE

En Free Center, chaque jour qui passe vous donne la possibilité de faire d’un visiteur occasionnel un abonné fidèle à Free. Vivez une expérience passionnante au sein d’une équipe exceptionnelle :

  • Vous réservez le meilleur accueil à chaque visiteur, fier(e) d’être le visage de la marque Free
  • Vous comprenez les spécificités de chaque visiteur par la découverte de leurs besoins
  • Vous prenez plaisir à proposer à chacun la solution la mieux adaptée
  • Vous réussissez à démontrer et convaincre en partageant votre enthousiasme ainsi qu’en faisant découvrir la richesse des services Free.
  • Vous assurez une satisfaction totale pour chaque visiteur du Free Center.

PROFIL RECHERCHÉ

  • Vous êtes d’un tempérament enjoué et amical, vous êtes ouvert(e) aux autres et vous adorez partager vos connaissances.
  • Vous avez une expérience de la vente en magasin, ou vous savez à tous les coups susciter l’enthousiasme chez les autres.
  • La curiosité toujours en éveil couplée à une excellente qualité d’écoute, vous êtes passionné(e) par les innovations Free• Vous aimez travailler en équipe et vous savez vous montrer très réactif.
  • Vous êtes impatient(e) d’apprendre et de progresser dans un environnement en constante évolution.

Caractéristiques de l’offre

  • Type de contrat : CDD / CDI
  • Horaires : 35 h hebdomadaires y compris le samedi et dimanche

CONDITIONS PRATIQUES

CDI
Temps plein
Samedi

Niveau d’expérience requis : Expérience souhaitée

Niveau d’étude requis : Bac

Permis requis : Permis non obligatoire

Prise de poste : Dès que possible

Type de salaire : Fixe

Montant : 1585 € brut / mensuel

Avantages salariaux : Remboursement des frais de transport
CE
Mutuelle
Carte ticket restaurant
Primes d’intéressement et de participation
Salaire fixe + variable attractif

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Raccordement à la fibre optique : des problèmes, mais aussi des solutions

Face aux dysfonctionnement dans la fibre optique, la filière planche sur des solutions au-delà de la serrure connectée.

L’Université du très haut débit qui s’est déroulée les 6 et 7 octobre à Saint-Étienne a été l’occasion de rappeler l’avancement du chantier de la fibre optique, mais aussi le travail restant à accomplir. En cause notamment, le bazar au niveau des armoires de rue avec à la clé les problèmes de raccordement pour les abonnés. La filière a d’ailleurs des explications à avancer et surtout des solutions à proposer.

Des explications : surveillance difficile, ouvertures complexes

Du côté des explications, il y a notamment le nombre important d’intervenants, sur lequel il n’est pas toujours évident de garder un œil. Des contrats ont été bien été passés entre les opérateurs et les sous-traitants, mais cela n’apparaît pas suffisant. “Un technicien qui veut faire une malfaçon, il fait une malfaçon, il ne jouera pas le jeu”, expliquait en effet Lionel Recorbet, président de XP Fibre, anciennement SFR FTTH. La filière explique également que l’ouverture plus complexe pour sécuriser les équipements a eu son revers, certains techniciens fracturant eux-mêmes les armoires pour gagner du temps et laissant même les armoires ouvertes pour “s’entre-aider”. Ariel Turpin, délégué général de l’Avicca, rappelle d’ailleurs que certains maires sont à bout. “Ils ont tout essayé, la discussion et la concertation, les dégradations continuent et ils s’en prennent plein la tête par les habitants”, explique-t-il. D’où le cadenassage des armoires de rue .“Je pense que le premier technicien qui va tomber là-dessus, il va plutôt aller chercher sa meuleuse que chercher à prévenir la mairie”, estime Ariel Turpin.

Des solutions : casse-voisin, accéléromètre, encadrement du rapport

Côté solutions ensuite, il y a bien évidemment les serrures connectées s’ouvrant avec le smartphone du technicien grâce au NFC ou à l’aide d’un QR Code (pour obtenir un code à quatre chiffres qu’il reste à saisir sur le clavier de la serrure). De tels dispositifs permettent de savoir qui est intervenu et quand, ou encore de savoir si la porte est restée ouverte après intervention. Benoit Tiercelin, chef de projet chez Grolleau, la société proposant une telle solution, indique d’ailleurs le coût : “aux alentours de 500 euros sur des petits déploiements. L’objectif c’est d’arriver à 300 euros (NDRL : sur les gros chantiers”). Et d’ajouter : “Il faut compter 30 euros environ par an par système” pour le fonctionnement sur le réseau bas débit.

Avec sa propre solution de serrure connectée, Nexans assure pouvoir identifier “tous les techniciens“. Et d’ajouter que les mauvais élèves “ne peuvent donc plus se cacher”. La société met en avant “une solution universelle” s’installant sans perçage et fonctionnant sur batterie (pour éviter les travaux électriques). Des tests sur une trentaine d’armoires de rue auraient montré un “changement d’attitude des techniciens” et entraîné une baisse de 47 % des incidents. Citons par ailleurs le “casse voisin”, proposé par la partie logicielle de Nexans. Cela permet de savoir “instantanément” si l’intervention a engendré le débranchement volontaire ou involontaire d’un autre abonné.

Notons également l’encadrement du rapport d’intervention. Avec la solution iSIA d’Idea Optical, “si vous n’êtes pas géolocalisé à côté d’une armoire, vous ne pouvez pas éditer le rapport d’intervention ; et vous ne pouvez le faire qu’à partir du moment où la porte est ouverte”. Le rapport ne peut ensuite être clôturé qu’à partir du moment où la porte est fermée. À cela s’ajoute l’intégration d’un accéléromètre pour être au courant d’un gros choc, qui n’aurait déconnecté personne, mais qui a tout de même dégradé l’armoire de rue. “Quand l’armoire est choquée avec un déplacement rapide en translation, on peut le détecter”, assure Idea Optical. Et d’ajouter qu’il y aurait “beaucoup d’armoires avec des chocs sur la voirie sans que l’opérateur soit au courant”. Toujours chez Idea Optical, on propose des portes renforcées et des nouveaux supports de brassage en M, avec une possibilité de simple mise à jour en cas de remplacement d’une porte ou de remise en état d’une ancienne armoire. De quoi allonger la durée de vie des équipements déjà en place.

Source : Next Inpact

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Frais d’itinérance : l’Europe va prolonger leur gratuité pendant 10 ans

Le Parlement européen entend prolonger la règle qui veut que les appels entre différents pays de l’UE ne coûtent pas plus chers aux consommateurs.

Encore 10 ans supplémentaires d’appels sans surcoûts en Europe. La commission ITRE du Parlement européen a approuvé en écrasante majorité l’idée de prolonger à long terme la règle qui veut que les appels téléphoniques d’un pays à l’autre de l’Union Européenne n’occasionnent aucun surcoût pour le consommateur.

Plus concrètement, la suppression des surcoûts des frais d’itinérance au sein de l’Europe pour les appels ou les envois de SMS pourrait perdurer dix ans de plus, un nouveau règlement est en préparation. ” Les consommateurs pourraient continuer à utiliser leur téléphone portable sans coût additionnel par rapport à leur tarif national lorsqu’ils voyagent à l’étranger dans l’UE , précise la commission. Evidemment, ces communications devront être effectuées dans des conditions normales, sans restriction : vous ne risquez pas de basculer en 3G sur votre iPhone 13 parce que vous êtes en Allemagne.

Selon la proposition de règlement sur l’itinérance de la Commission européenne, les opérateurs devront également informer leurs clients de la qualité de service à laquelle ils peuvent s’attendre en roaming, en le déclarant dans le contrat de service.

Une mesure qui devait prendre fin l’année prochaine

La suppression des frais d’itinérance, permettant des dépenses moindres pour le consommateur, a été instaurée le 15 juin 2017 et cette mesure devait prendre fin le 30 juin prochain.

Si les membres du Parlement européen s’accordent en majorité (67 voix pour, 0 contre et 7 abstentions), c’est également le cas de la Commission européenne, qui avait proposé l’idée de rajouter dix années supplémentaires, tout en instaurant de nouvelles règles pour les opérateurs.

Le projet est sur de bons rails, mais plusieurs étapes sont à franchir avant d’étendre de 10 ans ce règlement. Il est notamment nécessaire que le Conseil européen approuve cette mesures.

Source : Numerama

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Insolite : en voulant mettre le WiFi sur la Lune, la Nasa trouve une idée pour créer un réseau haut débit

La NASA étudie actuellement une idée qui peut sembler loufoque : développer et déployer un réseau WiFi directement sur la Lune. 

Et si la réponse aux inégalités numériques se trouvait sur notre satellite naturel le plus proche ? La Nasa a utilisé une étude menée à Cleveland, aux Etats-Unis pour trouver une solution à la fracture numérique. Dans cette ville, selon la national Digital Inclusion Alliance, 31% des habitants n’ont pas accès au haut débit et une organisation locale a fait appel au Glenn Research Center de la Nasa pour “examiner les barrières techniques de l’inégalité numérique“.

Des lampadaires qui font routeurs

Une opportunité pour les chercheurs d’utiliser le cas de figure de la Lune pour l’étude.  “Nous étions ravis. Ce fut une excellente occasion de développer des solutions aux défis que nous rencontrons en matière de connectivité sur la Lune pour le programme Artemis”, explique Mary Lobo, directrice de l’incubation technologique et de l’innovation au sein de ce laboratoire. Le programme cité est simplement celui qui veut renvoyer l’humain sur la Lune, après les missions Appollo.

Le Glenn Research center a ainsi tenté de résoudre les défis techniques en appliquant des approches adaptées à l’environnement de notre satellite. Les résultats sont plutôt intéressants, puisque des routeurs espacés d’environ 100m les uns des autres sur environ 20 000 lampadaires de Cleveland permettrait ainsi de résoudre les problèmes de la ville. Chaque maison aurait alors accès à un débit descendant de 7.5 Mb/s, “suffisant pour faire ses devoirs ou passer un appel sur IP, mais pas assez pour streamer de la vidéo 4K. En rapprochant les routeurs et en les installant entre 50 et 75 m les uns des autres, on améliorerait considérablement la bande passante” explique le chef de l’équipe de recherche.

L’association ayant fait appel à la Nasa a alors poussé pour installer ces infrastructures. Une des responsable du comté affirme que “le travail de la Nasa aide à préparer le terrain pour l’évaluation des réponses aux appels d’offres afin de déterminer le plan le plus efficace pour connecter nos quartiers”.

Et la Lune alors ?

 On en oublierait presque le projet de base. L’idée étant d’installer un réseau dans un grand cratère près du pôle Sud de la Lune, un endroit rêvé pour une base lunaire.

Pour une exploration performante, un réseau doit y être installé, se connecter au Deep Space Network et y connecter tous les appareils : habitats, laboratoires, passerelles, véhicules… Plusieurs obstacles sont encore à prendre en compte : le terrain désolé est beaucoup moins sujet aux interférences, mais la Lune n’a pas de réseau électrique développé par exemple. Un premier défi à relever de taille.

“L’équipe recommande de monter les routeurs sur plusieurs poteaux de 7 mètres de haut attachés aux habitats, aux atterrisseurs ou à d’autres gros matériels. Contrairement à une seule grande tour, cette approche fournirait aux astronautes dans leurs habitats une stabilité de réseau, tandis que les explorateurs mobiles pourraient se déplacer entre les routeurs”, peut-on lire sur le site de la Nasa.

Source : Les Numériques

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IPTV illégale : Canal+, Netflix et consorts font fermer une plateforme pirate

L’Alliance for Creativity and Entertainment (ACE) regroupant des entreprises comme Netflix ou Canal+ a réussi son combat contre la plateforme Electro TV Sat, diffusant depuis le Maroc le contenu d’énormément de chaînes payantes.

Les ayants-droits marquent un point contre les pirates. L’ACE a en effet annoncé hier avoir mis fin à la plateforme de streaming Electro TV Sat, qui vendait des équipements illégaux de diffusion de contenus par IPTV, qui permettaient l’accès à 6000 chaînes et 200 000 films et séries de manière tout à faire illicites. Le principe était simple : sur son site web, la plateforme vendait alors un boîtier semblable à une Apple TV et permettait ainsi, pour une centaine d’euros par an d’accéder à presque l’intégralité des contenus diffusés sur des chaînes payantes.

Le site web d’Electro TV Sat ciblait majoritairement un public francophone avec près de 90 000 visiteurs chaque mois sur son site et sa fermeture suite aux actions des ayants-droits est une première au Maroc. En début d’année, IPTV Akfasat qui donnait accès à 3500 chaînes en continu et opérait en Tunisie a également été fermée par le groupement d’entreprises. La plateforme est donc fermée depuis et redirige désormais sur une page de l’ACE indiquant les moyens de regarder légalement les contenus tant convoités.

Le piratage reste donc encore bien présent avec des formes multiples sur le territoire français. C’est d’ailleurs dans cette optique que le gouvernement a lancé une loi renforçant la lutte contre le piratage en France, avec la création de l’Arcom, mais aussi tout un arsenal de dispositifs visant à régler ce problème. Pour rappel, dans l’Hexagone en 2019, 12 millions de personnes ont regardé des contenus pirates ce qui représente un manque à gagner estimé à 1 milliards d’euros.

 

 

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