Auteur : dimitri

Exposition aux ondes : preuve à l’appui, l’ANFR constate qu’il n’y a pas plus d’émission avec la 5G par rapport à la 4G

Comme pour les précédentes générations de la téléphonie mobile, l’ANFR réalise des mesures sur le terrain avec la 5G en cours d’expérimentation. Le gendarme des ondes se veut d’ailleurs rassurant : le niveau d’exposition sera équivalent.

Dans le cadre d’un reportage diffusé sur la chaîne France 3 consacré aux ondes émises par les antennes-relais de téléphonie mobile, celles qui suscitent des craintes chez certains, l’ANFR rappelle son rôle de gendarme des ondes en France et de garant de la sécurité des citoyens.

Alors qu’une conférence citoyenne doit être organisée par la ville de Paris, afin de mettre à jour la charte de bonne conduite encadrant le déploiement des antennes par les opérateurs et d’y intégrer le paramètre 5G, on y aperçoit d’ailleurs des ingénieurs envoyés sur le terrain en train de mesurer le niveau d’exposition auprès d’une antenne 5G installée au coeur de la capitale. Celle-ci indique que la puissance du signal sera plus importante durant les transmissions par rapport à la 4G, mais que la durée de ces transmissions sera pour sa part moindre. En somme, le niveau d’exposition sera équivalent, grâce au fonctionnement intelligent des antennes.

 

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Insolite : le partage du Wi-Fi vaut une garde à vue aux patrons de plusieurs bars et restaurants

Le partage d’une connexion Wi-Fi peut amener des ennuis. Plusieurs patrons de bars et restaurants s’en souviendront très certainement.

Des patrons de bars et restaurants de la ville de Grenoble, dans l’Isère, doivent sans doute regretter d’avoir proposé du Wi-Fi avec leurs clients. Ce partage de connexion leur a en effet valu la descente des forces de l’ordre, avec à la clé les menottes et la mise en garde à vue. Mais pourquoi ? C’est en fait le type de Wi-Fi partagé qui a mis ces patrons hors des clous. Au lieu de proposer une borne Wi-Fi via un prestataire professionnel spécialisé, ceux-ci ont en effet utilisé une box Internet grand public dont ils ont partagé la connexion.

Aux yeux de la législation française, à travers la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006, relative à la lutte contre le terrorisme, ces patrons d’établissement sont alors devenus fournisseurs d’accès à Internet, avec l’obligation de conservation pendant un an de métadonnées pouvant servir dans le cas d’enquêtes de police (informations permettant d’identifier l’utilisateur, concernant les équipements utilisés, détaillant jour, heure et durée de la communication, etc.), ce qu’ils ne faisaient malheureusement pas. Un aspect de la loi qui semble donc avoir échappé à ces patrons. L’UMIH (Union des Métiers et des Industries de l’Hôtellerie), interrogée par BFMTV, note que des circulaires sont là pour une sensibilisation à ce sujet.

Source : Dernières Nouvelles d’Alsace via BFMTV

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Fibre optique : quels usages en raccordement FTTH, FTTB et FTTE ?

Il existe différents types de fibre optique. Voici les usages auxquels ils se prédestinent.

À travers une vidéo, DATAOUEST, société qui accompagne les entreprises dans leur transformation numérique et la gestion de leur système d’information, opère une petite piqûre de rappel concernant le principe de la fibre optique, son déploiement et les sigles FFTH, FFTB et FFTE qui correspondent tous les trois à des types de raccordement. Il s’agit en effet de comprendre le public auquel chacun d’adresse.

La technologie FFTH, pour Fiber To The Home (Fibre jusqu’à l’abonné), s’adresse ainsi aux particuliers ou entreprises recherchant un accès fibre optique simple. Les technologies FFTB et FTTE, pour Fiber to the Building (Fibre jusqu’au bâtiment) et Fiber to the Enterprise (Fibre jusqu’à l’entreprise), s’adressent davantage aux professionnels. La seconde s’adressera d’ailleurs à une entreprise ayant de multiples sites à externaliser.

Rappelons enfin l’existence de la fibre noire, une fibre optique proposée à l’état brut qui permet aux professionnels de ne pas dépendre des offres globales packagées des opérateurs, de faire évoluer facilement leurs capacités réseau à leur rythme en gérant eux-mêmes les équipements actifs et d’assurer la confidentialité des données grâce à un isolement physique des autres réseaux. 

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Une maire entend faire gagner la démocratie et permettre à une antenne Free de sortir de terre

Malgré un récent sabotage entravant l’installation d’une future antenne Free, une maire entend faire gagner la démocratie

Rendez-vous au Puech de la Resse, près du village de Pierrefiche, dans l’Aveyron, où une antenne-relais de Free ne fait pas l’unanimité et rencontre une opposition de riverains regroupés au sein d’un collectif. Malgré cela, les travaux ont pourtant démarré, avec l’installation de la structure destinée à accueillir l’installation. Sauf que les ouvriers ont alerté la gendarmerie lundi matin à propos d’un sabotage, qui se serait déroulé dans la nuit du dimanche 27 septembre au lundi 28 septembre. Plus précisément, ce sont les embases de la future antenne 4G qui ont été saccagées. Une enquête a ainsi été ouverte.

Les membres du collectif nient de leur côté toute implication dans la dégradation. “J’ai toujours prôné qu’il fallait rester dans la légalité. D’ailleurs, nous avons saisi le tribunal administratif pour faire stopper les travaux. J’ai toujours dit aussi que s’il se passait quelque chose, je l’aurais déconseillé et que, surtout, je ne voulais pas le savoir”, assure un membre du collectif contre l’antenne de la Resse du Larzac. Personne ne semble être au courant, ce qui semble amuser l’un des riverains. “Ce n’est pas possible… À moins que ce ne soit des agents de chez Free qui ne voulaient pas bosser”, lâche-t-il.

De son côté, la maire déplore cette dégradation qui est l’oeuvre de “vandales” alors que “cette antenne est voulue par la population”. Elle rappelle en effet qu’elle n’était pas seule à soutenir le projet. “Quand Free m’a demandé si je souhaitais poursuivre ou non le projet, je n’ai pas répondu toute seule. Mon opinion en tant qu’individu ne comptant pas, j’ai porté la parole des habitants”, souligne-t-elle, faisant référence à la consultation organisée en amont et au vote à l’unanimité lors du conseil municipal. Et d’ajouter : “nous avons géré ça de manière démocratique et sommes là pour exécuter la volonté de la population”. Elle laisse enfin entendre à l’auteur ou aux auteurs des dégradations qu’ils n’ont pas remporté la bataille : “on verra bien si c’est la démocratie qui gagne ou la loi du plus fort”.

Source : Midi Libre

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Débat citoyen autour de la 5G : une première initiative

Dans un contexte un peu tendu autour de la 5G, certains exprimant leurs inquiétudes et réclamant un moratoire, Paris prend l’initiative d’organiser une conférence citoyenne. Il s’agit de mettre les habitants dans la boucle, en vue d’une mise à jour de la charte de bonne conduite signée par les opérateurs.

Mettre les citoyens dans la boucle. Selon Paul Simondon, adjoint à la maire de Paris en charge des finances, du budget et de la finance verte, la capitale compte en effet lancer une “conférence citoyenne métropolitaine” autour de la 5G. Devant être officialisée lors du prochain Conseil de Paris se déroulant du 6 au 8 octobre et être organisée dans “les semaines à venir” (le calendrier sera précisé lors du Conseil de Paris), elle n’aura pas pour but de s’opposer à la 5G. “Pour la ville de Paris, la question n’est pas d’être pour ou contre la 5G, ni de se prononcer pour ou contre un moratoire, parce que nous n’en avons pas la compétence”, a en effet insisté Paul Simondon. Tout comme une récente conférence citoyenne sur la révision du plan local d’urbanisme, celle-ci devra permettre aux citoyens de s’exprimer. Elle permettra “de définir des garde-fous sur les usages souhaitables ou non” avec cette nouvelle technologie, tout en assurant l’objectivité dans le débat récemment demandée par Stéphane Richard, le PDG d’Orange.

La conférence citoyenne débouchera sur une mise à jour de la charte de bonne conduite signée par Bouygues Telecom, Free, Orange et SFR, afin d’y intégrer la 5G. Datant de 2003 et modifié à plusieurs reprises, ce document vise à rassurer les citoyens concernant le niveau d’exposition aux ondes. Les opérateurs peuvent ainsi opérer des modifications concernant l’emplacement, l’orientation et la puissance d’émission de leurs antennes. Elle assure également un bon niveau d’information des citoyens, parce que “personne ne doit découvrir la présence d’une antenne au-dessus de sa tête” indiquait à l’époque Yves Contassot, alors adjoint au maire de Paris chargé de l’environnement. Les opérateurs s’étaient enfin engagés à une intégration optimale dans le paysage.

Source : Les Echos

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Premiers résultats des enchères 5G : Free fait la plus petite demande

Les enchères pour l’attribution des fréquences 5G ont commencé ce matin avec un premier bilan par l’Arcep dévoilé en début de soirée.

Free n’a pas fait d’étincelles pour cette première journée. 4 tours d’enchères se sont déroulés durant la journée du 29 septembre 2020. Elle s’est donc terminée sur le quatrième tour. A ce tour, le prix unitaire d’un bloc de 10 MHz a atteint 85 millions d’euros. Lors du dernier tour de la journée, les candidats ont demandé les nombres de blocs suivants : de blocs de 10 MHz demandés par la société candidate.

Pour ce prix, Free Mobile a réclamé deux blocs de 10 MHz, soit moins que Bouygues et SFR, et encore moins qu’Orange. Les demandes cumulées de blocs des candidats (13 blocs de 10 MHz) étant strictement supérieures au nombre de blocs disponibles (11 blocs de 10 MHz), l’enchère n’est pas finie. 

Elle reprendra demain au tour n° 5 au prix de 90 millions d’euros par bloc de 10 MHz. À chaque tour, le prix de chaque bloc augmentera de 3 millions d’euros.

Que va-t-il se passer ensuite ?

L’attribution des fréquences devraient durer une dizaine de jours. Lors de cette première phase, chaque opérateur devra répondre à la question “combien de blocs voulez-vous pour x millions par blocs ? “. En additionnant chacune des réponses, la somme demandée grimpera alors de 5 millions d’euros, la question sera répétée à chaque fois à Orange, Bouygues, Free et SFR. Plus le prix montera et plus certains opérateurs devront baisser le nombre de blocs demandés pour équilibrer l’offre et la demande. Une fois le nombre total de bloc demandés atteignant 11, cette première phase sera terminée.

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Google vient de déployer Android 11 et parle déjà d’Android 12, avec une promesse intéressante

Plus d’ouverture vis-à-vis des développeurs et de choix à la clé pour les utilisateurs, telle est la promesse de Google. Alors qu’elle vient tout juste de donner le coup d’envoi pour Android 11, la firme de Mountain View parle déjà de son successeur Android 12 attendu en 2021.

Même si Google pousse évidemment sa propre plate-forme de téléchargement, à savoir le Play Store, il existe en effet des alternatives telles que l’AppGallery (Huawei) et le Galaxy Store (Samsung) pour les utilisateurs Android. Par la voix de Sameer Samat, vice-président en charge d’Android et de Google Play, le géant californien promet une amélioration avec Android 12, prochaine version majeure de son OS mobile attendue en 2021. Il laisse espérer une meilleure intégration des stores alternatifs afin d’en faciliter l’accès. Dans l’idée, il s’agit de laisser aux développeurs le choix de la manière dont ils souhaitent distribuer leurs applications et aux utilisateurs la possibilité de télécharger les applications qu’ils souhaitent sans pour autant risquer de compromettre la sécurité de leurs appareils.

En communiquant sur cette direction, prise suite à des échanges avec la communauté des développeurs, Google entend visiblement réaffirmer son écosystème moins fermé que celui du concurrent Apple, actuellement en plein feuilleton judiciaire avec Epic Games, dont le jeu Fortnite a été éjecté de l’App Store peu de temps après l’intégration d’un système de paiement alternatif. La manoeuvre devait permettre à l’éditeur d’échapper à la commission prise par le géant à la pomme.

Source : Frandroid

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Smartphones disponibles chez Free Mobile : lequel choisir si vous avez un budget de 200 euros ?

Univers Freebox vous propose régulièrement des comparatifs avec les smartphones disponibles dans la boutique Free Mobile. Vous avez un budget de 200 euros maximum ? Voici nos suggestions.

 

Alcatel 1S 2020 : une expérience honnête à 99 euros

L’Alcatel 1S 2020 démontre que l’on peut avoir une expérience convenable à 99 euros. Le design est daté, la finition sans prétention, la photo loin d’être exceptionnelle et la charge un peu longue, mais on peut s’amuser un peu en photo et jouer à des titres à la mode comme Call of Duty Mobile (avec des graphismes au minimum). Lecture d’empreinte digitale et reconnaissance faciale fonctionnent très bien. Avec la batterie 4 000 mAh, la journée sera une formalité et les 2 jours d’autonomie largement envisageables. Le support de la 4G 700 MHz (B28) est de la partie. Une option à envisager pour les budgets les plus serrés.

Le test complet de l’Alcatel 1S 2020


 

Redmi 9A : une grosse autonomie à 99 euros

Il était déjà intéressant à 119 euros et le devient encore plus avec une réduction de 20 euros faisant tomber son prix à 99 euros. Le Redmi 9A a comme gros argument sa batterie 5 000 mAh qui laisse envisager les 2 voire 3 jours d’autonomie. Pas de charge rapide par contre, mais une charge 10 Watts qui évitera malgré tout un temps de charge trop long. À côté de cela, on a un écran 6,5 pouces, une mémoire 32 Go extensible par carte MicroSD, une connectique mini-jack, une gestion dual-SIM et une compatibilité B28 (4G 700 MHz).


 

Alcatel 3L 2020 : le paquet sur la photo sur un smartphone à 139 euros

Pas de gros effort sur le design de l’appareil, mais aucun aspect totalement rédhibitoire au quotidien. On a la possibilité de jouer grâce au duo chipset Helio P22 + RAM 4 Go, une bonne polyvalence en photo avec le triple capteur 48 + 5 + 2 Mégapixels à l’arrière et une autonomie atteignant sans problème les 2 jours grâce à la batterie 4 000 mAh. Le smartphone est B28 et les solutions de déverrouillage efficaces. 

Le test complet de l’Alcatel 3L 2020


 

Redmi Note 9S à 199 euros : un bon compromis pour les petits budgets

Avec son bel écran Full HD+, ses bonnes performances en multimédia, sa polyvalence en photo, sa bonne autonomie et sa charge rapide, le Redmi Note 9 nous avait déjà convaincus et s’affichait comme une option intéressante pour les budgets non extensibles. Le Redmi Note 9S en offre un peu plus pour le même prix : processeur plus puissant, écran un peu plus grand et partie photo un peu plus étoffée. 

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Tech chez Free : c’est quoi le MU-MIMO ?

Avec le petit dico des technologies utilisées par Free, c’est l’occasion d’approfondir vos connaissances du monde des télécoms et, par extension, des nouvelles technologies. Aujourd’hui, parlons de la technologie MU-MIMO.

Tout comme la Freebox Delta présentée en décembre 2018, la Freebox Pop dévoilée en juillet 2020 profite de la technologie MU-MIMO. Mais qu’est-ce donc ?

L’époque où seul l’ordinateur familial était connecté à la box Internet est désormais bien lointaine. Aujourd’hui, une foule d’appareils (ordinateur, smartphone, tablette, console de jeu, téléviseur, enceinte intelligente, etc.) peuvent y être connectés et le plus souvent en Wi-Fi. Le nombre est encore plus important dans un foyer avec plusieurs personnes et s’accroît avec le développement des objets connectés.

Et c’est là qu’intervient le protocole réseau MU-MIMO, pour Multiple User Multiple Input Multiple Output. Il permet au point d’accès sans-fil de gérer les requêtes en provenance de plusieurs appareils de manière simultanée, au lieu de les traiter de manière chronologique (premier arrivé, premier servi). 

La différence de gestion des requêtes avec le protocole MU-MIMO (crédit OnTheFlyWiFi)

À l’échelle de l’utilisateur, cela se traduit par un réseau Wi-Fi plus performant, en raison d’un temps attente moins important dans la gestion des requêtes, ces dernières se retrouvant traitées simultanément. La technologie MU-MIMO peut notamment s’avérer intéressante pour les usages tels les jeux en ligne avec un temps de latence réduit.

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Android : le malware Joker continue de faire des siennes sur le Play Store

Le malware Joker persiste et continue ainsi de donner du fil à retordre à Google. De nouvelles applications infectées ont été repérées sur la boutique applicative du géant de Mountain View.

Les experts de la société de sécurité Zscaler ont récemment repéré près de 20 applications infectées par le malware Joker sur le Play Store. Un malware qui n’en est d’ailleurs pas à ses premiers méfaits puisque plus de 1 700 applications infectées par celui-ci ont été identifiées et évincées de la plate-forme de téléchargement de Google depuis 2017.

Ayant généré plus de 120 000 téléchargements avant d’être repérées, les applications en question ont d’ailleurs été éjectées à leur tour du Play Store par le géant américain. En voici les noms :

  • All Good PDF Scanner
  • Blue Scanner
  • Care Message
  • Desire Translate
  • Direct Messenger
  • Hummingbird PDF Converter – Photo to PDF
  • Meticulous Scanner
  • Mint Leaf Message-Your Private Message
  • One Sentence Translator – Multifunctional Translator
  • Paper Doc Scanner
  • Part Message
  • Private SMS
  • Style Photo Collage
  • Talent Photo Editor – Blur focus
  • Tangram App Lock
  • Unique Keyboard – Fancy Fonts & Free Emoticons

Pour l’utilisateur, c’était le risque de se retrouver abonné à son insu à des services payants. Le malware avait également accès aux contacts et aux messages de la victime.

Source : ZDNet

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