Auteur : dimitri

Xavier Niel investit dans la transaction immobilière simplifiée

Xavier Niel a décidé de participer à une récente levée de fonds de plusieurs millions d’euros pour soutenir le développement une startup visant à simplifier les ventes immobilières.

Avec pour objectif de soutenir sa croissance dans le secteur de l’immobilier, la startup Zefir a réalisé une levée de fonds de 4 millions d’euros le 15 avril dernier. Parmi les investisseurs ayant participé, on retrouve notamment le fonds d’investissement Kima Ventures de Xavier Niel, le fondateur de Free. À ses côtés, on note également les fonds Business Angels, Heartcore et Stride.

La startup Zefir a été lancée en juillet 2020 par Louis Lambert et Rémy Fabre, deux amis d’enfance. Basée à Saint-Mandé, dans le département du Val-de-Marne, et comptant 10 collaborateurs, elle se présente comme une société technologique immobilière ayant pour mission de “permettre à chacun de vivre là où il devrait”. Elle promet aux vendeurs d’avoir “l’opportunité d’obtenir une offre d’achat gratuite en quelques clics et la certitude que la vente aille à son terme”. Un accélérateur de transactions immobilières, en somme. “J’ai vu mon père essayer de vendre une maison dans le Sud héritée de ma grand-mère pendant un an, sans succès. Il me semblait impensable de ne pas trouver sur le marché un acteur proposant une certitude et rapidité de vente”, explique Rémy Fabre.

Un changement de nom et de grandes ambitions

Anciennement nommée Vesta, la société a changé de nom pour des raisons de propriété intellectuelle. Pour ses 9 premiers mois d’existence, Zefir revendique 30 transactions pour un total d’environ 5 millions d’euros. Rémy Fabre affiche l’ambition de la startup : “Trente transactions, c’est bien sûr une goutte d’eau sur le marché. Notre objectif est désormais de faire une transaction par jour”. Si la société se concentre pour l’instant sur la métropole lilloise, elle voit plus grand, ayant des ambitions dans le reste de la France et même en Europe. “Nous savons déjà que notre modèle est robuste grâce aux transactions déjà réalisées dans la métropole”, assure Rémy Fabre.

Dans ce contexte, l’équipe de Zefir est amenée à se développer. La société compte avoir recruté 20 nouveaux collaborateurs dans l’ingénierie, le marketing et la relation client d’ici septembre.

Source : La Voix du Nord

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Cdiscount Mobile dégaine des forfaits 60 et 100 Go en promotion à moins de 5 euros

Cdiscount Mobile vient de dévoiler deux forfaits mobiles 4G à petit prix avec de bonnes quantités de data pour l’Internet mobile. Les tarifs promotionnels ne durent toutefois que les 6 premiers mois.

Jusqu’au 11 mai 2021, la marque, désormais dans le giron de Bouygues Telecom, propose des forfaits 60 et 100 Go (débits ajustés au-delà) à respectivement 2,99 et 4,99 euros par mois. Sans engagement, les deux formules comprennent également les appels, SMS et MMS en illimité. Elles prévoient par ailleurs une enveloppe data de 5 ou 10 Go pour l’Internet mobile en roaming depuis l’Europe et les DOM.

À noter que les tarifs promotionnels ne valent à chaque fois que durant les 6 premiers mois d’abonnement, avant un basculement à 14,99 ou 20 euros par mois, selon le forfait. Il faudra en outre prévoir 10 euros au moment de la commande pour l’achat de la carte SIM triple découpe.

Comme NRJ Mobile ou Auchan Telecom, la marque Cdiscount Mobile appartient à Euro Information Telecom, cinquième opérateur mobile en France avec 2 millions de clients, désormais filiale du groupe Bouygues Telecom. Suite à ce rachat, les abonnés des différentes marques de l’opérateur migrent progressivement pour utiliser exclusivement le réseau de Bouygues Telecom.

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Tech chez Free : focus sur les fréquences utilisées pour la 5G de l’opérateur

Avec le petit dico des technologies utilisées par Free, c’est l’occasion d’approfondir vos connaissances du monde des télécoms et, par extension, des nouvelles technologies. Aujourd’hui, parlons de n28 et n78.

Pour son réseau 5G lancé le 15 décembre 2020, Free utilise deux bandes de fréquences, à savoir la 700 MHz et la 3,5 GHz, chacune ayant ses spécificités et avantages.

Reposant sur des fréquences plus élevées, la bande 3,5 GHz, la bande “coeur” de la 5G, offre de meilleurs débits. Elle est en revanche plus sujette à l’atténuation du signal et aux obstacles, ce qui s’en ressent au niveau de la couverture assurée. D’après les données de l’Agence national des fréquences, Free disposait au 1er mai 2021 de 1 014 sites opérationnels sur cette bande de fréquences.

La bande 700 MHz offre de son côté moins de débit. Elle permet en contrepartie d’assurer une plus grande couverture en extérieur et une meilleure pénétration des murs pour la couverture à l’intérieur des bâtiments, grâce à une atténuation moins importante et une moins grande sensibilité aux obstacles. Sachant qu’il utilise déjà cette bande pour la 4G, l’opérateur a d’ailleurs recours à la technologie DSS. Celle-ci permet de partager dynamiquement les fréquences et de faire cohabiter de manière plusieurs technologies sur une même bande de fréquences. Selon l’ANFR, l’opérateur comptait 8 804 sites opérationnels en 700 MHz, sur un total de 8 806 au 1er mai 2021.

Une combinaison gagnante en termes de couverture

La combinaison des deux fréquences permet à l’opérateur de désengorger les réseaux mobiles dans les zones densément peuplées, tout en parvenant à une très large de couverture du territoire, y compris en zone rurale.

De quoi revendiquer un réseau 5G “énorme” par rapport à ses rivaux qui disposent de moins de sites opérationnels (2 866 pour Bouygues Telecom, 1 526 pour Orange et 1 391 pour SFR) et dont aucun n’utilise pour l’instant la bande 700 MHz.


La carte 5G de l’opérateur, en date du 13 avril 2021

 

Bien choisir son smartphone

Pour savoir si un smartphone supporte les deux bandes de fréquences, il faudra donc vérifier leur prise en charge dans la section réseau des caractéristiques. Comme on peut le voir ci-dessous, dans le cas de l’iPhone 12 Pro Max, elle pourra d’ailleurs être indiquée avec les dénominations n28 et n78 correspondant respectivement aux bandes 700 MHz et 3,5 GHz de la 5G.

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En vidéo : deux pylônes 5G pris ensemble dans les flammes

Deux pylônes ont pour points communs leur localisation et leur compatibilité avec la 5G, mais également le fait d’avoir été pris dans les flammes ce mercredi matin. En plein contexte de tensions autour de la 5G, une enquête de gendarmerie a été ouverte.

Ce mardi 4 mai, deux pylônes de téléphonie mobile compatibles avec la 5G étaient pris dans les flammes. Séparés par 200 mètres, les deux équipements sont installés sur le chemin de Canteloup, entre les communes de Labège et Saint-Orens-de-Gameville, au sud-est de Toulouse, en Haute-Garonne.

Le Service départemental d’incendie et de secours de la Haute-Garonne a dépêché un engin et six pompiers sur place aux environs de 7h00. Le feu était maîtrisé deux heures plus tard. Fort heureusement, les deux équipements sont en plein milieu des champs, loin des premières habitations.

Ci-dessous, le pylône de Labège en feu filmé par une internaute :

L’enquête a été confiée aux gendarmes de Haute-Garonne. Si l’origine des incendies reste pour l’instant à déterminer, ces incidents interviennent dans un contexte de tensions autour de la 5G et d’une augmentation des attaques des équipements de télécommunications, et notamment dans la région de Toulouse (en janvier dernier, deux antennes ont brûlé sur les communes Donneville et Fonbeauzard). Un récent rapport du ministère de l’Intérieur comptabilisait en effet 174 attaques d’antennes de téléphonie mobile et de câbles de fibre en un an. De leur côté, les opérateurs ont décidé de s’allier pour organiser la riposte.

Sources : Actu Toulouse et France Bleu

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Free Mobile : Xiaomi annonce l’arrivée de deux smartphones 5G, dont un pour les petits budgets

Xiaomi a communiqué sur l’arrivée de trois nouveaux smartphones en France. Deux d’entre eux seront d’ailleurs disponibles auprès de la boutique Free Mobile.

Ces deux smartphones sont le Redmi Note 10 5G annoncé début mars et le Mi 11i présenté quelques semaines plus tard. Le Redmi Note 10 5G sera disponible chez Free le 18 mai dans une configuration 4 + 64 Go au prix de 229,90 euros. Le Mi 11i le sera après une phrase de précommande entre les 11 et 27 mai au prix de 699,90 euros pour une configuration avec 8 Go de mémoire vive et 256 Go de stockage.

Côté caractéristiques techniques, le Redmi Note 10 5G propose un chipset  MediaTek Dimensity 700, un écran IPS 6,5 pouces FHD+ 90 Hz, trois capteurs photo 48, 2 et 2 Mégapixels au dos, un capteur photo 8 Mégapixels au dos, une batterie 5 000 mAh et une charge filaire en 18 Watts.

De son côté, le Xiaomi Mi 11i s’équipe du chipset Snapdragon 888, la meilleure plate-forme mobile haut de gamme Qualcomm du moment. Ce smartphone propose en outre un écran AMOLED 6,67 pouces FHD+ 120 Hz, un double haut-parleur stéréo, trois capteurs photo 108, 8 et 5 Mégapixels au dos, un capteur photo 20 Mégapixels à l’avant, une batterie 4 520 mAh et une charge en 33 Watts.

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Insolite : quand le nom d’un village empêche de passer commande sur Internet

Impossible pour une internaute d’aller jusqu’au bout de sa commande. Pas de problème avec la carte bancaire utilisée ni de bug, mais simplement une limitation inattendue au niveau du site.

Elle y était presque. Justine, une adolescente de 16 ans habitant un village d’Alsace, dans l’Est de la France, s’apprêtait à finaliser une commande sur le site de Foot Locker, premier détaillant mondial de chaussures et de vêtements de sport avec plus de 2 500 magasins dans le monde. Sauf qu’au moment de renseigner l’adresse de livraison, quelque chose coince.

Un message d’erreur en rouge s’affiche. Le nom du village où elle habite se révèle trop long. Niederschaeffolsheim contient en effet plus de lettres qu’acceptées par le champ de saisie. Pensant à un bug, la jeune internaute retente sa chance, mais en vain. “Quand j’ai voulu procéder au paiement, j’ai rentré mon adresse et ils m’ont dit que le nom de mon village était trop long. Je me suis dit, c’est pas possible ! J’ai réessayé, mais ça n’a pas fonctionné”, raconte-t-elle. Un peu dépitée, elle a partagé son expérience sur les réseaux sociaux, mais s’est surtout tournée vers un autre site.

De son côté, la maire de la commune préfère prendre la chose avec humour. L’élue espère tout de même que Foot Locker rectifiera le tir. “Tout le village en parle .Au début, on rit, on se dit que ce n’est pas possible. Après, si ça devait se répéter, on rirait moins. Une fois ça passe, mais à la longue, on ne rirait plus de la même façon”, explique Brigitte Steinmetz.

Sources : France Bleu et BFMTV

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Conflit volcanique entre Free et une commune, la justice est saisie

Pour se frayer un chemin jusqu’au milieu des volcans afin d’y implanter un pylône de téléphonie mobile, Free a décidé d’emprunter la voie judiciaire.

Free a pour projet d’installer un pylône de 36 mètres de haut au hameau du Berzet, sur la commune de Saint-Gènes-Champanelle, nichée dans le parc naturel régional des Volcans d’Auvergne. Mais l’opérateur de Xavier Niel fait face à une levée de boucliers. Pas question pour les élus et habitants de voir pousser ce mât géant. L’équipement doit d’ailleurs se retrouver sur un terrain privé, celui d’un agriculteur.

“Le Berzet est situé sur un plateau où l’on profite d’une belle vue sur le Puy-de-Dôme. Ce que nous dénonçons, c’est le manque d’intégration paysagère de cette antenne, mais aussi sa proximité avec les habitations qui se trouvent à moins de 100 mètres”, explique le collectif d’opposants. Ce dernier compte faire valoir la proximité de la Chaîne des Puys – faille de Limagne inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco. “Le risque, en agissant ainsi, c’est que la Chaîne des Puys – faille de Limagne perde un jour son inscription à l’Unesco”, déplorent d’ailleurs les opposants, qui étaient plus de 150 à manifester lors d’un rassemblement organisé le dimanche 25 avril dernier.

Des arguments qui n’ont visiblement pas fait mouche auprès de Free. Le telco a en effet décidé de porter l’affaire devant les tribunaux. L’examen du dossier par le tribunal administratif de Clermont-Ferrand est d’ailleurs prévu le 8 mai.

Source : Le Parisien

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Longévité des réseaux : pour y contribuer, Orange rappelle “un geste simple” aux particuliers et collectivités

Mieux vaut prévenir que guérir, tel est le rappel d’Orange à l’heure où les réseaux télécoms ont gagné en importance pour l’activité économique, la formation, le maintien du lien social et les loisirs. Un seul mot d’ordre : “élaguez”.

Chacun a son rôle à jouer dans la pérennité des infrastructures aériennes de télécommunications. Dans une courte vidéo publiée sur sa chaîne YouTube, Orange rappelle d’ailleurs “un geste simple” qui permet d’éviter certains incidents et les perturbations réseau qui vont avec pour les utilisateurs.

L’opérateur historique explique en effet qu’il incombe aux particuliers et collectivités de s’occuper de l’élagage de la végétation dans les jardins et espaces publics, afin d’éviter que des branches ne cassent et n’arrachent les lignes téléphoniques en cas de vents ou d’intempéries. Dans le cas d’un particulier propriétaire d’un ou plusieurs terrains, Orange rappelle que ce dernier a la responsabilité de l’élagage et qu’il peut faire appel à un professionnel si la réalisation apparaît dangereuse ou complexe.

De son côté, Orange a été rappelé à l’ordre par l’Arcep. Le régulateur a récemment insisté sur la nécessité d’assurer la maintenance du réseau téléphonique, afin de garantir une bonne qualité de service aux abonnés en attendant leur bascule sur le réseau fibre optique. La nouvelle gendarme des télécoms Laure de la Raudière dénonçait un “calvaire” pour les abonnés et une situation “inacceptable” à ses yeux.

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Fibre optique : un sous-traitant soupçonné d’être impliqué dans plusieurs actes de sabotage

Un employé d’un sous-traitant d’Orange comparaîtra cet été devant la justice correctionnelle. Il est soupçonné d’être impliqué dans le sabotage de plusieurs armoires à fibre optique.

C’était durant l’été 2020. Fin août, 1 000 foyers de Blois, dans le département du Loir-et-Cher, se retrouvaient privés d’accès à Internet, de téléphonie ou de télévision à la suite du sabotage de 7 armoires fibre optique appartenant à Orange, qui a d’ailleurs porté plainte. Plusieurs jours avaient été nécessaires pour réparer les dégâts estimés à 40 000 euros.

Sur place, les enquêteurs avaient découvert des câbles sectionnés avec méthode et constaté l’absence d’effraction. Quant aux vidéos de surveillance, elles avaient mis en évidence un même véhicule présent lors de quatre sabotages. Le véhicule appartenait justement à un employé travaillant pour un sous-traitant de l’opérateur historique et disposant ainsi des clés pour accéder à l’intérieur des armoires. 

Convoqué quelques jours plus tard par les forces de l’ordre, l’homme de 39 ans a nié les faits. Soupçonné d’être impliqué dans les sabotages, il comparaîtra le 7 juillet prochain devant la justice correctionnelle.

Source : La Nouvelle République

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Free Mobile : la nouvelle approche de l’opérateur déboussole un peu le maire

Face à une tentative de réconciliation de la part de Free dans un projet d’antenne-relais, un maire ne cache pas sa surprise. Pour autant, l’élu n’entend visiblement pas changer de cap.

Plus de deux ans que ça dure. Depuis avril 2019, Free tente d’installer une antenne-relais à Saurat, dans le département de l’Ariège. Sauf que l’opérateur de Xavier Niel se voit barrer la route par la municipalité. Celui-ci avait même fini par passer à l’offensive en se tournant vers le tribunal administratif de Toulouse pour obtenir gain de cause.

Retour à la table des négociations

Mais voilà que Free semble tenter une réconciliation avec la municipalité pour parvenir à ses fins. “Dans ce courrier, ils font une liste des points de notre nouvel arrêté d’opposition qui, selon eux, sont non recevables et en gros ils nous demandent gentiment de retirer notre arrêté”, explique le maire Jean-Luc Rouan.

Dans cette missive reçue le 26 avril, la chargée de négociation de l’opérateur commence par planter le décor. Celle-ci conteste la légalité du troisième arrêté d’opposition au motif qu’il n’est pas motivé par des raisons valables. “Vous reprochez à Free de ne pas avoir de droit sur le domaine public. Votre décision méconnaît donc l’autorité de chose décidée qui s’attache à l’ordonnance de référé du 1er février 2021”, explique-t-elle.

Avant d’amorcer une phase de négociation et d’afficher une volonté de désamorcer les tensions. “Aussi, nous vous informons que Free Mobile accepte de prendre à sa charge les travaux d’extension ou de renforcement du réseau public nécessité par son projet. En conséquence, nous vous demandons de réexaminer votre décision au vu des éléments et précisions apportés ci-dessus. En outre, dans une volonté de maintenir les meilleures relations avec votre commune, nous tenons à vous convaincre de l’intérêt de notre projet”, explique-t-elle.

Un maire surpris, mais restant droit dans ses bottes

“Honnêtement, je ne sais pas quoi en penser”, a déclaré le maire du village. Pour autant, pas question de changer de cap. “Je n’ai pas envie de me contredire. Ça fait trois fois que je répète que cette antenne, à cet endroit, n’est pas conforme aux attentes sociétales”, insiste Jean-Luc Rouan. “Je vais donc me rapprocher des différents services compétents, puisqu’on a donc deux mois pour répondre à ce courrier, qui suspend d’office l’application de notre arrêté d’opposition”, explique l’élu qui a confié le recours à ses avocats.

Source : La Dépêche

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