Auteur : anthony

Freebox Delta : Canal + annonce un débit minimum de 300 Mb/s pour accéder à son service VOD en 4K

Le site d’assistance de Canal+ a annoncé sous quelles conditions les abonnés aux nouvelles offres Freebox Delta et One pouvaient profiter de la résolution 4K-UHD sur les programmes de sa plate-forme VOD

Cette résolution ne sera accessible que pour les abonnés fibre et le débit minimum exigé est de 300 Mb/s. Le tout bien sûr si vous possédez un téléviseur 4K. Si ça n’est pas votre cas, votre achat ou location sur la plateforme sera lu en HD uniquement. 

Une connexion minimale très élevée pour un flux qui ne semble pourtant pas le nécessiter. Pour exemple, les chaînes diffusées en 4K (Ultra Nature, Festival 4K) sur Freebox TV demandent un débit de 15 Mb/s. Cependant, ce débit devrait être facilement atteint pour les abonnés fibre de la Freebox Delta avec l’internet 10 GB. 

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Oppo rejoint les marques s’équipant du SnapDragon 855 avec le nom de code “Poséidon”

Un nouveau smartphone de la marque Oppo est apparu sur Geekbench avec un nom de code et une mention du dernier SoC haut de gamme de Qualcomm.

 Si Oppo a encore du mal à se faire une place sur le marché européen, peut être avez-vous entendu parler de sa branche soeur OnePlus. Il s’agit pourtant du 4e fabricant de smartphone au niveau mondial et il ne semble pas vouloir s’arrêter là. 

En effet, c’est sur Geekbench qu’un nouveau flagship a fait son apparition. Parmi les caractéristiques techniques présentes sur le site, on y trouve donc le nouveau bijou de Qualcomm : le Snapdragon 855. Il s’agit là du premier processeur de la marque gravé en 7 nm et qui devrait permettre de tripler les capacités de l’intelligence artificielle par rapport à son prédécesseur. 

Ce composant est également pensé pour permettre l’accès à la 5G via le modem Snapdragon X50 G, mais il n’en est pas fait mention ici. Ce nouveau flagship, dont seuls le nom de code "Poséidon" et quelques informations ont été révélées, reste cependant encore un mystère. Cependant, avec la course à la 5G lancée, on peut s’attendre à avoir des nouvelles de ce smartphone d’ici peu. 

Source : GizmoChina

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5G sur les iPhone : Apple explore les pistes MediaTek et Samsung

Qualcomm n’est pas prêt de revenir dans les smartphones d’Apple. La firme à la pomme étudierait en effet la possibilité de faire appel à MediaTek et Samsung pour mettre la 5G dans ses iPhone.

Des tensions entre Qualcomm et Apple

Sur fond de nombreux désaccords, Qualcomm et Apple s’affrontent depuis quelques temps devant les tribunaux. Cela s’est récemment traduit par un verdict en faveur de Qualcomm interdisant la vente de plusieurs modèles d’iPhone en Chine. Et si Apple indiquait qu’il ne concernait pas la génération 2018, Qualcomm avait des plans en ce sens. La guerre est vraiment déclarée.

Dans ce contexte, il est évident que les puces de Qualcomm, et plus précisément les modems, n’ont pas tardé à être écartés par Apple. Après avoir partagé en 2016 la fourniture de modems entre Qualcomm et Intel, Apple a fini par évincer purement et simplement les puces du premier en 2018.

Une opportunité pour MediaTek et Samsung

Et la situation n’est pas prête de changer. Si Apple hésiterait à utiliser le modem 5G de Intel en raison de performances insatisfaisantes, pas question de rouvrir les portes aux solutions de Qualcomm.

D’après Tony Blevins, responsable de la chaîne logistique chez Apple, dont les propos ont été rapportés par Reuters, la firme à la pomme étudierait la possibilité de faire appel à Samsung, déjà partenaire pour d’autres composants. Elle regarde aussi du côté de MediaTek, qui a bien progressé au niveau des chipsets mobiles (ses Helio P sont très populaires sur le milieu de gamme) et qui travaille justement sur son propre modem 5G (le Helio M70 qui sera prêt en 2019).

Après un contrat d’exclusivité avec Qualcomm en contrepartie de conditions avantageuses, Apple semble avoir pour volonté de diversifier ses fournisseurs. Une manière de gagner en indépendance, surtout dans le cas de désaccords.

Source : Reuters

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Xiaomi Mi Mix 3 : le smartphone coulissant arrive en France

Le smartphone borderless et coulissant de Xiaomi s’apprête à arriver en France. Découvrons son prix en euros et rappelons ses caractéristiques techniques haut de gamme.

Xiaomi Mi Mix 3 : écran sans bordure et design coulissant

Afin de repousser au maximum les bordures autour de l’écran sur son smartphone Mi Mix 3, Xiaomi a opté pour un design coulissant qui abrite la partie photo frontale. Un choix technologique qui n’est pas sans rappeler la solution présentée par l’Oppo Find X, mais qui permet surtout d’éviter l’encoche plus ou moins large qui vient gâcher le paysage dans le secteur des smartphones. On se retrouve ainsi avec un écran qui couvre 93,4 % de la face avant.

Un smartphone haut de gamme

Le Xiaomi Mi Mix 3 est un smartphone haut de gamme qui repose sur le chipset Snapdragon 845. Il propose un écran Super AMOLED 6,39 pouces Full HD+ (2 340 x 1 080 pixels) au ratio 19,5/9, deux capteurs photo 24 et 2 Mégapixels à l’avant, deux capteurs photo 12 et 12 Mégapixels au dos et une batterie 3 200 mAh rechargeable en filaire (USB-C) ou sans-fil (Qi). Un lecteur d’empreintes digitales prend également place au dos.

Disponible en France pour 500 euro euros

Au moment de l’annonce chinoise en octobre 2018, Xiaomi avait indiqué que son smartphone Mi Mix 3 s’aventurerait en Europe. Rien de surprenant avec la disponibilité des modèles précédents.

Après être arrivé chez nos voisins en Espagne ou en Italie, le Xiaomi Mi Mix 3 s’apprête ainsi à débarquer dans l’Hexagone. Il sera disponible le 18 janvier au Mi Store des Champs-Elysées, avant d’arriver sur la boutique en ligne française du constructeur le 21 janvier. On aura droit à une configuration 6/128 Go à 499 euros, avec un choix par trois coloris bleu, noir ou vert. Notez que le prix passera à 529 euros après les deux premières semaines de commercialisation.

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FTTH : le Fédération Nationale des FAI associatifs publie une carte des RIP et dénonce des blocages

La FFDN a mis en ligne une carte afin d’illustrer l’étendue des RIP, ces réseaux déployés par les pouvoirs publics dans les zones très peu peuplées. Il s’agit de suivre l’avancement des choses, mais aussi d’illustrer les blocages qui peuvent rencontrer les FAI associatifs souhaitant accéder à ces infrastructures.

Les RIP : les pouvoirs publics prennent le relais

Dans le cadre du déploiement du très haut débit en France, trois catégories de zones ont été définies par le gouvernement : les zones densément peuplées où chaque fournisseur d’accès à Internet doit déployer son propre réseau fibre optique, les zones moyennement peuplées où les FAI sont invités à mutualiser les investissements et les zones peu peuplées où les pouvoirs publics prennent le relais avec ce que l’on appelle les RIP (Réseau d’Initiation Publique).

Tous les FAI logés à la même enseigne ?

Qui dit financement par les pouvoirs publics sous-entend de l’argent public en jeu. On s’attend par conséquent à une certaine égalité d’accès pour les FAI, que ce soit les grands (Bouygues, Free, Orange et SFR) ou les plus petits comme les FAI dit associatifs. Reste que ça ne serait apparemment pas toujours le cas, comme le souligne la FFDN, qui regroupe les fournisseurs d’accès à Internet associatifs et dénonce des freins.

Une carte en ligne pour illustrer les difficultés des FAI associatifs

Les FAI alternatifs ne ciblent pas la rentabilité. Ils entendent simplement proposer un accès à Internet pertinent en termes de nombre d’abonnés et de tarif, tout en rentrant dans leurs frais. Et c’est là où ça coince. Les bâtons dans les roues tels que les conflits d’intérêt font que le lancement d’un FAI associatif n’apparaît pas toujours – voir pas du tout dans ces certains – envisageable. Ramenée à l’échelle nationale, une telle situation peut bloquer l’émergence d’initiatives et l’avancement du déploiement du très haut débit en France.

C’est pour illustrer la situation que le FFDN a récemment mis en ligne une carte montrant les facilités à lancer un FAI associatif (note de A à Z, A étant parfait et Z impossible). Fruit d’un travail de collecte de données réalisé pendant un an et demi par des bénévoles, elle renseigne aussi l’activation ou non d’offres et la probabilité de futures activations, ce qui donne une idée de la facilité d’accès pour les FAI associatifs. Sont également précisés les types de contrat en place, avec une grande majorité de DSP (Délégation de service public).

Les FAI associatifs veulent des offres de gros en zone dense et moyennement dense

Rappelons que les FAI associatifs ont récemment fait savoir au gendarme des télécoms, l’ARCEP, et à Orange, qu’ils souhaitent une ouverture à la concurrence dans les zones denses et moyennement denses grâce à des offres de gros.

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Après la TV, ce sont les smartphones LG qui pourraient être enroulables

Un des produits qui a fait sensation lors du salon CES 2019 à Las Vegas, c’est la télévision enroulable "Signature" de LG. Et alors qu’il était questionné sur ce modèle de télévision, le fabricant coréen a annoncé travailler sur une technologie semblable pour smartphone.

 En effet, IP Park, directeur technique de LG, a confirmé lors d’une interview pour le site américain Tom’s Guide que les écrans enroulables faisaient partis des "différents formats pour smartphone" sur lesquels la marque expérimentait. De même, il a affirmé que l’arrivée de la 5G pourrait créer un besoin de plus grands écrans, et donc des écrans pliables ou enroulables, d’où les expérimentations en cours. 

En effet on sait déjà que LG travaille sur un smartphone pliable qui n’a pourtant pas été présenté lors du CES de cette année.  Si sur ce marché, la concurrence semble déjà forte avec Samsung, Huawei et d’autres fabricants de plus petite envergure, le marché de l’enroulable pourrait permettre à LG de reprendre du poil de la bête dans le domaine des smartphones. 

Source : Tom’s Guide

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Galaxy M : Samsung tease sa nouvelle famille de smartphones

Samsung entend réorganiser son vaste catalogue de smartphones avec une famille Galaxy M qui regrouperait les modèles abordables. Les teasers ont commencé à circuler, en attendant l’annonce officielle.

Une famille Galaxy M pour regrouper les smartphones abordables

Depuis quelques temps, on attend parler d’une famille de smartphones Galaxy M à venir chez Samsung. Elle serait censée rendre plus claire l’offre de la firme sud-coréenne qui multiplie les gammes (Galaxy J, Galaxy One, Galaxy C, Galaxy A, Galaxy S et Galaxy Note), en regroupant les modèles les plus abordables. 

Plusieurs noms et caractéristiques techniques ont fuité sur les sites spécialisés et les réseaux sociaux. Les rumeurs mentionnent des Galaxy M1, Galaxy M2, Galaxy M3 et Galaxy M5, qui pourraient aussi être des Galaxy M10, Galaxy M20, Galaxy M30 et Galaxy M50. Citons l’exemple du Galaxy M3 (ou M30) qui embarquerait le chipset mobile Exynos 7885 avec 4 Go de RAM, tournerait sous Android 8.1 Oreo et s’alimenterait grâce à une batterie 5 000 mAh.

Une annonce officielle fin janvier 

Et voilà que Samsung confirme l’arrivée de cette nouvelle famille de smartphones avec une flopée de teasers annonçant une présentation prévue le 28 janvier 2019. Ils sont apparus sur le site indien d’Amazon.

Les visuels et textuels révèlent aussi des attributs tels que l’encoche format goutte d’eau, le double capteur photo dorsal, le capteur biométrique au dos (et non sous l’écran, comme sur les modèles plus chers), la grosse batterie et la charge rapide. On aperçoit même une prise casque et un port USB Type-C au niveau d’une tranche inférieure.

 

Et bientôt le Galaxy S10, en haut de gamme

Ce n’est d’ailleurs pas la seule grosse annonce à venir chez Samsung. La firme sud-coréenne a confirmé la présentation officielle du Galaxy S10 4G pour le 20 février, dans le cadre d’un événement dédié en amont du MWC de Barcelone. Le Galaxy S10 5G arrivera quelques mois plus tard, en mai.

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Samsung : le titre de transport dématérialisé arrive sur les smartphones Galaxy dans plusieurs villes françaises

Voilà une nouvelle qui devrait intéresser les Franciliens utilisant quotidiennement les transports en commun et possédant un smartphone de marque Samsung. Le titre de transport dématérialisé fera bientôt partie des possibilités.

Un partenariat entre Samsung et Wizway

Samsung vient d’annoncer son partenariat avec WizWay Solutions, une société française créée en 2015 et spécialisée dans la dématérialisation des titres de transport derrière laquelle on trouve Gemalto, Orange, RATP et la SNCF.

Il s’agit de permettre aux utilisateurs de profiter d’un titre de transport au format dématérialisé, autrement dit stocké dans le smartphone et utilisable en présentant simplement l’appareil devant une borne NFC (Near Field Communication). Une chose attendue depuis une bonne dizaine d’années et qui commence d’ailleurs à se concrétiser. On peut citer les tests grandeur nature menés par Orange depuis novembre 2018, uniquement avec les smartphones Android.

Louis Brosse, PDG de WizWay Solutions a indiqué que la possibilité sera proposée gratuitement. Sa société percevra une commission sur les transactions.

Une disponibilité dans les mois à venir sur 10 smartphones

Pour revenir au cas de Samsung, l’activation de cette possibilité interviendra dans le courant du premier trimestre 2019. Elle concernera d’ailleurs un dizaine de smartphones, principalement les modèles haut de gamme. On parle ainsi des Galaxy S7, Galaxy S7 edge, Galaxy S8, Galaxy S8+, Galaxy Note8, Galaxy S9, Galaxy S9 + et Galaxy Note9. Les milieux de gamme Galaxy A5 2017 et Galaxy A8 font également partie des modèles éligibles. 

À Paris, Lille et Strasbourg

Trois grandes villes seront concernées dans un premier temps, à commencer par Paris. Viendront ensuite Lille et Strasbourg.

Source : Journal Du Geek

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Partage “sauvage” des comptes Netflix : la chasse bientôt ouverte ?

Vous faites partie de ceux qui partagent leur compte Netflix avec leur entourage ou d’un entourage à profiter d’un partage, attendez-vous à peut-être recevoir un petit rappel à l’ordre.

Les petits arrangements entre amis

Netflix n’est pas dupe, surtout avec des utilisateurs qui ne s’en cachent pas et une situation tournée en dérision sur les réseaux sociaux. Il n’est en effet pas rare qu’un compte soit partagé entre plusieurs personnes, afin de mutualiser les coûts de l’abonnement mensuel, avec un qui paie et les autres qui le remboursent. 

Si ce genre s’arrangement n’a pas trop d’intérêt avec les offres Essentiel et Standard à 7,99 et 10,99 euros qui ne concernent qu’un ou deux écrans en simultané, il peut vite le devenir avec l’offre Premium à 13,99 euros et son multi-écran à quatre écrans en simultané. À quatre personnes, l’abonnement revient en effet à 3,50 euros, avec en plus l’accès à la définition Ultra HD. Deux fois moins que cher que l’offre standard et son flux basse définition.

La solution présentée au CES

Si Netflix s’accommodait sans doute de la situation le temps de faire connaître son service, il pourrait revoir sa position prochainement. Il se trouve en effet que Synamedia, une société britannique, a présenté une intelligence artificielle au CES. Cette IA permet de partir à la chasse aux partages abusifs avec Netflix. Elle pourrait servir avec d’autres services sujets au même type de filouterie. 

Plus concrètement, l’outil, nommé Credential Sharing Insight, regarderait ce qui se passe et établirait une probabilité. Deux visionnages en même temps à plusieurs centaines de kilomètres de distance font partie des choses qui mettront la puce à l’oreille. Quelles conséquences côté utilisateurs ? Si la suppression du compte a été évoquée pour les partages à grande échelle, il s’agirait surtout d’inciter à rentrer dans les rangs en affichant des publicités pour les forfaits Netflix. À voir maintenant si Netflix compte adopter la solution. Certains comme Spotify ont tenté un flicage similaire avant de faire marche arrière…

Source : 01net

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Les épisodes interactifs de Netflix fonctionnent bel et bien sur la Freebox Delta

Certains boîtiers multimédias connectés comme l’Apple TV ou même des consoles de jeux comme la PS4 ne supportent pas les nouveaux formats d’épisodes interactifs proposés par le service de SVOD américain. Qu’en est-il de la Freebox Delta ? 

Une des grosse sortie de Netflix durant fin 2018 fut l’épisode interactif de la série d’anticipation Black Mirror intitulé "Bandersnatch". Une série qui a pour but de faire réfléchir le spectateur sur différents thèmes liés au numérique (réseaux sociaux, rapport aux médias etc…) et c’est ici notre rapport à l’avatar qui y est questionné à travers un épisode donnant le choix au narrateur. 

Cependant, d’autres programmes proposent cette interactivité, cette fois-ci plus destinés aux enfants avec notamment "Minecraft: le mode histoire" ou " L’épopée du Chat Potté, prisonnier d’un conte" . Et tous sont jouables sur votre Freebox Delta comme vous le souhaitez. La navigation entre les choix proposés se fait avec votre télécommande et la réponse est immédiate.  

Le caractères interactif des programmes est bien précisé avec un logo dans la miniature et une explication dès le lancement de l’épisode. 

Vos enfants pourront ainsi se plonger dans les mondes de Minecraft ou des contes de fées tandis que vous vous lancerez dans une aventure prenante et angoissante avec Bandersnatch depuis votre Freebox Delta. 

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