Le groupe Canal+ vient de lancer myCanal Kids, un service entièrement dédié aux enfants. Il est bien sûr disponible pour les abonnés Canal, mais également pour les abonnés Freebox Révolution avec TV by Canal, qui peuvent s’y connecter avec leurs identifiants Freebox.
MyCanal Kids propose les contenus en replay des chaînes Canal, destinés aux plus jeunes. Trois tranches d’ages sont proposées, avec des contenus spécifiquement adaptés pour chacune : 3-5 ans, 6-8 ans et 9 ans et plus. Outre les contenus en replay classés par catégories, ce service propose des recommandations personnalisées et également des contenus supplémentaires (qui ne sont donc pas diffusés sur les chaînes Canal).
Univers Freebox vous proposera prochainement un test détaillé de myCanal Kids En attendant, retrouvez myCanal Kids : https://kids.mycanal.fr
C’est une fonction peut connue, mais à l’instar du réseau social Google+ via un album privé, il existe une fonction sur Freebox Compagnon qui vous permet de synchroniser toutes vos photos prises avec votre smartphone et de les sauvegarder sur le disque dur de votre Freebox Révolution ou votre Freebox Mini 4K (si vous y avez connecté un disque dur). Une fonction bien pratique lorsque l’on part en vacances par exemple.
Voici donc un petit tutoriel :
Une fois l’application Freebox Compagnon téléchargée (disponible sur Android et iPhone) et votre Freebox reconnue par celle-ci (petit rappel d’authentification), cliquez alors sur "Synchronisation Photo" du menu principal dans le menu "Paramètre"
Ensuite, il vous faudra activer la synchronisation automatique. Une fois cela fait, vous pourrez choisir d’effectuer cette synchronisation uniquement en Wifi (option cochée par défaut) ou bien de l’effectuer en Wifi + 3G/4G (auquel cas il vous faudra décocher la case Wifi uniquement, mais faites attention à votre fair use si vous n’êtes pas en data illimitée). Vous pouvez également choisir de synchroniser les vidéos.
Pour plus de facilité, laissez le répertoire par défaut (en l’occurrence le nom de votre mobile) et cliquez sur "Synchroniser maintenant" pour valider l’opération.
Une fois la synchronisation terminée, vos photos seront disponibles via l’application mobile Freebox Compagnon ou directement sur votre Freebox Révolution dans le menu "Photos" de votre disque dur.
En janvier dernier le gouvernement annonçait un accord sans précédent passé avec les opérateurs pour accélérer la couverture mobile et en finir définitivement avec les zones blanches sans toutefois fournir le texte de l’accord que la Cada estime désormais "communicable a toute personne qui en fait la demande". Un des engagements pris par les opérateurs en échange de l’absence de mise aux enchères des fréquences consiste à déployer 5 000 nouveaux sites, dont les premiers ont été inaugurés en juin. Voici comment ils sont et vont être sélectionnés.
Pour la mise en œuvre du dispositif de couverture ciblée le Gouvernement a publié les modalités d’identification des sites prioritaires à couvrir. Épaulés par l’ARCEP qui fournira des cartes de couvertures ce sont les élus au niveau du département et de la région qui auront la charge sous l’autorité du préfet d’identifier les zones à couvrir en priorité et de faciliter sur le terrain la mise en oeuvre des déploiements par les opérateurs afin de permettre leur accélération.
Une petite exception pour 2019
Une première mouture de la liste des 600 zones par opérateur pour 2018 a été publié fin juin. Pour l’année 2018, les préfets de région ont jusqu’au 7 septembre pour proposer les 115 sites qui viendront compléter la première liste de 485 sites. Ils auront ensuite jusqu’au 15 novembre 2018 pour remonter la liste des zones à prioriser pour 2019 à la Mission France Mobile créée pour chapeauter le new deal mobile “afin de permettre la signature d’un arrêté en fin d’année”. L’année prochaine la liste de couverture ciblée comptera 700 sites.
Pour les années suivantes, la deadline a été fixée au 15 octobre de chaque année et le nombre de zones à couvrir s’élèvera à 800 en 2020, 2021 et 2022, puis jusqu’à 600 zones par an et par opérateur au-delà.
La Cada donne un avis favorable à la communication du contenu de l’accord
Par ailleurs, la Commission d’accès aux documents administratifs (Cada) a répondu favorablement à nos confrères de Next INpact concernant l’accès au contenu de l’accord passé entre le gouvernement et les opérateurs en janvier dernier. "En l’absence de réponse du ministre de la cohésion des territoires à la date de sa séance, la commission estime que le document sollicité constitue un document administratif communicable à toute personne qui en fait la demande […] sous réserve de garantie du secret industriel et commercial". Cet avis a été transmis aux deux parties, sans la communication du document, il sera ainsi possible de saisir le Tribunal administratif. Affaire à suivre.
Le groupe d’études numérique du Sénat, présidé par Patrick CHAIZE, a procédé à deux auditions la semaine dernière concernant le déploiement de la 5G et du Plan Très Haut Débit
Il a entendu Nicolas GUERIN secrétaire général du Groupe Orange, Fabienne DULAC directrice générale adjointe d’Orange France et M. Jean‑Benoît BESSET, directeur de la stratégie réseaux. Après une présentation de la 5G dont les principales caractéristiques s’expriment en termes de puissance et de capacité de débit (10 fois celles de la 4G), ainsi que de nouveaux usages (connexions haute fiabilité pour usages professionnels, internet des objets, véhicules autonomes), ils ont insisté :
– sur la complémentarité du projet 5G avec les engagements pris en début concernant l’amélioration de la couverture en 2G, 3G et 4G ;
– sur la nécessité de développer la 5G, sans laquelle le réseau sera saturé dès 2020, compte tenu de la croissance très rapide de l’usage de la vidéo ;
– sur l’importance des modifications d’équipements à prévoir (25 000 antennes à adapter dont 5 000 nouvelles antennes pour une couverture nationale) ;
– sur la perspective raisonnable à moyen terme d’une 5G limitée à quelques ilots géographiques au sein d’un réseau 4G ;
– sur le risque d’une relance de la problématique des ondes à défaut d’une action de communication et de pédagogie de grande ampleur.
Le groupe numérique a également reçu Antoine DARODES, directeur de l’Agence du numérique qui a présenté un bilan du plan France Très Haut Débit, en soulignant que son rythme rapide de mise en œuvre entraine des tensions importantes sur le marché du câble optique mais aussi en termes de main d’œuvre formée et disponible. En réponse aux questions des sénateurs, il a insisté également sur la nécessité de valoriser les technologies alternatives à la fibre (hertzien satellitaire ou terrestre, 4G fixe) qui restent indispensables pour les deux millions de foyers qui ne seront pas raccordés en 2020. Il a rappelé la création dans ce but d’un guichet « cohésion numérique » soutenu à hauteur de 100 millions d’euros.
Ont aussi été évoqués les enjeux de l’extinction du réseau cuivre au profit de la fibre ainsi que la possibilité de mobiliser le service universel qui représente un instrument de solidarité financière financé par les fournisseurs d’accès à Internet pour achever la couverture en fibre optique (le « tout fibre » coûterait 4 milliards d’euros). Une telle décision devrait être prise au plus tard en 2019, dans la perspective de la prochaine procédure d’appel à candidatures pour désigner le prestataire du service universel.
Souvent dénoncé mais jamais prouvé scientifiquement, l’effet néfaste des ondes électromagnétiques émises et reçues par nos téléphones portables continue de faire polémique avec cette nouvelle étude de l’Institut tropical et de santé publique suisse qui relève un lien statistique entre l’exposition aux ondes et le développement de la mémoire chez les adolescents sans toutefois établir de lien de cause à effet.
Selon l’étude menée sur près de 900 adolescents et sur plusieurs années, la dégradation de la mémoire serait plus élevée lorsque les adolescents tiennent leur téléphone sur leur oreille droite. “Le résultat statistique le plus net est que la «mémoire figurale» [mémoire des formes : groupes de mots ou formes abstraites], qui est régie par une aire cérébrale située à droite de la tête, serait affectée par les radiations émises par les téléphones mobiles, en particulier lors des appels. Le résultat est le plus marqué chez les personnes qui tiennent leur téléphone contre l’oreille droite” explique au Temps, Martin Röösli, le responsable de l’étude.
Le professeur précise que le danger augmente lorsque le volume est à son maximum et lorsque le téléphone recherche un réseau (une minute d’appel lorsque le réseau est mauvais “équivaut alors à plusieurs heures passées le téléphone à l’oreille dans des conditions normales”). La mise en place d’une méthode pour différencier l’exposition du cerveau en fonction des différents usages a permis de “mesurer que ce sont les appels, en tenant le téléphone à l’oreille, qui constituent 80% des radiations reçues” poursuit-il.
Mais ces résultats sont à prendre avec des pincettes puisqu’ils ne démontrent qu’un lien statistique et que pour prouver un lien de causalité, "il faudrait que des neurobiologistes se penchent sur ce problème, afin d’étudier les mécanismes à l’œuvre sous l’effet des ondes à l’échelle des cellules de notre cerveau" nuance le responsable de la recherche.
En conclusion, le chercheur conseille l’utilisation du haut-parleur ou d’un kit mains libres, en effet à 10 cm de la tête, le rayonnement diminue d’un facteur 10 à 100.
LocalCast vient d’être mise à jour sur Google Play. Pour ceux qui ne connaîtraient pas, il s’agit d’une application pour smartphone/tablette Android qui permet de caster sur votre Freebox mini 4K le contenu disponible sur son terminal Android et même plus. De plus en plus d’applications intègrent une fonction pour caster du contenu sur les appareils compatible Chromecast, mais la plus part d’entre elles ne permettent de caster que le contenu de l’application.
Cette application permet de caster tout le contenu stocké dans votre terminal, que ce soit les vidéos, photos ou musiques. Et en plus de pouvoir diffuser les fichiers multimédia disponibles sur votre appareil il est aussi possible de caster du contenu stocké sur d’autres appareils connecté sur le même réseau et même depuis le cloud via Google+ et Google Drive grâce à un plug-in téléchargeable. LocalCast est même compatible avec d’autre support qu’Android TV comme l’Apple TV ou l’Amazon Fire TV, par exemple, mais non testé ici.
Pour ce qui est du cast en lui-même, les photos et les musiques fonctionnent correctement et se lancent rapidement. Il est possible de rajouter des musiques à une liste d’attente permettant de se créer simplement une playlist musicale. Les vidéos ont, quant à elles, beaucoup plus de mal. Certains format ne sont pas compatibles alors que d’autres ont énormément de mal à se charger ce qui rend l’utilisation des vidéos très difficile et aléatoire.
On pourrait aussi s’attendre à une application ressemblant à un player multimédia mais étonnement l’application ressemble (peut être un peu trop) à un explorateur de fichier. Pour n’importe qui ayant déjà utilisé au moins une fois un explorateur de fichier Android, la navigation reste simple et on retrouve facilement ce que l’on cherche.
Mis à part les vidéos, LocalCast fait plutôt bien sont boulot et il n’y a pas eu de problème notable nuisant à son utilisation, hormis quelques pubs se glissant entre deux transitions de pages mais supprimable en passant à la version PRO. On aurait aussi peut être préféré un design un peu différent mais cela n’est pas un problème en soi. Il s’agit donc d’une bonne application pour diffuser sur sa Freebox mini 4K les musiques et photos stockées sur son smartphone ou dans le Cloud.
Vous pouvez télécharger LocalCast depuis votre smartphone/tablette directement depuis le playstore Android ou bien ici.
Le plug-in pour disposer des fonctions Cloud est disponible lui aussi sur le playstore ou ici.
Si le Plan Très Haut Débit prévoit que tous les français bénéficieront d’un très bon débit en 2022, cela reste très long pour certains. Il existe cependant une nouvelle technologie qui permet à tous de disposer d’un meilleur débit. Une technologie qui pourrait même être intégrée dans la Freebox V7 si Free en faisait le choix. Univers Freebox a interrogé à ce sujet Nicolas Men, Responsable marketing et responsable du développement commercial de Tessares, l’entreprise belge qui a développé cette solution.
Univers Freebox : Vous avez développé une technologie qui se nomme « Internet Hybride » et qui permet de disposer d’un débit plus important qu’avec l’ADSL, pouvez-vous nous expliquer comment cela est possible ?
Nicolas Men : L’Internet Hybride est une technologie rendant possible l’agrégation de débits Internet montant et descendant de n’importe quels réseaux d’accès.
Notre solution d’Internet Hybride a été développée sur la base d’une évolution du protocole de transport TCP, Multipath TCP (MPTCP) standardisée par l’IETF (RFC 6824). Le Broadband Forum finalise actuellement la standardisation de l’utilisation de Multipath TCP pour ces réseaux d’accès hybrides.
Elle permet l’utilisation simultanée des réseaux ADSL et 4G et ainsi acheminer le trafic Internet via ces 2 accès pour offrir un débit plus important. Voici une vidéo qui montre comment ces réseaux sont sollicités pour l’affichage d’une vidéo HD sur Youtube.
Afin de pouvoir combiner les 2 débits, une première composante logicielle est installée sur les routeurs ADSL ou 4G de l’abonné et la seconde composante logicielle est quant à elle déployée dans l’infrastructure de l’opérateur titulaire du réseau fixe et mobile.
Cette technologie présente-t-elle un intérêt pour la France?
En 2017, près de 20% des foyers en France bénéficient d’un débit ADSL de moins de 8 Mbps1. Pour les foyers couverts en 4G, l’Internet Hybride permet d’améliorer la connectivité de ces zones en combinant le débit ADSL avec le débit 4G. Le débit délivré pourrait aller jusqu’à 30 Mbps2 considéré comme du « très haut débit » (THD)3 d’après la définition de l’Agence du Numérique.
D’autres technologies comme la fibre permet d’atteindre des débits très élevés mais reste plus longue à déployer que l’Internet Hybride qui utilise des réseaux existants.
Est-ce que cette technologie existe déjà dans des conditions réelles ?
Oui, cette technologie est déjà déployée dans plusieurs pays européens comme par exemple la Belgique avec Proximus, la Lituanie avec Telia et les Pays-Bas avec KPN qui a réalisé une vidéo qui témoigne de l’impact positif de cette technologie chez un particulier et un entrepreneur situés dans une zone rurale. Nous ferons l’annonce dans les prochaines semaines du déploiement chez un autre opérateur en Europe.
Est-ce possible d’intégrer l’Internet Hybride sur les box ou modem existants, au travers d’un module à ajouter par exemple ?
Oui, dans les pays où nous avons déployé la solution, nous avons intégré notre logiciel dans de nombreux modèles de routeurs DSL et 4G de différents fabricants dont certains sont français ou travaillent avec des opérateurs en France.
Est-ce également compatible avec la 4G+ (agrégation de fréquences) ?
Oui, cette technologie est compatible avec tout type de réseau mobile. Elle le sera également avec la 5G ce qui rendra possible l’agrégation des débits encore plus élevés pour accompagner des usages internet de plus en plus gourmands en bande passante.
Avec quelles fréquences 4G en France est-ce compatible ?
Il est possible d’agréger le débit ADSL avec le débit 4G indépendamment des bandes de fréquences utilisées.
Quel débit maximum permet cette technologie ?
Notre solution d’Internet Hybride n’a pas de limite de vitesse. Le débit maximum dépend du nombre de liens Internet à agréger et des performances des routeurs d’accès utilisés. Des tests effectués dans notre laboratoire ont permis d’atteindre en laboratoire un débit descendant d’environ 800 Mbps en agrégeant 8 liens VDSL.
Est-ce que vous proposez l’Internet hybride directement aux particuliers ou c’est aux opérateurs télécom à l’intégrer dans leur matériel ?
Nous travaillons directement avec les opérateurs télécoms car la solution nécessite d’être déployée au sein de leur infrastructure ainsi que sur les routeurs ADSL et 4G qu’ils ont choisi de commercialiser.
Est-ce également la fin des pertes de connexion, c’est-à-dire que la 4G prend le relais quand il y a un problème sur la ligne ADSL et inversement ?
Notre solution permet de réduire considérablement les pertes de connexion . En cas de coupure sur l’un des liens, le trafic Internet peut être acheminé automatiquement et en temps réel sur le lien disponible assurant ainsi une connectivité plus grande.
Est-ce que cette technologie pourrait être embarquée dans la Freebox V7 ?
Comme le mentionne universfreebox.com4, celle-ci sortirait en automne 2018. Notre solution s’intègre dans les boxes utilisant Linux. Si la Freebox V7 utilise une version récente de Linux et un CPU rapide, nous devrions pouvoir y intégrer l’Internet hybride.
Plus largement, êtes-vous en discussions avec des opérateurs télécoms français ?
Oui, nous sommes en discussion avec des opérateurs français parmi lesquels l’un d’entre eux a manifesté un vif intérêt. Cette technologie pourrait offrir un débit plus élevé pour des millions de foyers français.
Nous vous informions que le gouvernement avait homologué la décision de l’ARCEP définissant les indicateurs d’utilisation et les conditions de qualité de l’offre des services téléphoniques accessibles aux personnes sourdes, malentendantes, sourdaveugles et aphasiques à compter d’octobre prochain. Bouygues Telecom, Euro-Information Télécom, Orange et SFR ont sélectionné au terme d’une procédure d’appel d’offres, la start-up RogerVoice pour répondre à ce besoin.
La Loi pour une République numérique, adoptée en octobre 2016, impose aux opérateurs de fournir, à compter d’octobre prochain, un service de traduction simultanée écrite et visuelle, sans surcoût, qui doit permettre aux utilisateurs,du lundi au vendredi de 8h30 à 19h, hors jours fériés, de bénéficier chaque mois d’une heure de traduction adaptée à leur handicap, pour émettre ou recevoir des appels.
Les membres de la Fédération Française des Télécoms ont sélectionné au terme d’une procédure d’appel d’offres, la start-up RogerVoice pour permettre aux personnes concernées de passer des appels téléphoniques traduits de manière adaptée à leur handicap vers leurs correspondants. Le but étant de proposer un service qui associe les services de traduction classiques en Langue des Signes Française et en Langage Parlé-Complété via un interprète diplômé, à un service principalement fondé sur un usage adapté des nouvelles technologies d’intelligence artificielle, permettant de transcrire quasi-automatiquement la parole en texte. Ainsi, l’utilisateur aura une solution globale pour communiquer.
La start-up RogerVoice a été fondée en 2013 par Olivier Jeannel, malentendant depuis son enfance. L’application qu’elle a développée à destination du grand public, disponible sur iOS et Android, permet de sous-titrer en temps réel et de retranscrire à l’oral les textes saisis par les utilisateurs, mais la start-up répond aussi aux demandes de grandes entreprises ou d’administrations comme c’est le cas ici.
Le succès de l’opération dépend notamment de la bonne coordination entre les services des opérateurs, et celui de l’ensemble des acteurs concernés, nuance la Fédération qui annonce la disponibilité du service dès le 8 octobre 2018.
C’est parti pour les nouveautés de la semaine ! Nous faisons un point sur les derniers événements marquants chez Free et Free Mobile. Si vous avez manqué l’arrivée d’un nouveau service ou une promotion au cours des sept derniers jours, c’est certainement ici que vous leur mettrez la main dessus.
Free a prolongé ses bons plans d’été jusqu’au 31 juillet. Ceux-ci proposent trois offres Freebox avec un tarif beaucoup plus bas la 1ère année, lequel augmente par contre à partir de la 2ème année. Ces offres ont la particularité d’intègrent maintenant le remboursement des frais de résiliation de l’ancien opérateur à hauteur de 100€. En savoir plus…
Nouveautés Free Mobile
L’application RNC Mobile a été mise à jour en version 2.0. Celle-ci permet aux utilisateurs Android de "chasser" les antennes Free Mobile grâce aux informations de l’ANFR relayées tous les mois. Créée, gérée et alimentée par la communauté, elle a pour vocation de faire découvrir les sites Free Mobile, tester les débits de l’antenne à tout moment et partager des photos.En savoir plus…
Initialement prévu jusqu’au 17 juillet, le nouveau forfait "série spéciale" 50Go à 8,99€/mois durant 1 an, proposé sur le site internet de Free Mobile, joue les prolongations. Celui-ci est désormais disponible jusqu’au mardi 24 juillet prochain. En savoir plus…
Des baisses de tarifs exceptionnelles ont été lancées cette semaine dans la boutique Free Mobile : 20€ de remise sur le Sony Xperia XA2 et 100€ de remise sur le Huawei P20. En savoir plus…
Free a relancé son offre à destination des abonnés au forfait à 2€ en leur proposant de migrer vers le forfait Free 100Go, mais avec une remise puisqu’il est affiché au tarif de 9,99€/mois durant 1 an au lieu de 19,99€. Cette offre promotionnelle est proposée uniquement par SMS. Plus d’infos….
Les annonces de la semaine
Free continue à accélérer sur la fibre et a franchi cette semaine le cap des 750 000 abonnés FTTH. Plus d’infos…
Alors qu’il a lancé son offre mobile le 29 mai dernier, Iliad a annoncé cette semaine qu’il " est heureux d’avoir franchi le premier million d’abonnés, 50 jours seulement après son lancement". En savoir plus…
Free a relancé son offre à destination des abonnés au forfait à 2€ en leur proposant de migrer vers le forfait Free 100Go, mais avec une remise puisqu’il est affiché au tarif de 9,99€/mois durant 1 an au lieu de 19,99€. Cette offre promotionnelle est proposée uniquement par SMS auquel il faut répondre "oui" pour accepter la migration. Bien sûr, à l’issue des 12 mois, il est possible de bénéficier de la réduction de 4€ pour les abonnés Freebox ainsi que de la data illimitée.
A noter que l’offre est proposée même à ceux qui avaient déjà reçu ce SMS il y a quelques mois. Comme la fois précédente, il y a un délai de quelques jours pour répondre. Dans le cas ci-dessous c’est jusqu’au 23 juillet, mais cette date dépend du moment où vous recevez le SMS.