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Vivendi cherche à se séparer de 50% d’Universal Music

 

Quand une surprise en cache une autre.

En marge de la publication de ses résultats semestriels, Vivendi a fait part hier de sa volonté de céder 50% du capital d’Universal Music Group . Objectif, permettre à UMG « d’amplifier sa valorisation ». La maison-mère de Canal+ se met donc en quête de trouver «  un ou plusieurs partenaires stratégiques ». L’opération devrait être lancée cet automne et pourrait s’étaler sur 18 mois. Par ailleurs, un temps envisagée, une introduction en Bourse d’Universal Music a été écartée « à cause de sa complexité ». A noter que la pépite de Vivendi a vu son chiffre d’affaires augmenter de 6,8%  à 2 628 millions d’euros au premier semestre (taux de change et périmètre constants) , ce qui correspond à un peu plus de 40% du chiffre d’affaires global de Vivendi.

Acquisition d’Editis

En parallèle, le groupe a indiqué être entré en négociations exclusives pour l’acquisition de 100 % du capital d’Editis, deuxième groupe d’édition français détenu par Grupo Planeta, dont la valeur est estimée à 900 millions d’euros, pour un chiffre d’affaire en 2017 d’environ 750 millions d’euros. Editis compte entre autres plus de 50 maisons d’édition parmi lesquelles Nathan, Bordas, Robert Laffont, Presses de la Cité, Julliard, XO, Plon, Perrin, Pocket, Belfond, Le cherche midi. Son acquisition «  constituerait une nouvelle étape majeure dans la construction d’un groupe intégré centré sur les médias, les contenus et la communication », a précisé Vivendi.

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Depuis l’arrivée d’Iliad en Italie, les prix ont chuté de plus de 20%

Selon un comparateur de prix, sur les derniers 60 jours le prix global des offres disponibles sur le marché italien a chuté de 20,5%. Dans le même temps, l’enveloppe de données a, elle, augmenté de près de 60%.

Le comparateur sostariffe.it précise qu’il avait déjà relevé une baisse des prix avant le lancement d’Iliad (-9,8%). Il faut rappeler que pour contrer Iliad, plusieurs MVNO ont vu le jour dont Kena (Telecom Italia) et ho. (Vodafone). En comparant les tarifs pratiqués en mai à ceux actuels du mois de juillet, le constat est sans appel. 

Selon leur dernier comparatif, en deux mois, les offres mobiles d’Iliad ont fait bouger les lignes du marché italien et provoqué une baisse générale importante des prix (-20,5%), en parallèle la quantité de données comprise dans les offres a augmenté de 59,6% entre mai et juillet et le nombre de SMS et de minutes d’appel aussi, respectivement de 13,5% et de 29,5%. Si l’on exclu les MVNO du calcul (partie droite du tableau ci-dessous), la baisse est encore plus importante -26,6% de manière générale.

Conclusion, à deux mois du lancement d’Iliad, le consommateur italien qui voudrait souscrire à une nouvelle offre, peu importe l’opérateur, paiera désormais moins cher. La promesse de redonner du pouvoir d’achat aux italiens est en train de devenir réalité…

 

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L’écran flexible OLED incassable de Samsung passe le test du marteau

Thor n’a qu’à bien se tenir… Dans une courte vidéo Samsung présente son nouvel écran flexible OLED incassable. 

Le prochain smartphone Samsung pourrait bien être doté d’un écran flexible incassable. La firme coréenne a en effet indiqué qu’un de ces récents écrans avait obtenu le certificat Underwriters Laboratories, ce qui signifie qu’il est prêt pour être vendu aux consommateurs sur un smartphone. 

S’il ne se casse pas c’est que la couche de verre qui protège normalement les écrans a été remplacée par une fine couche de plastique souple. Pour en faire la démonstration, Samsung a publié une vidéo où l’écran passe avec succès le test spectaculaire du marteau, aucune trace, même pas une rayure.

De manière un peu plus sérieuse Underwriters Laboratories a fait passer à l’écran avec succès des tests de résistance basés sur les normes militaires. Au programme, 26 chutes de plusieurs mètres de haut et exposition à des températures allant de -32 à +75 degrés, sans que l’écran ne sourcille.

Pour l’instant la firme n’a pas communiqué sur les modèles qui pourraient être équipés d’un tel écran. 

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Free : les “bons plans de l’été” sur les offres Freebox, ça continue encore et encore

Les "bons plan de l’été" sur les offres Freebox bien partis pour durer jusqu’à la rentrée ? Notre petit doigt nous dit que oui. Lancés fin juin, ceux-ci sont pour la seconde fois prolongés. Vous pourrez ainsi en profiter jusqu’au mardi 7 août, tout comme le forfait spécial Free Mobile 50 Go à 8,99€/mois.

Pour rappel, Free a lancé de nouvelles offres Freebox fin mai, et a surtout changé son système de tarification en s’alignant sur ses rivaux même si les offres historiques sont toujours disponibles. L’opérateur a par la suite mis à jour son site web en dégainant ses "bons plans de l’été". Comme auparavant, les trois offres Freebox affichent un tarif beaucoup plus bas la 1ère année, lequel augmente par contre à partir de la 2ème année, mais, ces"bons plans" temporaires intègrent à présent le remboursement des frais de résiliation de l’ancien opérateur à hauteur de 100€. A noter qu’il y a des frais de mise en service de 49€, et des frais de résiliation de 49€.

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Les portables seront interdits dans les écoles et collèges dès la rentrée

C’était une promesse de campagne d’Emmanuel Macron, c’est fait : l’usage du téléphone portable par nos chères petites têtes blondes est, à compter de la rentrée 2019, prohibé dans l’enceinte des établissements scolaires (écoles et collèges). 

La loi a été adoptée définitivement à l’assemblée . Pour le ministre de l’éducation, Jean-Michel Blanquer, l’interdiction qui s’est mue en “encadrement” dans le intitulé de la loi est une  “approche moderne des technologies” qui va permettre de créer un environnement propice “à l‘attention, la concentration et la mémorisation”.

Les lycées pourront eux aussi interdire partiellement ou totalement l’utilisation du téléphone portable à condition de l’inscrire au règlement intérieur. Des exceptions seront possibles pour des usages pédagogiques ou pour les enfants handicapés.

Côté enseignants, c’est une avancée, prohibé jusqu’alors, la loi leur autorise d’utiliser smartphones et tablettes, toujours à des fins pédagogique cela va sans dire.

 

source : Les Echos

 
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5G : l’ARCEP prépare l’utilisation des bandes 26 GHz et 1,5 GHz

C’est un des chantiers prioritaires que de libérer et attribuer les fréquences pour déployer la nouvelle génération de réseaux. La 5G qui va permettre un saut de performance en termes de débit (qui doit être multiplié par 10), de délai de transmission (qui doit être divisé par 10), et de fiabilité de la communication s’appuiera entre autres sur les bandes de fréquences 26 GHz et 1,5 GHz. L’Arcep a consulté les opérateurs, équipementiers, associations professionnelles et acteurs industriels, pour évaluer les actions à mener pour accueillir la 5G dans la bande 26 GHz.

Libérer la bande 26 GHz

Afin de pouvoir attribuer des licences 5G dans la bande 26 GHz, il faut pour cela la libérer. Une première étape va consister pour l’ARCEP à se rapprocher du ministère des armées qui utilise cette bande et du gouvernement pour reprendre la main.

Ensuite, cette bande est également utilisée par les faisceau hertziens pour des liaisons de raccordement sur l’ensemble du territoire. "Bien qu’il semble envisageable pour certains contributeurs de faire cohabiter temporairement les usages sur un principe de répartition géographique et fréquentiel, un risque est perçu sur une création de contraintes difficiles à résorber sur le long terme" conclut l’Autorité. Ainsi c’est la migration des faisceaux hertziens sur la bande des 32 GHz avec une limitation de la durée des nouvelles autorisations au maximum jusqu’au 31 décembre 2023 qui est envisagée.

Préparer la bande 1,5GHz pour le THD mobile

S’agissant de fréquences hautes "la bande 26 GHz a vocation à être déployée en partie sur des small cells indoor ou outdoor, vraisemblablement avec une puissance limitée" comme l’explique Iliad dans sa réponse. L’ARCEP ouvre donc une nouvelle consultation jusqu’au 30 septembre 2018 pour l’utilisation de la bande 1,5 GHz " (1427-1517 MHz) pour le très haut débit mobile.

 

 

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SFR : un nouveau braquage à main armée dans une boutique

C’est la seconde fois en l’espace de quelques mois qu’une boutique SFR est victime d’un hold-up.

Direction la commune d’Echirolles en Isère où hier aux alentours de 19 h, deux individus se sont fait la malle après avoir braqué une boutique de l’opérateur au carré rouge. Le mode opératoire n’est pas nouveau. Entré sans difficulté par l’arrière-porte, l’un des malfaiteurs, cagoulé et ganté a dans la foulée menacé l’employé présent avec un couteau avant d’ouvrir le coffre fort à l’aide de la clé restée en évidence. Le braqueur s’est alors emparé d’une cinquantaine de smartphones ainsi que "d’une boîte contenant des espèces, dont on ne connaît pas le montant", rapporte France 3. Son complice l’attendait à l’extérieur pour récupérer le magot.

Un crime qui n’est pas sans rappeler un braquage à l’arme blanche le 03 mai dernier à Manosque dans les Alpes-de-Haute-Provence où un homme est entré dans la boutique SFR armé d’un revolver factice et d’un couteau avant de mettre en joue les employés et clients présents à l’intérieur et de voler un nombre conséquent de smartphones.

 

 

 

 

 

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Iliad : le gouvernement italien lui demande de respecter sa loi antiterroriste

Les Simbox d’Iliad en Italie font toujours débat.

A la suite d’interrogations de la concurrence sur le respect de la loi anti-terroriste sur le processus de délivrance des cartes SIM de la part d’Iliad, le Ministre du développement économique italien Luigi Di Maio a appelé  jeudi dernier, devant la Chambre des députés, l’opérateur à respecter la législation en vigueur ‘afin de ne pas créer de concurrence déloyale", rapporte Reuters.

Pour distribuer ses cartes SIM, Iliad Italia s’appuie sur des distributeurs automatiques de cartes SIM tels que nous les connaissons en France. Er revanche pour les italiens, c’est une grande nouveauté et nous vous avions expliqué que la loi est plus stricte de l’autre côté des Alpes, ainsi les bornes Free ont été adaptées donnant naissance aux SimBox (ajout d’un scanner et d’une caméra) car les opérateurs doivent vérifier l’identité du futur abonné en demandant la présentation d’une pièce d’identité afin d’obtenir leur carte SIM.

Seulement à la suite à un incident sur une Simbox, Telecom Italia a saisi pour avis sur fond de sécurité nationale, le nouveau ministre italien de l’intérieur, Matteo Salvini, selon il Sole 24 Ore. Un homme aurait ainsi réussi a obtenir une carte SIM en utilisant la pièce d’identité d’une femme et une carte de crédit au nom d’une autre personne. Iliad s’est rendu compte du problème au bout de 10h et a désactivé la ligne. Le concurrent d’Iliad avait de ce fait demandé au gouvernement des  "explications et des éclaircissements sur le respect de la procédure d’Iliad" qui permet de s’assurer de l’identité de l’abonné. 

L’opérateur italien a également indiqué qu’en cas de conformité des bornes d’Iliad, celui-ci pourrait lui aussi déployer à l’avenir des distributeurs automatiques similaires afin de réduire ses coûts. 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Canal+ : perte de 197 000 abonnés direct en un an, les partenariats avec Free et Orange peinent à compenser

Dur dur de trouver la formule gagnante et par extension de relancer la machine en France pour Canal+.

La refonte des offres avec l’arrivée d’abonnements modulaires fin 2016 n’ont pas eu l’effet escompté et la perte du foot français pourrait ne pas arranger les choses à l’avenir. c’est en tout cas devenu une ritournelle, canal+ progresse à l’international mais ne se redresse pas en France. Les résultats semestriels de sa maison-mère Vivendi l’attestent, la perte d’abonnés direct  de Canal+ s’élève à 197 000 en un an, ces derniers passant de 4,989 millions en juin 2017 à 4,792 millions le mois dernier. Pour autant, Canal+ assure sans parler de football, avoir une offre "très cohérente et attractive" et ne compte pas changer de modèle économique dans les deux prochaines années.

Motif de satisfaction, les accords distribution noués avec Free, Orange et Bouygues ne faiblissent pas avec 135 000 abonnés engrangés sur la période, ceux-ci ne compensent toutefois pas la fuite des abonnés en direct. Ainsi ces bouquets ont permis de générer 3,130 millions d’abonnés au 30 juin 2018 contre 2,995 millions il y a un an. En comptant ces partenariat, Canal+ a donc perdu 62 000 abonnés. L’hémorragie continue

A noter toutefois que le chiffre d’affaires mondial du groupe Canal+ s’établit à 2 575 millions d’euros, en croissance de 0,8% par rapport au premier semestre 2017. En France, celui-ci est est encore " en léger recul malgré un dynamique très positive du taux de résiliation", à savoir de 19% sur un an, indique un communiqué. Au total, le parc d’abonnés du groupe atteint 16 millions contre 14,6 millions fin juin 2017.

 

 

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Des radars anti-téléphone testés en Europe

Un système de radar capable de détecter automatiquement un automobiliste qui utilise son téléphone portable en conduisant est en test en Grande-Bretagne. Pour l’heure, pas encore totalement fiable, il est simplement relié à un panneau lumineux qui diffuse un avertissement.

Selon la sécurité routière l’usage du téléphone en conduisant (interdit depuis 2003) est devenu l’une des principales causes d’accidents sur la route avec la vitesse et l’alcool. Près d’un accident corporel sur 10 serait lié à l’utilisation du téléphone en conduisant.

Si nous connaissons bien les radars permettant de contrôler la vitesse, un petit cousin d’un nouveau genre à et en train d’être testé en Grande-Bretagne. Pour déterminer si un téléphone portable est utilisé dans la voiture qui lui passe devant, ce radar est équipé d’antennes et d’un logiciel qui permet d’analyser les ondes émises par le téléphone à bord du véhicule, ainsi que la durée des signaux et leur intensité.

La petite bête est capable de faire la différence entre appels, SMS, application GPS, bluetooth, ainsi "le panneau ne s’allume pas si on téléphone grâce à un kit mains libres, ce qui est légal au Royaume-Uni, ou si on joue la musique de son smartphone sur les haut-parleurs de la voiture" affirme Chris Spinks de Westcotec qui a fabriqué le radar.

Pas de panique, selon Chris Spinks, il ne collecte pas le numéro de téléphone et n’espionne pas les données, il se contente d’observer les signaux.

Seul petit hic et de taille, ce qui explique qu’il n’ait qu’une visée pédagogique pour l’instant : l’entreprise n’a pas encore trouver de moyen de s’assurer que les signaux captés proviennent du conducteur et pas d’un des passagers du véhicule. Il y a encore du travail avant de voir fleurir sur le bord de nos routes ce type de dispositif. La sécurité routière en France, contacté par Le Figaro affirme ne pas avoir de projet similaire à l’étude, mais de nombreux autres pays sont intéressés par la solution de Westcotec.

Aux Pays-Bas, la solution retenue se base sur la vidéoverbalisation grâce à une caméra qui prend des photo du conducteur. Pour l’instant, les images sont analysées par les forces de l’ordre qui verbalisent le cas échéant, mais la piste d’une automatisation grâce à une intelligence artificielle qui serait en mesure de détecter les postures d’un conducteur utilisant son téléphone en conduisant est prise au sérieux par les néerlandais même si elle soulève encore bien des interrogations. 

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