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Station F (Xavier Niel) signe un premier partenariat avec une collectivité territoriale

Station F et la région Provence Alpes Côtes d’Azur ont signé un partenariat la semaine dernière, une première pour une collectivité qui va permettre à 50 start-ups de la région de participer au programme “Fellowship”.

Moyennant 900/mois les start-ups en questions bénéficient d’un espace sur place cinq jours par mois et pourront ainsi aussi participer de l’effervescence créatrice qui règne dans l’incubateur et rencontrer d’autres entrepreneurs.

Pour marquer le coup, la directrice du lieu, Roxanne Varza et Xavier Niel à l’origine de l’incubateur parisien géant ont accueilli à Station F le président de la région PACA, Renaud Muselier, Christian Estrosi, le président de la Métropole Nice Côte d’Azur et l’ambassadeur de Monaco Paris, Claude Cottalorda.

crédit photo : Tribuca.net

 

 

Interrogé pour Tribuca.net Xavier Niel s’est montré très enthousiaste “Beaucoup de jeunes entrepreneurs de votre région y sont déjà venus : nous leur offrons la possibilité d’accéder à un espace où ils peuvent échanger avec d’autres entreprises innovantes, de rencontrer l’écosystème, ou la presse nationale pour se faire mieux connaître. C’est assez génial, et c’est une première pour une collectivité, vous étiez réellement précurseurs. Les témoignages aujourd’hui l’ont prouvé, les startups de Sud Provence Alpes Côte d’Azur sont emballées quand elles viennent ici, un, deux, trois jours par mois, pour penser différemment…

Une première appelée à se reproduire puisque Xavier Niel déclare “j’ai senti une vraie volonté de la part des collectivités locales de bouger dans ce sens” en précisant que la région PACA ne sera plus pour longtemps la seule collectivité partenaire de l’incubateur.

 
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Free : incident sur les DSLAM dans le département du Nord

Selon free-reseau.fr et vos témoignages, 36 DSLAM dans le Nord sont victimes d’une panne impliquant la perte des services internet, téléphone et télévision depuis près de quinze heures pour les abonnés raccordés aux DSLAM suivants :

bdu59-1 bdu59-2 ber59-1 bn759-1 eqb59-1 fma59-1 gsy59-1 gsy59-2 gsy59-3 gsz59-1 hzl59-1 kil59-1lh759-1 mai59-1 mai59-2 mai59-3 mai59-4 mai59-5 mai59-6 mai59-7 mai59-8 mal59-1 mal59-2 mal59-3poi59-1 poi59-2 poi59-3 poi59-4 poi59-5 rpe59-1 spy59-1 tet59-1 tet59-2 whs59-1 wor59-1 wrm59-1 

Pour le moment, il n’y a pas d’information concernant la cause du problème.

MAJ : Incident résolu à 15h45.

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Réforme de l’audiovisuel public : France 4 est dans le collimateur

La chaîne France 4 va-t-elle faire les frais de la réforme qui vise à moderniser l’audiovisuel public tout en faisant de substantielles économies ?

Ce lundi a eu lieu une réunion à Matignon à laquelle tous les acteurs de ce dossier étaient conviés. Delphine Ernotte, la présidente de France Télévisions, Sibyle Veil, PDG de Radio France se sont ainsi entretenues avec le premier ministre Edouard Philippe, flanqué de ses ministres de la Culture Françoise Nyssen, de l’Économie, Bruno Le Maire, et des Compte publics, Gérald Darmanin.

Tout ce travail est en train de converger. Des annonces interviendront dans les prochains jours” affirme Gabriel Attal, député LREM au Monde. Plusieurs pistes sont à l’étude, dont une fusion de France 4 avec Mouv’ dont s’est fait l’écho le député Attal en charge de la Commission culture de l’assemblée nationale sur le plateau des "4 vérités" sur France 2. “Il y a des médias destinés aux jeunes aujourd’hui dans l’audiovisuel public. Pour moi, il faut regrouper leurs talents, regrouper leurs moyens pour créer un vrai média digital. Je pense à France 4 notamment et Mouv’”. Le Parisien évoque lui une fusion entre France 4 et France 5 à l’étude ou encore basculer la 4 entièrement sur le numérique. “L’enjeu n’est pas de supprimer. Ce n’est pas d’être dans des économies brutes, l’enjeu, c’est de fixer des objectifs. Il faut que les jeunes puissent participer à l’audiovisuel public !” précise Gabriel Attal.

Toutes ces hypothèses, bien que différentes, permettraient de libérer le canal 14 de la TNT sur lequel lorgne la direction de France Télévisions pour y installer sa chaîne d’info Franceinfo: afin de la rapprocher de ces concurrentes CNews et BFM.

Si des annonces seront faites d’ici quelques jours alors que les discussions sur le budget 2019 vont débuter, le projet de loi en lui-même ne devrait voir le jour qu’en toute fin d’année 2018 précise le Parisien.

 
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Le nouveau siège d’Altice est (presque) prêt à accueillir les 6 000 salariés du groupe

Les quatre immeubles de 86 000 mètres carrés qui vont regrouper à terme toutes les activités d’Altice se prépare à accueillir les 6 000 salariés du groupe. Les travaux sont terminés et au troisième trimestre 2018 tout le monde devrait être à son poste.

Lancé en 2013, le gros des travaux a été terminé en février dernier et les déménagements ont commencé.

SFR occupe à lui seul trois des quatre bâtiments, le déménagement a débuté en octobre dernier, quant au quatrième, il sera consacré aux activités médias du groupe Altice. Libération et L’Express ont déjà pris possession des lieux , reste à déménager RMC et BFM, mais “C’est compliqué de déménager une chaîne de télé et de radio qui fonctionnent 7 jours/7 et 24 heures/24, il faut trouver le bon moment” et les 7 studios qui doivent accueillir les équipes sont encore en construction, explique-t-on aux Echos.

Reste ce qui pour certains s’avère un problème de taille, les transports pour accéder au nouveau siège dans le 15e arrondissement de Paris près du ministère des Armées, ne sont pas faits pour autant de personnes (6 000) et le parking un peu petit au goût de certains. Mais la machine est enclenchée et au troisième trimestre 2018 tous les salariés du groupe devraient être installés au sein des quatre immeubles, propriété de Patrick Drahi, agrémentés d’un jardin d’un hectare (160 arbres et 47 000 plantes).  

A noter qu’on y mangera bien puisque l’ancien chef de l’Élysée Eric Duquenne a ouvert un restaurant "Aux 3 présidents" dans le bâtiment du pôle média. 

 
 
source : Les Echos
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5G : une première bande millimétrique (26 GHz) bientôt libérée pour répondre aux futurs usages

L’ARCEP ouvre une consultation pour libérer la bande 26GHz actuellement utilisée par des faisceaux hertziens. 

Si la couverture 5G reposera principalement sur les nouvelles fréquences dans les bandes basses (3,4-3,8 GHz), l’Autorité explique que pour répondre aux impératifs de très grande capacité et de faible latence, il faut recourir à des fréquences très supérieures aux hauteurs actuelles, dans les bandes " millimétriques ". Au niveau européen c’est la bande 26GHz qui a été choisie comme “pionnière”.

La bande des 26Ghz en France est principalement utilisée pour des liaisons hertziennes point à point entre deux stations radioélectriques fixes équipées d’antennes directives. Ces liaisons sont couramment utilisées, notamment pour le raccordement des stations de base des opérateurs mobiles ou pour l’infrastructure des réseaux radioélectriques indépendants.

Les fréquences de la bande 25,5 – 27 GHz sont attribuées au ministère des Armées, au Centre national d’études spatiales, et l’administration chargée la météorologie. La bande 26 GHz accueille donc également des stations terriennes du service d’exploration de la Terre par satellite, du service de recherche spatiale et du service fixe par satellite” précise par ailleurs l’ARCEP.

Cette consultation (ouverte jusqu’au 18 juin 2018) vise donc entre autres à définir la faisabilité de la migration des faisceaux hertziens vers d’autres bandes et à définir également comment les stations terriennes vont coexister avec la future 5G.

 
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Réseaux fixe et mobile : plus d’un million de nouveaux abonnements FttH en 2017 et la consommation de data en 4G explose

L’ARCEP publie les résultats de son observatoire des marchés des communications électroniques pour l’année 2017. La croissance est principalement portée par la fibre et la 4G.

Sur le fixe, la croissance du nombre d’accès très haut débit (+1,5 million) a doublé en trois ans, majoritairement grâce à la fibre optique de bout en bout.

Les abonnements xDSL qui représentent 74% des accès internet en 2017 continuent de diminuer comme c’est le cas depuis 2008, au profit des abonnements très haut débit +1,5 million en un an en 2017 (7,0 millions au total fin 2017). Ce sont d’eux dont provient la totalité de la croissance portée principalement par le FttH ( +1,1 million cette année).

L’ARCEP précise que fin 2017, le nombre de logements éligibles au très haut débit (incluant les logements éligibles au VDSL2) est estimé à 17,7 millions (+12% en un an). Parmi ceux-ci, 10,3 millions de logements sont éligibles à la technologie FttH (+34% en un an), 9,1 millions de logements le sont à des offres très haut débit en fibre optique avec terminaison par le câble coaxial (+2%), et 5,8 millions de logements à la technologie VDSL2 (+2% en un an).

 

En ce qui concerne le mobile, le nombre de cartes SIM s’est accru de 1,6 million en un an pour s’établir à 74,6 millions au 31 décembre 2017. L’amélioration de la couverture et le fait que la population soit de plus en plus équipée en terminaux adaptés favorisent la consommation de données explique l’ARCEP.

Le nombre d’utilisateurs des réseaux 4G (41,6 millions) augmente de près de 10 millions par an, ils sont à l’origine de 90% du volume de données échangées sur les réseaux mobiles. 2,2 exaoctets, c’est la consommation de données sur les réseaux mobiles pour l’année 2017, elle a plus que doublé par rapport à 2016. La consommation moyenne en 2017 est de 2,7 Go par mois et par carte et atteint 4,8 Go pour les clients actifs sur les réseaux 4G. Le nombre de cartes actives sur les réseaux 3G continue également de s’accroître : 56,7 millions, +3,9 millions en un an.

 

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