Auteur : Maxime Raby

C’est officiel, la chaîne Numéro 23 va être renommée RMC Story à la rentrée

 
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Au stade de rumeur il y a trois jours, le futur nouveau de Numéro 23 a été officialisé hier par le patron d’Altice. Il s’agira bien de RMC Story

 

« RMC Story sera aussi une chaîne de la connaissance, mais centrée sur les sujets de société et l’histoire » , a précisé le PDG d’Altice France, Alain Weill, lors d’une conférence de presse.  Et d’ajouter au sujet de la programmation que l’on « y trouvera des reportages de société, de l’investigation ou des programmes autour des crimes. L’émission “Les Grandes Gueules” de RMC sera présente. Et nous diffuserons des fictions basées sur des histoires vraies ». Autre information, Jean-baptiste boursier quitte BFMTV pour animer un talk-show hebdomadaire sur RMC Story.

 

Pour rappel, SFR s’est engagé sur requête du CSA à se positionner sur la diversité en diffusant un nombre plus élevé d’œuvres cinématographiques provenant d’Asie, d’Amérique latine sur Numéro 23 et ce en première partie de soirée, mais aussi en mettant en avant une fois par semaine une initiative en faveur de la cohésion sociale ou de la diversité ou encore en interne. Et enfin en renforçant la part des journalistes représentatifs de la diversité de la société française. C’est sur ce dernier point qu’Alain Weill a insisté hier, soulignant que « la diversité se verra dans les présentateurs, les journalistes ou les acteurs à l’écran. La France est diverse, les chaînes doivent ressembler au pays ».

 

Source : Le Figaro

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Découvrez l’endroit atypique et haut en couleur où se tiendra finalement la convention Free 2018

Un changement de dernière minute plutôt haletant. Free réserverait-il une surprise à l’intérieur de ces murs ?

Comme prévu ce samedi 9 juin aura lieu la journée des communautés de Freenautes. Mais cette fois et c’est plutôt inédit, la convention ne prendra pas place au sein du siège d’Iliad. Free nous informe qu’un autre lieu a été choisi et ce n’est autre que La Maison de Scaleway, soit la division cloud d’Iliad (Online). Les locaux, inaugurés fin 2017 au sein de l’Hôtel Gulbenkian, avenue d’Iéna à Paris, racheté en 2015 par Xavier Niel, sont un méli-mélo entre espaces et ambiances atypiques, décoration pop culture et bien-être boosté. Ce paquebot urbain est gigantesque. Sur place on y trouve une salle de sport avec un coach, un bar, un futur night club, une conciergerie, un service de blanchisserie, une piscine en construction, un cinéma, de quoi se divertir, etc. Au dernier étage, une terrasse de 300 mètres carrés offre une vue imprenable sur l’Arc de Triomphe. Et c’est bien dans le "Temple de Xavier Niel" comme le disent certains médias que toutes associations de Freenautes viendront faire le point samedi sur les sujets passés, actuels et à venir. Et cette année, les participants devraient être nombreux puisque Free a annoncé une kyrielle d’évolutions dans les semaines à venir. Et notamment la sortie de la V7 d’ici septembre. Alors quoi de mieux qu’un lieu disruptif pour présenter ce qui devrait être une box disruptive ? On croise les doigts !
 
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Antenne-relais : Free attaque une commune en justice

 

Direction Saint-Aignan-de-Grand-Lieu en Loire-Atlantique, où Free souhaite implanter une antenne-relais dans une zone non couverte par la 3G et la 4G. Face au refus de la municipalité, l’opérateur a décidé de déposer le 5 juin, une requête devant le juge des référés du tribunal administratif de Nantes. 

Concrètement, la mairie de cette commune a opposé « un sursis de statuer » soit dans ce cas précis un refus d’autorisation à la déclaration préalable de travaux de Free dans une zone agricole.  La raison, ce pylône risque de « compromettre » la mise en application du futur plan d’urbanisme local, a justifié l’avocate de la municipalité, laquelle a fait le choix de réseaux souterrains (électricité, eau …) pour les exploitations agricoles. De son côté, Free a rétorque qu’en « zone agricole, tous types d‘infrastructures liés aux réseaux sont autorisés », avec une emprise au sol du pylône inférieure à 5 m2, ce qui sera le cas. Pour la mairie, l’antenne de Free n’est pas une infrastructure mais une « superstructure ».

Par ailleurs l’opérateur de Xavier Niel a rappelé ses obligations de couverture et a estimé que la situation est urgente. Son avocat martelant que « Free et ses concurrents ont l’obligation légale de couvrir l’ensemble du territoire national d’ici à 2030 ». De son côté, la commune reste campée sur ses positions et estime que ces échéances sont lointaines. La juge des référés rendra son ordonnance dans une dizaine de jours.

A noter que dans la plupart des cas, les requêtes de référé sont déposées au tribunal administratif. Néanmoins, le Conseil d’État sera compétent en premier ressort. Free devra ainsi remplir deux critères afin que sa requête aboutisse, à savoir démontrer qu’il y a bien urgence et donner des arguments juridiques afin d’établir des doutes sur la légalité de la décision, en l’occurence «le sursis à statuer ».

 

Source : Actu.fr via presspepper

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RED By SFR lance une offre 30 Go à 5€/mois à vie sur Showroom Privé

Jusqu’au 11 juin prochain, RED By SFR propose sur Showroom Privé un forfait attractif 30 Go en 3G ou 4G, sans engagement et sans condition de durée, au tarif de 5€/mois.

A noter que la carte SIM (triple découpe) sera facturée 10€ et que le mode modem est autorisé.

 

L’offre comprend :

 

  • Appels illimités en France métropolitaine vers les fixes et mobiles de France métropolitaine et des DOM (hors Mayotte). Hors numéros spéciaux, services et appels depuis boitiers radio. 3 heures maximum par appel, puis coupé. Limités à 200 destinataires différents par mois.
     
  • SMS / MMS illimités vers tous les opérateurs métropolitains. Hors SMS/MMS surtaxés, Chat SMS/MMS et Wap, limités à 200 destinataires différents par mois.
     
  • 30 Go/mois en 3G et 4G en France Métropolitaine
  • Mode modem autorisé. Au-delà de 30Go, déclenchement automatique d’une recharge de 100Mo facturée 2€, dans la limite de 4 rechargements, jusqu’à la prochaine date de facturation.

    Depuis l’étranger :
  • Appels illimités, SMS/MMS illimités depuis l’Union Européenne/DOM vers la France métropolitaine et l’Union Européenne/DOM.
  • 3Go/mois d’internet supplémentaires depuis l’Union Européenne/DOM .
  • Usage modem inclus.
  • SFR Cloud 1 Go
 
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Après la fin des frais d’itinérance, l’UE veut mettre fin aux coûts excessifs des appels et SMS entre pays membres

 

Un an après l’abolition des frais d’itinérance dans l’UE, place à une mesure limitant le coût des appels et SMS d’un pays membre à l’autre.

En route vers la fin des appels et SMS trop coûteux et des prix démesurés. Le Parlement européen et les Etats membres de l’Union ont conclu un accord préliminaire allant dans ce sens la nuit dernière. Selon toute vraisemblance, « les appels émis d’un Etat membre de l’UE vers un autre seront limités à 19 centimes d’euro par minute. L’envoi de SMS sera plafonné à six centimes d’euro », rapporte l’AFP. Une bonne nouvelle pour les européens alors que de nombreux opérateurs ainsi que la Commission européenne et les états membres jugeaient jusqu’à présent cette mesure comme inutile eu égard à la possibilité d’utiliser des applications comme Whatsapp ou Viber. Le salut est finalement venu du Parlement européen qui "contrairement à la proposition initiale, a poussé pour que les prix des appels internationaux au sein de l’UE soient plafonnés, estimant que ces prix étaient souvent disproportionnés", précise l’agence de presse. Selon BEUC, soit l’organisation européenne de défense des consommateurs, le prix d’un appel entre pays de l’UE est actuellement compris entre 5 et 80 centimes d’euro par minute. 

A noter que cet accord a été obtenu dans le cadre d’une refonte et une modernisation des lois sur les télécommunications. Celle-ci visant à encourager les opérateurs à investir davantage dans les réseaux fibre.

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La France, paradis de la tech : extrait de l’intervention de Xavier Niel dans le Club Les Echos

  

Invité jeudi 17 mai du Club Les Echos Débats, Xavier Niel  s’est prêté  au jeu des questions-réponses autour du thème : « La France, paradis de la tech ? » Au programme de cette vidéo, la fiscalité et les avantages à créer une entreprise dans l’hexagone plutôt qu’ailleurs. Voici un extrait.

 

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Free: l’Arcep détaille son enquête sur les problèmes de débit sur Netflix et dévoile ses premières conclusions

 
Si un accord d’interconnexion est en vue entre Free et Netflix, l’Arcep n’a pas manqué de revenir sur l’enquête qu’il a mené début 2018 au sujet des problèmes de débit rencontrés dans son nouveau rapport de l’état de l’internet en France. Il en résulte notamment qu’à contrario de ses rivaux, l’opérateur de Xavier Niel se connecte aux autres acteurs de l’internet en grande partie via un seul transitaire. Un retard constaté pénalisant.

"Nous avons commencé à enquêter et les premiers résultats montrent qu’il n’y a pas d’irrégularités de la part de Free. Il semble fort probable donc que ce soit un problème d’interconnexion à résoudre entre Free et Netflix. Il serait donc injuste de rejeter la faute uniquement sur Free. La balle est aussi dans le camp de Netflix pour mettre fin à cette situation” a lâché Sébastien Soriano à nos confrères de 01Net fin février avant d’ajouter que le sujet sera évoqué dans le futur rapport de l’Arcep sur la santé de l’internet en France. Ce dernier, très dense, ayant été rendu public hier, on en sait donc davantage. Tout d’abord c’est à la suite d’une myriade de sollicitations publiques et à un grand nombre de remontées sur la plateforme « j’alerte l’Arcep », que le régulateur a décidé de faire la lumière et ainsi disposer d’éléments d’information complémentaires sur les causes de la mauvaise qualité de certains services particuliers sur le réseau de Free.

"Ces problèmes de débits et d’accessibilité récurrents semblaient toucher plusieurs services en ligne populaires, au premier rang desquels Netflix", souligne la police des télécoms dans son rapport. A première vue, l’interconnexion du réseau de Free avec le reste de l’internet est un élément d’explication, "contrairement aux autres FAI de grande taille, l’accès de Free à l’essentiel du trafic mondial repose en grande partie sur un seul transitaire, dont certains liens connaissaient des saturations de capacité très régulières", explique l’Autorité. Traduction, Free apparaît en retard sur ses concurrents en matière d’interconnexion.
 
Par conséquent, la gestion de trafic ne semble pas être forcément remise en cause, "les services les plus sensibles en bande passante tels que le streaming vidéo pouvaient connaître des problèmes de qualité dans ces moments de saturation, quel que soit par ailleurs le débit théorique dont bénéficiait l’accès internet du client final" poursuit l’Arcep. Autrement dit la qualité de service perçue "in fine" par le consommateur dépend étroitement de l’ensemble des intervenants de la chaîne technique entre le client final et le contenu qu’il consomme à savoir le FAI, les transitaires, fournisseurs de contenus etc. A noter que les types d’interconnexion entre acteurs sont variées. Il existe le transit mais aussi les liens directs comme le peering gratuit ou payant. S’agissant de Free et Netflix, l’Arcep suivra l’évolution de la situation, en attendant l’annonce de l’établissement d’une interconnexion directe entre l’opérateur et le mastodonte américain.
 

Piqûre de rappel

 

Depuis plusieurs mois, dans les classements publiés par Fast, le service lancé par Netflix et qui permet de mesurer la vitesse de téléchargement, Free apparaît toujours dernier au point que l’opérateur ait porté plainte s’estimant lésé par le classement du fait que tous les concurrents ont souscrit au programme Open Connect de Netflix qui consiste à installer des serveurs directement sur les réseaux des opérateurs contrairement à Free qui s’y est refusé. Récemment une parade consistant à repasser de l’IPV6 à l’IPV4 permet d’obtenir des débits plus raisonnables. Ce qui se dessine avec ces premiers résultats d’enquête du régulateur est un cadre bien moins simple qu’il n’y paraît. En tout cas, fin avril, un premier lien d’interconnexion entre Free et Netflix a été repéré sur Twitter, laissant présagé d’un accord imminent. 

 

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Clin d’oeil : Bouygues publie un projet pub utilisant la Freebox Mini 4K pour illustrer les problèmes de connexion des Français

Sacré Bouygues Telecom. L’opérateur n’a pas manqué de publier aujourd’hui sur Youtube un projet de film publicitaire fait par des élèves de l’ECV d’Aix en Provence qui fait référence à Free et à sa Freebox Mini 4K.

Le pitch, un chômeur passe un entretien d’embauche sur Skype dans sa chambre. Seul hic, sa connexion est trop faible, ce qui l’empêche de mener à bien son grand oral. Aussi surprenant que cela puisse paraître, la box de ce français n’est autre que la Freebox Mini 4K. Une douce ironie suivie à l’écran du message : “pour des millions de Français dont la connexion est trop faible… Bouygues Telecom innove et crée la 4G box“. L’opérateur de Xavier Niel devrait apprécier.

 

La twittosphère n’a d’ailleurs pas tardé à remarquer ce petit tacle adressé à Free.

 

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Orange, Free, Bouygues et SFR : la police des télécoms milite enfin pour des tests de débit fiables et propose des solutions

 

Si les outils de test de débit et de latence sont légion sur le marché, l’Arcep s’inquiète (enfin) de leur fiabilité et propose de nouvelles méthodes afin d’éradiquer les larges disparités constatées dans les différents classements des FAI. La police des télécoms souhaite harmoniser les tests et ainsi lutter contre l’utilisation partielle des données par les opérateurs dans leurs publicités.

Comme le rapporte en exclusivité 01Net, le régulateur a quelque peu fait son mea culpa ce matin par la voie de son président lors de la publication de son rapport sur l’état de l’internet en France. Prenant entre autres exemple sur son propre observatoire sur la qualité de l’internet fixe lancé en 2016, Sébastien Soriano a avoué que les tests de l’Arcep « manquaient de représentativité sur le territoire et ils se déroulaient en environnement contraint ce qui permettait aux opérateurs d’optimiser leurs accès ». Et d’ajouter qu’aujourd’hui « il n’existe pas d’outil suffisamment robuste pour que nous puissions conclure à leur fiabilité ». Pire encore selon lui, « les consommateurs ne sont bien pas éclairés. Les informations brutes ainsi obtenues peuvent les induire en erreur ».

En effet, bien souvent aucune distinction n’est faite entre certaines technologies, sans parler de tests qui mesurent le débit avec une unique connexion TCP, alors que d’autres dans le même temps optent pour plusieurs connexions. Autre problème, les débits affichés sont tantôt une moyenne, tantôt un pic atteint. Sans oublier que parfois les serveurs sur lesquels sont lancés des mesures sont localisés à divers endroits du réseau des FAI. En somme, les résultats sont largement impactés et donc disparates.

Afin d’y remédier, l’Arcep a travaillé pendant deux ans en collaboration avec les opérateurs ainsi que  « des centres de recherche, des associations de consommateurs et les sociétés qui développent ces outils de mesure », et ce dans l’optique  « de proposer la version bêta d’un code de conduite et d’une méthodologie », révèle 01 Net.

 

Les solutions en question, Free a pensé à l’une d’entre elles en 2011

 

Concrètement, la méthode avancée par l’Arcep , « c’est que les fournisseurs d’accès à internet développent des API pour leur box, afin que les outils de mesure aient accès à un certain nombre d’informations sur la nature de l’accès de l’utilisateur », a déclaré Sébastien Soriano. Le but étant de gagner en fiabilité en mettant fin à l’auto-déclaratif des utilisateurs. Un changement de fusil d’épaule notable. En 2011, Free a proposé cette méthode dans une consultation publique initiée par le régulateur, laquelle portait sur le suivi de la qualité du service d’accès à l’internet sur les réseaux fixes. En vain, cette solution a été jugée non nécessaire par l’Arcep jusqu’à présent.
 

 

Autre mesure annoncée ce matin par le régulateur, la mise en place d’un code de bonne conduite listant les "bonnes" pratiques à suivre ainsi que la publication de recommandations de mesures pour les différents acteurs concernés comme la durée d’un test de débit, le nombre de threads etc. A noter enfin que l’Organe des régulateurs européens des communications électroniques (BEREC) a lancé un appel d’offres afin de développer un outil commun de mesures de la qualité de l’internet. Un portail va donc voir le jour afin de permettre aux utilisateurs d’avoir un accès à des statistiques précises et des cartes. 

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SFR veut devenir le «Netflix du sport» et se dit prêt à négocier avec Mediapro pour la Ligue 1

L’opérateur de Patrick n’a pas participé à l’appel d’offres pour les droits de diffusion de la Ligue mais n’est pas contre le fait de racheter des droits à Mediapro. 

Comme prévu le 3 juillet prochain, SFR Sport passera le relais à RMC Sport. Un changement de nom destiné à une meilleure intégration dans les offres des opérateurs. S’agissant de leur distribution, SFR a annoncé que les chaînes RMC Sport seront disponibles pour tous les français. Tout d’abord sur les box de l’opérateur, avec un tarif privilégié pour ses propres abonnés. Mais aussi dans les bouquets TV d’Orange et de Bouygues Telecom.

Concernant Free, les discussions sont toujours en cours. Dans tous les cas, les contenus sportifs de RMC Sport seront disponibles en OTT via une application, ce qui permettra à tous ceux qui le souhaitent de pouvoir s’y abonner, à un prix de 15€/mois pour les non-abonnés à SFR, un tarif qui devrait augmenter après le mois de juillet. L’ambition de SFR est donc d’élargir au maximum la visibilité et l’accès à son offre via cette plateforme numérique et «devenir le Netflix du sport » a indiqué sa direction, rapporte Challenges.

Pour y arriver, SFR s’appuiera sur son armada de droits sportifs acquis à prix d’or ces dernières années, comme La ligue des Champions et la Ligue Europa en football dès la rentrée prochaine, mais aussi le foot anglais, le basket avec l’Euroligue, l’Eurocup et la Jeep Elite, le rugby anglais, de la boxe, du MMA, de l’athlétisme (Diamond League), de l’équitation et des sports extrêmes.

Ce n’est pas tout car l’opérateur de Patrick Drahi, s’est dit ouvert à des discussions avec Mediapro, grand vainqueur de l’attribution des droits TV de la Ligue 1 pour la période 2020-2024. Alain Weill, patron d’Altice qui n’a pas participé à l’appel d’offres, a notamment déclaré en réaction à l’investissement massif du groupe espagnol dans la Ligue 1, qu’il « pourrait être amené à discuter avec Mediapro, éventuellement, si le timing est compatible avec le nôtre pour conclure des accords dans les mois qui viennent».

Et d’ajouter, « on a un intérêt mutuel à travailler ensemble. Ils ont payé des droits assez chers, il faut maintenant des abonnés. Ils ont intérêt à travailler avec tous les opérateurs». SFR pourrait donc racheter des droits à Mediapro. L’opérateur de Patrick Drahi dépense déjà 600 millions par an dans les droits sportifs et qui espère rentabiliser RMC Sport d’ici trois ou quatre ans en atteignant une base de 3 millions d’abonnés.

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