Auteur : Maxime Raby

Follow : Xavier Niel investit dans la santé connectée

En bref, la startup française Follow vient de boucler sa première levée de fonds à hauteur d’un 1 million d’euros auprès notamment de Xavier Niel (Kima Ventures), de l’accélérateur West Web Valley et de business angels.

Créée en 2015, cette jeune pousse tend à se démarquer sur le marché de l’E-santé par le biais d’un logiciel de médical de gestion en ligne qu’elle a conçu, lequel permet aux médecins d’optimiser leurs consultations, leurs diagnostics et d’améliorer le suivi de leurs patients.

Plus concrètement, celui-ci permet entre autres aux patients de répondre à un questionnaire sur une tablette en salle d’attente, un gain de temps non négligeable pour les médecins. Aujourd’hui, plus d’une centaine de professionnels de la santé ont déjà opté pour cette solution.

Grâce à cette levée de fonds, Follow souhaite enrichir son logiciel en recrutant davantage de développeurs et de commerciaux pour passer de 8 à 15 salariés. Objectif, tripler le nombre d’utilisateurs d’ici la fin de l’année et intégrer sa solution dans les établissements de santé.

 

Source : Bretagne économique

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Clin d’oeil : les centres d’appels de Free, SFR et Bouygues moqués par un humoriste du Jamel Comedy Club

 

Call Center : les dessous d’un métier difficile, pour le "meilleur" et pour le rire.

Clin d’oeil. Vous le connaissez peut-être, Franjo l’humoriste pensionnaire du Jamel Comedy Club a décidé de tourner en dérision les centres d’appels de Free, SFR et Bouygues sur sa chaîne YouTube, et chacun en prend pour son grade.

Dans cette vidéo, plutôt cocasse, on retrouve ainsi trois conseillers déjantés, rois de l’entourloupe et souvent pas très professionnels. En revanche, Orange est épargné !

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Coupe du Monde 2018 : BeIN Sports lance une chaîne en 4K chez Orange et Canal+, Free, SFR et Bouygues sur la touche

 

Si à l’occasion de la Coupe du Monde de football, TF1 4K sera disponible chez tous les opérateurs sauf Canal, ce ne sera pas le cas de la nouvelle chaîne beIN Sports 1 4K.

Le groupement de chaînes sportives qui retransmettra à compter d’aujourd’hui et jusqu’au 15 juillet 100% des matchs de la compétition vient d’annoncer l’enrichissement de son dispositif avec le lancement de la chaîne événement « beIN Sports 1 4K ». Toutefois, celle-ci sera disponible uniquement pour les abonnés Fibre d’Orange équipés d’un décodeur TV4 sur le canal 48 et pour les abonnés beIN Sports par Canal équipés du nouveau décodeur Canal 4K Ultra UHD (réception satellite ou internet) ou de l’Apple TV 4K sur le canal 18. La raison, l’opérateur historique et la filiale de Vivendi sont les seuls à avoir signé un partenariat avec beIN Sports. Par conséquent, les abonnés Freebox Mini 4K et ceux de Bouygues Telecom et SFR équipés d’un téléviseur 4K, devront se contenter de TF1 4K qui diffusera les 28 meilleurs matchs de la compétition. 

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Free planche sur le lancement d’une offre Freebox à La Réunion

Il y a de fortes chances que la Freebox se fasse une place au soleil à La Réunion.

En marge du lancement en grande pompe de Free Mobile, il y a pratiquement un an à La Réunion, Xavier Niel avait sous-entendu la possibilité d’un lancement d’offres Freebox à l’avenir en soulignant à juste titre que l’opérateur a déjà déployé un réseau fibre sur l’île et de poursuivre que débarquer sur le fixe dépendra du marché. Aujourd’hui, les idées semblent prendre forme, pas à pas, les Réunionnais peuvent commencer à s’enthousiasmer puisque lors de la convention Free samedi 9 juin, le nouveau directeur général d’Iliad, Thomas Reynaud a déclaré "travailler sur le sujet, on y réfléchit". Les voyants sont de plus en plus au vert, l’arrivée d’une offre commerciale sur le fixe est donc plus que probable. Patience.

Par ailleurs, Free a déclaré qu’une mise à jour du réseau à La Réunion était en cours afin de déployer la fréquence 2600 MHz (4G) 15Mhz. Cet ajout permettra aux abonnées une agrégation en 3CA (4G++).

 

 

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Orange, Free, SFR, Bouygues et TDF : un pylône de 50 m de haut s’enflamme

Après une antenne Free Mobile prêt de Saint-Malo, c’est au tour d’un pylône de TDF de s’enflammer, cette fois dans l’Est de la France, à proximité de Nancy.

Comme le rapporte L’Est Républicain, une antenne-relais située dans la forêt de Clairlieu a pris feu hier soir à Villers-lès Nancy en Meurthe-et-Moselle. Plus précisément, l’incendie s’est déclenché sur la partie haute du pylône de TDF, accueillant également les équipements d’Orange, Free, SFR et Bouygues. Au total, une vingtaine de pompiers ont été mobilisés et sont intervenus à 50 mètres de hauteur pour éteindre le feu, épaulés par le groupe de reconnaissance et d’intervention en milieu périlleux (Grimp). A l’heure actuelle, l’origine de l’incendie n’a pas été identifiée. A première vue, les habitants aux alentours n’ont pas été impactés sur le réseau mobile et en matière réception TV puisque les autres pylônes à proximité ont pris la relève.

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Pour Orange, “il n’a jamais été question d’une fusion avec Free” mais une alliance serait envisageable

Pour le PDG d’Orange, il y a un acteur de trop sur le marché des télécoms. Si consolidation il y a, ce sera sans l’opérateur historique. Celui-ci pencherait en revanche plus pour une collaboration avec Free.

La consolidation est sur toute les lèvres depuis peu. La valse des rumeurs au sujet du rachat de SFR par Bouygues est inlassable et cela se précise à en croire le Canard Enchaîné, le palmipède révélant hier une rencontre agrémentée de propositions entre Martin Bouygues et Patrick Drahi et des négociations entamées. Ce scénario prend de plus en plus forme, un retour à trois opérateurs sera à n’en pas douter un sujet important en 2018 comme l’a présagé Xavier Niel en mars dernier. Le nouveau positionnement de l’Arcep vient de surcroît se joindre au mouvement, le régulateur accueillera désormais avec bienveillance un projet de consolidation. Même s’il est catégorique sur le fait qu’Orange ne sera aucunement concerné, Stéphane Richard estime "qu’il y a un opérateur de trop" et s’en est expliqué le 6 juin dernier dans les lignes de Sud-Ouest : " au regard de la taille du marchais français, des investissements nécessaires pour la fibre et la 5G, il sera de plus en plus compliqué de trouver un équilibre viable à quatre" a t-il assuré. Sans oublier que les mauvaises passes se suivent et ce à tour de rôle pour les opérateurs, Bouygues, puis SFR et maintenant Free. Le constat est le suivant pour Stéphane Richard, "au moins deux opérateurs produisent aucune valeur, puisque le cash flow dégagé après investissement est nul ou négatif".

Interrogé sur ce qu’il va se passer à l’avenir, le patron d’Orange, reconduit le mois dernier pour un troisième mandat, a plusieurs certitudes et convictions, "il n’a jamais été question qu’Orange fusionne avec Free", a t-il répondu d’entrée de jeu, l’Arcep l’interdirait. Pour rappel, une rumeur faisait état en 2016 de discussions allant dans ce sens en 2016, des allégations aussitôt démenties par Free.

Après le rachat avorté de Bouygues en 2016, Orange ne souhaite donc plus fusionner avec l’un de ses rivaux, "cela se passera entre deux des autres opérateurs". Prenant exemple sur SFR et Bouygues qui partagent leurs réseaux, Stéphane Richard a toutefois confié que si une collaboration venait à voir le jour prochainement, ce serait avec Free. L’opérateur historique et celui de Xavier Niel ont déjà un accord d’itinérance 2G/3G qui arrivera à échéance en 2020. A noter que d’après BFM Business, nouvel accord entre les deux acteurs, cette fois de mutualisation sur la 4G, serait dans les tuyaux. Lequel comprendrait un partage des infrastructures d’Orange et la co-construction de milliers de sites en zones rurales.

 

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Arrivée des chaînes RMC Sport sur la Freebox : « les sommes demandées par SFR sont délirantes» d’après Xavier Niel

Free espère toutefois trouver un accord.
 
Si les chaînes RMC Sport vont prochainement arriver dans les bouquets TV d’Orange et de Bouygues Telecom,  les discussions sont toujours en cours avec Free, a annoncé Alain Weill au cours d’une conférence de presse de présentation le 30 mai dernier. Interrogé sur le sujet le week end dernier lors du FreeDay, Xavier Niel n’a de son côté pas caché son pessimisme eu égard aux discussions menées avec Altice. Selon lui, « le problème est que les sommes demandées par SFR pour RMC Sport sont délirantes». Toutefois, le fondateur de Free a laissé entendre qu’un terrain d’entente pourrait être trouvé. Pour rappel, le patron d’Altice Europe a déclaré le mois dernier, cette fois dans une interview accordée à Satellifax  qu’SFR « ne pourra en aucun cas subventionner certains opérateurs ». Avant de prévenir que « le prix sera le même pour tous les opérateurs, proportionnel à la part de marché de chacun ».
 
 
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Rachat de SFR par Bouygues Telecom : cela se précise d’après de nouvelles révélations du Canard Enchaîné

Les rumeurs affluent en 2018 au sujet d’un éventuel rachat de SFR par Bouygues Telecom. Si la semaine dernière, Le Figaro a révélé que l’opérateur de Martin Bouygues a tenté de s’emparer de la filiale d’Altice au printemps, aujourd’hui c’est au tour du Canard Enchaîné de relancer de plus belle les spéculations.
 
A en croire le palmipède, Bouygues Telecom aurait obtenu l’aval de l’Elysée en vue de l’acquisition de l’opérateur au carré rouge. Ce n’est pas tout puisque Martin Bouygues aurait rencontré Patrick Drahi le 29 mai afin de lui faire une proposition. Ainsi, Bouygues prendrait 51% de SFR et le fonds américain CVC, 25%. Patrick Drahi garderait le reste.
 
De son côté la milliardaire aurait mis sur la table une valorisation de SFR à 24 milliards, soit la valeur de l’opérateur à savoir 9 milliards d’euros ajouté à ses 15 milliards d’euros de dette. Celui-ci souhaiterait également prendre la moitié des parts du groupe en cas de fusion. Les négociations ne feraient que commencer. Mais une chose est sûre, les rumeurs se suivent et concordent de plus en plus. L’agence Bloomberg avait allumé la mèche en avril dernier, révélant que Bouygues Telecom discuterait avec le fonds d’investissement CVC Capital afin de formuler une offre conjointe. Des informations confirmées depuis par Le Figaro. A l’heure où l’Arcep change de fusil d’épaule et s’ouvre à un projet de consolidation, les voyants semblent de plus en plus au vert. 

 

Source : iGeneration (via Le Canard Enchaîné)

 

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La pénurie de fibre optique touche de plein fouet plusieurs départements français

Alors que d’ici 2022, la France doit être couverte à 80% en fibre optique, certains chantiers importants visant à amener la fibre optique chez les Français accusent déjà plusieurs mois de retard, la faute à une pénurie de fibre optique au niveau mondial. Aujourd’hui, cinq départements de Bourgogne-Franche-Comté s’en inquiètent et craignent de ne pouvoir "tenir leurs engagements" en termes de déploiement du très haut débit.

Le retard déjà pris dans la construction des réseaux FTTH, les fait trembler. Rien ne va plus pour la Côte-d’Or, le Jura, la Nièvre, la Saône-et-Loire et l’Yonne qui ont interpellé le premier ministre à cet égard, rapporte l’AFP. "Les territoires sont touchés de plein fouet par la pénurie de fibre optique au niveau mondial", ont-ils par ailleurs martelé dans un courrier adressé au gouvernement. Leur requête, que l’Etat prenne "des mesures en lien avec les industriels concernés" à l’heure où les tensions sont vives et que seulement 9% des communes françaises sont équipées en fibre optique selon l’Arcep. A noter que ces 5 départements sont tous actionnaires de la société Publique Locale BFC Numérique chargée d’exploiter et de commercialiser en commun les réseaux fibre.

Ce risque de faire entrave au bon déroulement du Plan France Très Haut débit par manque de fibre optique, Le Figaro l’a révélé en avril dernier. Le quotidien a rapporté que le troisième opérateur chinois a chamboulé le marché mondial qui n’a pas anticipé une telle escalade de la demande : « Son dernier appel d’offres portait sur 120 millions de kilomètres de fibre optique, quand la France en consomme 25 millions par an ».

D’ailleurs dans l’hexagone les prévisions pour le marché de la fibre optique ont grimpé de 30 % en un an, les fabricants français comme Acome et Prysmian ne suivent pas et dénoncent « un manque de structure du marché ». Dans le même temps, Etienne Dugas, président de la Firip estime dans les lignes du quotidien que les industriels n’ont pas « suffisamment anticipé le pic de la demande, qui va générer des tensions jusqu’en 2019/2020. » 

Si les grands opérateurs, à savoir Orange, SFR, Free et Bouygues ont des réserves et ne seront pas touchés par cette pénurie, c’est une toute autre histoire pour les petits opérateurs locaux et les RIP, leurs commandes passant d’ailleurs après les quatre grands opérateurs. Par conséquent, ceux-ci pourraient se tourner vers des fabricants de fibre optique chinois, et se risquer à une moins bonne qualité.

 

 

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Xavier Niel ambitionne de faire de Free le Netflix de la Ligue 1

Si Free a deux ans pour se préparer et utiliser à bon escient le « petit » lot VOD raflé au nez et à la barbe de Canal+ lors de l’attribution des droits de la Ligue 1 pour la période 2020-2024, Xavier Niel a déjà de la suite dans les idées.

Ce lot, le moins onéreux puisque remporté pour moins de 50 millions d’euros par an, comprend la diffusion en quasi-direct sur ses plateformes fixe et mobile des meilleurs moments, plus beaux buts et arrêts de chaque match de Ligue 1. Mais aussi le lancement d’un magazine hebdomadaire dédié à la fin de chaque journée de championnat. Un changement de stratégie surprenant pour certains, en premier lieu pour Alain Weill, le patron d’Altice Europe n’a d’ailleurs pas manqué d’ironiser sur le fait que l’opérateur de Xavier Niel se lance finalement dans les contenus.

Lors de la convention samedi dernier, le nouveau directeur général d’Iliad a rétorqué à ce sujet que Free n’a pas changé son fusil d’épaule et a simplement sauté sur l’opportunité. Quoiqu’il en soit, le Thomas Reynaud estime que la valeur d’usage de ce lot va fortement augmenter. Et Xavier Niel d’aller plus loin en levant le voile sur son ambition : « créer le Netflix de la Ligue 1».  Pour le fondateur de Free, l’idée est d’apporter avec ce lot « une perception plus moderne ». Avec 30 minutes de la totalité des matchs en quasi direct, Free « pourra  intégrer  une variété de choses dans les forfaits, cela nous permettra de faire des applications et de proposer un service supplémentaire aux abonnés fixe et mobile» a t-il ajouté.

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