Auteur : Maxime Raby

En vue d’une consolidation, SFR bouscule Free et Bouygues à coups de super-promotions mais doit faire face à un retour de bâton

C’est incontestable, SFR se redresse commercialement et gagne des abonnés depuis le début de l’année grâce à une stratégie féroce sur les promotions, en atteste ses résultats du deuxième trimestre publiés ce matin. De quoi bousculer en particulier Bouygues et Free, mais tout n’est pas rose pour autant, le chiffre d’affaires et les marges de l’opérateur au carré rouge sont en baisse et le seront encore toute l’année, a fait savoir le patron d’Altice Europe, Alain Weill. Conséquence, le titre du groupe dégringole en Bourse.

Il faut passer par là, c’est en substance le message envoyé ce matin par Alain Weill devant des journalistes en marge de la présentation des résultats d’Altice. « Pour accroître nos revenus, il nous faut d’abord regagner des abonnés », a t-il justifié, rapporte Le Monde. Et d’estimer : « nos concurrents vont se montrer moins agressifs. Nos revenus remonteront l’an prochain », un retour à la croissance étant espéré en 2019. 

Cette guerre des prix, SFR en a fait son cheval de Troie en canardant des promotions à vie avec 30 Go à 5€, par exemple. Suffisant pour donner des sueurs froides à la concurrence et engranger un grand nombre d’abonnés sur le mobile. Bouygues Telecom a tenté de réagir avec des forfaits similaires alors que Free a modifié son approche commerciale avec notamment une offre 50Go à 0,99€/mois sur Vente-Privée, mais seulement pendant un an, sans oublier une déclinaison sur son site toujours valable cette fois à 8,99€/mois. De son côté Orange, n’est pas vraiment rentré dans le jeu. Sur le fixe, Free qui a perdu des abonnés pour la première fois de son histoire dans un contexte concurrentiel fort, a du également changer sa politique tarifaire en s’alignant sur la concurrence. 

Conséquence, cette folle bataille des prix a un coût. Le chiffre d’affaires de SFR a ainsi baissé au T2 de 6,6% en glissement annuel à 2,516 milliards d’euros. L’EBITDA ajusté recule lui aussi ainsi que les marges. D’après Le Monde, si SFR pousse sur les promotions, c’est non seulement pour rassurer le marché après sa débâcle fin 2017 mais aussi pour accélérer sur la consolidation du marché et ainsi passer à trois acteurs. Le quotidien va plus loin en révélant «  de bonne source », que ce sont bien « les  super-promotions  qui ont poussé Bouygues Telecom à tenter un rapprochement avec SFR au printemps. L’opérateur a même abordé le sujet avec des responsables au plus haut niveau de l’Etat. » S’il refuse de commenter une éventuelle poursuite des discussions avec Bouygues, Alain Weill a toutefois indiqué que « la consolidation arrivera. Mais je ne peux pas dire si c’est dans trois mois, un an ou 5 ans ».

En attendant, les investisseurs pénalisent aujourd’hui la baisse de revenus d’Altice Europe en Bourse et ce malgré la performance commerciale. Le titre a en effet chuté de près de 12% à 2,530€. Pour rappel, Free dévoilera ses résultats le 04 septembre et Bouygues, le 30 août.

 

 Source : Le Monde 

 

 

 

 

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Déploiement 4G en juillet : Orange en tête, Bouygues et SFR en embuscade, Free à la traîne

 

L’ANFR vient de publier les chiffres de déploiement des réseaux mobiles au 1er août 2018. A cette date, 42 188 sites 4G sont autorisés par l’ANFR, dont 37 579 en service, tous opérateurs confondus. Autre constat au mois de juillet, les demandes d’autorisations des sites 4G se sont accrues  de 1,6 % tout comme les mises en service.

Plus concrètement, c’est cette fois c’est Orange qui a été le plus actif en termes de déploiement 4G avec 395 sites mis en service contre 331 en juin.  Bouygues se fait doubler et prend la deuxième place avec 356 sites 4G déployés contre 443 le mois dernier. Suit ensuite SFR, avec 327 nouveaux sites 4G et enfin Free avec 155 sites contre 193 en juin. Il n’y a pas de changement au classement général par rapport au mois dernier.
 
Le bilan des sites 4G mis en service en métropole s’établit comme suit :
  1. Orange (16 381 sites, + 395 en juillet) ;
  2. SFR (15 960 sites, + 327 en juillet) ;
  3. Bouygues Telecom (15 856 sites, + 356 en juillet) ;
  4. Free Mobile (10 975 sites, + 155 en juillet).

 

 

Focus sur le déploiement 4G de Free

Free Mobile ferme donc toujours la marche au classement général. Mais outre la mise en service de nouveaux sites 4G, Free a été également actif concernant le déploiement des antennes 1800 MHz avec 240 antennes supplémentaires activées durant le mois dernier (9 592 au total) et 427 supplémentaires autorisées. Free conforte ainsi sa 2ème place en termes de déploiement des fréquences 1800 MHz derrière le leader SFR.

L’opérateur de Xavier Niel a également été actif sur le déploiement du 700MHz, avec 211 antennes activées en juillet contre 143 au mois de juin, pour un total de 1 826 en services.

A noter que grâce aux réaménagements de fréquences de la TNT qui ont eu lieu au printemps dernier dans le Grand Est et qui ont permis de libérer la bande 700 MHz, les opérateurs peuvent désormais, depuis le 1er juillet, déployer leurs sites 4G dans cette zone. Le déploiement des fréquences 1800MHz et 700MHz permet de disposer de la 4G+ mais également d’étendre la couverture 4G car ce sont des fréquences plus basses que les 2,6GHz que déployait Free au lancement de la 4G.

  

Variation au cours du mois de juillet

 


Déploiement 3G chez Free Mobile 

 

Outre la 4G, Free continue le déploiement de sites 3G, avec 177 sites supplémentaires activés sur le mois de juillet contre 207 précédemment pour un total de 13 485 sites 3G activés. 
 
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Accord sur la couverture 4G signé par Free, Bouygues, SFR et Orange : la procédure de réattribution des fréquences est lancée

 

Les nouveaux objectifs de couverture mobile se mettent en place petit à petit à la suite de l’accord "historique" trouvé entre le gouvernement et les opérateurs visant à généraliser la 4G sur le territoire. Après la tenue d’une consultation sur les modalités de réattribution des fréquences  900 MHz, 1800 MHz et 2,1 GHz, le régulateur informe aujourd’hui du lancement de l’appel à candidatures correspondant.

Piqûre de rappel. Les opérateurs ont obtenu du gouvernement qu’il ne mette pas aux enchères les fréquences à renouveler en échange d’efforts considérables pour accélérer la couverture mobile du territoire, un accord baptisé « New Deal » a d’ailleurs été trouvé le 14 janvier dernier. Au total, Free, SFR, Bouygues et Orange vont débourser 3 milliards d’euros afin d’en finir avec les zones blanches. Pour ce faire, 20 000 pylônes devront être construits au total, soit 5000 nouvelles zones par opérateur avec un recours à la mutualisation active ou passive.

Une consultation publique sur les modalités de réattribution des fréquences  900 MHz, 1800 MHz et 2,1 GHz arrivant à échéance entre 2021 et 2014, a donc été lancée en avril dernier. Aujourd’hui, c’est une nouvelle étape qui vient d’être franchie puisque le gouvernement lance la procédure de réattribution des fréquences ainsi que l’inscription, comme prévu, des nouvelles obligations dans les autorisations des opérateurs.

L’Arcep a également, à la demande des opérateurs, modifié  leurs autorisations d’utilisation de ces fréquences afin de rendre juridiquement opposables les engagements pris en début d’année. La police des télécoms indique par ailleurs avoir « adopté quatre décisions ajoutant de nouvelles obligations à Bouygues Telecom, Free Mobile, Orange et SFR avec notamment la mise en œuvre du guichet " mobile ", la généralisation de la 4G et la fourniture d’une offre de voix sur Wifi sous certaines conditions. Ainsi,  dès maintenant, ces obligations sont contrôlables par l’Arcep et leur non-respect pourra, le cas échéant, faire l’objet de sanctions.»

Les nouvelles obligations qui seront inscrites dans les futures autorisations permettront notamment de :

– démultiplier, à travers un guichet " mobile ", le rythme des programmes ciblés d’amélioration de la couverture avec la construction par chaque opérateur de 5000 nouveaux sites 4G, parfois mutualisés, dans des zones identifiées par le ministre chargé des communications électroniques ;

– améliorer la qualité de réception sur l’ensemble du territoire, et particulièrement dans les zones rurales. Le nouveau standard d’exigence appliqué aux obligations des opérateurs sera celui de la bonne couverture ;

– équiper en 4G tous les sites mobiles existant actuellement en 2G ou 3G, ce qui revient à l’apporter à plus d’un million de Français sur 10 000 communes ;

– accélérer la couverture 4G le long de 55000 km d’axes routiers ;

– généraliser la couverture à l’intérieur des bâtiments, notamment en imposant aux opérateurs qui s’y seraient engagés durant la procédure de proposer à leurs clients la voix sur Wi-Fi.

Les candidatures doivent être déposées avant le 2 octobre 2018 auprès de l’Arcep qui conduira la procédure d’attribution.

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Free Mobile : quand un collectif hostile à une antenne fait sa pub dans un quotidien local

Direction la commune de Vias dans l’Hérault où une antenne Free Mobile de 40 mètres de haut sème la zizanie.

Erigé fin juin, ce pylône qui accueillera les équipements d’autres opérateurs d’ici fin 2018, ne plaît pas à un certain nombre des habitants. Un collectif a d’ailleurs vu le jour récemment dans le but de faire déplacer l’installation de Free Mobile, aujourd’hui placée à proximité des habitations en prenant appui sur le principe de précaution. Ses raisons, le préjudice esthétique, "la taille du pylône usurpe la vue de dizaine d’habitations" a t-il indiqué à Hérault-tribune. Autre raison de son action, le risque sanitaire, autrement dit l’impact des ondes mais aussi "la dévalorisation des biens immobiliers". Les arguments cités sont donc ici identiques à de nombreux autres cas de mobilisation citoyenne face à l’implantation d’antennes-relais…  à la seule différence que cette fois le quotidien local met la main à la pâte dans ses lignes en indiquant l’adresse mail du collectif pour ceux qui désirent se joindre au mouvement.

 

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SFR a encore gagné des abonnés sur le mobile et le fixe au deuxième trimestre, la reconquête commerciale continue

Lors du premier trimestre 2018, SFR a pu enfin souffler et aller de l’avant en signant ses meilleures performances depuis son rachat par Altice. Cette fois, l’opérateur au carré rouge confirme son regain de forme d’un point de vue commercial. Mais sa stratégie de promotions agressives continue de payer au dépend de ses revenus et de ses marges.

Comme prévu Altice a publié ce matin ses résultats pour le deuxième trimestre 2018. Et force est de constater que SFR pour la seconde fois d’affilée de l’année se féliciter d’un trimestre plus que positif puisqu’il a engrangé 211 000 nouveaux abonnés sur le mobile contre 34 000 au T2 2017, soit une augmentation de 520% grâce aux offres promotionnelles.

Sur le fixe, la page de l’hémorragie est bel et bien tournée, SFR a recruté 13 000 nouveaux abonnés, une performance tirée par le câble et la fibre où l’opérateur au carré rouge a recruté 56 000 nouveaux abonnés soit une progression de 60% en un an. A noter que la filiale d’Altice a fait mieux lors du T1 2018 avec 96 000 abonnés recrutés sur ces technologies. Par ailleurs, le taux de désabonnement continue de baisser.

Bémol, cette stratégie de reconquête et de prix attractifs ont engendré "un recul des revenus et de la marge cette année en France avant un retour à la croissance espéré l’an prochain", a déclaré à des journalistes le patron d’Altice Europe Alain Weill, rapporte Reuters.  Le chiffre d’affaires de SFR a ainsi baissé de 4,6% en glissement annuel  à 2,516 milliards d’euros. L’EBITDA ajusté recule quant à lui de 2,2% ainsi que les marges de -0,3% à 38,7% en raison de l’impact du "changement sur la TVA réduite, de la forte dynamique commerciale générant par les coûts d’acquisition plus élevés", précise un communiqué.

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En images : le clocher d’une église et des antennes-relais flambant neuves d’Orange et SFR partent en fumée


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Les images sont impressionnantes, un clocher d’une église à Rennes s’est littéralement embrasé la nuit dernière emportant avec lui des antennes d’Orange et SFR qui venaient d’être installées.
 
Pour l’heure, l’origine de cet incendie  n’est pas connu et aucun lien n’a  été fait entre le déclenchement du feu et les équipements des opérateurs. Celui-ci a finalement été maitrisé par une cinquantaine de pompiers, le reste de l’édifice a donc été épargné. Une enquête vient d’être lancée.

 

 

 

 

source : Ouest France

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Freebox Compagnon : la version bêta iOS se met à jour

Avis aux testeurs concernés, Free vient de lancer une nouvelle mise à jour sur la version bêta iOS de Freebox Compagnon disponible depuis fin juin sur TestFlight. 

Estampillée 3.2.0 (build 22), celle-ci apporte des corrections notamment sur l’état des stations dans les paramètres avancés des cartes Wi-FI. Pour rappel, si cette version bêta s’est dotée d’une fonctionnalité très pratique à savoir  un accès aux paramètres Wifi, elle s’est séparée en revanche de la partie « Web » dans Téléchargements, engendrant par ailleurs une kyrielle de réactions négatives chez les testeurs. A l’écoute, les développeurs de Freebox Compagnon sur iOS se sont donc fendus d’un message amical dans le descriptif de cette nouvelle mise à jour : «pour ceux qui sont tristes de ne plus retrouver l’onglet « web » dans la partie « Téléchargements », avez-vous essayé de cliquer sur un .torrent dans Safari ?» Et d’ajouter être en train de chercher «  une solution pour lancer les téléchargements des autres vidéos de vacances de votre tante américaine qui n’utilise pas le p2p. »

 

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Clin d’oeil : après l’antenne palmier, voici la version faux feuillage douteux

La palette est variée. On a déjà vu des antennes mobiles cachées dans des cheminées factices, clochers d’églises, faux étages ou encore déguisées en palmier royale ou pins. Il faut l’avouer les opérateurs usent parfois  d’ingéniosité pour réduire l’impact visuel de leurs équipements. En voici un nouvel exemple, repéré sur Twitter, d’un habillage de type faux feuillage sur un site leader SFR dans la commune de Crozon dans le Finistère. Seul le FH est couvert et les panneaux sont peins en vert. L’antenne reste toutefois parfaitement identifiable !

 

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Free en pole position pour débarquer en Belgique ‘

La réponse pourrait intervenir plus rapidement que prévu. Pour l’heure, la presse locale se permet de faire des plans sur la comète. Une information est toutefois officielle, le gouvernement Belge a ouvert la porte à l’arrivée d’un quatrième opérateur dans le pays.

A l’heure où la tendance est plutôt à la consolidation, Alexander De Croo, le ministre belge de la Coopération au développement a allumé la mèche mi-juin, la Belgique veut ouvrir le marché à un quatrième opérateur aux côtés de Proximus, Orange Belgium et Base. Tant et si bien que l’attribution de fréquences se déroulera fin 2019 pour une durée de 20 ans. Si l’arrivée d’un nouvel acteur est vu, il fallait s’y attendre, d’un mauvais oeil par les opérateurs, elle ravit les Belges qui attendent une baisse conséquente des prix, comme en France avant l’arrivée de Free Mobile en 2012. Alors inévitablement, vient l’hypothèse de l’arrivée de l’opérateur de Xavier Niel. Mais pour l’heure, seule la presse locale en fait son favoris, c’est un véritable jeu de pistes même si aucune information n’indique pour le moment que le trublion français soit sur le coup. 

Si Free s’ouvre, il est vrai, à l’international, en atteste son lancement en Italie sous la marque Iliad et celui de sa maison-mère en duo avec Xavier Niel en irlande avec le rachat d’Eir,  Maxime Lombardini, alors DG du groupe a toutefois indiqué en avril dernier eu égard aux développements internationaux, qu’hormis ces implantations, Iliad n’avait pas d’autres projets. Pourtant, un lancement en Belgique tomberait sous le sens et pourrait constituer un véritable relais de croissance pour l’opérateur, en perte de vitesse dans l’hexagone.  La piste semble en tout cas crédible pour L‘Echo, le quotidien belge rappelant il y a un mois et demi que Xavier Niel a vu "passer le dossier sur son bureau, avant d’abandonner l’idée"  à l’époque du rachat de Base finalisé début 2016 par Telenet.

Alors Free sera t-il le quatrième opérateur tant attendu en Belgique.  "Il n’est pas impossible que le dossier soit mis à l’ordre du jour dans les prochains jours", a rapporté récemment une source proche du dossier toujours à L‘Echo. De son côté, le ministre Alexander De Croo a confié que "ce qui se passe en Italie est parfaitement possible ici" en Belgique. Le mystère reste entier !

 

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Free Mobile : un nombre record d’abonnés auraient quitté l’opérateur pour rejoindre Orange au 2ème trimestre

La révélation fait grand bruit et provoque la chute du titre d’Iliad en clôture de la Bourse.

Si Iliad (Free) publiera ses résultats semestriels le 04 septembre prochain, l’agence Bloomberg prend les devants en lançant aujourd’hui une véritable bombe. Selon ses sources, une mauvaise performance du groupe est à craindre au deuxième trimestre. La raison, "Orange a enregistré un nombre de demandes de portabilité en provenance de Free Mobile sans précédent depuis le lancement du quatrième opérateur mobile en janvier 2012", rapporte Reuters. Pour l’heure, Iliad n’a pas commenté cette information mais les conséquences néfastes ne sont pas faites attendre en Bourse. Le titre d’Iliad a clôturé en baisse de 7,7% à 135,5 euros et ce après une belle remontée récemment en marge du succès de son lancement en Italie avec plus d’un millions d’abonnés atteint en 50 jours. Pour rappel au cours du 2ème trimestre, Orange a engrangé 137 000 nouveaux abonnés à un forfait mobile contre 78 000 au trimestre précédent. 

Force est de constater que les investisseurs sont toujours inquiets et frileux  vis à vis d’Iliad et n’ont visiblement pas oublié la perte d’abonnés de Free sur le fixe lors du T1 pour la première fois de son histoire, pénalisant ainsi le titre de sa maison mère en Bourse. Celui-ci a d’ailleurs dégringolé de plus de 32% sa dégringolade depuis le début de l’année.

 

Source : reuters

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