Auteur : Maxime Raby

Free déploie une mise à jour importante pour le Player de la Freebox Delta, de nombreux bugs corrigés et une nouveauté

Après le Server il y a deux jours, Free lance aujourd’hui une mise à jour du Player de la Freebox Delta. Estampillée, 1.0.2, celle-ci apporte une kyrielle de changements selon les développeurs, mais aussi une amélioration sur la télécommande tactile :

Corrections

Applications

  • Erreur lors de la lecture de certaines vidéos sur YouTube 

Télévision

  • Impossible d’enregistrer un programme depuis le guide TV 
  • Écran noir lors de la lecture d’un contenu HDR en Vidéo à la demande
  • Tous les bouquets perso sont maintenant affichés sur la page d’accueil 
  • La numérotation du bouquet en cours n’était pas prise en compte dans le PiP 
  • Impossible d’enregistrer un programme lorsqu’aucun disque dur n’est défini comme disque principal 
  • Qualité de l’image revue pour les programmes TV 
  • Le bandeau de chaîne ne disparait pas lors du timeshifting 
  • Impossible de forcer la source TNT lors d’un enregistrement 
  • Vidéos coupée par les bords noirs sur certains portails de Replay 
  • Barre de progression n’apparaît pas lors de la lecture d’un enregistrement 
  • Des appuis courts sur les boutons avance/retour rapide de la télécommande permettent maintenant de naviguer dans les vidéos de Replay ou Vidéo à la demande 
  • Erreur lors de l’édition d’un enregistrement 

Audio

  • Bluetooth audio non fonctionnel en mode hors-ligne 
  • Perte de son sur l’entrée SPDIF avec Xbox One X ou d’autres périphériques 

Télécommandes

  • Erreur lors de l’initialisation du Bluetooth 
  • Pas de retour haptique sur la télécommande tactile 
  • Impossible de démarrer le Freebox Player avec la télécommande 
  • Perte de synchronisation de la télécommande soft touch 
  • Perte de synchronisation de la télécommande tactile 
  • Certaines touches de la télécommande tactile pouvaient ne pas fonctionner 
  • Perte de connexion avec le Freebox Player

 

  • Disque dur réseau on visible en UPnP 
  • Le flux vidéo de la caméra disparaît en mode PiP 
  • Erreurs lors de l’utilisation de AirMedia vidéo 

Améliorations

Télécommandes

  • Affichage du niveau de batterie de la télécommande tactile sur la page d’accueil

 

Pour bénéficier de cette mise à jour, il suffit de redémarrer votre Play Free Devialet. 

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Free Mobile : le nouvel Honor View 20 débarque en précommande dans la boutique en ligne avec une montre connectée offerte

A peine officialisé à l’International sous le nom View 20, le nouveau flagship d’Honor fait son entrée en précommande dans la boutique en ligne de Free Mobile. Les premières livraisons sont prévues à partir du 29 janvier prochain.

Avis aux abonnés Free Mobile. Compatible avec la bande de fréquence 700 MHz (28) le Honor View 20 est disponible en version 128 Go, au prix de 549 euros en achat comptant, mais aussi en 4 fois sans frais, soit 138€ à la commande puis 3 fois 137€ sans frais. 

A l’occasion de ce lancement et ce jusqu’au 30 janvier, la marque ne fait pas les choses à moitié puisque pour tout achat de ce flagship, une Honor Watch d’une valeur de 200€ est offerte via un formulaire de participation.

  

Le nouveau bébé de la marque repose sur le dernier chipset développé par la filiale HiSilicon, dont profitent déjà les Huawei Mate 20 et Huawei Mate 20 Pro, mais également le Honor Magic 2. Il se positionne sur le haut de gamme.
 
Le reste de la fiche technique confirme ce positionnement. Jugez plutôt : capteur photo dorsal 48 Mégapixels, capteur photo frontal 25 Mégapixels et écran IPS 6,4 pouces Full HD+ percé dans la partie supérieure pour accueillir le capteur à selfies tout en évitant l’encoche. Les utilisateurs seront également bien lotis côté autonomie, avec une batterie 4 000 mAh qui se recharge de 0 à 55 % en 30 minutes grâce à un bloc 22,5 Watts. Bonne nouvelle enfin du côté de la connectique, avec la conservation du mini-jack, dont l’industrie a tendance à se débarrasser en ce moment.

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TF1 signe un accord de distribution global avec l’opérateur fibre Videofutur

A l’instar de SFR, Bouygues, Orange, Free et Canal+, l’opérateur Videofutur proposant ses offres sur les Réseaux d’Initiative Publique (RIP), vient de signer un nouvel accord de distribution global avec le groupe TF1.


Dans le détail, cet accord prévoit la distribution par Videofutur d’une part de toutes les chaînes en clair de la TNT du Groupe TF1 (TF1, TMC, TFX, TF1 SERIES FILMS et LCI), et d’autre part des services non linéaires associés à ces chaînes.

Les abonnés fibre bénéficieront très prochainement de fonctionnalités innovantes sur tous leurs écrans autour des programmes du Groupe TF1 :

  • les programmes en replay de MYTF1 avec des fenêtres de diffusion étendues,

  • des programmes en avant-première de leur diffusion TV,

  • de nouvelles fonctionnalités (Cast, Start-over, nPVR) associées aux contenus du Groupe TF1.

Cette annonce renforce le partenariat entre les deux sociétés qui bénéficient également d’un accord sur la distribution du service TFOU Max, des chaînes TV Breizh et Ushuaïa TV, ainsi que l’exploitation en VOD des films de TF1 Studio.

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Orange lance son “Challenge 5G” à destination des startups

Tout un programme. En amont de l’arrivée de la 5G prévue en 2020, l’opérateur historique prend les devants et lance un "Challenge" en Europe à destination des startups. Son  défi : montrer comment la 5G d’Orange va contribuer aux développements de vos produits et services ou à l’amélioration de services existants.

On le sait, la 5G va résolument bouleverser les usages avec des débits jusqu’à 10 fois supérieurs à la 4G et une réactivité telle qu’elle permettra tous les usages en temps réel, en réalité virtuelle ou en réalité augmentée. Elle marquera également un tournant l’Internet des Objets ; voiture autonome, drone, capteurs dans la ville intelligente, robots connectés dans l’industrie ou la santé. 

Ainsi, afin créer les futurs services de la 5G, Orange a décidé de s’inscrire "dans une démarche de collaboration avec les start-up pour ensemble mieux comprendre les enjeux, les nouveaux modèles d’affaires, les besoins et tester les cas d’usage." Est donc né, le "Challenge 5G". Le principe, les jeunes pousses participantes peuvent déposer dans leur  espace personnel une vidéo de présentation de leur start-up "en illustrant en quoi la 5G d’Orange peut les aider à développer leur projet."

 

 

Au total, six thématiques sont proposées, à savoir le transport (automobile), divertissement, industrie, santé-bien être, objets connectés/ villes intelligence et un thème libre. A la clef pour les lauréats, un accès au 5G Lab d’Orange Gardens, à Châtillon, près de Paris, pour tester leurs produits ou services avec un support d’experts 5G, et un accès à des terminaux. Mais aussi 
la possibilité, selon les solutions proposées, d’intégrer les expérimentations en tant que client testeur sur une ville 5G Orange en France. La finale aura lieu en mai 2019 à Paris.

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Insolite : un éleveur soupçonne une antenne-relais d’avoir causé la mort de 200 000 lapins

À Saint-Longis, à 50 km au nord du Mans, un éleveur de lapins accuse une antenne-relais d’avoir tué 200 000 bêtes depuis 2014.

En l’espace de 4 ans, ce quinquagénaire a assisté à la mort de 200 000 de ses bêtes, pourtant, celles-ci ne présentaient aucun problème d’hygiène, d’alimentation apparent ni de virus particulier. Face à cette hécatombe, la Chambre de l’Agriculture de la Sarthe a fait appel à un spécialiste géobiologue, lequel a rendu un diagnostic tout aussi étrange, rapporte France 3. Selon lui, c’est une antenne relais localisée à 150 mètres de l’élevage  qui serait la cause de ces morts en série. Plus précisément, les ondes émises seraient trop importantes, soit d’après les mesures effectuées,  0,6V/m à 0,8V/m, contre 0,5 V/m recommandé en géobiologie.

Cette surexposition peut engendrer "un manque de développement des laperaux, une diminution de l’immunité globale, un affaiblissement énergétique, ou dans le pire des cas, la mort de l’animal", souligne le spécialiste. Pourtant, la dite antenne a été installée en 2004 soit 10 ans avant l’arrivée des premiers symptômes et décès. Le mystère semble donc rester entier. Placé en redressement judiciaire, l’éleveur évalue ses pertes à 700 000 euros.
 

 

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Scaleway (Iliad) annonce l’obtention de l’agrément “Hébergeur de Données de Santé” pour l’ensemble de ses data centers parisiens

La filiale d’iliad continue d’évoluer. Après une phase d’harmonisation en devenant récemment une marque unique du groupe avec désormais sous sa bannière trois types d’offres regroupées : cloud, serveurs et datacenters", Scaleway annonce ce matin l’obtention de l’agrément "Hébergeur de Données de Santé (HDS)", lors de sa présence au Forum International de Cybersécurité (FIC).

Répondre aux exigences des professionnels de santé et à leurs patients, c’est l’une des priorités de Scaleway qui ajoute une nouvelle corde à son arc avec l’agrément « Hébergeur de données de Santé » pour l’ensemble de ses data centers parisiens. Pour gérer des données à caractère personnel relatives à la santé d’une personne physique, la filiale d’Iliad représentant la culture technique du groupe, a reçu l’approbation du Ministère de la Santé.

« Cet agrément va permettre à tout l’écosystème médical, notamment les professionnels de la santé, les assureurs, les mutuelles et les start-ups biotech, de bénéficier d’une réelle alternative technique et économique, en reposant sur nos infrastructures avec un très haut niveau de sécurité » se félicite Arnaud de Bermingham, CEO de Scaleway.

Outre les systèmes de protection contre les attaques (anti-DDoS), Scaleway innove depuis de nombreuses années dans ce domaine, en proposant à ses utilisateurs de stocker leurs archives informatiques au sein de DC4, le seul data center à être également un bunker antiatomique en France. Scaleway envisage d’y créer une zone de disponibilité « GOV » pour les projets hautement critiques.

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Free Mobile prolonge son forfait intermédiaire à 8,99€ et le baptise “Série Free 60 Go”

Free Mobile commence à trouver sa formule. Après avoir lancé en juillet dernier un forfait temporaire intercalé entre ses deux offres historiques, l’opérateur n’a cessé de le prolonger chaque semaine parfois en y ajoutant ou enlevant de la data. Aujourd’hui, l’opérateur relance pour la énième fois son offre jusqu’au 29 janvier prochain. Mais depuis ce matin, exit l’habituel compte à rebours et la date de validité, Free rend plus discrète la prolongation de son offre promotionnelle 60 Go à 8,99€/mois pendant un an. Celle-ci est désormais affichée après avoir cliqué sur "en savoir plus" ou dans la fiche standardisée du forfait. Free Mobile en profite pour la baptiser "Série Free 60 Go". La pérennisation est donc proche.

Ce forfait sans engagement comprend ainsi pour la bagatelle de 8,99€/mois pendant un an, appels, SMS et MMS illimités, désormais 60 Go en France métropolitaine et donc 4 Go/mois en roaming depuis Europe et DOM en 3G et 4G parfois. Mais à l’issue des 12 mois, les abonnés basculeront automatiquement sur le Forfait Free classique 100Go à 19,99€/mois ou data illimitée à 15,99€/mois pour les abonnés Freebox.

 

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Free cherche à se renforcer partout en France en vue de déployer la 5G

A l’heure où Free commence discrètement à déployer des antennes 5G et se montre très discret en matière d’expérimentations, l’opérateur de Xavier Niel cherche à se renforcer au plus vite en interne.

"Dans le cadre du déploiement de la 5G, nous recrutons activement nos futurs talents sur l’ensemble du territoire national", a fait-savoir hier le compte Twitter officiel Free Jobs. Dans le détail, l’opérateur de Xavier Niel recherche en priorité deux types de poste, à savoir des coordinateurs recherche et négociation télécom mais aussi des dessinateurs télécoms. Les régions ciblées sont le Nord-pas-de-Calais, la Haute-Normandie, la Bretagne,, Pays-de-la-Loire, Poitou-Charentes, Aquitaine, Languedoc-Roussillon, Provence-Alpes-Côte d’azur, Rhône-Alpes, Franche-compté, Auvergne, Limousin, Centre, Bourgogne, Lorraine, Ile-de-France, Picardie, Champagne Ardennes, Lorraine, Alsace, Corse.

  

S’agissant du déploiement de cette technologie, deux horizons se dégagent autour du réseau 5G pour Free, « le premier c’est l’allumage de la 5G sur les sites macro que nous avons aujourd’hui, c’est à dire 15 000 à 20 000 sites par opérateur, là la technologie sera prête je pense entre mi-2019 et 2020», a estimé en avril dernier  Maxime Lombardini, actuel président d’Iliad.
 
Puis place à la construction de micro antennes
 
C’est par la suite, à savoir durant la décennie 2020-2030 que les opérateurs vont réellement entrer dans le vif du sujet. D’après Maxime Lombardini, Orange, Free, SFR et Bouygues vont entamer une phase de construction de micro-cellules, «un gros chantier où l’on va rentrer sur des usages très différents avec de la segmentation du débit, avec l’internet des objets, et des verticales dans certaines filières professionnelles», comme l’automobile. 


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Free recrute des conseillers Freebox et Free Mobile

Free nous informe que dans le cadre du renforcement de son centre de contact situé à Vitry-sur-Seine, il recrute des conseillers commerciaux (H/F) Freebox (ADSL) et Free Mobile afin d’assister et de satisfaire aux demandes des abonnés de l’opérateur.

Vous pouvez retrouver le détail du poste ci-dessous, il suffit ensuite de cliquer sur le lien en fin d’offre pour proposer votre candidature.

 

Entreprise

Rejoignez-nous et participez au développement de nos activités ADSL et MOBILE !

Dans le cadre du renforcement de son centre d’appels, Qualipel recherche actuellement des CONSEILLER(E)S COMMERCIAUX (H|F) chargés d’assister et de satisfaire aux demandes de nos abonnés.

Poste

Vous partagerez vos connaissances en multimédia ou téléphonie mobile et participerez à nos nouveaux défis. Vous utiliserez votre aisance professionnelle afin de conseiller et d’assister nos abonnés par téléphone. Vous avez acquis les bases de la Relation Abonnés. Votre bon sens et votre courtoisie vous permettront de participer à un travail d’équipe.

Vos principales missions, en tant que représentant(e) de la marque FREE :
– Conseiller et assister les abonnés par téléphone en leur apportant des réponses claires et de qualité,
– Ecouter et diagnostiquer les besoins afin de répondre au mieux à la problématique rencontrée,
– Délivrer une qualité de service et d’information avec disponibilité et compétence,
– Remonter toute information permettant d’identifier et améliorer un dysfonctionnement utilisateur,
– Mettre en valeur et valoriser les services de la marque afin de favoriser leur utilisation.
Caractéristiques:
– Type de contrat : CDI
– Lieu : Vitry sur Seine (94) 
– Salaire mensuel brut : 1680.01€ + primes d’objectifs pour un total pouvant aller jusqu’à 2570.01€
– Poste à pourvoir dès que possible
– Formation initiale rémunérée
– Horaires : 35 h hebdomadaires / WE possible / Planning rotatif

Profil

• Issu(e) d’une formation commerciale de niveau minimum BAC / BAC + 2 avec une expérience minimum de douze mois dans les domaines suivants : multimédia, téléphonie mobile, commerce, relation client à distance, etc.
• Doté(e) de grandes capacités relationnelles et d’écoute, vous possédez un sens pédagogique. Vous êtes à l’aise au téléphone et avec l’outil informatique.
• Vous faites preuve d’une bonne capacité d’analyse dans la compréhension des demandes et d’un esprit de synthèse dans les réponses apportées.
• Vous êtes organisé(e), assidu(e) et travaillez avec rigueur.
• Vous aimez travailler en équipe et vous savez vous montrer très réactif. 
• Vous êtes impatient(e) d’apprendre et de progresser dans un environnement en constante évolution.

Lien pour candidater : https://iliad-free.jobs.vocationcity.com/application/form/11837?source=Univers+freebox+QLP

 

 
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La CNIL inflige une amende inédite à Google

Une première. La Commission nationale de l’informatique et des libertés a prononcé hier une sanction de 50 millions d’euros à l’encontre de Google en application du RGPD pour manque de transparence, information insatisfaisante et absence de consentement valable pour la personnalisation de la publicité.

Après avoir reçu des plaintes collectives de l’association None Of Your Business (« NOYB ») et  de La Quadrature du Net (« LQDN ») reprochant à la firme de Mountain View de ne pas disposer d’une base juridique valable pour traiter les données personnelles des utilisateurs, la CNIL a procédé en septembre 2018 à un contrôle en ligne. "L’objectif était de vérifier la conformité à la Google, en analysant le parcours d’un utilisateur et les documents auxquels il peut avoir accès en créant un compte Google lors de la configuration de son équipement mobile sous Android" a t-elle fait savoir.

Après avoir mené l’enquête, la formation restreinte de la Commission a constaté deux séries de manquements au RGPD. Le premier concerne les informations fournies par Google, celles-ci ne "sont pas aisément accessibles et claires pour les utilisateurs". La CNIL cible notamment  les finalités pour lesquelles les données sont traitées, la durée de conservation des données ou les catégories de données utilisées pour la personnalisation de la publicité. Ces dernières "sont excessivement disséminées dans plusieurs documents, qui comportent des boutons et liens qu’il est nécessaire d’activer pour prendre connaissance d’informations complémentaires". Autrement dit, l’information pertinente n’est accessible qu’après plusieurs étapes, impliquant parfois jusqu’à cinq ou six actions. 

L’autre manquement relevé par la CNIL  concerne "l’obligation de disposer d’une base légale pour les traitements de personnalisation de la publicité". La formation note que Google
invoque s’appuyer sur le consentement des utilisateurs pour traiter leurs données à des fins de personnalisation de la publicité mais celui-ci n’est pas suffisamment éclairé : "L’information sur ces traitements, diluée dans plusieurs documents ne permet pas à l’utilisateur de prendre conscience de leur ampleur. Par exemple, dans la rubrique dédiée à la « Personnalisation des annonces », il n’est pas possible de prendre connaissance de la pluralité des services, sites, applications impliqués dans ces traitements (Google search, You tube, Google home, Google maps, Playstore, Google photo…) et donc du volume de données traitées et combinées", explique la Commission qui  constate  par ailleurs que le consentement recueilli n’est pas « spécifique » et « univoque ».
 
Par conséquent, la CNIL  condamne Google à une amende de 50 millions d’euros. C’est la première fois que l’autorité administrative applique les nouveaux plafonds de sanctions prévus par le RGPD. "Le montant retenu, ainsi que la publicité de l’amende, se justifient d’abord par la gravité des manquements constatés qui concernent des principes essentiels du RGPD : la transparence, l’information et le consentement", a t-elle justifié.

 

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