Auteur : Maxime Raby

Free n’est pas fan de l’eSIM et s’en explique

 

A l’heure où Apple tend à démocratiser l’e-SIM, ses derniers iPhone étant compatibles ainsi que l’Apple Watch, les opérateurs français collaborent de plus en plus avec la firme de Cupertino en vue de son adoption. Sauf, Free, réticent à cette idée.

Vers une disparition progressive des cartes SIM classiques ? En retard, Orange, SFR et Bouygues travaillent "activement" avec Apple pour proposer cette fonctionnalité en 2019 sur les derniers et prochains flagships de la marque. Néanmoins, l’opérateur historique est aujourd’hui le seul à supporter dans l’hexagone l’eSIM présente dans l’Apple Watch cellulaire. De son côté, Free s’est montré bien silencieux jusqu’à présent. Questionné sur le sujet lors de la convention Free, Xavier Niel est sorti de son mutisme : " on est pas fan de l’eSIM" a t-il déclaré de but en blanc. Selon lui,  cette technologie ne convient pas forcément aux forfaits Free tels qu’ils sont proposés aujourd’hui. La stratégie de l’opérateur ne va pas dans ce sens là. En effet, Free compte simplifier ses offres sur le mobile prochainement. L’opérateur ne semble donc pas prêt à franchir le pas. 

Mais c’est quoi l’eSIM?

La technologie eSIM désigne une carte SIM directement intégrée au smartphone, à la tablette tactile ou à la montre connectée. Fini la carte SIM à glisser dans un petit tiroir ou à insérer dans un slot après avoir ouvert l’appareil. Celle-ci devient alors « virtuelle », avec de l’électronique directement intégrée au chipset mobile. Au moment d’utiliser son smartphone, il ne reste qu’à aller dans les paramètres du système d’exploitation pour indiquer l’opérateur et la formule d’abonnement choisis, afin d’ouvrir une nouvelle ligne.

 

 

 

 

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Free ne distribuera pas les chaînes RMC Sport

En négociations pendant de nombreux mois avec Altice/SFR en vue d’une éventuelle distribution des chaînes RMC Sport sur Freebox TV, Free est aujourd’hui catégorique, cela n’arrivera pas.

Les signes avant-coureurs étaient perceptibles. Déjà en décembre dernier, Xavier Niel laissait entendre que les chances de voir débarquer les chaînes sportives d’SFR sur les Freebox s’éloignaient, jugeant les conditions demandées "déraisonnables", et préférant pour le même prix intégrer Netflix. Finalement, les négociations n’ont pas abouti, "on ne distribuera pas RMC Sport", a lancé  samedi dernier le fondateur de Free lors de sa convention. Au-delà des sommes extravagantes demandées il y a quelques mois, ça coincerait également aujourd’hui du côté d’Altice. Après avoir tapé à la porte de tous les opérateurs, Alain Weill, PDG du groupe, a visiblement changé son fusil d’épaule selon Xavier Niel : " Altice veut aujourd’hui diffuser RMC Sport uniquement sur trois plateformes, en OTT, sur les box de SFR et par satellite via Canal", et de rappeler que cela induit le piratage de ces chaînes. Les abonnés Freebox devront donc se contenter de la version OTT, sur Freebox Mini 4K. 


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Free annonce le lancement imminent du multi TV sur la Freebox Delta

Les abonnés Freebox Delta vont pouvoir profiter de Freebox TV partout chez eux !

Depuis plusieurs années, les abonnés Freebox Révolution et Mini 4K ont la possibilité de visionner des programmes TV en qualité numérique, simultanément sur plusieurs postes de télévision différents grâce à l’option multi TV, à savoir l’utilisation d’un second boîtier. Lancées en grande pompe en décembre dernier les deux nouvelles box de Free ne sont pour l’heure pas logées à la même enseigne. Mais tout vient à point qui sait attendre. Lors de la convention Free samedi dernier, Xavier Niel a officialisé l’arrivée prochaine du multi TV sur la Freebox Delta :« On va ouvrir le multi TV sur la Delta avec un autre boîtier autre que le player Devialet, les abonnés auront la possibilité d’opter pour un boîtier Révolution ou Mini 4K ».

Si aucune date n’a été dévoilée, cette possibilité pour les nouveaux abonnés devrait donc pointer le bout de son nez prochainement. Pour le moment dans le cadre de ces deux options sur Freebox Révolution, Free met à disposition un boîtier fourni avec une télécommande et un FreePlug permettant de le faire communiquer avec le Freebox Server via le courant électrique, sans avoir besoin de relier les boîtiers entre eux physiquement. Le boîtier Freebox Player Mini 4K propose quant à lui une communication sans fil WiFi, ce qui offre une alternative supplémentaire. 

S’agissant du tarif, on peut imaginer, un coût similaire au multi TV proposé aux abonnés Freebox Révolution, à savoir 4,99 €/ mois pour un boîtier Freebox Player Mini 4K, et 9,99 €/ mois pour un Freebox Player supplémentaire (2e lecteur Blu-Ray et services associés). 

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Free Mobile prolonge mais réduit à nouveau la data incluse dans son forfait “Série Free”

Faire le yoyo avec la data, Free Mobile commence à en avoir l’habitude. Après avoir boosté de 10 Go la semaine dernière son forfait intermédiaire "Série Free", l’opérateur de Xavier Niel baisse aujourd’hui le volume de données inclus, retour à 50 Go. L’ex-trublion a prolongé par la même occasion son offre jusqu’au 28 mai prochain.

Intercalé entre les deux forfaits historiques de l’opérateur, celui-ci comprend, appels, SMS et MMS illimités, mais surtout désormais 50 Go en France métropolitaine et 4 Go/mois en roaming depuis Europe et DOM en 3G et 4G. Pour rappel, dans le cadre de la nouvelle stratégie commerciale engagée par Free courant 2018, un focus particulier sur l’amélioration du mix d’abonnés en faveur du Forfait Free 4G illimité a été mis en place. Pour ce faire, l’opérateur a lancé en juillet dernier cette offre intermédiaire à 8,99 euros/mois pour la première année, avec une migration automatique sur le Forfait Free 4G illimitée au bout de 12 mois. Fin 2018, cette formule "a entraîné une amélioration du chiffre d’affaires facturé aux abonnés", a indiqué l’opérateur.

 

 

 

 

 

 

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RED by SFR augmente automatiquement le prix du forfait de certains abonnés bénéficiant d’une promotion à 5€ à vie

 

Comme en janvier dernier, RED by SFR augmente automatiquement le prix du forfait de certains abonnés en échange d’un enrichissement de l’enveloppe de data incluse dans leur offre. La stratégie est on ne peut plus claire, augmenter l’Arpu mobile d’SFR (revenu moyen par abonné) à l’heure où celui-ci engrange des abonnés mais perd en rentabilité après avoir intensifié la guerre des prix en 2018.

Comme le rapporte nos confrères de 01 Net, l’opérateur récidive et envoie actuellement un mail à certains de ses abonnés ayant souscrit à une offre spéciale à 5€ à vie, dans lequel il informe : " RED by SFR, nous vous faisons profiter de 40Go d’internet mensuels au lieu de vos 30Go actuels, pour seulement 2€ de plus par mois". 

Si ce type de forfaits est sans engagement et par conséquent facilement résiliables, RED by SFR indique aux abonnés concernés qu’ils bénéficieront "automatiquement de cette nouvelle offre dans un mois, à la date de votre prochaine facture." Néanmoins, s’ils le souhaitent, ces derniers peuvent choisir de conserver leur offre actuelle en se rendant sur une page dédiée du site de SFR avant la date butoir. Reste à avoir eu lecture du mail et à opérer à la manipulation, sans quoi la facture sera plus élevée. 

Ironie du sort et malgré la légalité de cette pratique, Red by SFR lance dans le même temps une promotion à vie comprenant comprenant 40 Go de data à 10€/mois, signe que les offres à 5€ sans condition de durée sont bel et bien révolues et donc non rentables. La preuve en est, depuis début 2019, le marché est moins animé qu’au même moment l’année dernière. Quand bien même les promotions continuent de plus belle et les rabais se prolongent, le nouveau référentiel prix semble aujourd’hui se stabiliser autour des 10€ contre 5€ auparavant sur le mobile. Red by SFR en a conscience et tente ainsi d’augmenter son revenu moyen par abonné.

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5G : l’Arcep veillera à rester “dans un ordre de grandeur raisonnable” lors de l’attribution mais les opérateurs auront des obligations

 
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Programmée en septembre prochain, l’attribution des fréquences 5G approche à grands pas et ses modalités se précisent. Orange, Free, SFR et Bouygues auront de nouvelles obligations.

C’est en tout cas ce qu’envisage l’Arcep. Dans les lignes du Figaro, Sébastien Soriano, président du régulateur a fait savoir « qu’il y a aura une forme d’obligation pour les opérateurs à être diligents pour les entreprises, notamment pour la couverture de sites. Ils devront faire une offre. A quatre, il y aura une dynamique de concurrence », allusion faite à la non réservation actuelle de fréquences pour les entreprises.

 

Par ailleurs, Sébastien Soriano a rappelé l’importance de préserver les capacités d’investissements d’Orange, Free, SFR et Bouygues. Si les enchères 5G se sont envolées en Italie et en Allemagne, la police des télécoms tient à rassurer les opérateurs : « L’Arcep veillera à ce que l’on resterais un ordre raisonnable pour l’attribution de fréquences. Leur valorisation n’est pas un exercice absolu, cela dépend des obligations qui vont avec ».

 

Même son de cloche du côté du  gouvernement, lequel a publié le 10 mai une lettre explicitant les premiers éléments de cadrage de cette attribution. Le souhait, aller plus loin que les exigences de l’Union européenne avec non pas au moins une ville couverte, mais « plusieurs villes », lors du lancement prévu courant 2020. L’accent sera également mis sur le fait que le déploiement doit évidemment concerner les grandes villes pour désengorger les réseaux, mais également englober les milieux ruraux ou montagnards. Voilà pourquoi « la mutualisation des réseaux » est suggérée, afin de permettre un « calendrier raisonnable » et aux opérateurs de s’y retrouver en termes d’investissements. Et d’ajouter que « la bonne couverture mobile de l’ensemble du territoire est un objectif majeur ».

 

Au sujet du coût, l’Etat a indiqué que le prix de réserve sera fixé d’ici l’été par la commission des participations et des transferts, avec la promesse d’un « juste milieu », afin de permettre « des infrastructures numériques de qualité », tout en permettant au prix plancher de « constituer un critère substantiel des attributions ».

 

N’oubliant pas enfin de mettre en exergue « les formidables relais de croissance » que sont la fibre et la 5G, l’Arcep appelle les opérateurs à apprendre à monétiser la cinquième génération de téléphonie mobile, avec le développement de nouvelles offres en s’ouvrant par exemple aux villes intelligentes, au secteur du jeu vidéo ou encore aux voitures connectées.

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Femtocell : Free annonce travailler sur “de nouvelles choses” pour ses Freebox dernière génération


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On le sait, la Freebox Révolution et  Mini 4K intègrent la technologie Femtocell à contrario des nouvelles box de Free, à savoir la Freebox Delta et One. Mais l’opérateur a des idées derrière la tête.

 

Comme souvent, l’opérateur de Xavier Niel aime teaser sans trop en dire, attisant parfois la frustration des lecteurs. Interpellé lors de la convention Free samedi dernier sur l’absence de la technologie Femtocell dans ses nouvelles box, Xavier Niel a déclaré de façon laconique, "on travaille sur de nouvelles choses autour de ça, la Femtocell est en 3G, il faut évoluer". Visiblement, ce que l’opérateur souhaite développer serait étroitement lié à la prochaine simplification de ses offres fixes. Aujourd’hui, Free dispose de 2 millions de Femtocell sur le marché : "on a le plus gros réseau mobile au monde en la matière", a t-il fait savoir.
 
Pour rappel, la technologie Femtocell permet d’améliorer la couverture réseau mobile pour les communications voix, mais également pour la data (en 3G, voire en 4G depuis 2015). Il s’agit, pour faire simple, d’une extension du réseau mobile grâce au réseau fixe haut débit. Par rapport à une liaison à un point d’accès Wi-Fi, la liaison Femtocell permet également de faire transiter des appels et SMS. Côté inconvénients, on peut citer la consommation énergétique supplémentaire due à l’appareil ou, pour les tatillons concernant la vie privée, la localisation immédiate d’un usager. Pour éviter les abus, enfin, des mécanismes sont prévus pour pouvoir limiter le fonctionnement du Femtocell à un seul endroit et empêcher l’usage à l’international.

 

 

 

 

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“Ce ne sera pas pour tout de suite” : Free explique pourquoi il ne propose pas la migration vers l’offre Delta S à ses abonnés

Au cours de l’habituel jeu des questions-réponses, samedi dernier, lors de la Convention Free, Xavier Niel est revenu brièvement sur l’offre Delta S. 

Migration, quand tu nous tiens. Si les anciens abonnés vont pouvoir migrer vers la Freebox One "très prochainement" selon l’assistance Free, ce ne sera pas le cas pour l’offre Delta S. Bien décidé à revenir à ses valeurs historiques à savoir des offres, simples, transparentes et innovantes, Free tourne le dos à la complexification de sa gamme et le dit haut et fort. Partant de ce postulat, « si on permet de migrer vers des offres susceptibles d’évoluer et d’être modifiées dans cette opération de simplification, cela serait ennuyeux et compliquerait les choses », a indiqué Xavier Niel à ce propos. Avant d’ajouter qu’une migration vers l’offre Delta S, "n’est donc pas pour tout de suite". Autrement dit, l’offre Server de la Freebox Delta sans Player Devialet a de fortes chances d’évoluer. Par ailleurs, cela tombe sous le sens, des box vont apparaître et d’autres vont disparaître. Une nouvelle génération de Freebox centre de gamme visant le plus grand nombre, est attendue d’ici 2022.

 

 

 

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SFR : l’Etat demande l’annulation d’un RIP remporté par l’opérateur au carré rouge

Ça se corse pour SFR sur l’île de Beauté.

Contexte. Si SFR  a été choisi au nez et à la barbe d’Orange fin 2018 pour fibrer la moitié de la Corse en 5 ans, les conditions d’attribution du chantier ont depuis été remises. Depuis début avril, le chantier de la fibre optique est dans le viseur de la justice, puisque le parquet de Bastia a lancé une enquête préliminaire pour des soupçons de favoritisme, confiée à la police judiciaire d’Ajaccio. Celle-ci porte sur la Collectivité Corse, SFR Collectivités et plus précisément sur l’attribution de la délégation de service publique, mais aussi sur d’éventuelles contreparties perçues.  Mais "nous n’en sommes qu’aux prémices, il convient de rester prudent"; a tempéré une source proche du dossier le mois dernier.

C’était sans compter un nouveau rebondissement. Comme le rapporte l’AFP, l’Etat a déposé récemment un recours devant le tribunal administratif contre le contrat de concession signé entre la Collectivité de Corse et l’opérateur au carré rouge. En réaction, cette volonté de suspendre et annuler ce contrat de 275 millions d’euros dont 52 millions de subventions publiques, est perçue comme une «une décision exclusivement politique, (…) une déclaration de guerre contre le conseil exécutif et la majorité territoriale» par Gilles Simeoni, le président de l’exécutif corse. Et d’ajouter à l’agence de presse «aller sereinement devant le tribunal administratif» de Bastia. Sur Twitter, Gilles Simeoni a précisé que la raison de ce recours serait un supposé «favoritisme régional» de la part de la collectivité de Corse, laquelle n’aurait dû évoquer «les retombées économiques du contrat au plan local».

Le projet est de taille, SFR doit fibrer la moitié de la Corse en 5 ans. On compte dans ce projet la construction de plus de 170 000 prises FTTH, et un demi-million de kilomètres de de fibre. Du côté de SFR, l’opérateur a affirmé lors de l’ouverture de l’enquête préliminaire en avril dernier, "ne pas voir ce qui pourrait concerner l’entreprise", le porte parole de SFR a également expliqué que la réponse à l’appel d’offre avait été très encadrée et que celle-ci " a été en tout point conforme aux vingt-cinq autres appels d’offres auxquels nous avons participé ces deux dernières années".

 
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Convention Free 2019 : découvrez le résumé de la journée en présence de Xavier Niel

 

Après La Maison de Scaleway en 2018, retour samedi dernier au siège de l’Iliad  pour la 15ème édition de convention annuelle des communautés de freenautes. Au cours de cette journée, de nombreux sujets ont été abordés avec les dirigeants de Free, d’abord avec le directeur général d’Iliad Thomas Reynaud mais surtout avec Xavier Niel, au rendez-vous cette année.  Après ce résumé en photos, Univers Freebox vous proposera un compte-rendu le plus complet possible des annonces faites et autres débats consommés. Vous le savez sans doute, comme chaque année, nous devons valider certains détails avec l’opérateur avant de les diffuser (certains sujets étant plus sensibles que d’autres). Nous diffuserons donc les informations publiques au cours des prochains jours.
 

Bienvenu dans l’amphithéâtre du siège d’iliad, vous avez des questions ?

 

 

Retour aux sources. Si l’hôte de la convention l’année dernière n’était autre que "La Maison de Scaleway", soit la division cloud d’Iliad, avenue d’Iéna à Paris à deux pas de l’Arc de Triomphe, samedi dernier, la communauté de freenautes et la direction se sont retrouvées au sein du siège social de la maison-mère de Free, dans le VIIIe arrondissement.

Après le petit déjeuner, tous les participants se sont installés au sein de l’amphithéâtre où s’est notamment déroulé le 7 mai dernier, le "Capital markets day" d’Iliad, journée durant laquelle Xavier Niel a présenté la stratégie d’iliad pour les années à venir tout en répondant aux questions des analystes. 

Comme à l’accoutumée, Angélique Gérard a lancé les festivités avec la présentation du programme de la journée. L’occasion également de faire le point sur 2018 et la présence accrue de Free sur le terrain, avec 1 Free Helper pour 900 habitants. Le réseau de distribution de l’opérateur est en perpétuelle évolution avec au compteur 61 Free Centers. Sans oublier les 4 500 employés dans les centres de contact de l’opérateur, principalement en France.

Une fois l’introduction bouclée, ce fut au tour d’un développeur Freebox de prendre le relais pour nous présenter  une future fonctionnalité de la Freebox Delta, encore en développement mais qui devrait ravir la base d’abonnés geek et décupler les possibilités ! Mais chutttt, nous devons garder le secret pour le moment.

 

Sans transition, Thomas Reynaud,  a pris le relais. Le directeur général d’Iliad est revenu sur une année 2018 difficile tout en mettant l’accent sur la fibre et de "réelles performances" en matière de recrutement mais aussi de débits. Il a été question d’innovation mais aussi du mobile, Free compte mettre un sérieux coup d’accélérateur d’ici la fin de l’année sur le déploiement de la bande de fréquences 700 MHz avec un objectif de plus de 10 000 sites 4G équipés, de quoi faire bondir la couverture de la population. Au centre des discussions également le B2B, Free prépare ses offres, d’abord sur le fixe en 2020, puis viendra le mobile. Certaines questions sont restées sans réponse, il faudra donc les reposer à Xavier Niel.

 

 

 

En parlant du loup, le voici. Avec l’accessibilité qu’on lui connaît, Xavier Niel a répondu aux questions de la communauté pendant plus d’une heure. De cas précis voire techniques à des interrogations plus générales en passant par des lancements annoncés encore aux abonnés absents, le fondateur de Free, nous a donné des explications mais aussi "teasé" de petites choses à venir, sans réellement lâcher le morceau, dommage. Au programme de cet échange avec le fondateur de Free, la stratégie de simplification des offres sur le fixe et le mobile, le réseau Free Mobile et l’itinérance Orange, le subventionnement, la 5G, Netflix et les contenus, la Freebox Delta, BFM TV etc. On rentre moins bredouille que l’année dernière de notre pêche aux infos mais les "OFF" sont toujours bloquants.

 

Place à l’idylle entre Amazon et Free, autour d’Alexa et la Delta

 

 

Après un repas express et un gâteau d’anniversaire pour célébrer les 15 ans des premières communautés de Free, l’après-midi a été marqué par l’intervention de l’équipe d’Alexa Skills, venue fédérer les communautés sur la singularité du partenariat unique entre Free et Amazon. De quoi agiter les esprits des développeurs et nous donner de nouvelles perspectives d’évolution à l’avenir. Qui sait ? Nous aurons peut-être à l’avenir l’envie de réaliser des skills news, nous permettant de nous positionner sur le skillstore d’Amazon. A noter que la Freebox Delta, est le premier partenariat entre Alexa est un opérateur en Europe, c’est la première "box far field" à intégrer l’assistant.

 

 

Après un petit jeu de questions-réponses autour du sujet, Thibault Gentien, directeur des ventes Fibre, nous a présenté les objectifs de la fibre de Free, de la stratégie de l’opérateur dans les zones rurales avec des affiches plus localisées pour prévenir de l’arrivée du FTTH dans les villes. L’occasion de découvrir le calendrier de déploiement de l’opérateur en ZTD et sur les RIP dans les 3 prochains mois.

Puis, malheureusement, toutes les bonnes choses ont une fin. Free nous a dit au revoir et nous a remercié pour nos nombreuses actions en faveur des abonnés Free.  Outre ce résumé en photos, Univers Freebox vous détaillera toutes les informations qu’il sera possible de publier. Rendez-vous dès demain matin ou peut-être dans la journée pour découvrir les annonces de cette convention. 

 

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