Encore marginale aujourd’hui en France, le « Geek Pride Day », soit la journée mondiale des geeks a pris place samedi 25 mai. Free ne l’a pas loupé.

Une journée avant tout humoristique mettant à l’honneur la culture geek ! Coïncidant avec la journée mondiale de la serviette mais aussi de la thyroïde, le « Geek Pride Day » a été créé en Espagne en 2006. Ce jour n’a pas été choisi au hasard puisqu’il fait écho au premier premier Star Wars et à Star Wars VI : Le Retour du Jedi, respectivement sortis les 25 mai 1977 et 1983 aux États-Unis.

Se revendiquant, "geek officiel" depuis 20 ans, Free s’est donc fendu d’un petit clin d’oeil lors de cette journée lui collant à la peau… sans toutefois perdre le nord :  "A tous ceux qui ont choisi la fibre la plus rapide du marché", a posté l’opérateur sur Twitter. Geekement vôtre !

Très bonne #JourneeMondialeDesGeeks…#FTTH #THD #Fibre pic.twitter.com/uY0YeMM4hv

— Free (@free) May 25, 2019

C’est parti pour les nouveautés de la semaine ! Nous faisons un point sur les derniers événements marquants chez Free et Free Mobile. Si vous avez manqué l’arrivée d’un nouveau service ou une promotion au cours des sept derniers jours, c’est certainement ici que vous leur mettrez la main dessus. 

Nouveautés Free

Nouveautés Free Mobile

• Un troisième smartphone Nokia compatible 4G 700 MHz est arrivé dans la boutique en ligne. Plus d’infos…

• Le Redmi Note 7 "spécial Free" 700 MHz également pour moins de 200€. Plus d’infos…

• Enfin, Free Mobile propose désormais le Wiko View 3, compatible avec la 4G 700 MHz. Plus d’infos…

• Free Mobile a prolongé mais a réduit à nouveau de 10 Go la data incluse dans son forfait "Série Free". Plus d’infos…

• De nouveaux accessoires offerts apparaissent dans la boutique en ligne. Plus d’infos…

Les annonces de la semaine 

• Free : "nous avons trois forfaits mobiles, il y en a un de trop", ménage en perspective chez l’opérateur. Plus d’infos…

• "Ce ne sera pas pour tout de suite" : Free explique pourquoi il ne propose pas la migration vers l’offre Delta S à ses abonnés. L’opérateur ne souhaite pas permettre de migrer vers une offre susceptible d’évoluer prochainement. Plus d’infos…

Aficionados de Twitter, les opérateurs français postent plus vite que leur ombre sur le réseau social. Et les internautes leur rendent bien ! Entre humour, désespoir et parfois satisfaction, voici un zeste du meilleur et du pire des tweets qui ont déferlé sur l’oiseau bleu cette semaine. 

 Quand l’année 1963 se connecte à l’année 2010 ! A la croisée des époques !

Voici mon Socotel, directement branché à ma freebox. pic.twitter.com/rdxpnR0plA

— Julien Lenormand ‡ (@julienlenormand) May 23, 2019

Solitude quand tu nous tiens, Bouygues Telecom à la rescousse !

les seuls sms mignon du matin que je reçois c’est Bouygues Telecom et leur nouvelle offre 5GB de 4g

— martin (@mart1matin) 21 mai 2019

C’est ballot mais rien n’est fait !

C’est pas parce que j’ai créé FMobile que vous pouvez commencer à faire n’importe quoi hein ? 😂 https://t.co/8Y4ic5fL5e

— FMobile (@FMobileApp) May 24, 2019

 Oui, la caméra rétractable du OnePlus 7 Pro sert également à ouvrir des bières !

Sí, la cámara emergente del OnePlus 7 Pro también sirve para abrir una cerveza | Léelo en https://t.co/W446VjhP5P pic.twitter.com/FEMxGVt8M0

— Teknófilo (@Teknofilo) 25 mai 2019

 Bonne chance !

Peu de doutes que ça aide, mais je partage (affiche vue à Paris 13) pic.twitter.com/MGk82xZTcg

— Michaël 🦁🏰 (@PlugNTweet) May 25, 2019

 
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Mais quelle mouche l’a piqué ?  Bien décidé à éradiquer les déserts numériques, le gouvernement a fait une proposition très surprenante aux opérateurs, la mutualisation complète de leur réseau mobile. De quoi donner un avantage certain à Free Mobile arrivé en dernier sur le marché. Pour Orange, SFR et Bouygues, c’est une hérésie.

Rien n’est fait, le sujet divise au sommet de l’Etat. Le projet est toutefois bien réel mais jugé « techniquement irréaliste » du côté de Bercy. Selon les révélations du Canard Enchaîné, Julien Denormandie, ministre du Logement, a reçu récemment à tour de rôle, Stéphane Richard, PDG d’Orange, Alain Weill patron d’Altice-SFR et Martin Bouygues afin de leur proposer « une itinérance généralisée », en d’autres termes une mutualisation complète de leur réseau. Cela permettrait à chaque abonné de basculer automatiquement sur les fréquences de tous les opérateurs. De quoi couvrir davantage les zones grises, où souvent un seul téléphoniste est présent.

En réaction, c’est la douche froide pour Orange, SFR et Bouygues. « Nous avons investi des milliards dans nos réseaux, pourquoi devrions-nous partager nos fréquences ? Autant nationaliser tout de suite ! » s’insurge l’un d’entre-eux. Un autre s’interroge : «  qui paierait la location à qui ? Quand le dernier, suffoque : « Free en retirera un avantage concurrentiel évident ».

En effet, si ce projet venait à voir le jour, Free Mobile serait pour le moins avantagé. A l’heure actuelle, l’opérateur de Xavier Niel dispose d’une couverture  4G  plus faible de la population et du territoire sans oublier un nombre de sites moins conséquent. Par ailleurs, son contrat d’itinérance avec Orange sur la 3G, véritable plaie pour les abonnés, prendra fin en 2020. C’est une évidence, pour que tout le monde soit sur la même longueur d’onde, le chemin est encore long. Si cela arrive, les enchères sur les fréquences tomberont aux oubliettes.

A l’horizon 2020, Iliad/Free va se lancer sur le marché des entreprises lequel représente 10 milliards d’euros. Objectif, mettre à mal le duopole Orange-SFR. Pour ce faire, l’opérateur de Xavier Niel se développera sur ce segment en deux étapes.

Direction Cordon, une petite commune située dans la vallée du Mont Blanc, offrant un panorama idyllique. Free Mobile prévoit d’y implanter une antenne-relais. Mais des riverains ne l’entendent pas ainsi.

D’une hauteur de 36 mètres, ce pylône sera dissimulé derrière des arbres, et parfaitement intégré dans le paysage avec une couleur qui s’y prête, a tenu à rassurer Free Mobile. En vain, des voix s’élèvent déjà contre ce projet. A la lecture du dossier d’information, des riverains se sont aperçus qu’un propriétaire de champs agricoles a accepté d’en louer une partie à l’opérateur de Xavier Niel. Réfractaires, ces derniers ont décidé de lancer une pétition contre cette implantation.

Crédit : Le Dauphiné, photo Le DL /M.L.D. Le pylône devrait prendre place derrière ces arbres.

Pas moins de 90 signatures ont pour le moment été recensées dans cette commune d’environ 1000 âmes, située en zones blanches. En cause à première vue, la pollution visuelle que pourrait engendrer cette installation. La construction de ce pylône est prévue en septembre prochain si tout se passe bien.

Source : Le Dauphiné

Certains abonnés l’ont remarqué le mois dernier, un fair use de 250 Go/mois est activé sur la Freebox Delta lors de l’utilisation de l’agrégation xDSL/4G. La raison est très simple.

Si les CGV de Free indiquaient qu’un tel fair use pouvait être appliqué sur la Freebox Delta en cas de saturation de l’antenne avec un débit réduit jusqu’à la fin de la période de facturation, celui-ci n’était en pratique pas mis en place. C’est désormais le cas. Après avoir observé les usages des abonnés en condition réelle, Free s’est donc décidé à limiter l’utilisation de la connexion 4G. Lors de sa convention samedi dernier, l’opérateur est brièvement revenu sur son choix : « des abonnés ont consommé des téraoctets, saturant des antennes donc nous avons commencé à mettre des limites à des endroits sensibles », a indiqué Xavier Niel.

A noter que dans ce cas, la connexion n’est évidemment pas coupée pour l’abonné, puisqu’il dispose toujours du débit ADSL lui servant entre autres à accéder au service de télévision, au contraire de l’agrégation 4G.

Le dossier est rouvert. Taxer les géants du Net dont les services monopolisent les réseaux des opérateurs français, la Fédération française des télécoms y pense.

Partant du postulat que « 80% des impôts payés en France par des acteurs du numérique le sont par les opérateurs télécoms français »,  Arthur Dreyfuss, nouveau président de la FFT (regroupant les grands opérateurs hormis Free), dresse un parallèle éloquent dans les lignes du Figaro. « A certaines heures de la journée, 80% du trafic des réseaux télécoms est dû à Youtube, Netflix, Amazon et Facebook ». Une situation problématique pour la Fédération à l’heure où Orange, Free, SFR et Bouygues investissent à tour de bras dans leurs infrastructures, soit 9,8 milliards d’euros en 2018 pour environ 25% de leur chiffre d’affaires. Dans le même temps, les géants du net engorgent leurs réseaux sans prendre « part et participer au financement » de ces derniers. Pour Arthur Dreyfuss, une solution est toutefois possible, à savoir « instaurer une sorte de péage à l’entrée des réseaux pour les plus gros utilisateurs. » Et d’ajouter que « cela n’a rien à voir avec la Net neutralité, Les consommateurs ne seraient pas concernés ». Néanmoins, les mastodontes américains pourraient à leur tour facturer aux consommateurs ce qu’ils payeraient aux opérateurs. 

Après avoir commencé à proposer ses offres fibre avant-hier sur le réseau Rosace en Alsace, Free débarque officiellement aujourd’hui dans la Loire sur le réseau d’Initiative Publique THD42 (Axione).

Free confirme encore un peu plus sa volonté d’être présent sur tous les RIP.  "Tous les foyers desservis par THD42, le réseau Très haut Débit en fibre construit et cofinancé par le réseau SIEL-Territoire d’énergie, seront éligibles à la Fibre Free", fait savoir l’opérateur de Xavier Niel. La commercialisation des offres FTTH est ouverte aujourd’hui sur 13 000 prises et sera étendue sur 47 000 prises dès le mois de juin. Une nouvelle phase d’ouverture est prévue en juillet avec plus de 45 000 prises supplémentaires. 

Au final, Free proposera sa fibre sur plus de 200 communes déjà déployées par THD42 sur le département. A titre d’exemple, dans la Loire, les offres fibre de l’opérateur sont par ailleurs "déjà accessibles sur 55 000 logements à Saint-Etienne ainsi que sur les 60 000 logements déployés par l’opérateur historique en zone AMII sur Saint-Etienne et Roanne."

Les abonnés Freebox ADSL éligibles  seront contactés par Free pour leur proposer la migration avec l’intervention d’un technicien à leur domicile. Le raccordement en Fibre optique se fait sans frais pour l’abonné. 

Reste à savoir lequel.

Revenir à ses valeurs historiques et à la philosophie qui a fait son succès, telle est la stratégie de Free cette année. Xavier Niel l’a annoncé devant les analystes le 7 mai dernier lors du Capital Markets Day d’Iliad : « on a complexifié notre gamme de produits, et on va la resimplifier dans les mois qui viennent sur le fixe et le mobile. » 

Si Free prévoit un retour à des offres simples, transparentes et innovantes sur le fixe, Xavier Niel veut bel et bien lancer une nouvelle révolution sur le mobile, d’abord en adressant le marché du subventionnement des mobiles d’ici 18 mois si tout se passe comme voulu, mais aussi en faisant le ménage dans ses offres mobiles. " Nous avons trois forfaits, il y en a un de trop", a-t-il lancé lors de la Convention Free samedi dernier. Mais lequel va disparaître ? Intouchable, le forfait mobile Free 100 Go à 19,99€/mois va sans l’ombre d’un doute poursuivre son bonhomme de chemin. L’opérateur ambitionne d’atteindre les 80% d’abonnés 4G d’ici 2024 contre 56% actuellement, il devra donc compter sur son offre la plus riche.

Par ailleurs, il y a environ un an, Free a enclenché un repositionnement en profondeur de sa stratégie commerciale pour gagner en efficacité.  "Ce qu’il se passe c’est qu’on bascule les abonnés deux euros vers un palier intermédiaire avant de les amener à un pallier plus élevé", a expliqué Xavier Niel. Si les migrations s’intensifient, Free perd énormément d’abonnés au forfait 2€, devenu son talon d’Achille. Cette offre est-elle vouée à disparaître ? Ce n’est pas certain. Il y a tout juste un an, le fondateur de Free nous a affiché sa volonté d’enrichir son offre low cost à moyen terme, laquelle n’a pas connu de véritables évolutions contrairement à sa grande soeur.  Free pourrait donc redonner une seconde vie à son offre.

Reste enfin le forfait 4G  intermédiaire 50/60 Go pendant un an à 8,99€/mois. Celui-ci prend la forme d’une offre promotionnelle, prolongée toutes les semaines depuis son lancement il y un peu moins d’un an. Son point fort, il se place dans le référentiel de prix actuel, soit environ 10€ pour 50 Go même si au bout de 12 mois, les abonnés basculeront vers le forfait le plus onéreux de l’opérateur. A vos pronostics !