Auteur : Maxime Raby

Les abonnés Free Mobile dévorent toujours plus de data et frôlent la barre des 12 Go/mois

 

On le sait, les abonnés Free Mobile font partie des plus gourmands en data en Europe et surtout en France. Au deuxième trimestre, un nouveau cap est en passe d’être franchi.

A l’heure où Free Mobile continue d’améliorer son mix de clients 4G avec un gain de 145 000 abonnés au premier semestre, la consommation en data de ces derniers poursuit également sa progression. Lors de la présentation, le 3 septembre dernier, de ses résultats commerciaux et financiers pour le deuxième trimestre, l’opérateur de Xavier Niel a indiqué que ses 7,9 millions d’abonnés 4G, ont dévoré en moyenne près de 12 Go de données par mois (11,9 Go) contre 11,6 Go lors du premier trimestre. Un chiffre en constante évolution puisque qu’il y a un an, la consommation mensuelle chez l’ex-trublion était de 9,6 Go. A titre de comparaison, l’Arcep a indiqué en avril dernier que les abonnés mobiles français utilisaient environ 7,2 Go de données par mois à fin 2018.

Autre performance notable, la vitesse de la 4G de Free. La semaine dernière, l’opérateur s’est targué une nouvelle fois de proposer le meilleur débit en 4G parmi les 3 opérateurs alternatifs, avec un débit moyen descendant de 45 Mb/s, selon nPerf. Des résultats appuyés par la consommation mensuelle de ses abonnés. A noter également que Free couvre 93% de la population en 4G et 97% en 3G ( +1 point en 6 mois).

Pour rappel, Free a inclus, pour la 1ère fois en France, la 4G illimitée le 21 mars 2017 pour les abonnés Freebox (100 Go pour les autres) et a enrichi par la suite le volume de données à l’étranger à 25Go/mois pour le forfait à 19,99 euros/mois, sans oublier le lancement de son forfait intermédiaire "Série Free" en juillet 2018.

 

 

 

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FMobile : l’application débarrassant les abonnés Free Mobile de l’itinérance Orange informe d’un détail important

Si une nouvelle version de FMobile est attendue fin septembre, celle-ci sera disponible uniquement sur iOS 13.1. Pour les possesseurs d’iPhone 5S et 6, il faudra télécharger la version actuelle de l’app.

La version finale de iOS 13 sera présentée ce soir lors de la Keynote d’Apple. L’occasion pour le développer de FMobile de se fendre d’un message à caractère informatif important afin d’éviter à certains utilisateurs d’iPhone de ne pas être mis sur la touche. "Si vous possédez un appareil sous iOS 12.4.1 ou inférieur et que vous ne comptez pas installer iOS 13.1, téléchargez l’application FMobile depuis l’App Store avant que la version pour iOS 13.1 ne vous empêche de la télécharger ", fait-il savoir ce matin sur Twitter. A noter également, que les iPhone 5S et 6 ne seront pas compatibles avec le nouvel OS d’Apple.

Pour rappel, l’application FMobile permet de libérer les abonnés Free Mobile de l’itinérance Orange, et fonctionne également avec des opérateurs du monde entier. Une première version bêta de sa nouvelle mouture arrivera "courant septembre" pour "une première distribution fin septembre – début octobre". Parmi les changements visibles par l’utilisateur, on retrouve notamment une carte de couverture détaillée. L’objectif pour son développeur est de "créer un écosystème pour pleinement s’intégrer dans iOS et permettre une exécution en arrière-plan sans notification, sans confirmation. Et puisque cette manière de procéder nécessite iOS 13, toute l’application sera réécrite avec les nouvelles API d’iOS 13, dont SwiftUI".

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Face à la contestation de son pouvoir de sanction par Orange, l’Arcep défend bec et ongles le mode de régulation français

Agacé, le régulateur répond à Orange et se fend d’une piqûre de rappel : son pouvoir de sanction est primordial pour le bon fonctionnement de la régulation actuelle. En l’éradiquant, c’est tout un modèle qu’il faudrait changer à l’heure où le marché des télécoms français est "cité comme exemple en Europe et dans le monde".

La semaine dernière, Orange a contesté la légitimité de l’Arcep à sanctionner les opérateurs au nom du principe d’impartialité en déposant auprès du Conseil d’état une requête pour une question prioritaire de constitutionnalité visant directement le régulateur. Froissé, la police des télécoms lui a répondu hier dans un édito   à retrouver dans sa newsletter : "Le bâton du régulateur cache la forêt du modèle français. Contester le pouvoir de sanction de l’Arcep, alors même que celui-ci a fait l’objet d’une correction récente suite à une annulation pour des motifs d’inconstitutionnalité, n’est pas une simple procédure contentieuse. C’est défier l’esprit pragmatique de la régulation à la française", a t-elle clamé.

Le régulateur l’assure, il n’y a pas qu’une manière de réguler. Selon lui, son pouvoir de sanction est décisif en France. Utilisé de "manière exceptionnelle", il permet de "créer cette confiance et cette dynamique collective", se défend-il. Sans contrôle ni sanction, il serait difficile de faire respecter aux opérateurs leurs engagements "sur des enjeux concurrentiels ou de couverture du territoire", allusion faite notamment au New Deal Mobile proposé par le régulateur au gouvernement et signé avec les opérateurs en janvier 2018.

Si Orange a la mémoire courte, la police des télécoms prend le soin de lui rappeler avoir oeuvré également "à une évolution exigeante mais progressive de l’accord d’itinérance entre Free et Orange" ; en trouvant un accord avec l’opérateur historique "plutôt qu’en lui imposant des obligations sur sa fibre" ; mais aussi "en rendant des avis exigeants mais constructifs dans le cadre des procédures AMII et AMEL…"

A l’heure où le marché des télécoms français "est régulièrement cité en exemple à travers l’Europe et le monde" à ses dires, l’Arcep rappelle à Orange que la France a fait un choix différent de ses homologues européens, pays dans lesquels ont pu être décidé " la séparation fonctionnelle de l’opérateur historique ; le déploiement généralisé de la fibre par les collectivités locales ; l’écrasement des tarifs du dégroupage et des enchères juteuses sur les fréquences". 

Interrogé par La Tribune, Sébastien Soriano, président de l’Arcep n’a pas caché son agacement. Pour lui, Orange "attaque plus largement le modèle français de régulation". Avant de rappeler pourquoi il est nécessaire pour le régulateur de contrôler l’opérateur historique et de le sanctionner en cas de non respect de ses devoirs.

"Nous avons jugé qu’Orange, du fait de son besoin de regagner des clients dans l’Internet fixe [avec l’essor d’une forte concurrence dans l’ADSL, Ndlr] était incité à investir dans la fibre", explique-t-il, y voyant une "dynamique de marché positive". "Mais la contrepartie de ce choix, c’est qu’il faut que le régulateur vérifie au quotidien qu’Orange ne profite pas de cette situation en se donnant un avantage [vis-à-vis des autres opérateurs, Ndlr] sur le marché de détail. C’est ce qu’on appelle la non-discrimination. Pour y veiller, il faut un contrôle régulier et des procédures de sanction. Sans elles, nous serions potentiellement poussés à choisir des approches de régulation beaucoup plus radicales…"

Si l’Arcep venait à perdre son sifflet, la décision serait lourde de conséquences puisqu’elle pourrait mettre en danger le respect des engagements pris par les opérateurs sur leurs déploiements, la qualité de leur service etc…
Aujourd’hui, l’Arcep est séparé en trois formations : l’une édictant les normes pour le marché, une autre contrôlant et enquêtant sur ce marché et la dernière sanctionnant. Pour Orange, la séparation entre ces trois formations n’est pas assez claire.
 
 
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Free : quand un filoutage tourne au ridicule

Une nouvelle attaque par phishing cible les internautes. Un courrier électronique tentant en vain d’imiter le service client de Free, prétend offrir une récompense de 50€. L’arnaque est complètement ratée.

Un de plus. C’est monnaie courante, certains filoutages tentent de se faire passer pour Free en envoyant un mail/SMS ou une publicité aux abonnés et autres internautes dans l’optique de subtiliser leurs données personnelles et coordonnées bancaires. Parfois, ces phishing sont méticuleusement réalisés et trompent la vigilance de certains utilisateurs, mais bien souvent le piège tourne au ridicule. Dans le cas suivant, l’hameçonnage est vite repéré. Grossier, agrémenté d’une faute d’orthographe choquante et écrit dans un français douteux, celui-ci fait croire à ses proies avoir remporté une récompense de 50€ en répondant à un sondage. Classique mais l’opérateur de Xavier Niel n’est pas si philanthrope.

 

 

Une nouvelle fois, il faut ignorer ce mail frauduleux et le supprimer de votre boîte mail. Pour votre sécurité et éviter tous soucis, vérifiez toujours que votre barre de navigateur contient l’une de ces deux adresses : https://subscribe.free.fr/login/ pour votre espace Freebox ou https://mobile.free.fr/moncompte/ pour votre espace Mobile. Vous pouvez aussi signaler le site de phishing sur http://phishing-initiative.com/.


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Clin d’oeil : il veut retourner en prison pour … regarder Canal+

Incroyable mais vrai. A Toulouse, un SDF de 25 ans a volontairement laissé son ADN lors de multiples cambriolages durant l’été. La raison, se faire coffrer et retourner en prison pour jouir pleinement de Canal+.

"Des gens qui disent préférer la prison à la rue, c’est assez fréquent. Mais c’est sans doute la première fois que je défends un client qui désire aller en prison pour regarder les programmes pour adultes. D’un autre côté, il souffre de troubles psychiatriques et ses propos à la barre sont empreints de beaucoup de provocation. Je l’avais défendu l’année dernière et à ce moment-là, il disait préférer la liberté à la détention…" tel est le témoignage de Me Delphine Reynaud-Aymard, une avocate assistant un jeune cambrioleur sans domicile fixe. Durant l’été, celui-ci a multiplié les vols dans des résidences en crachant à chaque fois au sol pour y laisser son ADN, dans l’espoir de se faire attraper par les enquêteurs. Mais pourquoi ? Finalement arrêté, le cambrioleur a expliqué lundi 2 septembre à la barre du tribunal correctionnel, vouloir retourner en prison pour regarder Canal+.  Si le fond de l’affaire sera jugé le 17 septembre, il est fort à parier qu’il soit de nouveau incarcéré, une expertise psychiatrique a été ordonnée. 

Interrogé par Actu Toulouse, un agent pénitentiaire a indiqué qu’il est bel et bien possible de regarder Canal+ en prison, à un tarif inférieur à celui appliqué au grand public ou même gratuitement, du fait notamment de la surpopulation carcérale. Un détenu peut alors payer un abonnement permettant aux autres d’en profiter dans la même cellule sans débourser un centime. On apprend également que parfois "l’administration peut également prendre en charge l’abonnement des indigents contre quelques travaux dans la prison, comme le nettoyage des parties communes". 

 

Source : Actu Toulouse

 

 

 

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Orange, Free, SFR et Bouygues : la 4G débarque officiellement dans les 44 stations du métro de Lyon, mais pas dans les tunnels

Après une phase de test, les abonnés d’Orange, Free, Bouygues et SFR peuvent dorénavant surfer en 4G dans toutes les stations du métro de Lyon.  Il faudra toutefois attendre la fin d’année pour en bénéficier dans les tunnels et les rames.

Après 14 mois de travaux, les 44 stations du métro de la ville lumière sont depuis ce matin toutes connectées à la 3G et la 4G des quatre grands opérateurs, informe le Sytral, organisateur des transports en communs lyonnais. Ce n’est pas tout puisque les voyageurs du réseau TCL bénéficient également de la quatrième génération de téléphonie mobile dans le funiculaire. Et dès la fin de l’année, la connexion 4G sera déployée dans les tunnels et dans les rames.

 
Confié à Orange, "ce projet s’inscrit dans la volonté d’offrir un service optimal aux utilisateurs du réseau souterrain, qui représente chaque jour 750 000 voyages, soit près de la moitié de la fréquentation quotidienne du réseau TCL", confie enfin  le Sytral.
 

 

 

 

 

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Orange : “Nous n’avons pas un besoin immédiat de la 5G car nous avons à peine terminé la 4G”

Comme Bouygues, Orange ne prévoit pas une grande différence dans les usages grand public en 2020 lors du lancement des premières offres commerciales. Pas encore totalement généralisée dans l’hexagone, la 4G a encore de beaux jours devant elle 

Même s’il commencera le déploiement de la 5G dès l’attribution de fréquences, la conviction d’Orange est fondée : "Pour le grand public, la 5G s’inscrira dans une forme de continuité. Au niveau des usages grand public tels que nous les connaissons aujourd’hui, il n’est pas question d’une rupture aussi forte" que celle en prévision dans le secteur professionnel, a déclaré Stéphane Richard dans une interview accordée au magazine Entreprendre. A ses yeux, la 5G sera avant tout "une révolution" pour les entreprises que ce soit dans l’industrie, à savoir "la façon de concevoir une usine ou encore d’en assurer la maintenance prédictive", ou encore dans l’automobile avec les voitures connectées et autonomes mais aussi les villes intelligentes.

S’agissant du grand public, le patron d’Orange évoque une nouvelle ère dans "les médias et la manière de consommer les contenus et certains spectacles, notamment les spectacles vivants, et le sport". Désireux de ne pas louper le coche, Orange estime que les opérateurs européens sont dans la course face à leurs homologues asiatiques et américains. Cependant, pour le grand public, rien ne sert de courir trop vite puisque les usages ne sont pas encore là : "Nous n’avons pas un besoin immédiat de la 5G car nous avons à peine terminé la 4G. Nous pouvons continuer à vivre avec de la 4G durant quelques années, mais il est capital que nous ne soyons pas en retard vis-à-vis des Américains, des Chinois et des autres grands pays d’Asie, comme la Corée et le Japon, qui vont mener la course en tête", a encore confié Stéphane Richard. 

Pas de rupture en apparence dans le secteur BtoC donc dès 2020 comme la 4G face à la 3G. "Les changements d’usages, les nouveaux usages, et de manière un peu massive, ça va commencer en 2023" avec l’arrivée de la 5G standalone ,a pour sa part assuré en juillet Bouygues Telecom. Selon Jean-Paul Arzel, directeur Réseau de l’opérateur, la première génération de la 5G va également s’inscrire dans le prolongement de la 4G . "Il n’y aura pas une valeur ajoutée très différenciante pour le grand public. Ça va maintenir opérationnel et pérenniser les usages actuels de la 4G en apportant de la capacité aux opérateurs et en répondant au besoin croissant de data. Donc, c’est positif. Ça va permettre d’éviter la saturation du réseau."

Le déploiement de la 5G va se dérouler en plusieurs étapes et de manière progressive en fonction des besoins en capacité. Les opérateurs vont prendre appuis sur leur réseau existant en effectuant des upgrades, comme utiliser des points hauts existants sur lesquels seront des antennes 5G raccordées au réseau de transport existant, via la fibre. Dans quatre ans, la 5G disposera de son propre coeur de réseau et à ce moment là, celle-ci permettra de mettre en oeuvre des technologies qui vont faire baisser la latence. De quoi marquer une réelle différence avec la 4G aux yeux du grand public.

 

 

 

 


 

 

 

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Un nouveau phishing tente de se faire passer pour Free et vise les internautes

Ne pas tomber dans le panneau. 

C’est récurrent, des pirates tentent souvent très régulièrement de se faire passer pour Free et d’autres opérateurs comme Bouygues Telecom en envoyant un mail ou un sms aux utilisateurs dans l’optique de subtiliser leurs données personnelles et principalement leurs coordonnées bancaires. Si parfois, ces hameçonnages peuvent tromper la vigilance de certains, souvent le piège est rapidement décelé.

Ce nouveau phishing reprend cette fois le logo actuel de Free et faire croire à ses proies qu’elles ont remporté un cadeau, soit un iPhone XS Max ou un Samsung Galaxy S10 en payant quelques euros de frais d’expédition mais également six mois d’abonnement offert à un forfait mobile Free. Pour récupérer sa récompense, il faut alors répondre à un douteux sondage anonyme. A y regarder de plus près, l’adresse mail de l’expéditeur, incompréhensible, n’est pas celle utilisée par l’opérateur, à savoir Freemobile@free-mobile.fr. Et surtout, Free ne fait jamais gagner de smartphones sauf dans le cadre de jeu concours sur son compte Twitter. Et encore moins des forfaits gratuits.

Nous vous recommandons donc de ne pas cliquer sur le lien et de ne pas répondre à ce pourriel. Pour votre sécurité et pour éviter tous soucis, vérifiez toujours que votre barre de navigateur contient l’une de ces deux adresses : https://subscribe.free.fr/login/ pour votre espace Freebox ou https://mobile.free.fr/moncompte/ pour votre espace Mobile.

Vous pouvez aussi signaler le site de phishing sur http://phishing-initiative.com/.

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Free attaque Altice et lui réclame 216 millions d’euros

Selon l’opérateur de Xavier Niel, Numericable l’aurait empêché de s’emparer de Virgin Mobile en 2014.

A l’heure où le conflit persiste entre Free et la maison-mère de SFR autour de BFM TV, un autre combat se profile, entre vives tensions et flashback. D’après les informations de la Lettre A, l’opérateur de Xavier Niel vient de poursuivre Altice France devant le tribunal de commerce de Paris au sujet d’un vieux dossier, à savoir le rachat de Virgin Mobile en 2014. Si Numericable, juste avant sa fusion avec SFR, s’est emparé de l’opérateur virtuel appartenant alors à Omer Telecom Limited, Free aurait souhaité se porter acquéreur mais "les pratiques illégales" du groupe de Patrick Drahi l’en auraient empêché. Cinq ans plus tard, l’opérateur de Xavier Niel décide d’attaquer pour cette raison Altice France devant le tribunal de commerce de Paris et lui réclamerait 216 millions d’euros. En comparaison, le montant de la vente de Virgin Mobile à Numericable aurait avoisiné 325 millions d’euros.

Pour rappel,  l’Autorité de la concurrence a sanctionné solidairement Altice en 2016, et ce à hauteur de 80 millions d’euros, pour avoir racheté avant autorisation, Virgin Mobile et SFR.

 

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Les nouveautés de la semaine chez Free et Free Mobile : avalanche de chaînes offertes sur les Freebox, des promos jouent les prolongations etc…

C’est parti pour les nouveautés de la semaine ! Nous faisons un point sur les derniers événements marquants chez Free et Free Mobile. Si vous avez manqué l’arrivée d’un nouveau service ou une promotion au cours des sept derniers jours, c’est certainement ici que vous leur mettrez la main dessus. 

 


 

Nouveautés Free

 
  • De nombreuses chaînes sont offertes depuis cette semaine sur Freebox TV comme Adult Swim, Toonami, Toute l’Histoire, Motorvision, Pitchoun TV mais aussi les chaînes du bouquet Arabia. Plus d’infos…
  • C’est reparti pour un tour, l’offre spéciale Veepee proposant la Freebox Revolution avec TV By Canal pour 9.99€ par mois pendant un an a été prolongée jusqu’au 12 septembre. Plus d’infos…
  • Box’n TV, l’application permettant de regarder Freebox TV sur smartphone et tablette, corrige ses bugs. Plus d’infos…
  • Free continue de déployer ses offres fibre partout en France. Celles-ci sont désormais accessibles par endroit dans la Sarthe, dans la Moselle ainsi que sur les réseaux de Losange dans le Grand-Est.
  • TF1 4K sera de retour sur Freebox TV pour la coupe du monde de Rugby à la fin du mois. Plus d’infos… 
 
 

 

Nouveautés Free Mobile

 

  •  L’opérateur de Xavier Niel a prolongé son forfait intermédiaire "Série Free 50 Go" jusqu’au mardi 10 septembre. Plus d’infos…

  • Le Forfait Free Veepee proposé à 9,99€/mois pendant 1 an avec un smartphone Nokia 3.2 16Go offert, est quant à lui prolongé jusqu’au 17 septembre. Plus d’infos… 
  • Univers Freebox a testé le Xiaomi Mi 9T Pro, un smartphone haut de gamme à moins de 450 euros. Plus d’infos…

  • La rédaction a également testé le Moto G7 Play disponible chez Free Mobile, un smartphone compact qui permet de jouer (un peu). Plus d’infos…
  • Interview : Oppo compte proposer d’autres smartphones chez Free et promet la 4G 700 MHz pour tous ses modèles vendus en France. Plus d’infos…
 

 


 

Annonces de la semaine 

 
 
  • OCS et Free vous proposent de découvrir gratuitement les 3 premier épisode de la saison 1 de l’ambitieuse et rare série française de science-fiction, « Missions ». Plus d’infos…
  • Free : Xavier Niel confirme le lancement d’une nouvelle Freebox possiblement en 2019. Plus d’infos…
  • Lors de la présentation de ses résultats semestriels, la maison-mère de Free a annoncé être entrée en négociations avec un fonds d’infrastructure, InfraVia pour accélérer le déploiement de la fibre optique en France, plus précisément dans les zones de moyenne et faible densité. Plus d’info…
  • Free va ouvrir prochainement un nouveau Free Center dans la ville de Charleville-Mézières. Plus d’infos…

 

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