Le compte officiel FMobile 2 vient de publier une carte présentant sa feuille de route pour le support de son application dans les autres pays.
L’application disponible sur iOS permet à ses utilisateurs de s’affranchir de l’itinérance Orange. Elle a récemment été revue de fond en comble pour créer FMobile 2, compatible avec le nouvel iOS 13 d’Apple. Si pour l’instant, seuls quatre pays sont supportés mais le développeur ne veut pas s’arrêter là. Il a ainsi dévoilé sur son compte Twitter une carte du monde présentant les prochains pays supportés par son application.
On y apprend que la majorité de l’Europe ainsi que le Canada est sur le point d’être supporté par son application. Une bonne partie de la carte donc. Ces pays seront ajoutés par vague de régions en partant de la France. Pour 2020, le développeur semble vouloir se concentrer sur l’Asie et sur l’Amérique du Sud. Le compte officiel de l’application indique également que cette carte est donnée à titre indicative et donc pourrait changer.
Si l’application FMobile 2 ne fonctionne que sur les iPhones compatibles avec iOS 13, le développeur avait annoncé qu’une mouture dédiée aux utilisateurs de smartphones non compatibles était prévue avec FMobile 1.4.
Le cloud gaming est un nouveau secteur dans le jeu vidéo où les géants du milieu essaient chacun de faire leur place. Amazon pourrait bien chercher à obtenir une part du gâteau avec un allié de taille : sa plateforme Twitch.
Stadia vient d’être lancé et s’est révélé assez décevant pour beaucoup. Le premier essai de la firme de Mountain View n’est pas encore très concluant en l’état et Amazon pourrait ainsi chercher à frapper fort dans le milieu.
D’après les informations de The Verge, la firme de Jeff Bezos pourrait être le prochain à se lancer à l’assaut du cloud-gaming et pour cela il dispose de deux alliés conséquents. Tout d’abord on trouve sa plateforme Twitch, qui touche au coeur de gamers en permettant d’accéder à du contenu en direct en lien avec les jeux vidéos mais également à des jeux directement avec un compte Amazon Prime. Il s’assurerait ainsi une audience curieuse concernant ce nouveau projet et une plateforme où le promouvoir. Mais c’est aussi côté technologie qu’Amazon est bien pourvu, avec ses Amazon Web Services qui hébergent par exemple le jeu très populaire Fortnite.
Le plus grand inconnu reste la capacité pour Amazon de développer des jeux. Si le géant a déjà des studios de développement et son propre moteur de jeu, on ne sait pas encore ce qu’Amazon a dans le ventre sur ce plan. Mais le potentiel est là et pourrait tout à fait faire la différence sur un marché aussi jeune.
Le modèle Freemium arrive en France sur l’assistant vocal d’Amazon, avec certains skills proposant des achats ou des fonctionnalités premium.
Un modèle économique rappelant celui des jeux et applications mobiles. Pour encourager la création de skills Alexa, Amazon a créé “l’in-skill purchasing”, soit un moyen pour les développeurs de rendre certains contenus payant. Si ce modèle économique était déjà présent aux Etats-Unis depuis l’année dernière, il vient d’arriver en France.
Pour rappel, les skills sont un complément à l’assistant vocal que l’on peut installer pour accéder à de nouvelles fonctionnalités. Par exemple, sur la Freebox Delta il faut installer un skill dédié pour lancer Deezer à la voix. Trois modes d’achats sont disponibles actuellement pour ce type de contenus. Il est ainsi possible d’effectuer un achat “à l’acte” où l’utilisateur débloque l’accès à des fonctions ou à du contenu. On note également l’apparition de consommables, soit du contenu virtuel qui peut être épuisé (à la manière d’une monnaie ou des vies dans un jeu vidéo). Et enfin, certains skills proposeront des abonnements. Amazon a donné quelques exemples de skills concernés.
On y trouve ainsi Ciné Quizz qui propose un achat à l’acte pour accéder à plus de contenus et d’extraits de cinéma pour vous faire deviner de quel film il s’agit. Pour le système d’abonnement, Amazon explique que le skill Sleep Sounds, proposant des sons apaisants pour vous aider à dormir donne la possibilité d’avoir une meilleure qualité sonore via un abonnement , le son sera également répété plus longtemps pour les insomniaques. Quant aux “consommables”, on y trouve le jeu “Lemonade stand” qui simule un business de vente de limonades. Avec les achats in-skill, vous pourrez par exemple protéger votre stand des orages avec un parapluie en achetant un lot de dix pour 0.99€.
Il est indiqué lorsque las achats in-skills sont disponibles
Concrètement, les achats peuvent être effectués à la demande de l’utilisateur mais aussi en utilisant le nom de la fonctionnalité ou en acceptant lorsque le skill utilisé propose l’achat. Celui-ci est effectué en utilisant le mode de paiement lié au compte Amazon. Ce modèle ne concerne que certains skills ayant fait le choix de l’in-skill purchasing, mais les utilisateurs de Freebox Delta et d’enceintes connectées compatibles peuvent désormais voir apparaître des skills proposant ce type d’achats pour débloquer des fonctionnalités ou contenus premiums.
Quatre grands groupes privés de la télévision ont parlé d’une même voix pour critiquer la future loi audiovisuelle, arguant qu’elle les affaiblirait face aux Gafa.
Pour une fois, TF1, M6, Canal+ et Altice France se sont levés d’un même homme pour expliquer leurs craintes face à la future loi audiovisuelle. Nicolas de Tavernost (M6), Maxime Saada (Canal+), Gilles Pélisson (TF1) et Alain Weill (Altice) se sont ainsi exprimé lors d’un entretien pour Le Figaro sur le sujet.
Une alliance de circonstance justifiée par “l’urgence de la situation” d’après Gilles Pélisson, PDG de TF1. Celui-ci explique que les quatre groupes se sont alignés après avoir découvert que, d’après eux, le projet “nourrit des oppositions structurelles entre la création et les diffuseurs“. Un risque pour l’exception culturelle française. Avec l’arrivée de plateformes comme Amazon, Netflix, et Disney¨+ prochainement arrivant bientôt “sans obligations“, grâce à cette loi, Alain Weill assène quant à lui que “La loi est totalement aveugle, face à la menace qui pèse sur le secteur de la télévision“.
C’est en effet la principale crainte de ces groupes : l’arrivée et la liberté dont bénéficient les nouvelles plateformes créant du contenu audiovisuel. Maxime Saada explique que les chaînes de télévisions ont “l’impression d’être considérées comme de simples réceptacles à obligations“. Il compare les obligations imposées aux chaînes de télévision à celles imposées aux plateformes en expliquant que “les obligations des plateformes ne sont que virtuelles” et déplore le fait de ne voir aucun allègement se profiler. Pour illustrer ses craintes, le PDG de Canal+ explique que “ce qui est financé par les Gafa appartiendra toujours aux GAFA. Et ce que nous financerons appartiendra aussi aux Gafa.“. D’autres craintes sont également soulevées par Alain Weill, concernant la publicité ciblée. Pour l’homme d’affaire, “la publicité adressée va être autorisée mais nous n’aurons pas le droit de mettre l’adresse du commerçant local“, dénonçant justement le fait que Google soit le premier acteur de la publicité et que les chaînes de télévision françaises “ne récupéreront que les miettes“.
Interrogé par Le Figaro, Nicolas de Tavernost explique ce que réclament les groupes. “Simplement d’avoir des marges de manœuvres similaires à celles des Gafa“, par exemple la possibilité de produire dans les mêmes conditions que les plateformes. Pour appuyer son propos, il explique que la France n’a pas encore réussi à créer un grand champion international au niveau de la fiction.
Comme chaque semaine, nous vous proposons notre chronique « Ça s’est passé chez Free et dans les Télécoms … » Celle-ci vous propose de vous replonger dans les événements qui ont fait l’actualité de la semaine en cours, mais durant les années, les décennies, voire les siècles précédents. Ces événements concerneront Free bien sûr, mais plus largement les télécoms et le numérique. Souvenirs, souvenirs …
17 novembre 2006: Iliad (Free) annonce officiellement s’intéresser à la licence d’opérateur mobile
Les prémices d’un lancement qui ne se fera que 6 ans plus tard. Iliad a officiellement annoncé dans un communiqué son intérêt pour la 4ème licence d’opérateur mobile. Si à l’époque de cette annonce, aucun engagement n’était pris pour l’opérateur, avec le recul on se rend compte que déjà en 2006, la machine Free Mobile était en marche.
18 novembre 1987: Création de SFR
Retour 32 ans en arrière, à la création d’un opérateur que l’on connait tous. C’est en effet le 18 novembre que la Compagnie Générale des Eaux a créé cette société française de radiophonie, que nous connaissons depuis sous le nom de SFR. A l’époque, il ne proposait qu’un service de radio-télécommunications analogique en concurrence avec Radiocom 2000 de France Telecom.
17 novembre 2014: les abonnés Bouygues Telecom deviennent des abonnés B&You
Initialement, la marque B&You avait été créée comme une solution à bas-prix pour l’opérateur Bouygues Telecom en 2011. Cependant, 3 ans après, la marque est devenue l’unique nom des offres mobiles proposées par Bouygues Telecom.
14 novembre 1992: Canal+ lance son bouquet de chaînes par satellite
Canal+ et Lagardère (anciennement Europe 1 Communication) ont lancé le premier “bouquet” satellitaire français analogique 27 ans auparavant. Baptisé “Le câble par satellite”, ce bouquet a été introduit au grand public à l’occasion des Jeux olympiques d’hiver d’Albertville. Il s’agit également d’un premier essai avant le lancement commercial de Canalsatellite.
Pour l’occasion, on ne résiste pas à l’envie de vous montrer une vieille pub de Canal+
20 Novembre 1985 : Windows 1.0 est lancé
C’était les premiers pas d’un géant, le lancement du premier système d’exploitation avec interface graphique de Microsoft : Windows 1.0. La marque de Bill Gates n’a d’ailleurs jamais changé le nom, continuant à développer des nouvelles versions et il est difficile de croire que vous n’ayez jamais utilisé un ordinateur tournant sur Windows de votre vie. C’est le début de l’empire Microsoft même si on ne le savait pas encore…
Après une remise à neuf sur sa version iOS, c’est au tour des utilisateurs d’appareils Android de bénéficier de cette nouvelle version de MyCanal.
Après plusieurs semaines de teasing par l’assistance canal, c’est enfin une réalité, l’application MyCanal sur Android passe à sa version 4.4.1 et fait peau neuve. A l’occasion du déploiement sur iOS, le service avait publié une vidéo mettant en avant les changements dans l’appli que vous pourrez retrouver ici. C’est une refonte complète de l’appli, avec :
– Une nouvelle navigation
– Une nouvelle page d’accueil qui regroupe contenus à la demande, live et à venir
– Un accès simplifié aux thématiques et aux chaînes via l’entrée Explorer
– Une expérience utilisateur revue avec de nouveaux formats d’images qui améliorent la présentation des contenus
A l’occasion de la journée internationale des droits de l’enfant, lors d’une tribune à l’UNESCO, le Président de la République a enjoint “les opérateurs” à mettre en place un contrôle parental par défaut pour éviter l’exposition des enfants à la pornographie.
L’âge moyen de la première exposition à des images pornographiques est de 13 ans. Emmanuel Macron souhaite éviter une exposition trop précoce à ce type contenu sur internet et donne 6 mois aux opérateurs du numérique et aux acteurs de l’internet pour proposer des “solutions robustes” pour éviter ces cas de figures. Si aucune solution n’est trouvée, le gouvernement légiférera en conséquence. Il assène d’ailleurs que “dès maintenant, nous préparons la loi“.
La consommation de ce type de contenu doit, d’après le chef d’Etat, être plus réglementée et il faut ainsi permettre aux parents de “reprendre davantage la main, avec un contrôle parental par défaut“. Pour Emmanuel Macron, le fait que ce contrôle parental soit encore aujourd’hui uniquement une démarche volontaire n’est pas suffisant. Il faudrait ainsi imposer directement le contrôle parental et en cas de volonté d’accéder à ce type de contenu, l’utilisateur devrait le désactiver lui même. Un projet du même type avait été évoqué par Laurence Rossignol, alors Ministre des Familles, de l’Enfance et des Droits des Femme en 2017, sans suite, mais Emmanuel Macron a décidé d’imposer une date limite pour mettre en place cette mesure.
La plupart des services de streaming musicaux proposent des offres avec des pertes concernant la qualité sonore. Si Deezer propose une offre HiFi depuis quelques années, elle était limitée à quelques enceintes connectées et aux ordinateurs. Plus maintenant.
Deezer a annoncé étendre son offre Deezer HiFi aux utilisateurs de son application iOS et Android, ainsi qu’à ceux passant par le site web. L’offre est proposée pour 20€/mois, avec un mois d’essai gratuit. La différence réside dans la qualité de la musique: on passe du format MP3 à 320 kbp/s à du FLAC avec la qualité d’un CD ( 1411 kbp/s). Une offre qui était pour l’instant réservée à certaines enceintes connectées et à l’application pour ordinateur du service.
A titre de comparaison, l’abonnement classique de Deezer est de 10€ par mois pour une qualité en MP3. Il sera bien sûr possible de choisir quel support utilisera la qualité FLAC, afin de minimiser la consommation de données sur smartphone par exemple. A noter également que cet abonnement reste individuel, il n’existe pas de formule famille et que si vous bénéficiez de l’offre via un opérateur, il faudra supprimer l’option et commencer un nouvel abonnement HiFi.
Facebook, le propriétaire de WhatsApp, vient d’indiquer qu’une nouvelle faille avait été trouvée dans son application et invite ses utilisateurs à faire une mise à jour le plus vite possible.
Il y a quelques semaines, une faille avait été détectée sur l’application du géant américain permettant de hacker votre smartphone via un GIF envoyé. Facebook a déposé un nouvel avis de sécurité pour une faille critique permettant plusieurs actions malveillantes.
Dans l’application, cette faille permet d’accéder aux données cryptées des utilisateurs ou d’installer des logiciels malveillants sur l’appareil concerné. La procédure est simple, il suffit d’envoyer un fichier .MP4 vérolé pour réaliser ces actions. Le géant américain a cependant annoncé que cette faille n’avait pas été exploitée et un patch a été déployée depuis.
Les versions les plus concernées sont celles antérieures à 2.19.274 sur Android et 2.19.100 sur iOS. Il est donc vivement recommandé de mettre votre application WhatsApp à jour.
La mode est à la domotique, après Free et sa Freebox Delta, Orange et sa Maison Connectée, c’est au tour de SFR de se lancer dans le domaine avec un nouvel univers “SFR Home”.
L’opérateur l’avait annoncé lors de la présentation de sa nouvelle, il lance aujourd’hui son propre service domotique pour les abonnés SFR Box 8. SFR Home prend la forme d’un pack connecté qui regroupe une caméra Wi-Fi, une prise connectée et une ampoule connectée pour 69€. Deux services y seront associés : une nouvelle application “Home” pour gérer les appareils connectés à la box et un service d’alertes par SMS/email/notifications push et d’enregistrement du flux de la caméra pour lequel les abonnés devront débourser 2€ supplémentaires par mois.
Pour l’occasion, SFR a également ouvert son magasin proposant de nombreux équipements compatibles allant de l’alarme aux interrupteurs sans fils. Avec la Box 8 de SFR et son assistant vocal “Ok SFR”, il sera possible de contrôler ces équipements avec des commandes vocales. Pour rappel, les abonnés SFR peuvent accéder au dernier player de SFR via un paiement de 5€/mois.
Si les deux packs domotiques proposés par Free et SFR sont différents (l’un s’orientant plus vers la sécurité du domicile et l’autre vers la domotique classique), il peut être intéressant de comparer le prix de chaque opérateur à service égal. Pour avoir un équivalent en terme de service au pack sécurité de la Freebox Delta sur le magasin SFR, il faudra compter 59€ de sirène interne, 29€ pour un détecteur d’ouverture et 39€ de détecteur de mouvement en plus de la caméra Wi-Fi proposée à 49€ ou incluse dans le pack connecté (soit 179€). Le pack sécurité de la Freebox Delta est quant à lui proposé à 59€. A noter également que si SFR propose de nombreux outils dans sa boutique en ligne, les équipements supplémentaires pour les abonnés Freebox Delta sont proposés par ses partenaires, comme Somfy par exemple.