Auteur : dimitri

Choc des smartphones à 399 euros proposés par Free : Galaxy A71, Mi 10 Lite, Find X2 Lite, lequel choisir ?

Avec les baisses de prix, Free Mobile propose actuellement trois smartphones à 399 euros. Lequel se présente comme le meilleur choix en fonction de vos besoins ?

Avec le choc des smartphones, Univers Freebox vous propose un comparatif des smartphones vendus à tarifs équivalents via la boutique de Free Mobile. Il s’agit de vous aider à choisir en fonction de vos attentes. 

Aujourd’hui, nous mettons face-à-face les Samsung Galaxy A71, Xiaomi Mite 10 Lite et Oppo Find X2 Lite, tous les trois proposés à 399 euros et compatibles avec la B28 (4G 700 MHz) chère à l’opérateur de Xavier Niel. Vous pourrez d’ailleurs retrouver nos tests complets en cliquant sur les liens.

L’écran : avantage pour Samsung

Dalle AMOLED et définition Full HD+, les  Samsung Galaxy A71, Xiaomi Mite 10 Lite et Oppo Find X2 Lite sont coude-à-coude. Le premier offre toutefois une diagonale un peu plus grande que les autres, tout en se débarrassant de l’encoche au profit d’un poinçon plus discret.

Notre classement :

  1. Samsung Galaxy A71  (6,7 pouces, FHD+, AMOLED et poinçon)
  2. Xiaomi Mite 10 Lite (6,57 pouces, FHD+, AMOLED et encoche goutte d’eau)
  3. Oppo Find X2 Lite (6,4 pouces, FHD+, AMOLED et encoche goutte d’eau)

Performances en multimédia : avantage pour Oppo

Les smartphones Oppo et Xiaomi prennent appui sur la plate-forme Snapdragon 765G de Qualcomm, synonyme d’un processeur octa-core jusqu’à 2,4 GHz et d’une compatibilité 5G grâce au modem X52 intégré. Le modèle Oppo embarque toutefois plus de mémoire, à savoir 8 Go, contre 6 Go chez Xiaomi, ce qui s’annonce un avantage en multitâche. Le Samsung se retrouve derrière avec son chipset moins performant le privant en plus de la 5G.

Notre classement :

  1. Oppo Find X2 Lite (Snapdragon 765G, 8 Go de RAM, 5G)
  2. Xiaomi Mite 10 Lite (Snapdragon 765G, 6 Go de RAM, 5G)
  3. Samsung Galaxy (Snapdragon 730, 6 Go de RAM, 4G)

La photo : avantage pour Samsung

Le Samsung se démarque avec son capteur photo principal de 64 Mégapixels, quand les concurrents se contentent d’un module 48 Mégapixels. Il propose également un capteur frontal 32 Mégapixels qui devrait faire le bonheur des amateurs de selfies. Les Oppo et Xiaomi jouent dans la même cour, embarquant tous les deux un quadruple capteur photo 48 + 8 + 2 + 2 Mégapixels, avec un module principal de 48 Mégapixels et un module 8 Mégapixels pour l’ultra grand-angle. L’Oppo se montre toutefois mieux loti avec un capteur photo frontal 32 Mégapixels, quand le modèle Xiaomi propose un module 16 Mégapixels pour les selfies.

Notre classement :

  1. Samsung Galaxy A71 (64/12/5/5 Mégapixels à l’arrière et 32 Mégapixels à l’avant)
  2. Oppo Find X2 Lite (48/8/2/2 Mégapixels à l’arrière, 32 Mégapixels à l’avant)
  3. Xiaomi Mite 10 Lite (48/8/2/2 Mégapixels à l’arrière, 16 Mégapixels à l’avant)

L’autonomie et la charge : avantage pour Oppo

Les trois smartphones proposent une batterie de bonne capacité et une charge rapide. Oppo va toutefois plus loin concernant la charge, avec une puissance de 30 Watts.

Notre classement :

  1. Oppo Find X2 Lite (batterie 4 025 mAh et charge 30 Watts)
  2. Samsung Galaxy A71 (batterie 4 500 mAh et charge 25 Watts)
  3. Xiaomi Mite 10 Lite (batterie 4 160 mAh et charge 20 Watts)

L’interface : une affaire de goût

Dernier aspect, et non des moins importants : la partie logicielle. Indéniablement, les interfaces One UI, MIUI et ColorOS proposées respectivement par Samsung Xiaomi et Oppo sont très complètes en termes de fonctionnalités. Cela reste une affaire de goût. Durant nos propres tests, nous avons toutefois beaucoup préférences les interfaces One UI MIUI, tout en étant mieux organisée à nos yeux que l’interface ColorOS.


Le choix d’Univers Freebox


Si nous devions choisir, nous opterions pour l’Oppo Find X2 Lite. Proposant lui aussi un écran AMOLED et de la polyvalence en photo, il se démarque avec de la rapide plus rapide. Nous aurions pu hésiter entre lui et le Samsung Galaxy A71 si ce dernier proposait lui aussi une compatibilité 5G (dans cette version, sachant qu’il existe un modèle 5G à 479 euros).


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Attaquer une antenne-relais de Free, Orange, Bouygues ou SFR peut coûter très cher

Saboter une antenne-relais ou tout autre équipement de télécommunication est sévèrement puni par la loi. Petit aperçu des peines encourues par ceux passant à l’acte et ceux poussant les autres à l’action.

Au cours des derniers mois, plusieurs attaques ont ciblé les d’antennes-relais de téléphonie mobile dans l’Hexagone. On ne parle pas de simples dégradations esthétiques de type graffitis, mais plutôt de câbles coupés ou d’incendies entraînant des perturbations sur le réseau et coûtant cher aux opérateurs. Sans couper les risques d’un feu étendu à l’environnement autour. La France a même eu droit à sa place sur un triste podium européen. Mais, au fait, que risquent les auteurs des dégradations ?

De la prison à la clé

L’arsenal législatif permet aux juges de sanctionner durement ceux sabotant les antennes-relais. Citons l’article 322-1 du Code pénal selon lequel “la destruction, la dégradation ou la détérioration d’un bien appartenant à autrui est punie de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende”.

Le Code des postes et des communications électroniques contient également quelques articles sur le sujet. “Toute personne qui, par la rupture des fils, par la dégradation des appareils ou par tout autre moyen, cause volontairement l’interruption des communications électroniques, est punie d’un emprisonnement de deux ans et d’une amende de 3 750 euros”, stipule ainsi l’article 66. “Le fait de déplacer, détériorer, dégrader de quelque manière que ce soit, une installation d’un réseau ouvert au public ou de compromettre le fonctionnement d’un tel réseau est puni d’une amende de 1 500 euros.Lorsqu’il s’agit d’une installation comportant plusieurs câbles, il est prononcé autant d’amendes que de câbles concernés”, précise de son côté l’article 65.

L’article 67 prévoit même jusqu’à 20 ans de prison, dans le cadre d’un mouvement insurrectionnel. “Sont punis de vingt ans de détention criminelle et d’une amende de 4 500 euros, sans préjudice des peines que pourrait entraîner leur complicité avec l’insurrection, les individus qui, dans un mouvement insurrectionnel, ont détruit ou rendu impropres au service une ou plusieurs lignes de communications électroniques, brisé ou détruit des appareils, envahi, à l’aide de violence ou de menaces, un ou plusieurs centraux ou stations de communications électroniques, ceux qui ont intercepté par tout autre moyen,avec violence et menaces, les communications électroniques ou la correspondance par communications électroniques entre les divers dépositaires de l’autorité publique ou qui se sont opposés avec violence ou menaces au rétablissement des liaisons de communications électroniques”, peut-on en effet lire dans cet article du CPCE.

Les peines peuvent évidemment s’alourdir en fonction des éléments et des circonstances. C’est le cas notamment dans le cadre d’une action en bande organisée.

Applaudir et désinformer aussi

On se souvient par ailleurs qu’une élue écologiste avait applaudi une personne se revendiquant anti-5G et ayant participé à l’incendie d’une antenne 5G… Interrogé à ce sujet par nos confrères de Numerama, l’avocat Alexandre Archambault, spécialiste du droit des réseaux, indique que l’approbation peut relever de l’article 421-2-5 du Code pénal. Celui-ci punit l’apologie publique d’actes de terrorisme. Il prévoit jusqu’à cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende.

Alexandre Archambault met également en garde les auteurs de théories du complot. En roulant ou franchissant la ligne jaune, ils voient leur responsabilité mise en jeu et encourent jusqu’à 45 000 euros d’amende avec l’article 27 de la loi de 1881 sur la liberté de la presse. Celui-ci punit “la publication, la diffusion ou la reproduction, par quelque moyen que ce soit, de nouvelles fausses, de pièces fabriquées, falsifiées lorsque, faite de mauvaise foi, elle aura troublé la paix publique, ou aura été susceptible de la troubler”.

Comment sont cherchés les auteurs des dégradations

“En cas d’atteinte déclenchant une procédure d’enquête pénale, la première chose que vont faire les enquêteurs, c’est d’obtenir la liste des terminaux qui ont borné sur une zone donnée et de croiser cela avec les numéros du voisinage, les membres des associations contre l’antenne ou encore les black blocs du coin”, indique Alexandre Archambault. Les enquêteurs utiliseront en outre les témoignages ou les enregistrements de caméra de surveillance.

Source : Numerama

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Google voudrait stopper la surenchère des plus beaux selfies

Permettre de belles photos pour les réseaux sociaux, oui. Favoriser l’émergence de nouveaux standards irréels, non. Pas question, pour Google, de nuire au bien-être des utilisateurs.

Lors de la publication de selfies sur les réseaux sociaux, il est logique pour les internautes de choisir ceux qui les mettront le plus en valeur. Le secteur des smartphones l’a d’ailleurs bien compris en ne délaissant plus la partie photo frontal sur les smartphones et en proposant des filtres “beauté” au niveau des applications photo.

Google y va d’ailleurs de quelques recommandations à ce sujet pour garantir le bien-être des utilisateurs, dans une société où les individus se comparent de plus en plus aux autres. Vinit Modi, chef produit chez de la firme de Mountain View, invite à ne plus activer par défaut les fameux filtres “beauté”, pour ne pas installer implicitement de nouveaux standards dans l’esprit des personnes. Il invite aussi à indiquer de manière claire, dans l’interface, l’activation de tels filtres. Il suggère enfin d’utiliser des termes plus neutres que beauté. Lissage faible ou lissage élevé sont de bons exemples.

Source : Frandroid

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Cdiscount Mobile propose un forfait 30 Go en promotion à 2,99 euros

 

 

Cdiscount Mobile dégaine un nouveau forfait mobile en promotion. Le prix réduit n’est valable que durant les 6 premiers mois d’abonnement.

Proposé jusqu’au 4 octobre, le nouveau forfait “Immanquable” de Cdiscount Mobile comprend les appels, SMS et MMS en illimité, ainsi que 30 Go de data (débit réduit au-delà) en 3G/4G (selon la couverture). En roaming, l’utilisateur disposera de 10 Go pour l’Europe et les DOM.

À noter que le tarif promotionnel n’est valable que durant 6 mois, avant un passage à 12,99 euros par mois. Il faudra en outre payer 10 euros, au moment de la commande, pour la carte SIM triple découpe.

Comme NRJ Mobile ou Auchan Telecom, la marque Cdiscount Mobile appartient à Euro Information Telecom, cinquième opérateur mobile en France avec 2 millions de clients, d’ailleurs en passe d’être racheté par Bouygues Telecom. Elle utilise pour rappel les réseaux de Bouygues Telecom, Orange et SFR.

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Smartphones : Google officialise deux Pixels compatibles 5G et Xiaomi présente sa famille Mi 10T rendant la technologie accessible

Chaque semaine, retrouvez un condensé des annonces autour des smartphones. Au menu : l’annonce des nouveaux Mi 10T de Xiaomi, la présentation des nouveaux Pixel 4a 5G / Pixel 5 de Google et l’arrivée du Sony Xperia 5 II. Que des smartphones 5G dans le lot, certains plus accessibles que d’autres.

Cette semaine, Xiaomi a annoncé trois smartphones Mi 10T Lite, Mi 10T et Mi 10T Pro, tous les trois compatibles 5G et dotés d’un écran IPS 6,67 pouces FHD+.

Positionné sur le milieu de gamme, le premier opte pour un chipset Snapdragon 750G, un écran 120 Hz et un capteur photo principal 64 Mégapixels. En haut de gamme, les deux autres embarquent un chipset Snapdragon 865, un écran 144 Hz et un module photo 108 Mégapixels. La version Pro permet d’avoir plus de stockage et la stabilisation optique.

Le prix du Mi 10T Lite démarre à 269,90 euros et celui du Mi 10T Pro à 569,90 euros. Le modèle standard coûte 499,90 euros.

De son côté, Google a détaillé les Pixel 4a 5G et Pixel 5. Tous les deux ont un chipset Snapdragon 765G pour proposer la 5G, un écran OLED, un son stéréo, un double capteur photo 12,2 + 16 Mégapixels et une charge rapide 18 Watts. Plus haut en gamme, le Pixel 5 ajoute l’affichage 90 Hz, et la charge sans-fil. Il profite aussi d’une finition aluminium, contre plastique pour le Pixel 4a 5G.

Les Pixel 4a 5G et Pixel 5 ont été annoncés à respectivement 499 et 629 euros.

 

Quant au Sony Xperia 5 II annoncé pour l’automne, il apparait désormais en précommande en France. Coûtant  899 euros, il propose pour rappel un chipset Snapdragon 865 synonyme de 5G, un écran OLED 120 Hz promettant de la fluidité dans les jeux, un triple capteur photo 12 + 12 + 12 Mégapixels assurant de la polyvalence et une batterie 4 000 mAh supportant la charge 21 Watts. 

La firme nippone conserve le ratio 21/9 pensé pour le contenu et la prise en main, mais persiste aussi avec la bordure permettant d’accueillir le capteur à selfies. Autrement dit : pas de poinçon ni d’encoche.

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En comptant ceux signés avec Free et Orange, Nokia revendique 100 contrats autour de la 5G

Nouveaux contrats signés, nouveau cap symbolique pour Nokia. Le géant finlandais annonce avoir atteint la centaine de contrats autour de la 5G.

100, c’est le nombre de contrats 5G signés par Nokia. L’équipementier réseau finlandais a atteint ce cap symbolique grâce à la signature de 17 nouveaux accords commerciaux autour de la nouvelle technologie au cours du troisième trimestre 2020. Il a notamment signé cette semaine avec BT, ex-British Telecom, l’opérateur historique britannique de télécommunications. Nokia rappelle avoir signé avec les quatre premiers opérateurs américains et les trois premiers opérateurs au Japon et en Corée. 

“Cette dynamique commerciale pour la 5G auprès des opérateurs et entreprises s’appuie sur les avancées technologiques réalisées par Nokia”, estime l’équipementier, notant par exemple avoir été “le premier au monde à avoir lancé le découpage en tranches des réseaux 4G et 5G (network slicing), qui permet aux opérateurs de fournir à leurs clients des “tranches” uniques et indépendantes du réseau de bout en bout, adaptées à des applications spécifiques”. Nokia indique par ailleurs avoir proposé en avril dernier “la première solution de partage dynamique du spectre (DSS) du secteur, qui permet le partage du spectre entre la 2G, la 3G, la 4G et la 5G”.

Nokia a signé avec Free et Orange pour la 5G

En France, rappelons que Nokia a signé avec deux des quatre grands opérateurs télécoms. Partenaires depuis 2010 pour le déploiement de la 3G/4G, Iliad et Nokia ont en effet annoncé en septembre 2019 rempiler pour la 5G. Après plusieurs mois de tests, Orange avait indiqué, en janvier 2020, avait indiqué opter pour Nokia et le géant suédois Ericsson.

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Nouveau partenaire officiel des JO 2024 de Paris, Orange connectera l’événement au monde grâce au très haut débit

Orange assurera la connexion en très haut débit, fixe et mobile, des Jeux Olympiques et Paralympiques qui se dérouleront en 2024 à Paris.

Paris accueillera les Jeux Olympiques 2024. La capitale française recevra aussi les Jeux Paralympiques 2024. En tant que nouveau partenaire officiel, Orange mettra son expertise à contribution pour garantir la connexion réseau de l’événement.

Le partenariat a été confirmé par Stéphane Richard, PDG d’Orange, et Tony Estanguet, Président de Paris 2024, en présence d’Anne Hidalgo, Maire de Paris. “Durant les quatre prochaines années, les femmes et les hommes d’Orange seront pleinement engagés dans ce challenge pour faire rayonner les Jeux à travers le monde grâce à la performance de nos réseaux”, selon Stéphane Richard. À partir d’aujourd’hui et durant les quatre années à venir, l’opérateur historique préparera en effet le terrain, afin de connecter en très haut débit fixe (fibre optique) et mobile (5G), les Jeux Olympiques et Paralympiques 2024.

“La connectivité doit être irréprochable pour que spectateurs et téléspectateurs puissent vivre pleinement leur passion et partager leurs émotions”, rappelle Tony Estanguet, Président de Paris 2024. Chaque site de compétition profitera ainsi du très haut débit, afin d’offrir une qualité de service optimale aux diffuseurs et la meilleure expérience possible aux spectateurs en France comme à l’international. Orange rappelle qu’ils étaient près de 4 milliards à avoir répondu présents lors des JO 2012 de Londres. Plus de 20 millions d’appels avaient été passés. Le futur siège du Comité d’Organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, situé à Saint-Denis, en Seine-Saint-Denis, sera le premier site connecté dans le cadre de ce partenariat, dès début 2021.

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Auchan Telecom lance un forfait 100 Go en promotion à 9,99 euros par mois

Auchan Telecom dégaine un forfait mobile 100 Go sans engagement à prix cassé. Le tarif promotionnel ne vaut toutefois que durant la première année d’abonnement.

Jusqu’au 12 octobre, Auchan Telecom propose un forfait mobile sans engagement incluant les SMS, MMS et appels illimités, ainsi que 100 Go de data (débit réduit au-delà) avec débits 3G ou 4G (selon la couverture disponible), pour seulement 9,99 euros par mois. Il y a également 5 Go prévus pour le roaming dans les DOM et l’Union européenne.

Le tarif promotionnel vaut pour les 12 premiers mois d’abonnement, au-delà desquels le prix passe à 19,99 euros par mois. Notez qu’il faudra débourser 10 euros pour la carte SIM triple découpe, au moment de la commande.

Comme Cdiscount Mobile ou NRJ Mobile, la marque Auchan Telecom appartient à Euro Information Telecom, cinquième opérateur mobile en France avec 2 millions de clients, d’ailleurs en passe d’être racheté par Bouygues Telecom. Elle utilise les réseaux de Bouygues Telecom, Orange et SFR.

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Asus Zenfone 7 Pro : le smartphone haut de gamme et son bloc Flip Camera testés par Univers Freebox

En 2019, Asus avait joué la carte de l’innovation avec un Zenfone 6 équipé d’un bloc photo Flip Camera. La firme taïwanaise remet le couvert en 2020 avec des Zenfone 7 et 7 Pro. Univers Freebox a pu tester le second pendant une dizaine de jours.

Avant de passer au test, voici les caractéristiques du Zenfone 7 Pro, qui s’affiche en ce moment à 799 euros sur la boutique du constructeur et dont un exemplaire nous a été prêté par la marque :

 


Fiche technique de l’Asus Zenfone 7 Pro : les caractéristiques


–   Processeur : octa-core jusqu’à 3,1 GHz (chipset Snapdragon 865+)
–   Mémoire vive : 8 Go en LPDDR5


–   Écran : dalle AMOLED 6,67 pouces
avec une définition FHD+ (2 400 x 1 080 pixels) et un rafraîchissement en 90 Hz
–   Audio : son stéréo
–   Stockage : 256 Go en UFS 3.1 extensible par MicroSD (slot dédié)


–   Deux logements Nano-SIM accessibles depuis un tiroir de la tranche gauche
–   Compatibilité 4G : support des bandes B1/B2/B3/B4/B5/B7/B8/B12/
B17/B18/B19/B20/B26/B28/B29/B38/B39/B40/B41
–   Compatibilité 5G : oui


–   Triple capteur photo au dos (organisation en ligne) utilisable pour l’avant et l’arrière : 64 + 8 + 12 Mégapixels


–   Prise casque 3,5 millimètres : non
–   Connectique de charge : USB-C (dans la tranche inférieure)
–   Support Wi-Fi : 802.11a/b/g/n/ac/ax
–   Connectivité Bluetooth : version 5.1
–   NFC : oui


–   Batterie : 5 000 mAh non amovible
–   Recharge filaire : support de la charge 30 Watts (bloc inclus dans la boîte)
–   Recharge sans-fil : non


–   Système d’exploitation : Android 10 avec l’interface ZenUI 7


–   Solutions de déverrouillage : reconnaissance faciale ou lecteur d’empreintes digitales sur la tranche droite
–   Patchs de sécurité installés durant notre test : juillet 2020


Un prix smartphone qui pèse, au sens premier du mot

De face comme de dos, l’Asus Zenfone 7 Pro attire l’attention. 

Un écran reste un écran, mais on apprécie l’absence d’intrus de type encoche, poinçon et surtout bordure. Place au contenu. 

Un dos n’est pas ce que l’on regarde le plus en théorie, mais on apprécie toujours d’avoir un bel appareil. Tout noir avec un léger reflet, celui du Zenfone 7 Pro est vraiment classe.

Vous pouvez d’ailleurs le garder visible ou de la cacher. Le constructeur fournit en effet la coque transparence comme avec l’Asus Zenfone 6 et une coque noire texturée en plus cette année. Moins cheap et plus classe, de l’aveu même d’Asus, la seconde présente une petite spécificité, à avoir un loquet. Le constructeur nous a d’ailleurs expliqué son origine : il s’agit de répondre aux attentes du marché asiatique, avec des smartphones utilisés en GPS sur les scooters et donc soumis à de bonnes secousses. Bien vu.

L’Asus Zenfone 7 Pro compte peser dans le game. En main, il ne passe en tout cas pas inaperçu. Un ressenti accentué lorsqu’on l’habille de l’une de ses coques. Cela s’explique par le gabarit, la grosse batterie et les matériaux utilisés. Ce smartphone se fait difficilement oublier dans la poche du pantalon et encore moins dans celle du short lors d’un footing.

Comme souvent, le bloc photo arrière dépasse du dos et pourra se faire sentir lors de la tenue en mode paysage pour la vidéo ou le jeu. Son positionnement et sa largeur ne rendront en revanche pas instable le smartphone posé sur le dos. C’est déjà ça.

Un écran sans intrus et un son stéréo

Avec l’Asus Zenfone 7 Pro, on a l’écran de rêve sur le papier et à l’usage : de l’AMOLED pour de belles couleurs et des noirs profonds, pas d’intrus type encoche ou poinçon pour laisser la place au contenu et un taux de rafraîchissement à 90 Hz pour une grande fluidité en jeu ou en navigation. En multimédia, la diagonale de 6,67 pouces sera un régal. Vous pourrez régler la chaleur d’affichage et le taux de rafraîchissement dans les paramètres. Une icône dans la barre d’état indiquera d’ailleurs le taux de rafraîchissement automatique ou paramétré à 90 Hz.

 

Côté son, on du stéréo et quelque chose de puissant, avec toutefois une asymétrie vite perceptible. On peut le constater en bouchant avec les doigts les grilles des haut-parleurs. Le son dans la tranche supérieur se révèle bien moins puissant. Oubliez en revanche le mini-jack. Il ne fait pas partie de l’équation. Il faudra passer par le Bluetooth ou l’USB-C.

Flip Camera : la même qualité photo à l’avant comme à l’arrière, des fonctions pratiques

Asus mise à nouveau sur le bloc Flip Camera, un bloc photo rotatif qui permet d’avoir un écran borderless, de proposer la même qualité photo à l’avant comme à l’arrière, d’avoir différentes orientations pour le capteur (seuils prédéfinis ou réglage manuel dans l’application photo) ou de réaliser des photos panoramiques sans bouger (le mécanisme motorisé se charge de tout). Sauf qu’on a trois capteurs cette année, contre deux l’année précédente, pour plus de polyvalence. Le module supplémentaire sert pour le zoom optique 3x.

Pour les plus inquiets, Asus a de nouveau prévu une détection de chutes grâce à l’accéléromètre. Nous l’avons testé avec succès sur un coussin. Le bloc photo se range rapidement. Maintenant, mieux vaut ne pas tenter le diable. De toute façon, un smartphone n’est pas prévu pour ça.

Ci-dessous, une photo en extérieur (par mauvais temps), puis sa version ultra grand-angle et sa version zoom 3x :

Une photo de jour en intérieur avec un sujet sage (pour une fois) :

Des photos, avec du flou d’arrière-plan :

Des photos de nuit, avec leurs versions corrigées (et réchauffées) par le mode dédié :

Un selfie en extérieur, puis sa version ultra grand-angle :

Dual-SIM, B28 et 5G

Côté réseau, l’Asus Zenfone 7 Pro coche pas mal de cases : il est compatible avec la 4G 700 MHz et dual-SIM, sans un slot hybride obligeant à sacrifier l’extension du stockage interne. Il est par ailleurs – et heureusement, au vu du positionnement haut de gamme  – prêt pour la 5G qui fera ses débuts en France d’ici la fin d’année.

Ci-dessous, des débits obtenus en intérieur :

 

Puis en extérieur :

 

Vous êtes joueurs ? Lui aussi !

Chipset Snapdragon 865+, soit l’un des meilleurs du moment. Mémoire vive 8 Go en LPDDR5. Stockage UFS 3.1. Sans surprise, le Zenfone 7 Pro est une bête de course capable de charger rapidement et faire tourner tranquillement les jeux. Vous êtes joueur ou cherchez une expérience fluide au quotidien ? Il sera un excellent compagnon. La chauffe est perceptible en cas de fortes sollicitations, mais pas au-delà du raisonnable non plus.

Pour les amateurs de benchmarks, voici les tests obtenus dans AnTuTu et Disk Speed. Il arrive en troisième position dans le podium, notamment derrière un Asus Rog Phone 3 dont nous proposerons prochainement un test. Sa mémoire interne affiche des pointes à 1,4 Go/s en lecture et 510 Mo/s en écriture dans Disk Speed.

 

La journée sans problème

La présence d’une batterie 5 000 mAh laisse espérer une autonomie d’une journée et demie ou deux. Durant nos tests, nous approchons les deux jours, avant de finir avec une batterie quasi vide. L’autonomie variera évidemment en fonction des usages de chacun.

Ci-dessous, un exemple d’utilisation : départ à 22h13 avec 100 % et arrivée le surlendemain à 17h21 avec 6 % :

– Affichage Always-on-Display
– 1 heure et 5 minutes de jeu avec le son du haut-parleur
– 1 heure de YouTube avec le son du smartphone
– 5 minutes de streaming avec le son du smartphone
– Consultations et alertes Twitter/Gmail
– Un appel de 10 minutes
– SMS/MMS
– Pas mal de surf sur Internet
– Photos
– 5 minutes de navigation GPS
– 4 mises à jour d’applications
– 1 téléchargement d’application
– Manipulations et captures pour le test

Concernant la charge, Asus nous avait indiqué l’année dernière être prudent vis-à-vis des charges rapides qui en promettent trop, mais nuisent à la durée de vie de la batterie. Pour autant, le constructeur est passé de 18 Watts l’année dernière à 30 Watts cette année, tout en prévoyant des mécanismes pour préserver la batterie, avec notamment une charge lente pour ceux prévoyant un rechargement la nuit.

Ci-dessous, un suivi de charge :
– 20h41 : 3 %
– 20h46 : 10 %
– 20h51 : 18 %
– 20h56 : 26 %
– 21h01 : 35 %
– 21h06 : 43 %
– 21h11 : 51 %
– 21h25 : 70 %
– 21h43 : 87 %
– 21h58 : 95 %
– 22h13 : 100 %

Le bloc adéquat est d’ailleurs fourni dans la boîte.

Android 10 avec quelques fonctions pratiques

L’interface ZenUI 7 du Zenfone 7 Pro repose sur Android 10 et s’accompagne de quelques logiciels préinstallés que l’on pourra désinstaller. D’ailleurs, pas d’applications exotiques, mais uniquement des applications populaires ayant de grandes chances d’être rapidement installées : Facebook, Instagram ou Netflix.

 

 

On a également quelques fonctions pratiques, dont :
– Le mode Always-on-Display pour garder l’heure sur l’écran verrouillé
– L’affichage multifenêtre à déclencher depuis le panneau de raccourcis
– La navigation système par gestes ou avec la barre de navigation
– La gestion avancée des gestes sur l’écran éteint
– Le mode nuit
– Le “Game Genie” permettant de verrouiller la luminosité et bloquer les alertes ou appels durant le jeu
– Le voyant LED pour indiquer la charge ou une notification (à éviter si le smartphone est à côté du lit la nuit)

Durant notre test, nous avions les patchs de sécurité du mois de juillet. Pas les derniers en date donc. Beaucoup de smartphones sont récemment passés à ceux de septembre.

Toujours au volet de la sécurité, le lecteur d’empreintes digitales sur la tranche droite et la reconnaissance faciale se sont montrés efficaces. La reconnaissance est un poil plus lente, car il faut le temps de basculer le bloc photo vers l’avant.

 


VERDICT

On peut le dire, l’Asus Zenfone 7 Pro est une belle expérience de par sa fiche technique solide, mais également son bloc photo Flip Camera qui libère l’écran et enrichit l’expérience photo. Comme son prédécesseur, il mise sur une autonomie confortable, en y ajoutant une charge plus rapide qui ne sera pas un luxe. Enfin, c’est un smartphone dual-SIM et compatible 5G. Seules choses dont l’absence s’est fait sentir : le mini-jack et la charge sans-fil. La première n’est pas une surprise, l’industrie du smartphone ayant tendance à évincer la connectique. La seconde moins, mais le constructeur se dit peu emballé par la technologie, un peu comme l’était OnePlus avant de se lancer.


 

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Clin d’oeil : une élue écologiste applaudit l’attaque d’une antenne 5G

Vandaliser les antennes 5G, c’est oui. L’incendie d’une antenne-relais a en effet reçu l’approbation d’une élue écologiste.

Retour en juin 2020, avec l’attaque d’une antenne-relais 5G, à Contes, dans le département des Alpes-Maritimes. Un anti-5G s’en était pris à une antenne 5G en mettant le feu aux boîtiers électriques. Pour de tels faits, l’homme âgé de 25 ans encourt jusqu’à 150 000 euros d’amende et 10 ans d’emprisonnement. Sans compter les répercussions sur sa vie professionnelle, comme il le déplorait.

Bien sûr qu’elle valide

Dans une récente interview accordée à Nice Matin, Sylvie Bonaldi, conseillère municipale de la ville de Nice, encartée EELV, invite à rechercher les “irresponsables” ailleurs. À ses yeux, ils ne seraient “pas du côté de ceux qui commettent ces actes”. Et d’ajouter ; “j’approuve ce qu’il a fait”. Selon Sylvie Bonaldi, le jeune homme n’est pas condamnable au motif qu’il “permet de retarder l’installation de l’antenne” et “défend l’intérêt général”.

Sylvie Bonaldi conçoit toutefois qu’il est dommage d’en arriver à de tels actes à cause d’un manque de dialogue. “Il est malheureux d’être obligé d’en arriver là. Il n’y a pas d’autre issue hélas, on en demande pourtant une, à être entendus, qu’on se pose, qu’on réfléchisse aux problématiques de la 5G. Mais ce n’est pas le cas”. Elle y voit un acte de “résistance” équivalent à celui consistant à décrocher le tableau d’Emmanuel Macron dans une mairie.

Une élue qui joue cartes sur table

Sylvie Bonaldi est connue pour parler cash même des sujets brûlants. En août dernier, elle avait indiqué sur Facebook “Bref, le port du masque ne sert absolument à rien”, provoquant quelques remous, y compris au sein de son propre camp. Pas d’ambigüité concernant sa position vis-à-vis de la 5G, comme en témoigne la création d’un collectif “Sauvons des vies, passons-nous de la 5G” durant le confinement. Avec “les possibles dangers de la 5G”, Sylvie Bonaldi réclame “de vraies données indépendantes sur l’impact sanitaire de la 5G”.

Source : Nice Matin

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