Auteur : dimitri

Alcatel 1x : Univers Freebox a testé le smartphone 4G 700 MHz à 99 euros récemment arrivé chez Free Mobile

La boutique de Free Mobile accueille un second smartphone 4G 700 MHz à petit prix. Après le Nokia 1 Plus à 99 euros, voici en effet l’Alcatel 1x lui aussi à 99 euros. Univers Freebox a eu l’occasion de le tester, grâce à un modèle de prêt. Découvrez nos impressions à son sujet, pas totalement négatives, malgré le positionnement d’entrée de gamme.

Pour commencer, rappelons ses principales caractéristiques :
–  Processeur : quad-core 1,5 GHz (chipset MediaTek MT6739)
–  Mémoire vive : 2 Go
–  Écran : dalle IPS 5,5 pouces dans une définition HD+ ( 1 440 x 720 pixels) protégé par du verre Dragon Trail
–  Stockage : 16 Go (extensibles par MicroSD)
–  Compatibilité 4G : support des bandes B1 / B2 / B3 / B5 / B7 / B8 / B20 / B28
–  Double capteur photo dorsal : 13 Mégapixels (principal) et 2 Mégapixels (infos de profondeur)
–  Appareil photo frontal : 5 Mégapixels (flash simulé par l’écran virant au blanc)
–  Prise casque : oui (tranche supérieure)
–  Connectique de charge : Micro-USB (tranche inférieure)
–  Connectivité Bluetooth : version 4.2
–  Batterie : 3 000 mAh (non amovible) rechargeable avec un bloc 5 Watts
–  Système d’exploitation : Android 8.1 Oreo
–  Protection : reconnaissance faciale

Un format compact et une finition sans fioriture

Avec ce smartphone à 99 euros, on se retrouve en présence d’une finition plastique un peu cheap et d’un design sans fioriture. Certains membres de la rédaction ont même pensé qu’il s’agissait d’un Wiko. C’est dire si son design n’est pas différenciant. Un smartphone lambda.

On peut toutefois lui trouver des choses appréciables, comme le format compact, le poids léger et le dos non glissant qui assurent une bonne préhension. Les petites mains et les plus maladroits apprécieront.

Un affichage correct, mais un tactile désagréable

Si l’écran IPS 5,5 pouces HD+ n’est pas une torture à regarder avec une luminosité correcte et de bons angles de vision, on ne peut pas dire qu’il soit des plus agréables à utiliser. Il accroche facilement les doigts.

Parlons aussi du son produit par l’une des grilles dans la tranche inférieure. Faiblard, sans relief et nasillard, il est tout simplement désagréable à écouter en musique ou en jeu. À moins de faire dans le masochisme, il servira juste aux sonneries d’appel ou de SMS.

Toujours à propos de la partie audio, les mélomanes apprécieront de trouver le mini-jack dans la tranche supérieure.

La photo en appoint et un effet plus « bloqué » que Bokeh…

Passons maintenant à la partie photo. Elle servira pour de la photo d’appoint à visualiser sur le smartphone et à diffuser sur les réseaux sociaux. Rien d’autre.

Le double capteur photo arrière produit des clichés acceptables avec une bonne luminosité. En mode portrait avec un flou autour du sujet (effet Bokeh) proposé grâce au second capteur (servant aux infos de profondeur), c’est en revanche plus compliqué. Le smartphone semble avoir du mal à s’en sortir. Du coup, on attend la fin d’un yo-yo, sans en plus avoir l’assurance d’obtenir quelque-chose de potable à la fin. Bref, un mode portrait qui fait surtout acte de présence.

Ci-dessous, des photos prises lors d’une journée peu ensoleillée :

Ci-dessous, sans zoom, puis avec zoom :

Le mode portrait et son effet Bokeh (quand on arrive à en tirer quelque-chose) :

Quant au capteur photo avant, il produit des clichés de mauvaise qualité. Même l’astuce de l’écran blanc simulant un flash ne parvient pas à rattraper quoi que ce soit.

Ci-dessous, un selfie pris en intérieur :

Un smartphone qui se retrouve vite à chauffer

Avec un processeur quad-core 1,5 GHz et 2 Go de RAM, on se retrouve vite à fond de cale. Le moindre téléchargement, la moindre photo ou le moindre test de débit entraîne une surchauffe à l’arrière, dans la partie supérieure. On a testé un benchmark juste pour voir. Ça chauffait sévère et l’application a fini par planter. 

Voilà qui en dit long sur les performances de ce smartphone. On évitera donc d’abuser du multi-tâches et on se limitera à quelques jeux très légers. 

Une grosse batterie, mais une charge loin d’être rapide

Avec une batterie 3 000 mAh, l’autonomie s’annonce plutôt bonne. D’ailleurs, en l’espace de 24 heures avec des photos, des tests de débits, des installations et de nombreuses manipulations, nous avons perdu 50 % de charge. Autant dire qu’avec une utilisation modérée, on peut espérer tenir facilement les deux-trois jours. 

Reste qu’avec une telle capacité, le chargeur 5 Watts fourni paraît bien léger. Juste pour vous donner une idée : en l’espace de 30 minutes, nous avons récupéré à peine 16 %. Ne comptez pas sur une recharge salvatrice avant de partir de matin.

Une petite 4G, mais un support de la bande des 700 MHz

On parle de 4G de catégorie 4, soit jusqu’à 150 Mbit/s en réception. D’après nos tests de débits, sur des points où nous avons déjà pu atteindre les 150 voire 200 Mbit/s, parvenir à 60 Mbit/s tenait de l’exploit. Nous nous sommes plus souvent retrouvés à 20 ou 30 Mbit/s.

Chose appréciable pour les abonnés Free Mobile, l’Alcatel 1x gère la 4G sur les fréquences 700 (B28). Un bon point, sachant que l’opérateur pourra bientôt proposer cette 4G 700 MHz offrant une meilleure couverture et de meilleurs débits sur l’ensemble du territoire.

Un système Oreo

L’Alcatel 1x n’est pas fourni avec la dernière version d’Android, à savoir la 9.0 Pie, mais avec la mouture 8.1 Oreo. Au moins, les patchs de sécurité, sans être les plus récents, sont ceux du mois de janvier 2019. La ROM se rapproche globalement de l’expérience originale Android, avec son tiroir d’applications, et n’est pas chargée de logiciels issus de partenariats. Un bon point.

  

 

On trouve quelques petites fonctions intéressantes comme la possibilité de retirer les boutons de navigation pour une navigation gestuelle, le filtrage dans le tiroir d’applications (date, alphabétique ou fréquence d’utilisation), les applications clonées (plusieurs instances d’une même application), la capture d’écran à trois doigts.

 

 

Sans oublier d’évoquer DuraSpeed. Cette fonction permet de gérer les applications ayant le droit de fonctionner en arrière-plan afin de favoriser les applications en premier plan. Bienvenu sur un smartphone aux performances limitées.

Parlons enfin de la reconnaissance faciale proposée en alternative au schéma ou au code pour déverrouiller le smartphone. Si elle n’est pas la plus rapide, celle-ci fonctionne plutôt bien, même lorsqu’il fait sombre. Un bon point pour un smartphone d’entrée de gamme, même si on aurait préféré un lecteur d’empreintes digitales, plus sécurisé.

VERDICT :
Sans surprise, on se retrouve avec un smartphone aux performances très limitées, avec une partie photo anecdotique et une qualité sonore à faire saigner les oreilles sensibles. Maintenant, on note quelques petites choses appréciables pour un smartphone à 99 euros comme l’écran plutôt agréable à regarder, la ROM pas chargée d’applications partenaires – à défaut d’être récente -, la présence du mini-jack, la reconnaissance faciale et la batterie de bonne capacité – mais à la recharge interminable. Soulignons aussi l’aspect compact et léger du smartphone. Sans oublier la compatibilité avec la 4G 700 MHz, un argument non négligeable pour un abonné Free Mobile.

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Test JezzBall sur Freebox mini 4K : un jeu simple, mais rapidement addictif

 

Cette semaine, Univers Freebox teste pour vous le jeu JezzBall, disponible gratuitement sur le Play Store de la Freebox mini 4K ou via ce lien. Un grand classique à découvrir ou redécouvrir.

Disponible sur le Play Store de la Freebox mini 4K, JezzBall s’inspire d’un jeu sorti en 1992 et ayant fait ses premiers pas sous Windows 3.11. Ce titre d’arcade a donc plus de chances de rappeler des souvenirs aux 30-40 ans, qu’aux moins de 20 ans. 

Le principe est simple : isoler les billes se déplaçant à l’écran pour libérer au moins 75 % de la surface. Pour cela, il suffit de bouger une double flèche à l’écran orientée verticalement ou horizontalement et d’appuyer bon moment pour tracer une ligne et isoler la zone contenant la ou les billes. On peut en effet les isoler individuellement ou en groupe. 

Le tout sans toucher les billes, pour ne pas entamer le nombre de vies au compteur (coeur en haut à droite), et le plus rapidement possible (chronomètre en haut à gauche), pour récolter un maximum de points.

Commençons par la prise en main. Vous avez le choix entre la télécommande de la Freebox mini 4K ou une manette telle que celle de Free. Dans les deux cas, JezzBall s’avère jouable. Cela s’explique par les mouvements très simples.

Avec la télécommande, on déplace la double flèche (à l’écran) grâce aux flèches de navigation. Une longue pression sur le bouton OK change l’orientation de la double flèche et une simple pression sur le OK lance la création de la ligne d’isolation. Le bouton Retour sert à revenir au menu du jeu. 

Avec la manette, on déplace la double flèche (à l’écran) avec la croix multidirectionnelle ou le stick, tandis qu’on change l’orientation de la double flèche (à l’écran) avec le bouton 2 et trace la ligne avec le bouton 3. Le bouton Select permet quant à lui de revenir au menu. 

Au niveau de la difficulté ensuite, tout est question de patience et de stratégie. Il faut en effet déployer sa ligne au bon moment. La difficulté s’accentue au fil des niveaux et du nombre de billes à l’écran, sachant que toutes n’ont pas le même déplacement. Une ligne créée trop tardivement ou précipitamment va être touchée par une bille et stoppée dans sa création. On perdra au passage une vie. Trop de billes isolées en même temps peut également les rendre plus difficiles à gérer lorsqu’il faudra les isoler davantage.

Terminons sur les graphismes, minimalistes. Ils consistent en des billes et un simple fond d’écran. Rien de folichon. Le développement ne s’est pas enquiquiné avec ça et ce n’est clairement pas cet aspect qui vous fera télécharger JezzBall.

VERDICT :
Simple à prendre en main et offrant un peu de challenge sans être injouable, JezzBall est typiquement le jeu qu’on lance au départ pour tuer le temps et qui vous fait rester plus de temps que prévu. À condition bien évidemment d’être fan des jeux d’arcade à l’ancienne. Si c’est le cas, on vous le conseille, sachant qu’il est gratuit.

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Huawei P30 Lite : le smartphone est disponible en France, voici son prix

Le petit modèle de la famille P30 est désormais disponible en France. Voici donc le prix du smartphone Huawei P30 Lite, ainsi qu’un petit rappel des caractéristiques.

La famille de smartphones P30 chez Huawei compte trois modèles. S’il n’a pas été mis en avant comme ses grands frères P30 et P30 Pro, le P30 Lite existe bel et bien. Depuis peu, il apparaît d’ailleurs dans les comparateurs de prix français, avec un prix conseillé de 369 euros pour une configuration avec 4 Go de RAM et 128 Go de stockage. Certaines enseignes peuvent toutefois le proposer à quelques dizaines d’euros de moins.

Pour rappel, le Huawei P30 Lite embarque le chipset maison Kirin 710, synonyme d’un processeur octa-core jusqu’à 2,0 GHz, associé ici à 4 ou 6 Go de mémoire vive, et une batterie 3 340 mAh à recharger en filaire avec un bloc 18 Watts. Il propose aussi un écran IPS 6,15 pouces Full HD+, un stockage 128 Go, un triple capteur 24 + 8 + 2 Mégapixels (principal + grand-angle + infos de profondeur) au dos, un capteur photo 32 Mégapixels à l’avant et un lecteur d’empreintes au dos.

Source : LesMobiles

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Redmi K20 : la marque continue de distiller les infos sur son premier smartphone haut de gamme

La marque Redmi, fruit de l’émancipation d’une gamme de smartphones chez Xiaomi, prépare son premier modèle haut de gamme. De nouvelles infos ont été confirmées, notamment la capacité de la batterie à bord.

En attendant la présentation prévue (et confirmée) le 28 mai prochain, le Redmi K20, continue de se dévoiler. Après la présence d’un chipset Snapdragon 855 et d’un capteur photo 48 Mégapixels, de nouvelles caractéristiques sont confirmées.

Dans un teaser, la marque chinoise a ainsi indiqué que son premier smartphone porte-drapeau embarquera une batterie avec une capacité de 4 000 mAh. Rien de surprenant, avec les smartphones Redmi qui mettent en avant cette caractéristique (même avant que Redmi ne soit une marque).

Dans une vidéo ayant circulé en parallèle, la marque a également indiqué que l’on pourra profiter d’une capture vidéo en slow motion à 960 images par seconde avec son K20. Là non plus, rien d’étonnant, sachant qu’on parle d’un modèle haut de gamme. 

Pour le reste, rappelons qu’on attend un écran AMOLED et un capteur photo frontal dans une partie motorisée de la tranche supérieure, cette dernière caractéristique ayant gagné en consistance dans une vidéo où l’on voit un smartphone non officialisé. À noter également que les dernières informations évoquent une version Standard et une version Pro mieux équipée, comme cela se fait couramment avec les smartphones haut de gamme.

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Xiaomi Mi Mix 3 : la version 5G bientôt disponible en Europe

 

La version 5G du smartphone Xiaomi Mi Mix 3 commence à s’aventurer en Europe. Rappelons ses caractéristiques et découvrons les prix pratiqués.

Dans le cadre du salon MWC 2019, qui s’est déroulé fin février en Espagne, Xiaomi a présenté la version 5G de son smartphone Mi Mix 3. Dans un tweet, Wen Ou, responsable de la firme chinoise pour l’Europe de l’Ouest, vient d’annoncer son arrivée sur le Vieux Continent. Les premiers marchés servis seront ainsi l’Espagne et l’Italie, avec une disponibilité prévue le 23 mai, soit ce jeudi. Côté tarifs, ça varie (grandement) d’un pays à l’autre. Comptez ainsi 599 euros pour une configuration 6/64 Go en Espagne, quand on parle de 699,90 euros en Italie.

Au format coulissant, le Xiaomi Mi Mix 3 5G embarque pour rappel le chipset Snapdragon 855 avec le modem X50. Il offre un écran AMOLED 6,39 pouces Full HD+ protégé par du verre Gorilla Glass 5, un stockage non extensible, un double capteur photo 12 + 12 Mégapixels (principal + zoom) au dos et un double capteur photo 24 + 2 Mégapixels (principal + infos de profondeur) à l’avant. La batterie 3 800 mAh se charge en filaire (18 Watts) ou sans-fil (10 Watts). La sécurisation repose quant à elle sur le capteur biométrique au dos ou la reconnaissance faciale. Le tout est orchestré par un ROM MIUI basée sur Android 9.0 Pie.

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OnePlus 7 Pro : Univers Freebox a pu tester en avant-première le smartphone haut de gamme avec son écran borderless 90 Hz

Dernièrement, OnePlus a officialisé ses nouveaux smartphones haut de gamme. Car oui, ils étaient deux cette fois-ci : un OnePlus 7, successeur naturel du OnePlus 6T, et un OnePlus 7 Pro, plus ambitieux. Univers Freebox a pu se procurer ce second modèle quelques jours avant sa sortie officielle en France, dans sa grosse configuration 12 Go + 256 Go, et le tester pour vous. Voici nos impressions, plutôt positives comme vous allez voir.

Avant de passer à ce test réalisé à partir d’un smartphone prêté par la marque, voici un rappel des principales caractéristiques du OnePlus 7 Pro :

– Processeur : octa-core jusqu’à 2,84 GHz (chipset Qualcomm Snapdragon 855)
– Mémoire vive : 6, 8 ou 12 Go
– Écran : dalle Super AMOLED 6,67 pouces au ratio 19,5/9 offrant une définition Quad-HD+ (3 120 x 1 440 pixels)
– Son : haut-parleurs stéréo
– Stockage : 128 ou 256 Go (non extensibles par MicroSD) avec support UFS 3.0
– Compatibilité 4G : support des bandes B1 / B2 / B3 / B4 / B5 / B7 / B8 / B12 / B13 / B17 / B18 / B19 / B20 / B25, B26 / B28 / B29 / B32 /  B66
– Triple capteur photo dorsal : 48 Mégapixels (principal), 16 Mégapixels (ultra grand-angle 117 degrés) et 8 Mégapixels (zoom optique 3x)
– Appareil photo frontal : 16 Mégapixels (dans une partie rétractable de la tranche supérieure)
– Prise casque : non
– Connectique de charge : USB Type-C (tranche inférieure)
– Connectivité Bluetooth : version 5.0
– Support NFC : oui
– Batterie : 4 000 mAh (non amovible) rechargeable en filaire 30 Watts (bloc fourni)
– Étanchéité : non certifiée (pour contenir les coûts, mais indiquée par la marque)
– Système d’exploitation : Android 9.0 Pie avec l’interface OxygenOS
– Protection : lecteur d’empreintes sous l’écran ou reconnaissance faciale

Un écran borderless XXL et un son qui décoiffe

Lorsque l’on prend en main le OnePlus 7 Pro pour la toute première fois, le poids peut surprendre. Les 206 grammes sur la balance n’ont toutefois rien d’étonnant avec un écran AMOLED qui fait tout de même 6,67 pouces et une batterie de 4 000 mAh. Malgré un gabarit XXL, le smartphone offre une bonne préhension, grâce à un poids bien reparti et un design tout en rondeur.

Parlons de l’écran AMOLED qui est tout simplement magnifique à regarder, avec les vidéos comme avec les jeux. S’il est Quad-HD+, il peut fonctionner en Full HD+ grâce à une option dans les paramètres. De quoi préserver l’autonomie si vous n’avez pas besoin d’une telle qualité d’affichage.

Chose appréciable : l’écran occupe la quasi-totalité de la face avant, pour laisser toute la place au contenu. Pas de bordure, ni d’encoche, ni de trou dans l’écran. Cela a été rendu possible grâce à une partie photo motorisée qui se déploie façon périscope et dont nous reparlons plus loin.

Abordons la partie son. Si nous sommes évidemment loin du rendu d’une enceinte externe type Sony, JBL ou Bose, on en prend plein les oreilles. Le son est stéréo – il sort des deux tranches -, puissant et plutôt propre, même à plein volume.

Oubliez par contre le mini-jack. Rien de surprenant, sachant que la connectique avait disparu avec le OnePlus 6T.

Une partie photo perfectible, mais particulièrement convaincante

Du côté de la photo, on trouve trois modules photo 48, 16 et 8 Mégapixels au dos, le second servant à l’ultra grand-angle et le troisième au zoom. Un trio qui doit permettre une grande polyvalence.

D’après nos tests, les clichés en plein jour sans très bons. Lorsque la luminosité baisse, l’intelligence artificielle arrive à compenser. Bien évidemment, l’intelligence artificielle ne fera pas de miracle. Dans le cas d’un concert le soir, le OnePlus 7 Pro avait du mal à s’en sortir en raison des mouvements de personnes, des nombreuses sources lumineuses, des fumigènes et des deux écrans géants.

Ci-dessous, des clichés par temps ensoleillé :

 

Une photo, suivie d’un zoom sans avoir changé de place :

Des clichés pris lors d’un concert, en début de soirée :

Puis, une fois la nuit tombée :

Des clichés pris le soir, sans puis avec le mode "Paysage Nocturne" :

Passons au capteur avant, évoqué en début d’article et installé dans une partie motorisée se rangeant dans la tranche supérieure du smartphone.

Les clichés produits par ce module 16 Mégapixels sont largement exploitables pour de la publication sur les réseaux sociaux. Les amateurs de selfies apprécieront.

Mais le capteur photo frontal sert également à la reconnaissance faciale. Cette dernière se révèle très efficace et pratique. Les plus pressés reprocheront peut-être au déploiement du capteur photo de ralentir le déverrouillage et pourront lui préférer le lecteur d’empreintes digitales particulièrement rapide.

Notez aussi qu’une pression sur le bouton d’alimentation ou un double tapotement sur l’écran allume l’écran et enclenche la reconnaissance faciale. Il faudra donc penser à la désactiver ou à placer correctement le smartphone si vous le trimbaler dans une sacoche, afin de ne pas bloquer le déploiement du capteur photo avant et risquer d’abîmer le mécanisme.

Et pour ceux craignant pour le module en cas de chute, l’accéléromètre permet un rangement rapide afin de mettre le capteur à l’abri. Nous avons simulé une chute de 30 centimètres sur une oreiller. Effectivement, c’est rapide.

Des performances qui placent ce smartphone dans le haut du panier

Avec du Snapdragon 855 à bord, tout est fluide, dans l’interface, comme dans les gros jeux type Asphalt 9 ou PUBG Mobile, le second fonctionnant avec les graphismes à fond. 

Mais les performances se notent également au niveau du stockage, avec le support UFS 3.0 dont le OnePlus 7 Pro a la primeur et qui promet de forts débits. Pour le vérifier, nous avons effectué des mesures avec un Huawei Mate 10 Pro et le OnePlus 7 Pro. Les vitesses en lecture et en écriture sont doublées par rapport au Mate 10 Pro. En lecture, le OnePlus 7 Pro dépasse d’ailleurs les 1 Go/s. Impressionnant.

 

Pour les amateurs de benchmarks, nous avons également soumis le OnePlus 7 Pro à AnTuTu. Il se retrouve dans le haut du panier, entre le Xiaomi Mi 9 et le Samsung Galaxy S10.

 

Une autonomie excellente et une charge rapide diablement efficace

Chargée le samedi soir vers 23h00, la batterie du OnePlus 7 Pro affichait 12 % le lundi suivant à 14h00, en ayant pas mal joué, pris de nombreuses photo, effectué des tests de performances et débits et régulièrement manipulé le smartphone. Comptez ainsi 1 journée et demie en usage soutenu. Les utilisateurs plus modérés pourront espérer 2 voire 3 jours.

La charge Warp Charge 30 (30 Watts) se montre également bienvenue sur un smartphone haut de gamme, surtout avec une batterie de 4 000 mAh. En l’espace de 30 minutes, nous sommes passés de 43 à 87 % (gain de 44 %). Autant dire que l’on pourra partir l’esprit tranquille après une charge le matin. En parlant de recharge, le OnePlus 7 Pro ne propose par la recharge sans-fil. Aucune surprise, la marque chinoise ayant indiqué qu’elle ne la trouvait pas pertinente pour l’instant, surtout avec les performances offertes par la recharge filaire.

OxygenOS : un système d’exploitation très complet

Contrairement à la ROM MIUI de Xiaomi, le ROM OxygenOS de OnePlus propose le tiroir d’applications d’Android. Les allergiques à l’interface iOS apprécieront. L’interface OxygenOS se révèle très complète et pas chargée en applications ou jeux issus de partenariats. Appréciable.

 

 

On peut par ailleurs personnaliser l’affichage des boutons de navigation Android, pour par exemple se contenter de la navigation gestuelle.

 

On peut citer le mode Zen pour déconnecter du smartphone pendant 20 minutes ou le Mode lecture pour ceux qui lisent les livres au format numérique.

 

Citons par ailleurs les applications parallèles. La fonction permet de lancer plusieurs instances d’une même application. Pratique si vous possédez plusieurs comptes sur un même réseau social.

Il y a également la possibilité de programmer le démarrage ou l’arrêt du smartphone.

Sans oublier d’évoquer la possibilité de régler son écran, que ce soit la définition – comme dit plus haut –, le taux de rafraîchissement ou la chaleur d’affichage.

 

Parlons enfin des mises à jour. Au démarrage, une mise à jour pesant 487 Mo nous proposait l’installation des patchs de sécurité du mois d’avril 2019. Elle venait également améliorer la qualité photo.

VERDICT :
Le OnePlus 7 Pro, c’est la promesse d’une expérience haut de gamme. Que ce soit avec la finition soignée, l’impression que tout va très vite, l’écran et le son tout simplement bluffants, les photos au top – sauf en basse luminosité – et la charge rapide, ce smartphone coche beaucoup de cases. Même la ROM OxygenOS qui l’accompagne se révèle convaincante. Reste maintenant la question du prix. S’il se révèle moins cher qu’un Galaxy S10+, le OnePlus Pro 7 n’est pas vraiment à la portée de toutes les bourses, avec un ticket d’entrée à 709 euros. On peut même aller jusqu’à 829 euros avec la grosse configuration que nous avons testée.

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Redmi K20 : la date de présentation révélée, rappel des attentes autour de ce smartphone haut de gamme

 

Redmi a révélé la date de présentation du smartphone K20, son premier flagship en tant que marque évoluant indépendamment de Xiaomi. Rappel des attentes autour de ce modèle haut de gamme.

D’après la communication de Redmi, le smartphone K20 sera présenté le 28 mai prochain. Le visuel de l’invitation illustre d’ailleurs l’intention de mettre KO les autres modèles haut de gamme. Autant dire qu’on attend de voir la proposition de la marque chinoise.

Les attentes en termes de caractéristiques tournent autour d’un chipset Snapdragon 855, d’un écran AMOLED protégé par du verre Gorilla Glass 6, d’un lecteur d’empreintes sous l’écran et d’une batterie 4 000 mAh. Le fondateur Lei Jun a, de son côté, confirmé la présence du capteur photo 48 Mégapixels de Sony (le modèle IMX586). En parlant de photo, il pourrait aussi être question d’un capteur photo frontal format périscope comme sur le OnePlus 7 Pro. À noter enfin qu’il devrait y avoir une version Standard, ainsi qu’une version Pro accompagnée d’un chargeur 27 Watts et d’un second capteur photo frontal.

 

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Freebox Delta : les chiffres parlent d’eux-mêmes, les utilisateurs préfèrent la télécommande classique

Free communique sur le taux d’utilisation de la télécommande tactile du player de la Freebox Delta. Les utilisateurs privilégient clairement la télécommande classique.

Questionné sur le sujet, Free a communiqué sur l’usage de la télécommande tactile qu’ont reçue les 70 000 premiers abonnés Freebox Delta, en plus de la télécommande classique. Il s’agissait, pour rappel, de voir celle que les abonnés préféraient et celle qui serait gardée. L’opérateur donne un chiffre assez évocateur concernant l’intérêt porté à cette télécommande tactile et son avenir. Le taux d’utilisation de celle-ci se situerait ainsi entre 15 et 20 %.

Selon Free, cela s’expliquerait par le fait que les utilisateurs avaient le choix et ont naturellement préféré rester sur quelque chose dont ils ont l’habitude. Il indique également avoir réfléchi à une « V2 » sous la forme d’une télécommande classique avec un petit écran, qui permettrait de garder le confort des touches physiques tout en profitant de la caractéristique contextuelle.

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Freebox et Free Mobile : Youboox ajoute une fonction très attendue dans son application iOS

Peu de temps après la version Android, c’est la version iOS du service Youboox qui profite d’une mise à jour. Elle ajoute une grosse fonctionnalité très attendue du côté des utilisateurs.

Le service Youboox donne accès à une bibliothèque de plus de 120 000 livres, BD et magazines, en tous genres. Free le propose à ses abonnés fixes et mobiles (sauf ceux au petit forfait à 2 euros). Ils y ont accès gratuitement jusqu’au 31 janvier 2020. Au-delà de cette date, tout s’arrête et ils peuvent continuer ou pas avec la formule payante.

Une version 5.5 fraîchement publiée sur l’App Store apporte une fonction très attendue de la part des utilisateurs : le maque-page. Les notes de mise à jour évoquent également la correction de bugs pour rendre l’application plus fluide.

 

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Huawei et Honor perdent la licence Android : quelles conséquences pour les utilisateurs ?

 

Le groupe chinois Huawei et sa marque Honor viennent de perdre leur licence pour l’utilisation d’Android.

L’administration Trump et la société Google viennent de porter un coup dur à Huawei et sa marque Honor, en leur retirant la licence Android. Dans les faits, les prochains smartphones ne pourront pas accéder à la boutique d’applications Play Store ou être livrés avec les services Google tels que Drive, Gmail, Maps ou YouTube. Quant aux modèles actuels, et comme cela a été confirmé sur le compte Twitter d’Android, les smartphones actuels continuent de fonctionner normalement, mais n’auront pas accès aux prochaines mises à jour Android. 

La décision n’est pas anodine, sachant qu’on parle du deuxième constructeur mondial de smartphones derrière Samsung. En l’absence de réelle alternative à Android, Huawei pourrait se retrouver embarrassé. Maintenant, on se souvient également qu’il évoquait un plan B sous la forme d’un OS maison. Il y a également la solution de la version open source d’Android avec un store d’applications maison. De son côté, Google perd un ambassadeur important pour son système d’exploitation mobile. C’est également un mauvais signal à destination des partenaires, qui pourrait les inciter à davantage protéger leurs arrières et à envisager un avenir sans Android.

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