Auteur : anthony

Samsung vient de révéler la date de présentation officielle de son smartphone Galaxy S10. Faisons le point sur les attentes autour des différents modèles.

La date enfin dévoilée

La presse a reçu les invitations pour la présentation du prochain porte-étendard de Samsung. C’est donc le 20 février 2019, en amont du MWC de Barcelone, que seront présentés le Galaxy S10 et ses différentes variantes. Excepté le modèle 5G qui fera l’objet d’un événement dédié quelques mois plus tard, en mai. La présentation des Galaxy S10 Lite, Galaxy S10 et Galaxy S10 Plus (noms à confirmer) aura lieu à San Francisco, aux États-Unis. Elle sera retransmise en direct sur le site Internet de Samsung.

Rappel des attentes : Infinity-O, capteur sous l’écran, évincement du mini-jack et 5G

S’il est certain que les différentes variantes du Galaxy S10 embarqueront le système Android 9.0 Pie et la nouvelle interface maison One UI, on s’attend également à retrouver la technologie Infinity-O, à savoir l’écran troué pour accueillir le capteur photo frontal qu’a introduit le Galaxy A8s. D’ailleurs, en parlant d’écran, les fuites indiquaient des diagonales respectives de 5,8, 6,1 et 6,4 pouces pour les références S10 Lite, S10 et S10+. L’intégration d’un lecteur d’empreintes digitales sous l’écran a été également avancée. Dans un autre registre, il se pourrait que la prise casque soit évincée, comme cela se fait de plus en plus dans les smartphones (Apple, OnePlus, Huawei, etc.). Sans oublier l’éventualité d’une triple capteur photo au dos, peut-être avec un module 48 Mégapixels sur le plus gros modèle. Concernant la 5G, et comme nous l’indiquions plus haut, elle fera l’objet d’un modèle à part. Il y aurait donc quatre modèles. Comme chaque année enfin, on s’attend à trouver deux chipsets différents : du Snapdragon en Chine et aux États-Unis ; du Exynos en Europe.

Sans oublier d’évoquer les prix, avec un griffe tarifaire (celle pour le marché britannique) qui a récemment fuité, révélant des prix qui oscilleraient entre 700 et 1600 euros.

La Freebox Delta se paye un petit voyage à Las Vegas, puisqu’elle a été aperçue sur les stands Amazon du CES 2019 comme l’un des produits disposant de l’assistant vocal Alexa.  

Ce sont des confrères de Satellifax présents au prestigieux Consumer Electronics Show qui ont pu apercevoir le player devialet sur ce stand.  

La Freebox Delta a notamment fait parler d’elle avec ses deux assistants vocaux dont celui d’Amazon qui la transforme en véritable enceinte connectée. Elle a donc obtenu une place de choix sur le stand du géant Américain parmi de nombreux autres produits compatibles avec son assistant.

 

#CES2019 Le Freebox Player Delta @devialet en bonne place dans la vaste zone de démonstration Alexa pic.twitter.com/KnHxOwLM0h

— Satellifax (@Satellifax) 9 janvier 2019

 Le player ne semble pas allumé, même s’il devrait fonctionner sur un territoire autre que celui français puisque Free avait affirmé qu’il s’agissait d’un player nomade, Xavier Niel avait même envoyé son player dédicacé au président de Netflix. 

 Si le smartphone pliable de son concurrent Royole n’a pas réussi son CES, son concurrent le plus connu, Samsung, était étonnement absent du salon de Las Vegas. Cependant, quelques personnes triées sur le volet on pu l’avoir en main et livrer leurs impressions. 

 Rappelez vous, en novembre 2018 Samsung avait présenté son prototype de smartphone pliable lors de sa conférence,un projet de longue date pour le fabricant. Après cette annonce, on aurait pu s’attendre à une présentation en fanfare lors du Consumer Electronics Show de cette année mais pourtant, aucune nouvelle n’a été donnée au cours de ce salon… Ou presque. 

En effet, le média SlashGear a pu recueillir quelques témoignages de privilégiés qui ont pu accéder au modèle lors d’une présentation secrète organisée par le fabricant sud-coréen. 

Le smartphone proposerait donc un "Cover display" de 4.58 pouces lorsqu’il est plié et de 7.3 pouces lors du "Main Display" (donc lorsque l’écran n’est pas plié) avec une résolution respective de 840 x 1960 et de 1536 x 2152 pixels. 

Lors de la prise en main, il est dit du smartphone que l’on ne voit "aucun signe qui montre qu’il a été plié avant" avec une dalle douce au toucher. Cependant, le plier complètement n’est pas encore possible d’après l’un des interrogé, sans quoi l’écran se casserait. Il est donc encore légèrement surélevé et laisse encore une marque lorsqu’il est plié. 

Il s’agirait encore d’un prototype qui a été présenté lors de cette session privée et Samsung serait encore en train de travailler sur l’amélioration de ces petits soucis techniques. Si sa sortie est attendue pour la première moitié de l’année, les attentes de ventes par Samsung sont assez modestes puisqu’une production à 1 million d’exemplaires serait prévue.

A la manière de Huawei, le premier smartphone pliable de la marque serait plus une démonstration de capacité qu’un véritable produit destiné à faire des ventes équivalentes à ses gammes de smartphones classique. 

 

Samsung aurait-il révélé sans le vouloir le design du Galaxy S10, son prochain smartphone haut de gamme dont on attend l’annonce fin février au MWC de Barcelone ? La mise à jour d’une image d’illustration dans un article le laisse penser.

Samsung illustre son interface One UI

Samsung a publié un article pour illustrer les nouveautés de One UI, la nouvelle interface de ses smartphones et tablettes Android, dont commencent d’ailleurs à profiter les Galaxy S9/S9+/Note9 par le biais d’une mise à jour arrivée en avance par rapport au calendrier initial. 

Celle-ci introduira notamment une nouvelle organisation dans les applications, avec une partie inférieure dédiée aux interactions et une partie supérieure réservée aux contenus. On parle aussi d’un thème sombre.

Et met étrangement à jour une image…

Et justement, la première image de l’article montrant la nouvelle organisation a fait l’objet d’une petite mise à jour. Après avoir montré le design du smartphone où elle s’affichait, l’image affiche un design plus générique. Exit les boutons sur les tranches et… le trou dans l’écran prévu pour accueillir le capteur photo frontal.

Le dernier attribut, à savoir un écran Infinity-O, est d’ailleurs attendu sur le prochain Galaxy S10 dont on attend la version 4G au MWC de Barcelone et la version 5G quelques mois plus tard. Aurait-on aperçu son design ? On ne peut s’empêcher de penser à cette éventualité. Dans ce cas, fuite volontaire pour animer les discussions autour du Galaxy S10 ou stagiaire maladroit à flageller ? On vous laisse vous faire vous propre idée…

Source : Reddit

 

L’annonce de la dernière itération de la tablette iPad mini remonte à fin 2015. Des photos ayant récemment fuité sur la Toile suggèrent l’arrivée d’une nouvelle génération. Apple s’apprête-t-il à dévoiler l’iPad mini 5 ?

iPad Mini : la dernière évolution en 2015

Si l’iPad premier du nom et sa déclinaison Pro ont récemment eu droit à de nouveaux modèles, l’iPad mini n’a pas été renouvelé depuis quelques temps. L’annonce de la dernière version, l’iPad mini 4, remonte en effet à septembre 2015.

Apple aurait-il abandonné ce modèle avec l’arrivée des fortes diagonales sur les smartphones et la perte de pertinence d’une tablette tactile compacte ? C’est possible. Utiliser une tablette 8 pouces quand le smartphone n’offre que 4 ou 4,7 pouces a tout son sens. Un peu moins quand le smartphone propose un écran 5,8, 6,1 et même 6,5 pouces.

iPad mini 5 : photos en fuite sur la Toile

Maintenant, des photos en fuite depuis peu suggèrent que la firme à la pomme ne compte pas mettre un terme à la carrière de son iPad mini. Celles-ci sont censées montrer le dos, la partie supérieure arrière et les entrailles d’un iPad mini 5. 

On y voit d’ailleurs une prise casque, celle qu’Apple a évincé de ses smartphones depuis l’iPhone 7. Mais on aperçoit aussi, au milieu de deux grilles de haut-parleur dans la tranche inférieure, un port USB Type-C, celui qui a remplacé le port Lightning maison sur la dernière génération d’iPad Pro. Pas moyen par contre de supposer le remplacement de Touch ID par Face ID, ni même d’avoir une idée de la capacité de la batterie à bord. Tous les composants ne sont pas visibles.

 

Xiaomi officialise l’évolution de sa gamme Redmi en tant que marque à part entière et présente le premier smartphone de cette nouvelle ère. Voici le Redmi Note 7, l’un des premiers modèles du marché avec le capteur photo 48 Mégapixels de Sony.

Redmi : une marque à part entière

Xiaomi l’avait indiqué dernièrement et vient de l’officialiser. Sa gamme de smartphones Redmi, réputée pour ses configurations d’entrée et de milieu de gamme à prix très compétitifs, devient une marque à part entière. L’annonce s’accompagne de la présentation du premier smartphone de cette nouvelle ère. Comme le suggéraient les teasers et les fuites, il s’agira du Redmi Note 7.

Redmi Note 7 : smartphone Snapdragon 660 avec écran 6,3 pouces Full HD+ et batterie 4 000 mAh

Le Redmi Note 7 se positionne sur le gros milieu de gamme, embarquant un chipset Snapdragon 660. La solution de Qualcomm apporte un processeur octa-core jusqu’à 2,2 GHz associé à 3, 4 ou 6 Go de mémoire vive. Il offre aussi un écran IPS 6,3 pouces Full HD+ avec une encoche format goutte d’eau. L’alimentation est assurée par une batterie 4 000 mAh rechargeable en USB Type-C grâce à un bloc 10 Watts. Un bloc 18 Watts sera proposé en option pour une recharge plus rapide. Lei Jun, CEO de Xiaomi, a indiqué 1 heures et 43 minutes pour passer de 0 à 100 %.

Un chipset Snapdragon 600 et un grand écran Full HD+ avec une batterie 4 000 mAh. Une telle combinaison rappelle le Redmi Note 5 réputé pour faire partie des champions de l’autonomie. Voilà qui laisse supposer de pareils éloges pour le Redmi Note 7 lors des premiers tests.

De la photo 48 Mégapixels

Pour la photo, on trouve un capteur 48 Mégapixels au dos (le modèle IMX586 de Sony). Il est secondé d’un module 5 Mégapixels pour les infos de profondeur, pour par exemple jouer avec l’effet Bokeh (flou artistique autour du sujet). À l’avant, les amateurs de selfies trouveront un capteur photo 13 Mégapixels.

Quid de la disponibilité en France ?

Pour l’instant, seul le marché chinois a été annoncé. La disponibilité interviendra le 15 janvier avec trois configurations 3/32, 6/64 et 6/64 Go associées à des prix de 999, 1 199 et 1 399 yuans, équivalents de 128, 153 et 179 euros. Notez au passage que la capacité de stockage est extensible par MicroSD.

Quant à la disponibilité en France, elle a de grandes chances de devenir une réalité. D’une, Xiaomi est présent chez nous depuis la mi-2018. De deux, le constructeur chinois y propose aussi ses autres marques. Pocophone (ou Poco, en Inde) en est un bon exemple. Enfin, les Redmi Note 5 et Redmi Note 6 Pro apparaissent dans la boutique française de Xiaomi. On y attend assez logiquement le successeur.

Certains utilisateurs de Samsung ont découvert qu’ils ne pourront pas désinstaller leur application Facebook de leur smartphone. 

Le journal Bloomberg a révélé une plainte d’un utilisateur qui a découvert que son Galaxy S8 ne permettait pas la désinstallation du réseau social sur son smartphone. L’application est, en effet, uniquement désactivable.

Il s’agit en effet d’un partenariat entre le réseau social et le fabricant sud-coréen qui pré-installe l’application. Ainsi, Facebook devient incontournable sur certains appareils de la marque.

Si ce genre de partenariat n’est pas nouveau, cette découverte gêne plusieurs utilisateurs notamment au vu des nombreux scandales sur Facebook. Il existe une crainte des utilisateurs vis-à-vis des collectes d’informations personnelles effectuées par Facebook. 

Face à ces inquiétudes, Samsung et Facebook se veulent rassurants en affirmant que lorsque l’application n’est pas activée, elle ne fonctionne pas et donc ne collecte aucune information. 

Ce choix est plutôt normal puisqu’il facilite l’utilisation du réseau social, mais certains utilisateurs se sentent gênés par le fait qu’on ne puisse pas supprimer intégralement le réseau social des appareils Samsung. 

 

Lors du Consumer Electronics Show qui se déroule en ce moment à Las Vegas, Google a pu présenter les nouvelles fonctionnalités qu’embarquera son assistant virtuel. 

Un mode interprète pour différents supports

Une des nouveautés marquantes pour ce nouvel assistant, c’est un nouveau mode permettant une traduction rapide et efficace. Cette fonctionnalité était déjà disponible sur les Pixel Buds et sur les smartphones de la firme de Cupertino. 

Ainsi, les enceintes Google Home et les écrans connectés de la marque pourront proposer un service de traduction instantanée simplement en demandant "Sois mon interprète en Français" ou l’une des 27 langues déjà disponibles. 

Si ces enceintes sont initialement destinées aux foyers de particuliers, Google n’exclut pas l’utilisation de cette fonctionnalité dans des cadres plus professionnels. Notamment pour les hôtels, afin de faciliter la communication à l’accueil par exemple. D’ailleurs, la firme a prévu de tester cette fonctionnalité dans divers hôtels de Las Vegas dont le célèbre Caesar’s palace. 

L’assistant vous accompagne dans les airs 

L’assistant de Google se dote ainsi d’une fonctionnalité permettant de regrouper toutes les informations concernant vos vols : heure d’embarquement, ticket, informations de vols… 

Cependant, cette fonctionnalité devrait arriver au compte goutte selon les partenariats établis avec les compagnies aériennes. 

Google Connect : Une nouvelle plate-forme liant vos objets connectés

Le géant Américain a donc lancé cette technologie qui permets aux constructeurs d’objets connectés d’ajouter Google Assistant à leurs produits. Grâce a cette fonctionnalité, les appareils concernés pourront récupérer les informations de votre assistant Google comme la température, vos dernières news. 

Ce programme permettra donc à certains appareils peu onéreux d’utiliser les fonctionnalités de votre Assistant Google. Il devrait être lancé d’ici fin 2019. 

Google Maps contrôlé à la voix

Une intégration très poussée serait prévue au système de navigation de Google. Ainsi, il serait possible, tout en conduisant, de communiquer votre trajet à vos amis, d’ajouter des détours, mais aussi de répondre à vos messages… 

Une compatibilité avec de nombreuses applications de messagerie est également prévue, ainsi vous pourrez répondre à vos messages sur Messenger, WhatsApp etc… 

En somme, Google Assistant devrait devenir de plus en plus complet au fur et à mesure et s’ouvre même à de nouvelles utilisations (comme c’est le cas pour le mode interprète par exemple).  

Source : XDA-Developpers

 

 

Si le dernier smartphone de Google a pu intéresser beaucoup de monde, de nombreux journaux ont relevé des bugs sur son modèle et c’est une première mise à jour de l’année qui plaira aux vidéastes amateurs. 

Si la qualité de la caméra et de l’appareil photo du smartphone était plutôt louée, il y’avait un gros problème quant à la qualité de son. Le son capturé était déformé et assez faible, ce qui avait provoqué le mécontentement de certains utilisateurs. 

Un problème qui venait, d’après la firme de Cupertino, du software qui avait été développé de manière à étouffer le bruit de fond et les interférences. Il a suffit probablement d’une petite erreur de régulation de cette fonctionnalité pour déformer les sons. 

Une mise à jour a donc été publiée par Google qui corrige ce problème, en améliorant au passage la sécurité du téléphone grâce à quelques correctifs. La mise à jour sera disponible également sur les autres modèles de smartphone Pixel mais pas sur les Nexus phone. 

 

 

Nous avons constaté un problème d’accès à un service de messagerie électronique avec la Freebox Delta. Il nous a été confirmé par l’opérateur, qui indique travailler à sa résolution.

Outlook inaccessible

Depuis notre passage à la Freebox Delta, nous avions constaté à plusieurs reprises des problèmes d’accès à la messagerie électronique Outlook. 

Selon les cas, nous avions accès à la page de connexion sans pouvoir afficher les messages ou n’avions tout simplement pas accès à la page de connexion. Et ce, quel que soit le navigateur Web (Google Chrome, Mozilla Firefox ou Microsoft Edge), même après avoir vidé tout le cache.

L’agréation xDSL/4G en cause

Concernant l’origine du problème, nous soupçonnions ainsi l’agrégation xDSL/4G. Cela pourrait en effet s’expliquer par le fait que chaque technologie d’accès à Internet génère sa propre adresse IP, ce qui pourrait être mal géré du côté d’Outlook ou entraîner un blocage pour des raisons de sécurité.

Free nous a confirmé le problème et son origine, indiquant que ses équipes planchent sur un correctif. Pas de précision en revanche concernant son déploiement. En attendant, si l’agréation ne vous est pas indispensable pour avoir un bon débit, la solution peut consister en sa désactivation.

D’autres sites concernés ?

De notre côté, nous n’avons pas constaté de problèmes de connexion similaires avec d’autres sites que nous consultons quotidiennement. Et vous ?