Auteur : anthony

Mise à jour Android Pie chez Samsung : au tour du Galaxy Note9

Samsung poursuit le déploiement de la mise à jour Android Pie en version finale sur ses smartphones haut de gamme, avant de servir les modèles plus abordables. Après les Galaxy S9 et Galaxy S9+, c’est au tour du Galaxy Note9 de la recevoir.

Mise à jour Android Pie sur le Galaxy Note9

Un peu en avance sur le calendrier initial de Samsung qui indiquait janvier 2019, les smartphones Galaxy S9 et Galaxy S9+ ont commencé à recevoir la mise à jour Android Pie fin décembre 2018. Les premières notifications ont été rapportées en Allemagne, avant d’être signalées dans d’autres pays, parmi lesquels la France.

Sans surprise, voici le tour du troisième modèle haut de gamme de 2018 de Samsung. Les utilisateurs ont en effet rapporté des notifications en Allemagne, et plus récemment aux Émirats Arabes Unis.

D’après les captures d’écran partagées sur la Toile, elle pèse 1 590 Mo. Bonne connexion Wi-Fi et batterie bien chargée sont obligatoires obligatoires. 

Quelles nouveautés ?

Rappelons que la mise à jour Android Pie chez Samsung s’accompagne de la nouvelle interface One UI. Au-delà de la gestion du temps passé à l’écran et de la priorisation des processus dans l’accès à la batterie apportées par Google, il y a la nouvelle organisation dans les applications (interactions en bas et contenus en haut) et la possibilité d’un thème assorti au coloris du smartphone ajoutées par Samsung. Notez au passage que la mise à jour s’accompagne, dans le cas présent, des patchs de sécurité Android du mois de janvier 2019.

Source : SamMobile
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Clin d’oeil : le player Devialet de la Freebox Delta se retrouve sur Leboncoin

C’est déjà le début des reventes auxquelles on pouvait s’attendre avec la Freebox Delta et son player dont l’achat est obligatoire. Des abonnés ont déjà commencé à se séparer de leur player dont ils n’avaient pas besoin. 

Avec la sortie de l’offre Delta S et les plaintes des abonnés, il est très vite devenu clair que beaucoup d’abonnés ne souhaitaient pas investir dans un player coûtant 480€, même s’il s’agissait d’un achat. 

Si l’offre Delta S est destinée à ces clients, ceux ayant déjà commandé leur Freebox avant la sortie de la nouvelle offre se sont retrouvé avec un player qui ne les intéressait pas sur les bras. La solution ? Le revendre sur le site de vente par des particuliers : leboncoin.fr .*

Pour l’instant nous n’avons trouvé que deux offres sur le site. Mais il est fort possible que les player se retrouvent plus fréquemment sur le site à l’avenir. Les players appartiennent à l’abonné et Free a annoncé qu’il fonctionnerait chez tous les opérateurs (avec des services réduits), il ne devrait y’avoir aucun soucis à la revente de ceux-ci. 

 

 

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CES 2019 : Samsung montre un smartphone 5G, s’agit-il du Galaxy S10 ?

Samsung fait partie des géants de la high-tech à avoir fait le chemin jusqu’au salon CES 2019 de Las Vegas, aux États-Unis. Il y expose d’ailleurs un smartphone 5G.

Un smartphone 5G visible, mais intouchable

Sur le stand CES de Samsung, il est possible de voir un prototype de smartphone compatible 5G. Impossible par contre d’y toucher, et encore moins de le manipuler, ni même de le prendre en photo autrement qu’à travers une vitre. S’il est allumé, l’appareil se trouve en effet sous cloche et tourne en mode démo.

Peut-être parce qu’il s’agit du Galaxy S10

Pourquoi mettre en avant un appareil aussi attendu qu’un smartphone 5G sans donner la possibilité aux journalistes de l’approcher et de prendre de belles photos. Peut-être s’agit-il d’une version presque finalisée du Galaxy S10 5G qui doit être présenté en mai 2019 et qui s’annonce comme le premier smartphone 5G de la firme sud-coréenne.

Permettre la manipulation du prototype serait comme laisser fuiter quelques infos techniques à propos du Galaxy S10 5G plusieurs mois avant son officialisation. Et on sait à quel point les fuites circulent vite dans le secteur des nouvelles technologies, au point de minimiser l’intérêt de l’annonce officielle, tout en donnant des infos à la concurrence. Mais ce serait aussi laisser s’évader des détails sur la version 4G dont la présentation est prévue le 20 février 2019, en amont du MWC de Barcelone, en Espagne.

Source : GSMArena

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France Télévision protège ses programmes des services de SVOD avec de nouveaux droits numériques

Un accord a été trouvé entre l’institution télévisuelle publique et les producteurs de séries françaises afin d’acquérir de nouveaux droits numériques.

 Les négociations duraient depuis plusieurs semaines entre France Télévision et plusieurs syndicats de producteurs audiovisuels, mais ils ont pu trouver un accord. Deux points ont été discutés lors de ces négociations : l’exploitation numérique de la fiction, du documentaire, de l’animation et du spectacle vivant et la part de production "dépendante" (propre à France Télévision). 

 Le groupe France Télévision annonce que le premier point permettra la protection de sa propre plate-forme de diffusion france.tv sur lequel il mise ses espoirs pour la diffusion de ses programmes sur internet. La bascule de France 4 et France Ö, requise par le gouvernement a été qualifiée d’ "impossible sans cet accord". Cet accord permettra à la chaîne une exclusivité de diffusion gratuite sur internet (et donc sur ses propres sites) des programmes dans lesquels elle investit de 30 à 36 mois. Pour ce qui est des services d’abonnements payants, les programmes seront protégés par une exclusivité de 12 a 24 mois selon la part de financement du programme, contre 30 jours auparavant.  Une décision allant donc dans le sens de la pensée de la président de France Télévision Delphine Ernotte, qui considérait qu’il ne fallait plus vendre les programmes financés par France Télévision à Netflix. 

Pour ce qui est des productions en interne, entièrement dépendantes du groupe France Télévision, sa part a été augmentée à 17.5% de l’investissement, contre les 12.5% votés en 2015 lors d’un précédent accord. Ainsi le groupe aurait prévu d’investir 420 millions d’euros par ans dans tous les programmes (110 millions minimum pour les documentaires, 15,75 millions pour le spectacle vivant, 30 pour l’animation). La durée de rediffusion sur le téléviseur quant à elle a été réduite, passant de 36-42 à 30-36 mois. 

Le groupe France Télévision souhaite donc définitivement protéger son contenu des services de SVOD et en conserver l’exclusivité le plus longtemps possible, tout en continuant d’investir dans leurs programmes. 

Source : Les Echos

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Freebox Delta : tests avec les claviers et souris

 

S’il faut oublier l’usage des manettes avec la Freebox Delta, qu’en est-il des claviers et souris ? Nous nous sommes penchés sur la question.

Les claviers : la filaire passe, pas le sans-fil

Nous avons commencé par tester les claviers dont l’utilisation peut avoir du sens, tant l’usage du clavier virtuel avec la télécommande s’avère pénible, en raison d’une frappe longue et pas totalement intuitive.

Pour nos tests, nous avons pris un clavier Bluetooth pliable fonctionnant avec Android, iOS et Windows, que l’on trouve sous différentes marques. Nous avons également utilisé un clavier sans-fil standard de marque Logitech et un clavier filaire standard signé T’nB.

Le clavier Bluetooth ne s’est jamais synchronisé avec le Player de la Freebox Delta. Il n’a ainsi pas été possible de l’utiliser.

Aucun souci pour les deux autres, en revanche. Ils ont fonctionné dès l’insertion du dongle ou le branchement du câble USB. 

Il apparaît donc possible de réquisitionner le clavier du PC pour la saisie d’identifiants, de mots de passe ou de requêtes de recherche un peu longues.

Les souris : pas de réel intérêt

Nous avons poursuivi avec une souris filaire classique, de marque Selectline. Alors, oui, le mulot est reconnu et le pointeur apparaît bien à l’écran.

Maintenant, l’intérêt de connecter ce type de périphérique est plus que discutable, du fait d’une interface qui n’a visiblement pas été pensée pour l’utilisation à la souris. On ne peut, par exemple, pas revenir en arrière ou fermer une application d’un simple clic. Le défilement des univers de l’interface d’accueil est compliqué, avec une molette qui ne permet pas le défilement et une barre de défilement absente. Cliquer sur les icônes ne déclenche pas le lancement des applications.

Verdict : les claviers et les souris fonctionnent-ils sur le Player de Freebox Delta ? Dans le cas des claviers, oui, si on évite les modèles qui nécessitent le Bluetooth. Et il faut avouer que c’est plutôt pratique dans certains cas. Concernant les souris, non. Et de toute manière, l’intérêt resterait limité. On aurait plus vite fait d’utiliser les boutons de navigation de la télécommande.

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Abonnés Free Mobile, qu’attendez-vous de la nouvelle “révolution” à venir chez l’opérateur ?

Que nous réserve Free Mobile sept ans après avoir chamboulé le marché ? 

En marge de la présentation de la Freebox Delta le 4 décembre dernier, Xavier Niel nous a révélé que Free comptait lancer une nouvelle révolution sur mobile, au mieux avant l’été 2019 :"On va créer un nouveau modèle dans le mobile à tous les niveaux […] au niveau des terminaux, au niveau des offres, la distribution, plein de trucs… on a fait une révolution en 2012 [sur le mobile] et on essaye de se réinventer tous les 6 ou 7 ans" a t-il confié en restant suffisamment vague sur le sujet pour que le mystère plane. Dans le but de connaître davantage vos espérances, Univers Freebox vous soumet ainsi un nouveau sondage :

 

 

 
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Freebox Delta : test de manettes de jeu filaires et sans-fil

 

Même si les jeux sont passés au second plan avec la Freebox Delta, faute de public sur les générations précédentes de Freebox, ils sont présents dans la boutique Freestore intégrée. Nous avons testé l’usage des manettes, plus appropriées qu’une télécommande lorsqu’il s’agit de jouer.

Les jeux toujours là avec la Freebox Delta

De l’aveu même de Xavier Niel, les jeux vidéo n’ont jamais rencontré un franc succès sur la Freebox. Voilà pourquoi cet aspect n’est pas du tout mis en avant avec la récente Freebox Delta. Maintenant, le Freestore propose quand même quelques titres gratuits ou payants.

Et comme il est plus confortable de jouer avec une manette qu’avec la télécommande, la tactile comme la classique, nous avons tenté de connecter différentes manettes et de jouer.

Nos tests avec différents modèles de manettes

S’il est impossible de tester toutes les manettes du marché, nous avons choisi un échantillon assez représentatif. Parmi les quelques modèles essayés, en filaire ou en Bluetooth (selon les possibilités offertes par la manette), il y a les manettes de la Freebox Révolution et celle de la console Xbox 360 (l’officielle). Nous avons aussi mené nos tests avec un modèle générique compatible Android / iOS (GamePad M10 distribué par GiFi) et un modèle SteelSeries compatible iOS (Nimbus).

Cela fonctionne-t-il ? Avec quelles manettes ?

Nous avons assez logiquement commencé par brancher les manettes filaires de la Freebox Révolution. Que ce soit dans l’interface principale ou les jeux, aucune réaction lors de l’usage de la croix multidirectionnelle, des sticks, des boutons ou des gâchettes. Aucun signe non plus pour confirmer le branchement. Ça commence mal…
 
 
Passons à la manette Xbox One qui nous laisse un peu plus d’espoir, Microsoft ayant montré son ouverture en permettant le fonctionnement sur Android, interface et jeux inclus. Nous essayons en filaire, puis en Bluetooth. Là, non plus, pas moyen de jouer. Impossible d’établir la liaison sans-fil. Aucune réaction lors du branchement en USB.
 

À ce moment-là, nos chances de jouer avec la manette semblent tendre vers zéro, mais nous tentons malgré tout la connexion en Bluetooth ou en filaire des manettes Android / iOS en notre possession. Et une nouvelle fois, nos espoirs sont rapidement douchés.

 
Reste la télécommande
 
Il nous reste les télécommandes. Ou plutôt la télécommande Soft Touch, sachant que le modèle tactile rencontre souvent des dysfonctionnements (déconnexion obligeant à refaire l’appairage ou extinction obligeant à redémarrer le player) et s’avère moins agréable pour ce type d’usage (en raison de l’absence des boutons physiques). 
 
 
Ce n’est pas forcément la solution la plus confortable, mais on peut s’en contenter pour une petite session de jeu avec des titres basiques tels que Pong et Bobble Box.
 
VERDICT : Jouer avec le player de la Freebox Delta ? Ce n’est clairement la priorité de Free comme l’avait confirmé  Xavier Niel lors de notre interview. Le faire avec une manette ? Encore moins, comme le montrent nos tests. Les jeux sont là – et en petit nombre – juste pour tuer le temps de manière occasionnelle. Rien de plus. 
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OnePlus 5/5T : corrections de plusieurs bugs au niveau du Wi-Fi

OnePlus diffuse une nouvelle mise à jour logicielle. Celle-ci s’adresse aux smartphones OnePlus 5 et OnePlus 5T de 2017. Elle apporte plusieurs améliorations et corrections de bugs.

OnePlus s’occupe des problèmes avec le Wi-Fi

Faisant passer la ROM OyxgenOS à la version 9.0.2, une mise à jour fait l’objet d’un déploiement sur les smartphones OnePlus 5 et OnePlus 5T.

Elle résout des problèmes d’instabilité au niveau de la connexion Wi-Fi. Toujours pour le Wi-Fi, elle corrige des soucis remarqués dans certaines applications tierces.

D’autres améliorations et corrections

Les notes de version mentionnent d’autres améliorations et corrections. Elles concernent les boutons de navigation tactiles (sur le OnePlus 5), le mode lecture, le mode d’affichage sRGB, la VoLTE et la duplication d’écran.

Les anciens flagships de OnePlus déjà sous Android 9.0 Pie

Rappelons que les OnePlus 5 et OnePlus 5T profitent déjà d’Android 9.0 Pie. Le déploiement de la mise à jour en version finale a récemment débuté. Celle-ci apporte au passage les patchs de sécurité du mois de décembre 2018

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Test Freebox Delta: Qobuz, le service musical haute qualité qui rend justice au player Devialet

Si nous avions eu l’occasion de tester les plate-formes Deezer et Spotify présentes sur la Freebox Delta, nous n’avions pas pu tester le service payant Qobuz. C’est maintenant chose faite et en voici notre test. 

A la différence des services de streaming évoqués ci-dessus, Qobuz ne propose pas d’offre gratuite (mis à part une version d’essai d’un mois). Ce service est disponible sur différents supports : webplayer, application pc/mac, application mobile et sur différents objets connectés. C’est cependant l’application sur la Freebox Delta qui nous intéresse ici. 


Une interface complète. 

L’application propose une interface assez classique mais efficace. On y trouve l’habituel menu sur le côté de l’interface proposant l’accès à différentes sections. Bien sûr, vous pourrez y trouver favoris et vos playlists que vous aurez créées préalablement sur un autre support. 

Qobuz propose également une section consacrée aux nouveautés présentes sur la plate-forme ainsi qu’une section "Découvrir" qui propose une sélection par l’application d’albums, de playlists ainsi qu’une sélection d’albums ayant reçu des récompenses ou des prix.

Lorsque vous lancerez la musique, vous trouverez l’éternel player en bas de l’écran comme beaucoup d’application du même genre. Pour l’agrandir, il vous suffira d’appuyer sur la touche "i" présente sur votre télécommande pour y trouver votre liste de lecture ainsi que les options d’ajout aux favoris, d’accès à la page de l’artiste ou de l’album… 


Des fonctionnalités assez intéressantes

Le service Qobuz est résolument orienté vers les amateurs de musique, ceux qui souhaitent connaître au mieux leurs artistes et leurs créations. Ainsi Qobuz propose régulièrement une description plutôt complète des artistes présents sur sa plate-forme. 

Des présentations qui auraient leur place dans un magazine musical spécialisé dans la forme comme dans le fond. Une fonctionnalité qui plaira aux mélomanes souhaitant découvrir de nouveaux artistes. 

Dans le même genre de fonctionnalité, Qobuz propose une section vidéo proposant des interviews et des petits reportages concernant certains artistes. Des véritables émissions exclusives au service mais on y trouve un petit hic: une impossibilité de naviguer au sein de l’émission. Lors du lancement de la vidéo, on vous présente sa durée et c’est tout. 


  

Un catalogue varié et plutôt bien organisé malgré quelques manques. 

Qobuz propose de nombreux titres et de nombreux styles musicaux. On peut très bien passer du Rap avec Sofiane ou PNL à du rock avec Depeche mode en passant par de la musique classique ou du jazz. Une variété que l’on peut bien voir avec la section "découvrir" présente dans le menu latéral. 

Si la présentation des différents univers musicaux est correcte, on notera tout de même un petit hic : il manque un tri de playlists ou d’artiste par genre plus complet. Les utilisateurs de plate-formes comme Deezer ou Spotify regretteront sûrement l’absence de mix aléatoires ou de tri de playlist par genre ou ambiance. 


Une qualité sonore qui rend justice au player Devialet

Qobuz propose quatre abonnements selon la qualité de son souhaitée comme présenté ci dessous.

Nous avons pu ainsi accéder à l’abonnement sublime, permettant l’écoute en qualité optimale et la différence avec d’autres services comme Deezer s’est fait sentir dans la qualité de l’écoute, notamment lorsque l’on écoute un morceau en qualité Hi-Res. Cependant, en comparant certaines musiques en qualité CD avec la qualité de son disponible sur Deezer, nous n’avons pas perçu de réelles différences. Ainsi, si vous êtes intéressés par un son très haut de gamme, privilégiez l’abonnement Studio ou Sublime qui vous feront profiter de morceaux en qualité optimale. 

Il est d’ailleurs important de noter que les morceaux disponibles en qualité Hi-Res sont marqués d’une indication permettant de les trouver facilement. De même pour les musiques en qualité CD (et donc Hi-Fi pour les connaisseurs). 


Verdict : 

Ce service ne s’adresse clairement pas au tout public et vise les mélomanes adeptes de son haut de gamme et cherchant en permanence de nouveaux artistes ou de nouveaux genres de musique. Pour ceux la, le service propose un service plus que correct en tant qu’application (permettant également des achats d’albums ou de titres sur leur site) et une qualité de son effectivement supérieure. Mais le prix pour profiter d’une qualité de son optimale est tout de même assez élevé (24.99€ par mois minimum), mais pour ce qui est des autres abonnements il n’est pas différent des tarifs appliqués par Deezer par exemple (Qualité Hi-Fi à 19.99€/mois). A ce prix cependant, Qobuz propose en plus de la qualité audio, du contenu original comme des vidéos exclusives… A vous de choisir si ce type de contenu vous intéresse ou non et si vous êtes prêts à y mettre le prix.  

  

  

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Google remporte son bras de fer contre la CNIL au sujet du droit à l’oubli

Depuis plusieurs mois, Google est aux prises avec plusieurs institutions européennes sur différents sujets : les nouvelles lois sur le droit d’auteur numériques, une concurrence abusive pour ses applications… Hier, c’est une affaire entre le géant et la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) qui vient de se résoudre. 

L’affaire portait sur deux dossiers, chacun concernant une capacité d’application du droit à l’oubli sur le moteur de recherche de Google. La CNIL avait alors saisi la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) et réclamait une amende de 100 000€ pour l’application partielle de ce droit, notamment à l’étranger. 

Pour rappel, le droit à l’oubli concerne toute information sur une personne nommée postée sur internet. La personne en question est en droit de réclamer la suppression de son nom ou d’informations personnelles mentionnées. Ainsi, une personne mentionnée comme suspect lors d’une enquête judiciaire puis innocentée pouvait par exemple supprimer son nom de ces articles afin de ne pas subir les potentiels préjudices de telles accusations. 

La CNIL reprochait plusieurs choses à Google concernant ce droit : le fait qu’une information dé-référencée en Europe pouvait être visionnée à l’étranger, mais également dans le cadre d’un exemple bien précis. En effet, quatre français souhaitaient voir leurs informations supprimées de sites qui mentionnaient leur condamnation pour actes pédophiles ou leur mise en examen. 

Pour le premier cas, l’avocat ayant été mandaté par la CJUE a donné l’avantage à Google face à la CNIL qui prônait une suppression totale des informations. L’argument de Google pour contrer cela reposait notamment sur le fait que "certains pays – peut être moins libre et moins démocratiques" puissent utiliser ce précédent afin d’exiger l’application de leurs propres lois sur une échelle globale. Ainsi pour l’avocat, le droit à l’oubli ne doit être appliqué qu’à l’échelle de l’Europe. 

Le second cas a cependant obtenu un consensus entre la CNIL et Google, qui ont estimé que la suppression de ces informations pouvait porter préjudice au droit d’information. L’avocat ayant rendu la décision de la CJUE a d’ailleurs ajouté que le géant américain devrait " effectuer une pondération entre, d’une part, le droit au respect de la vie privée ainsi que le droit à la protection des données […] et, d’autre part, le droit du public à avoir accès à l’information en question, tout en tenant compte du fait que cette information relève du journalisme ou constitue une expression artistique ou littéraire".

Ainsi les applications du droit à l’oubli par Google sont acceptées par la Commission de Justice de l’Union Européenne et si ce droit n’est pas encore totalement réglementé, c’est une avancée et un précédent qui permets de mieux le comprendre. 

Source : Le Figaro

 

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