Mois : septembre 2019

Débits sur Netflix en France : tous les opérateurs sont en légère baisse, Free au coude à coude pour la dernière place

 
Quel opérateur propose les meilleurs débits sur Netflix ? Le mastodonte de la SVOD publie son ISP Speed Index, mesurant tous les mois la vitesse moyenne de ses flux selon les pays et les FAI. Au mois d’août pas de jaloux, tout le monde est en baisse et la classement ne bouge pas. 
 
Concrètement, au cours du mois d’août c’est SFR "câble et FTTH" conserve sa place de numéro un avec un débit moyen de 4,20  Mbits/s en légère baisse par rapport à juillet (4,27 Mbits/s). En deuxième position, Bouygues Télécom, affiche 3,68 (Mbits/s contre 3,82 Mbits/s le mois précédent.. A la 3ème place on trouve Orange avec 3,47 Mbits/s, en baisse également (- 0,08 Mbits/s), suivi par Free avec 3,15 Mbits/s (3,24 Mbits/s le mois dernier). Enfin, SFR, affiche un débit moyen de 3,11 Mbits/s (contre 3,17 Mbits/s en juillet).  
 
 

Rappelons que l’indice de performance des FAI porte uniquement sur le service Netflix aux heures de grande écoute. Il ne s’agit pas d’une mesure de performance générale incluant les autres services/données susceptibles de circuler sur le réseau des FAI en question. Une performance supérieure sur Netflix se traduit généralement par une meilleure qualité d’image, un temps de démarrage plus court et moins d’interruptions.

 

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Kosc dénonce les manquements volontaires de SFR et la décision de l’Autorité de la Concurrence, qui l’empêchent de se développer face au duopole Orange-SFR

Kosc Telecom, fournisseur de connectivité très haut débit né de la fusion des réseaux de Completel et OVH, récuse la décision rendue par l’Autorité de la Concurrence en faveur de SFR et déplore l’abandon de la régulation du marché de gros.

L’opérateur dénonce également la lenteur et les carences de l’instruction du dossier ainsi que les manquements volontaires de SFR et le non-respect de ses engagements afin de retarder le transfert effectif du réseau Completel acquis en 2016, Kosc Telecom annonce saisir le Conseil d’État.

Rappel de faits. En 2015 l’Arcep place au rang de ses chantiers prioritaires le déploiement d’« une architecture universelle de réseau en fibre optique permettant l’émergence d’un marché de masse de la fibre pour les PME ». Dans le même temps, l’Autorité de la Concurrence réclame et suscite l’arrivée d’une offre de gros sur le marché de la fibre optique professionnelle concurrente de celle du duopole.

C’est dans ce contexte, qu’une équipe d’entrepreneurs et d’investisseurs, parmi lesquels OVH, décide, avec le soutien de la BPI, du rachat du réseau haut débit de Completel au groupe Altice. Ce rachat est validé par l’Autorité de la Concurrence en décembre 2015 et débouche sur la création de Kosc Telecom. La raison d’être du nouvel entrant sera, pour satisfaire aux exigences de l’Autorité de la Concurrence et permettre le développement d’un véritable marché concurrentiel des services numériques, de proposer une offre de gros de connectivité professionnelle à des opérateurs de services numériques aux entreprises. C’est ainsi que depuis 2016, Kosc Telecom met à disposition des opérateurs de services numériques aux entreprises une connectivité très haut débit, apportant ainsi de la concurrence sur un marché verrouillé par un duopole historique constitué d’Orange et de SFR.

En 2018, l’Arcep constate les manquements volontaires d’Altice et le non-respect de ses engagements destinés à retarder le transfert effectif du réseau Completel et provoque une autosaisine de l’Autorité de la Concurrence. Face à la montée de la pression médiatique et des questionnements de nombreux élus que l’Autorité de la Concurrence a rendu de sa décision, la semaine dernière, le 6 septembre 2019, en annonçant clôturer " la saisine d’office qu’elle avait ouverte pour s’assurer du respect des engagements pris par Altice France, lors du rachat de SFR, concernant la cession du réseau DSL de Completel"

Peu avant, la Banque des Territoires avait refusé une nouvelle augmentation de capital Kosc. "Un refus de toute évidence motivé par des informations émanant de l’Autorité de la Concurrence, en parfaite contravention avec le secret de l’instruction" dénonce l’opérateur. Et d’annoncer que "conscient du danger que la situation fait peser sur l’écosystème de services numériques et déterminé à préserver son indépendance et l’intérêt de l’entreprise, Kosc Telecom a d’ores et déjà décidé de saisir le Conseil d’État. Une saisine motivée par les nombreuses irrégularités qui ont émaillé le suivi du dossier par l’Autorité de la Concurrence, parmi lesquelles la durée inexpliquée de son instruction dans un contexte d’urgence et la probable violation de son secret".

Antoine Fournier, directeur général de Kosc Telecom a indiqué pour sa part  : « Nos résultats, tant techniques que commerciaux, nous font rester confiant quant à l’avenir de notre entreprise. Et ce en dépit des obstacles placés sur notre chemin par un duopole verrouillant farouchement le marché des télécommunications d’entreprises dont l’actualité de ces derniers jours nous offre une nouvelle et pénible illustration. Notre force repose sur la qualité, la performance de notre offre et la confiance de nos clients et de nos actionnaires. »

Kosc Telecom annonce donc qu’il invite les députés membres de la mission flash d’étude des retards de l’accès des PME à la fibre à s’intéresser au contrôle par l’Autorité de la Concurrence, du respect des engagements de SFR d’une part et à son inaction contre  les "poursuites baillons" de SFR à l’encontre Kosc Telecom d’autre part.

 

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Orange, Free, SFR et Bouygues : la 4G débarque officiellement dans les 44 stations du métro de Lyon, mais pas dans les tunnels

Après une phase de test, les abonnés d’Orange, Free, Bouygues et SFR peuvent dorénavant surfer en 4G dans toutes les stations du métro de Lyon.  Il faudra toutefois attendre la fin d’année pour en bénéficier dans les tunnels et les rames.

Après 14 mois de travaux, les 44 stations du métro de la ville lumière sont depuis ce matin toutes connectées à la 3G et la 4G des quatre grands opérateurs, informe le Sytral, organisateur des transports en communs lyonnais. Ce n’est pas tout puisque les voyageurs du réseau TCL bénéficient également de la quatrième génération de téléphonie mobile dans le funiculaire. Et dès la fin de l’année, la connexion 4G sera déployée dans les tunnels et dans les rames.

 
Confié à Orange, "ce projet s’inscrit dans la volonté d’offrir un service optimal aux utilisateurs du réseau souterrain, qui représente chaque jour 750 000 voyages, soit près de la moitié de la fréquentation quotidienne du réseau TCL", confie enfin  le Sytral.
 

 

 

 

 

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Huawei pourrait lancer ses smartphones P40 sans Android si le blocage continue

Interrogé au sujet de la situation dans laquelle se trouve son groupe, le patron de Huawei a déclaré que le smartphone P40 pourrait utiliser le système d’exploitation HarmonyOS, en lieu et place d’Android.

Devant être présentés le 19 septembre prochain, les smartphones Mate 30 feront les frais de la situation délicate dans laquelle se retrouve Huawei. Ils ne seront en effet pas livrés avec les applications et services de Google. Exit notamment la boutique d’applications Play Store.

Mais le groupe chinois développe depuis quelques temps son propre système d’exploitation, tout comme il conçoit ses propres chipsets, les solutions Kirin, à travers sa filiale HiSilicon. Il dispose ainsi d’un plan B. Selon Richard Yu, cette carte sera jouée si la situation perdure. Dans le cadre du salon IFA 2019, le patron de Huawei a indiqué au site allemand Spiegel Online que les Huawei P40 de début 2020 pourraient tourner sous HarmonyOS. Il déclarait en effet : « Pour les produits actuels, nous resterons avec Android. Si les contraintes persistent, nous utiliserons notre HarmonyOS pour les futurs produits, tels que le P40, qui est prévu pour le printemps 2020 ».

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Xiaomi Mi 9 Pro 5G : un smartphone 5G compatible avec une charge sans-fil de 30 W

La marque a annoncé sur Twitter, son prochain smartphone haut de gamme 5G. De plus, le flagship est compatible avec une nouvelle technologie de recharge sans-fil ultra rapide, grâce à un chargeur 30 W.

En effet, Xiaomi a dévoilé aujourd’hui, son prochain mobile haut de gamme 5G. Baptisé Xiaomi Mi 9 Pro 5G, ce dernier a été présenté par la marque à l’occasion d’une conférence de presse qu’elle a organisée sur la recharge sans-fil. 
 
En parallèle, l’entreprise a dévoilé avec ce smartphone, un nouveau chargeur sans-fil d’une puissance record de 30 W, ainsi qu’un chargeur filaire de 40 W. Pour rappel, le Mi 9 dispose d’une recharge 20 W, tandis que la plupart des autres smartphones haut de gamme disposent d’une recharge 15 W.
 
Pour le moment la fiche technique du Mi 9 Pro 5G n’est pas encore rendue publique cependant, ce smartphone sera le premier de la marque à être équipé de cette recharge sans-fil ultra rapide.
 
 
Xiaomi promet des records de vitesse de rechargement avec son nouveau chargeur sans-fil. Il ne nécessiterait qu’une heure et neuf minutes pour recharger complètement une batterie de 4 000 mAh contre actuellement 2 heures pour un smartphone avec la recharge sans-fil classique. Avec ce chargeur sans-fil 30 W, recharger une batterie à hauteur de 50% ne prend que 25 minutes.
 
Mais ce n’est pas tout. Ce Xiaomi Mi 9 Pro 5G est également prévu pour recharger d’autres appareils. Il sera possible de poser différents objets compatibles avec la recharge sans-fil sur la face arrière du smartphone, afin de les alimenter en énergie, comme l’ont déjà fait Samsung et Huawei.
 
On remarque sur le tweet du vice-président du groupe, un exemple de cette fonctionnalité de rechargement d’objets tiers par le smartphone. Sur l’image publiée, une boite d’AirPods est posée au dos d’un Mi 9 Pro 5G, dans le but d’être rechargée. Avec sa batterie conséquente, une compatibilité 5G, ainsi qu’une fonctionnalité permettant de recharger d’autres appareils, le Mi 9 Pro 5G s’annonce assez prometteur et devrait être présenté d’ici quelques jours.
Il va donc falloir patienter encore un peu avant de connaître l’intégralité de sa fiche technique, son prix, ainsi que les pays dans lesquels il sera disponible.
 
A noter aussi que sur le réseau social chinois Weibo, la marque a également évoqué une future charge sans-fil 40 W cette fois-ci.

Source : 01Net

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Qualcomm veut démocratiser les smartphones 5G et promet des modèles abordables dès 2020

Qualcomm entend participer à la démocratisation de la 5G. Le géant américain annonce l’arrivée prochaine de la connectivité sur des smartphones de milieu de gamme reposant sur ses plates-formes Snapdragon de séries 6 et 7.

Sans surprise, la 5G fait ses premiers pas sur les smartphones haut de gamme. La nouvelle connectivité arrivera plus tard sur les modèles plus adorables. Et Qualcomm entend visiblement participer à cette démocratisation. À l’occasion du dernier salon IFA de Berlin, la firme de San Diego a d’ailleurs donné quelques détails. 

Après avoir proposé la 5G sur les plates-formes haut de gamme Snapdragon 855 et Snapdragon 855+, Qualcomm la rendra accessible avec ses plates-formes de milieu de gamme des séries 6 et 7. En début d’année 2020, notamment au MWC de Barcelone, on devrait ainsi voir des smartphones 5G en Snapdragon 7xx. Qualcomm a évoqué une douzaine de constructeurs ayant manifesté leur intérêt parmi lesquels HMD Global (Nokia), Motorola, Realme, Redmi ou encore Oppo. Il faudra attendre la seconde partie de l’année pour voir des modèles 5G reposant sur un chipset Snapdragon 6xx. Pour vous faire une idée des smartphones qui auront alors droit à la 5G, on peut citer le Redmi Note 7 qui abrite un chipset Snapdragon 660 et qui coûte 199 euros.

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Le Huawei Mate X pourrait être disponible en deux versions d’ici le mois prochain

Le PDG de Huawei a déclaré lors de l’IFA de Berlin, que le prochain smartphone pliable de la marque pourrait arriver dès le mois prochain en deux déclinaisons.

En effet, Richard Yu, le PDG du géant chinois, a annoncé à l’occasion de l’IFA de Berlin qui a débuté le 6 septembre, une possible commercialisation du futur Mate X dès le mois d’octobre. Il a également ajouté qu’une version plus poussée du smartphone pourrait voir le jour, avec cependant un temps de retard. En réponse aux questions posées par CNET, le patron de la firme a expliqué au sujet du Mate X : « Peut-être que le mois prochain, nous pourrons le vendre dans le monde entier ».
 
Huawei avait présenté en Chine il y a quelques semaines, une version du Mate X plus poussée. D’après le site spécialisé Neowin, cette déclinaison plus récente du Mate X pourrait embarquer le tout dernier SoC maison de la marque, à savoir le Kirin 990 et il ferait également usage du même objectif photo que pour le P30 Pro. 
 
Pour autant, une version dotée du Kirin 980 serait prévue aussi. Même si on peut se questionner quant à l’intérêt d’un smartphone à un tel prix (2 229 euros), embarquant un processeur n’étant pas de la toute dernière génération. Pour rappel, le smartphone pliable de son concurrent Samsung est prévu pour le 18 septembre en France.

Source : 01Net

 

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Free officialise l’ouverture de son 68ème Free Center demain

Un nouveau Free Center s’apprête à ouvrir ses portes, dans l’Aisne.

Dans un tweet, Free annonce l’ouverture de sa 68e boutique, prévue pour demain. Celle-ci se situera à Saint-Quentin, ville du département de l’Aisne, en région Hauts-de-France. Les habitants de cette ville pourront trouver cette nouvelle boutique dès demain, au 24 rue des Toiles. 

 

Free a récemment mis l’accélérateur en matière d’ouverture de boutiques afin de mieux quadriller le territoire et enchaîne ainsi les annonces à ce sujet ces derniers temps. Précédemment, l’opérateur de Xavier Niel a ouvert ses 63e, 64e et 65e boutiques dans les villes de Colmar (Haut-Rhin), Chartres (Eure-et-Loir) et Tarbes (Hautes-Pyrénées). Il s’agit de la deuxième boutique ouverte récemment dans les Hauts-de-France, puisqu’il y a un mois à peine, un Free Center était également ouvert à Compiègne

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Orange : “Nous n’avons pas un besoin immédiat de la 5G car nous avons à peine terminé la 4G”

Comme Bouygues, Orange ne prévoit pas une grande différence dans les usages grand public en 2020 lors du lancement des premières offres commerciales. Pas encore totalement généralisée dans l’hexagone, la 4G a encore de beaux jours devant elle 

Même s’il commencera le déploiement de la 5G dès l’attribution de fréquences, la conviction d’Orange est fondée : "Pour le grand public, la 5G s’inscrira dans une forme de continuité. Au niveau des usages grand public tels que nous les connaissons aujourd’hui, il n’est pas question d’une rupture aussi forte" que celle en prévision dans le secteur professionnel, a déclaré Stéphane Richard dans une interview accordée au magazine Entreprendre. A ses yeux, la 5G sera avant tout "une révolution" pour les entreprises que ce soit dans l’industrie, à savoir "la façon de concevoir une usine ou encore d’en assurer la maintenance prédictive", ou encore dans l’automobile avec les voitures connectées et autonomes mais aussi les villes intelligentes.

S’agissant du grand public, le patron d’Orange évoque une nouvelle ère dans "les médias et la manière de consommer les contenus et certains spectacles, notamment les spectacles vivants, et le sport". Désireux de ne pas louper le coche, Orange estime que les opérateurs européens sont dans la course face à leurs homologues asiatiques et américains. Cependant, pour le grand public, rien ne sert de courir trop vite puisque les usages ne sont pas encore là : "Nous n’avons pas un besoin immédiat de la 5G car nous avons à peine terminé la 4G. Nous pouvons continuer à vivre avec de la 4G durant quelques années, mais il est capital que nous ne soyons pas en retard vis-à-vis des Américains, des Chinois et des autres grands pays d’Asie, comme la Corée et le Japon, qui vont mener la course en tête", a encore confié Stéphane Richard. 

Pas de rupture en apparence dans le secteur BtoC donc dès 2020 comme la 4G face à la 3G. "Les changements d’usages, les nouveaux usages, et de manière un peu massive, ça va commencer en 2023" avec l’arrivée de la 5G standalone ,a pour sa part assuré en juillet Bouygues Telecom. Selon Jean-Paul Arzel, directeur Réseau de l’opérateur, la première génération de la 5G va également s’inscrire dans le prolongement de la 4G . "Il n’y aura pas une valeur ajoutée très différenciante pour le grand public. Ça va maintenir opérationnel et pérenniser les usages actuels de la 4G en apportant de la capacité aux opérateurs et en répondant au besoin croissant de data. Donc, c’est positif. Ça va permettre d’éviter la saturation du réseau."

Le déploiement de la 5G va se dérouler en plusieurs étapes et de manière progressive en fonction des besoins en capacité. Les opérateurs vont prendre appuis sur leur réseau existant en effectuant des upgrades, comme utiliser des points hauts existants sur lesquels seront des antennes 5G raccordées au réseau de transport existant, via la fibre. Dans quatre ans, la 5G disposera de son propre coeur de réseau et à ce moment là, celle-ci permettra de mettre en oeuvre des technologies qui vont faire baisser la latence. De quoi marquer une réelle différence avec la 4G aux yeux du grand public.

 

 

 

 


 

 

 

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Téléphonie mobile : qu’est-ce qu’un MVNA ou MVNE ?

 

Dans le secteur de la téléphonie mobile, vous connaissez les acteurs tels que les opérateurs et les opérateurs virtuels. Mais connaissez-vous les MVNE et MVNA ?

Le secteur de la téléphonie mobile se compose notamment de MNO (Mobile Network Operator), les gros opérateurs qui possèdent fréquences et infrastructures, et de MVNO (Mobile Virtual Network Operator), les opérateurs virtuels qui s’appuient sur les ressources des premiers pour proposer des offres au grand public et aux professionnels. Mais il y a un autre type d’acteur qui fait le lien entre les deux premiers.

Il s’agit des MVNE (Mobile Virtual Network Enabler) et MVNA (Mobile Virtual Network Aggregator). Quel est exactement leur rôle ? Qu’est-ce qui les différencie ? Dans une vidéo publiée sur sa chaîne YouTube, CFAST, qui propose de solutions de gestion pour opérateurs, nous apporte quelques éclaircissements.

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