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Free Mobile enrichit son catalogue de téléphones 4G à petit prix

Un nouveau feature phone est proposé chez Free Mobile, pour les petits budgets qui veulent pouvoir appeler pour moins de 40€.

Après deux modèles de Doro, et le Nokia 225 Free Mobile propose un nouveau mobile de chez TCL. Loin des smartphones ultra-performants haut de gamme, ce modèle entend proposer avant tout les appels et les messages, le tout sur un réseau 4G. De quoi rassurer les utilisateurs de feature phones qui craignent la fin prévue des réseaux 2G ou 3G.

Ce modèle est uniquement disponible dans son coloris noir, mais a pour avantage d’être le moins cher de la boutique de l’opérateur, puisque vous pouvez l’acheter pour 36€.

Pour ce prix, pas de grand écran tactile et de fonctions superflus, ce téléphone TLC compatible 4G, sert principalement à téléphoner et envoyer des SMS via le clavier à touches. Il dispose tout de même d’un appareil photo/caméra et d’un emplacement double carte SIM.

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Orange, Free Mobile, SFR et Bouygues accusés d’entente face à un nouvel acteur, le réseau en pâtit

Valocîme, détenant les baux de nombreux terrains hébergeant des antennes n’a pas hésité à couper l’électricité d’une dizaine d’installations d’un concurrent pour se faire entendre. 

La guerre fait rage dans le secteur des “Towercos”, suite aux pratiques de Valocîme. Le nouvel acteur accuse les opérateurs de s’être entendus pour ne pas travailler avec lui, quand de leurs côtés les telcos vont jusqu’à qualifier ses pratiques de “racket” ou de “sabotage”. Depuis plusieurs années déjà, la société Valocîme fait l’objet d’inquiétudes de la part du secteur des télécoms.

La société démarche le propriétaire du terrain, peu avant l’expiration du bail en offrant un loyer généralement 30% plus cher. Pourquoi une telle hausse des prix ? Tout simplement pour pouvoir sous-louer au propriétaire du pylône (opérateur ou Towerco) à un prix plus élevé ou encore proposer de racheter l’installation telle quelle. Une pratique assez agressive qui inquiète le monde des télécoms.

Un nouvel acteur turbulent

Le conflit remonte à 2017, alors que les opérateurs, en manque de cash, vendaient leurs actifs à tour de bras, notamment à Cellnex. Et Valocîme, appliquant son autre approche, se voit ainsi en position de demander l’expulsion de son rival des 2700 parcelles qu’il possède. Une pratique qui ne passe pas auprès des opérateurs, notamment parce que malgré les affirmations de Valocîme de baisser la facture des opérateurs, ces derniers n’ont “jamais vu de contrats” affirme une source des Échos.

Des auditions se sont déroulées à l’Arcep ce vendredi 13 décembre, à huis clos. Valocîme en a ainsi profité pour accuser les opérateurs et Cellnex de pratiquer une “entente verticale” en refusant de travailler avec elle. Seuls Bouygues, Orange et SFR ont été entendus pour l’instant, une audition est prévue pour Free plus tard. Afin d’appuyer ses accusations, la société n’a pas hésité à couper l’électricité de plusieurs installations de son concurrent la veille de l’audience. Si la dégradation d’un appareil qui cause l’interruption de réseau est punie de deux ans de prison, Valocîme assure avoir fait le nécessaire pour dégrader la couverture sans la couper.

Le conflit tourne donc clairement au vinaigre, d’autant que les opérateurs ont déjà initié leur contre-attaque avec un texte soufflé aux parlementaires pour bloquer les pratiques de Valocîme. Cependant, il n’a toujours pas été adopté, vu le contexte politique actuel.

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La scission de Vivendi (Canal+) permettrait au groupe Bolloré d’éviter plus de 500 millions d’euros d’impôts

La scission de la maison-mère de Canal+ va permettre au groupe Bolloré de bénéficier d’un régime spécial, avec un allègement de la fiscalité.

Une opération rentable à bien des égards pour le groupe Bolloré. Vivendi vient d’être scindée en 4 entités distinctes, chacune cotée sur diverses places boursières. Outre l’avantage stratégique, cette opération entraîne également un changement de régime fiscal grâce à une manœuvre astucieuse.

En effet, chaque actionnaire de Vivendi recevra une action pour Canal+, Havas et Hachette, mais contrairement à l’opération similaire réalisée pour Universal Music en 2021, la distribution d’action ne sera pas taxée. En effet, le schéma choisi par Vivendi est plus rare, nommé “scission partielle”, il exonère d’impôt les actionnaires sur deux tiers de la valeur de leurs actions. Ainsi, ce sont près de 6 milliards d’euros qui échapperont à la taxe sur les plus-values, du fait que les actions sont considérées comme des “remboursements d’apports” d’actifs.

Tout ou une partie de cette distribution peut constituer un remboursement d’apport, c’est-à-dire que les actionnaires récupèrent leur mise de départ et ne sont donc pas imposables“, explique Charles Ménard, avocat chez EY Société d’avocats, à BFM TV. Du côté de Canal+, 4.5 milliards d’euros sont concernées, et 1.4 milliard chez Hachette. En toute logique, l’actionnaire majoritaire sera le premier à en bénéficier, selon les calculs de nos confrères, avec le régime “classique”, il aurait dû régler 600 millions d’euro pour la scission de Canal+, contre 200 millions au final. Quant à Hachette, il paiera 65 millions d’impôts contre 200 millions s’il s’agissait d’une distribution. Soit une économie totale de 535 millions.

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Canal+ entre en bourse à Londres

Vivendi a enfin acté la scission de ses différentes filiales, plaçant Canal+ sur le London Stock Exchange.

Une transformation majeure de l’organisation de Vivendi, approuvée par les actionnaires, vient d’être mise en place. L’idée est de séparer le groupe en plusieurs entités principales, chacune cotée sur des places boursières différentes. Canal+ vient donc de faire son entrée en bourse à Londres ce 16 décembre 2024.

L’agence de publicité Havas, pour sa part, a été introduite à la Bourse d’Amsterdam avec un prix de référence de 1,79 €, soit une valorisation totale de 1,77 milliard d’euros. Le groupe Lagardère entre, de son côté, sur Euronext Growth à Paris, et la holding Vivendi continue d’être cotée sur Euronext Paris.

Ce choix est stratégique : le groupe audiovisuel ne cesse de renforcer son développement international, avec une présence majeure hors de France, à savoir en Afrique, en Europe et en Asie-Pacifique. La cotation à Londres entend refléter cette dimension internationale, en particulier dans le cadre de son rapprochement avec le géant africain MultiChoice.

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TNT : NRJ 12 annonce un recours auprès du Conseil d’État pour contester le choix “manifestement illégal” de l’Arcom

NRJ 12 n’entend pas lâcher l’affaire et a annoncé sa volonté de saisir le Conseil d’État suite au rejet de sa candidature pour la TNT.

En fin de semaine dernière, l’Arcom annonçait ainsi avoir retenu 11 candidats pour l’attribution des fréquences TNT à partir de février 2025. Malgré l’annonce du retrait des chaînes de Canal+, la liste des chaînes retenues n’a pas évolué par rapport à l’été dernier et NRJ 12, tout comme C8, a été exclu de la TNT. Le groupe à la tête de la chaîne a indiqué via un communiqué qu’il n’entendait pas se laisser faire et préparait un recours auprès du Conseil d’État “dans les tous prochains jours“.

NRJ Group pointe notamment du doigt le nombre de chaînes autorisées : “alors même qu’il appartenait à l’Arcom de reprendre le processus de sélection, en vue d’attribuer, conformément au règlement de l’appel à candidatures, quinze autorisations, elle a fait le choix manifestement illégal de reporter la question de l’attribution de cette ressource”. L’Arcom a cependant justifié cette décision en expliquant que la décision n’était pas de nature à remettre en cause le nombre de services autorisés à émettre gratuitement sur la TNT.

Mais ce choix, pour NRJ 12 signifie que le régulateur fait le choix “délibéré” d’interdire sa chaîne de la TNT “et ce alors même qu’elle est une chaîne respectueuse de ses obligations qui contribue depuis 20 ans au succès de la TNT, et qui réunit chaque mois 33,4 millions de téléspectateurs“. Une décision qui “appauvrit l’offre de la TNT” et fragiliserait la plateforme dans son ensemble, “en privilégiant des thématiques de débats et d’information déjà très présentes et qui s’adressent à un public âgé” selon le groupe.

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Nouveau : les abonnés Freebox Ultra et Pop peuvent désormais échanger plusieurs répéteurs contre la nouvelle version WiFi 7

Les abonnés Freebox Pop et Ultra  disposant de plusieurs répéteurs Freebox WiFi 5 peuvent se rendre sur leur espace abonné et demander à passer à la vitesse supérieure.

Les migrations pour plusieurs répéteurs WiFi 5 vers le modèle WiFi 7, sont à présent ouvertes sur l’espace abonné des abonnés Freebox Pop et Ultra, nous a confirmé Free le 13 décembre. Réservé jusqu’à présent aux abonnés  disposant uniquement d’une unité de ce boîtier permettant une meilleure portée et qualité du réseau sans fil, l’échange vers le répéteur WiFi 7 de l’opérateur est donc désormais proposé aux foyers disposant de plusieurs répéteurs WiFi 5. Beaucoup attendaient cette possibilité depuis leur migration vers les offres Ultra ou Pop avec serveur WiFi 7 lancées respectivement fin janvier et début avril 2024. Si l’échange du 1er répéteur est inclus, il faudra débourser 20€ par répéteur supplémentaire.

Tout comme le serveur Pop WiFi 7, ce répéteur WiFi de nouvelle génération est bi-band, c’est-à-dire qu’il n’intègre pas la bande 6 GHz à contrario du WIFi 6E de la Freebox Delta ou WiFi 7 tri-band de la Freebox Ultra. Il permet toutefois deux fois plus de débit que le WiFi 6, soit jusqu’à 2,2 Gbit/s en download. Ce boîtier MU-MIMO, intègre la technologie Multi-AP (Mesh) avec la connexion automatique au meilleur point d’accès et à la meilleure bande de fréquence (band Steering). Le protocole de chiffrement dernière génération WPA3 est également embarqué. Un répéteur WiFi est aujourd’hui recommandé par l’opérateur dans les habitats de 95 m2 ou plus. A partir de 200 m2, il est même conseillé d’en utiliser deux.

 

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Lunettes connectées : Google et Samsung déclarent la guerre à Apple

Google relance la réalité mixte avec Android XR : coup de génie ou énième plantage ?

Après plusieurs échecs mémorables, Google retente sa chance dans le monde de la réalité virtuelle et augmentée avec Android XR, une plateforme qui veut transformer nos casques et lunettes en gadgets indispensables. Fini les Cardboard en carton et les fiascos de Glass et Daydream : cette fois, Google promet du sérieux. Et pour cela, l’intelligence artificielle est en embuscade.

Android XR, c’est la nouvelle tentative de Google pour dominer le marché des dispositifs immersifs. Développé en partenariat avec Samsung, ce système d’exploitation veut devenir le Android des casques et lunettes connectés. Parmi les invités à la fête : Qualcomm, Sony, XREAL, Lynx et Magic Leap. Samsung a déjà dégainé son kit de développement, Project Moohan, qui évoque étrangement le Vision Pro d’Apple.

Pour séduire les développeurs, Google a préparé une boîte à outils et assure que ses applications maison (YouTube, Google TV, Photos, Chrome) sont déjà compatibles. Les applications Android existantes fonctionnent aussi, mais des versions dédiées seraient préférables.

Lunettes connectées : le vrai pari

Si les casques VR séduisent les gamers, Google mise davantage sur les lunettes connectées pour toucher le grand public. Inspiré par le succès des modèles Ray-Ban sans écran de Meta, le géant prépare des prototypes Android XR qui entreront bientôt en phase de test. Samsung, de son côté, pourrait rapidement dévoiler ses premières lunettes sous Android XR.

Le vrai joker d’Android XR, c’est Gemini, l’assistant IA qui pilote les interactions utilisateur. Exploitant les capteurs embarqués (caméras, micros), Gemini adapte ses réponses au contexte, promettant une expérience ultra-intuitive. En somme, Android XR n’est pas juste un OS : c’est la première plateforme construite autour de cette intelligence artificielle.

La prudence reste de mise

Android XR doit rivaliser avec les mastodontes du secteur, comme visionOS d’Apple ou Horizon OS de Meta. Mais après les précédents échecs de Google dans la XR, le scepticisme est de mise. Cette fois, l’alliance avec Samsung et la puissance de Gemini suffiront-elles à éviter un nouveau fiasco ? Réponse dans les mois à venir.

Source : Google, Samsung

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Abonnés Livebox : Orange lance une grosse promo sur un énorme bouquet comprenant Ciné+ OCS

Plus d’une cinquantaine de chaînes et de services à la demande à découvrir pour 1€ par mois sans engagement, les abonnés Livebox peuvent se régaler.

Ciné, séries, émissions de divertissement… Il y en a pour tous les goûts avec cette promotion lancée par Orange qui dure jusqu’au 8 janvier prochain. En effet, le bouquet Divertissement est proposé à 1€/mois le premier mois, sans engagement. Une fois la période promotionnelle passée, le tarif original (15.99/mois) s’applique.

Vous pouvez y retrouver une cinquantaine de chaînes diverses et variées, allant des grosses productions avec Ciné+ OCS qui propose des films en exclusivité dès 6 mois après la sortie salles, du cinéma à profusion pour tous les passionnés des films de légende aux succès d’aujourd’hui, ainsi que des séries inédites françaises et internationales, à d’autres types de contenus. D’ailleurs, les chaînes Ciné+ et OCS sont de la partie évidemment, ainsi que Paramount Channel.

En effet, le bouquet se veut divertissant mais aussi généraliste, on peut y retrouver des chaînes comme téva, Paris Première, RTL9, mais aussi ​des chaînes jeunesse (TFou Max, Boomerang, Cartoonito…) et des services de découverte comme Kitchen Mania, Explore ou Crime District… Vous pouvez aussi retrouver une sélection de chaînes musicales (Trace, RFM TV…) et les fans de vitesse pourront se régaler avec Automoto.

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InfraNum élit sa première femme présidente

Le 10 décembre dernier, la fédération regroupant de nombreux acteurs de la fibre a élu Ilham Djehaich à sa tête. Une première pour Infranum.

Cette élection reflète la volonté d’InfraNum de mieux représenter la diversité et de renforcer son rôle dans un secteur en constante évolution” affirme la fédération dans son communiqué. C’est en effet la Directrice générale d’Altitude Infra THD Ilham Djehaich, qui succède à Philippe Le Grand à la tête d’Infranum.

Cette dernière est diplômée d’Excelia et de l’ESSEC et a rejoint le groupe Altitude en 2007. Après avoir exercé plusieurs fonctions stratégiques, elle est nommée Directrice Générale d’Altitude Infra THD en 2017, une filiale d’Altitude Infra, 3ème opérateur d’infrastructures de fibre optique en France.

En tant que dirigeante, elle pilote une entreprise qui joue un rôle central dans l’aménagement numérique des territoires français. Sa vision s’inscrit dans une démarche de développement durable et d’inclusion numérique, traduisant un engagement profond pour réduire la fracture numérique. Ces expériences lui ont permis d’acquérir une maîtrise des marchés publics et des collectivités territoriales dans le secteur des télécoms, ainsi qu’un savoir-faire global en matière de stratégie et de management, contribuant au succès de projets ambitieux et à fort impact. Ilham Djehaich est également membre du COMEX de l’association L-Impact depuis plus de deux ans et promeut ainsi une société plus inclusive et équitable via son association qui accompagne les femmes entrepreneures dans l’accès à la levée de fonds.

Le conseil d’administration a également été remanié avec 9 nouveaux entrants. Voici sa composition :

  • Pierre-Michel Attali (Smart World Partners)
  • Audrey Briand (TDF)
  • Ilham Djehaich (Altitude Infra)
  • Etienne Dugas (Grolleau)
  • Antoine Fournier (Thésée Datacenter)
  • Marie Lamoureux (Axione)
  • Paul Le Dantec (Ekho)
  • Philippe Le Grand (Teleos)
  • Stéphane Lelux (Tactis)
  • Emmanuel Martin (Firalp)
  • Audrey Maurel (Inlo Avocats)
  • Emmanuel Mouton (Synox)
  • Arnaud Paitel (Prysmian)
  • Antoine Roussel (Groupe Alsatis)
  • Xavier Vignon (Sogetrel)
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Les patrons des grands opérateurs télécoms européens poussent tous azimuts pour une réforme profonde, quitte à faire grève

Face à trop de régulation, les plus grands patrons des opérateurs se laissent même aller à imaginer une grève. Une façon de faire pression pour pousser à une réforme longuement attendue.

Les patrons d’Orange, Vodafone et consorts cherchent “un moyen de démontrer à quel point le problème est dur, profond et doit être traité rapidement“, assène Christel Heydemann, alors qu’ils imaginaient il y a quelques semaines un moyen de faire grève pour une réforme en profondeur de la régulation des télécoms. Les grands opérateurs européens ont lancé un nouvel appel à l’action aux vingt-sept États Européens pour agir.

En effet, les ministres des télécoms de l’UE avaient été plus que circonspects face à l’idée d’alléger les règles de concurrence pour favoriser les fusions et la nouvelle Commissaire européenne chargée du Numérique, Henna Virkkunen, affirme qu’un équilibre doit être trouvé entre la compétitivité réclamée par les grands opérateurs du continent et les règles de compétition. Afin d’apaiser les opérateurs, elle annonce ainsi que le Digital Networks Act est prévu pour « stimuler l’investissement en supprimant la paperasserie ».

Le secteur reste prudent, bien qu’il reconnaisse que c’est un bon départ. La Commission a évolué dans son rapport à une réforme de la régulation européenne, elle y était très fermée notamment du fait des risques d’une hausse de prix préjudiciable au pouvoir d’achat des consommateurs. Mais le secteur réclame depuis longtemps une marge de manœuvre pour respecter les objectifs de connectivité du continent, qui devraient coûter environ 200 milliards d’euros d’ici à 2030. D’où la volonté de consolider le marché et de faciliter les fusions, pour que les grands groupes aient davantage de moyens à investir dans le développement des réseaux et ainsi atteindre la 5G et le Gibabit/s pour tous d’ici 2030.

Du côté du financement, il a longtemps été débattu d’une potentielle contribution des géants du net comme Netflix ou Google pour financer le déploiement des réseaux. Et les opérateurs, qui réclament cela régulièrement, ont trouvé un nouvel allié inattendu : Brendan Carr, à la tête du régulateur américain des télécoms. « Il veut, lui aussi, que les géants du numérique payent pour les infrastructures. C’est très bien, on ne pourra plus nous dire que c’est une lubie des Européens » se réjouit en privé un acteur du secteur.

Source : Les Echos

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