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Des abonnés Freebox se retrouvent avec un WiFi limité, Free travaille à corriger le problème

Plusieurs abonnés se plaignent de voir leur nombre d’appareils capables de se conner à la Freebox limité depuis la dernière mise à jour majeure des serveurs.

Un couac suite à la dernière grosse mise à jour des Freebox vient perturber certains abonnés. Plusieurs d’entre eux indiquent en effet que depuis le passage de leur box à la version 4.9.0, leur box ne semble plus gérer autant d’appareils connectés que d’habitude.

Au bout d’un certain temps (quelques heures car j’ai le problème tous les jours depuis la 4.9.1 pas constaté en 4.9.0), si j’allume un nouvel équipement en WiFi qui n’était pas connecté quelques minutes avant(ou que je rentre tout simplement chez moi), le réseau 5GHz et aussi le 2.4GHz m’indique que je dépasse la limite du nombre d’équipements connectés“, explique ainsi l’un des abonnés touché. Si ses appareils domotique restent connectés constamment, chaque nouvelle connexion ne veut pas passer, et l’utilisateur se retrouve obligé d’éteindre le WiFi puis de le rallumer, pour un bref répit.

Une situation anormale puisque l’un des admin du bugtracker l’affirme : “il n’y a pas de nouvelle limitations du nombre d’appareils WiFi“. Après plusieurs vérifications, il apparaît que dans ces cas, le système se retrouve à court d’un certain type de mémoire, qu’il ne parvient plus à allouer pour les appareils en WiFi, et qu’il s’agit bien d’un bug. L’admin affirme cependant que cela ne devrait pas durer, puisqu’un correctif est en cours d’implémentation. “Il devrait être présetn dans la prochaine mise à jour de la box“, annonce-t-il.

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Hacking : comment de millions de Français participent sans le savoir à l’attaque de nombreux sites web

Les attaques DDoS : une menace invisible qui mobilise vos appareils connectés

Chaque jour, des millions de Français participent, à leur insu, à des cyberattaques de grande ampleur. Les attaques par déni de service distribué (DDoS) exploitent des objets connectés comme les box internet, les routeurs ou les caméras de surveillance pour submerger des serveurs de requêtes et les rendre indisponibles.

Selon Matthieu Dierick, expert cyber chez F5, les attaques DDoS figurent toujours parmi les principales menaces cybercriminelles. Elles ne cessent de gagner en sophistication et exploitent désormais une large gamme d’appareils connectés. Les cybercriminels privilégient aujourd’hui des attaques plus ciblées géographiquement et misent sur des requêtes plus petites mais massives, rendant leur détection difficile. « C’est comme si quelqu’un parlait très lentement pour monopoliser votre attention. Au bout d’un moment, le serveur sature », explique l’expert.

Les attaques DDoS fonctionnent selon un modèle organisé. Des pirates identifient les appareils vulnérables, les infectent via des logiciels malveillants, puis les contrôlent via des serveurs de Command & Control (C2). Ces infrastructures agissent comme des hubs où les hackers orchestrent leurs offensives.Lorsque les défenses se renforcent, les attaquants adaptent rapidement leurs stratégies pour contourner les blocages.

L’intelligence artificielle (IA) joue un rôle clé dans l’évolution des cyberattaques. Elle est utilisée autant par les défenseurs que par les hackers. Grâce à des outils basés sur l’IA, il devient plus facile de générer du code malveillant, même pour des novices. « Un simple étudiant en ingénierie peut concevoir une attaque sophistiquée en quelques clics », alerte Matthieu Dierick. Cette démocratisation accélère la course aux armements numériques.

Comment savoir si vos appareils sont infectés ?

Votre connexion Internet est-elle plus lente à certaines heures ? Si oui, votre box ou votre routeur pourrait être impliqué dans une attaque DDoS. « Une connexion fibre optique, normalement stable, ne devrait pas subir de variations significatives sans raison », indique Matthieu Dierick. Les opérateurs télécoms comme Orange, Free, Bouygues Telecom et SFR disposent de systèmes de détection capables d’identifier les connexions suspectes vers des serveurs malveillants. Toutefois, la meilleure protection reste la prévention. « Un bon antivirus est indispensable. Les malwares évoluent comme des virus biologiques : mieux vaut prévenir que guérir », conclut l’expert. Dans un monde de plus en plus connecté, la vigilance des utilisateurs est cruciale pour éviter de tomber dans le piège des cybercriminels et protéger l’écosystème numérique global.

Source : Clubic

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Les abonné de Free, Orange, SFR et Bouygues continuent de se plaindre de la “mauvaise qualité internet et TV” même si ça va de mieux en mieux

La qualité de service globale s’est améliorée, mais encore plus de la moitié des abonnés fixe en France déclarent avoir rencontré un des problèmes présenté par l’Arcep.

Dans son dernier observatoire de la satisfaction client, l’Arcep a cherché à savoir si les Français rencontraient au moins un problème dans l’année avec leur opérateur fixe. Si le régulateur note que les taux d’abonnés internet déclarant avoir eu un problème avec leur FAI sont au plus depuis 4 ans, on reste cependant sur une moyenne dépassant la moitié des abonnés tout opérateur confondu. 51% des Français déclarent avoir rencontré au moins un problème avec leur opérateur Une moyenne en baisse, puisqu’auparavant ce taux atteignait 55% en 2023, et même 61% en 2020. On peut noter que Free et Orange sont ex aequo avec 49% d’abonnés ayant rencontré un problème et que Free enregistre une très nette amélioration, avec un taux de 55% l’année dernière. Bouygues Telecom est relativemetn proche de la moyenne avec un taux à 52% et SFR est bon dernier avec un taux de 61%.

La mauvaise connexion et qualité TV restent les plus gros problèmes des abonnés

La qualité de service reste la source de la majorité des problèmes rencontrés avec les opérateurs. 24% des Français ayant eu droit à une mauvaise connexion internet en 2024, et 17% affirment avoir observé une mauvaise qualité de la TV.  A noter par ailleurs, 31% des abonnés fibre ont rencontré des problèmes de coupure de connexion, de ralentissement ou de saccades d’images par exemple alors que cela concerne 38% des abonnés ADSL, confirmant l’observation de l’Arcep selon laquelle les problèmes sont plus fréquents pour les abonnés ADSL.

Parmi les abonnés ayant rencontrés ces problèmes de qualité de service, près de 6 sur 10 affirment avoir subi une coupure totale au cours des 12 derniers mois. Soit l’arrêt de la télévision, d’internet et même de la téléphonie fixe. Cela représente tout de même 19% des sondés au global. On note que le taux est le plus bas chez Orange (15%) et le plus élevé chez SFR (24%), quand Bouygues et Free sont entre les deux, avec respectivement 19 et 20% d’abonnés ayant subis une coupure franche.

Viennent ensuite la réception d’appels indésirable sur la ligne fixe (16%), les problèmes techniques de raccordement (6%, en hausse), puis divers soucis plus rares comme les problèmes de facturation, de contrat, de fraude, qui restent minoritaires.

On note cependant une forte baisse, en regroupant l’ensemble des problèmes de qualité de service (internet, TV et téléphonie fixe). Le taux moyen est en effet passé de 39% en 2023 à 33% en 2024, et c’est notamment chez Free que la situation s’est particulièrement améliorée, avec une taux passant de 41% à 36%. Chez SFR aussi d’ailleurs, malgré le fait que ses abonnés rencontrent davantage de soucis que la concurrence, l’amélioration est notable ( 38% en 2024 contre 48% en 2023).

A noter d’ailleurs que près de 9 problèmes rencontrés sur 10 (86%) sont résolus après contact avec le service client des opérateurs. C’est d’ailleurs chez Orange qui présente un service client le plus efficace (90% des soucis résolus), suit ensuite SFR (87%), puis Free (85%) et enfin Bouygues (78%). A notert par ailleurs, les soucis de qualité de service sont résolus en un seul appel dans 663% des cas pour la mauvaise qualité internet et 67% concernant une qualité TV médiocre.

 

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Ça s’est passé chez Free et dans les télécoms : Xavier Niel s’avance bien trop sur la Freebox, Bouygues se plante, Free généreux en pleine crise…

Comme chaque semaine, nous vous proposons notre chronique « Ça s’est passé chez Free et dans les télécoms … ». Celle-ci vous propose de vous replonger dans les événements qui ont fait l’actualité de la semaine en cours, mais durant les années, les décennies, voire les siècles précédents. Ces événements concerneront Free bien sûr, mais plus largement les télécoms et le numérique. Souvenirs, souvenirs …


31 mars 2005 : Lancement de la TNT

C’est à 17h30, le 31 mars 2005, qu’est lancée en direct la Télévision Numérique Terrestre en France. Un projet de longue date remontant à une décision en mai 1994 de la Commission Européenne de proposer une norme pour la télévision numérique. Lors de son lancement, la TNT proposera 13 chaînes gratuites ainsi qu’une chaîne payante que vous connaissez bien sûr : Canal +.


01 avril 1999 : World Online, pionnier du RTC en France

World Online France est un fournisseur d’accès à Internet qui a été créé en 1998 et s’est fait connaître en proposant la première offre d’accès illimité en RTC (Réseau Téléphonique Commuté). Cette offre, proposée le 1er avril 1999, était proposée pour les 200 000 premières inscriptions mais n’atteindra jamais ce pallier, puisque le groupe sera pris rapidement dans un scandale financier et fermera en 2001.


1er avril 2020 : Free offre l’accès à plus de 40 chaînes pour supporter la crise

Retour en des temps bien compliqués, au début de la crise du Covid-19. A l’heure où tous les français étaient touchés par la crise sanitaire et confinés, l’opérateur de Xavier Niel annonçait ainsi offrir 42 chaînes mises en clair sur Freebox TV pour une durée d’un mois. Un cadeau un premier avril qui n’avait rien d’une blague mais qui aura redonné le sourire à certains.

Toutes ces chaînes gratuitement, de quoi s’occuper lorsque l’on devait rester chez nous


02 avril 2013 : Bouygues Telecom s’essaye à la vente de smartphone

Ce n’était pas un poisson d’avril en retard. L’opérateur a bien essayé, le 02 avril 2013, de commercialiser ses propres smartphones sous Android. Vous n’en avez probablement pas beaucoup entendu parler, mais le Bouygues Telecom Bs 401, équipé d’un écran 4 pouces, a été commercialisé à 159€ ou à 9.90€ avec des offres d’abonnements. Le smartphone est loin d’être un succès, on peut trouver sur internet quelques avis peu glorieux : batterie faible, retour au SAV fréquent, bugs de l’interface… Si quelqu’un en a déjà eu un, qu’il se manifeste et nous raconte son expérience, nous sommes curieux !


02 avril 2015 : Iliad, la maison-mère de Free lance Scaleway

Online, qui était auparavant le nom de la filiale dédiée au cloud d’Iliad, a lancé sa première offre Scaleway le 02 avril 2015. Cette première offre de Cloud computing sécurisé était proposée à un tarif mensuel très attractif pour l’époque : 9.99€/mois soit… deux centimes de l’heure. Scaleway a bien grandi depuis.

Pour ceux qui veulent en savoir un peu plus sur le Cloud, voici une petite vidéo explicative


02 avril 2019: Free augmente les débits montant fibre de ses offres Freebox

Une belle hausse pour les amateurs d’upload. L’opérateur de Xavier Niel revoyait en effet le débit ascendant de chaque Freebox le 02 avril 2019, le faisant passer 400 Mbit/s à 600 Mbit/s, soit une hausse de 50%. L’annonce avait bien sûr rendu très enthousiastes les abonnés qui ont pu voir les premiers résultats le jour même. À noter que depuis, ce débit a été amélioré pour de nombreux abonnés Freebox qui peuvent atteindre les 900 Mbit/s.


02 avril 2020 : les opérateurs officiellement qualifiés pour les enchères 5G

Après une période de candidature, Orange, SFR, Free et Bouygues Telecom sont officiellement candidats et qualifiés pour acquérir de nouvelles fréquences. Le 02 avril 2020, l’Arcep annonce que chaque candidat pourra en effet faire des offres durant les enchères qui se dérouleront, après un retard dû à la crise sanitaire, en septembre de la même année. Ce qu’ils ne manqueront pas de faire, pour lancement commercial à partir de fin novembre.


03 avril 2013 : Xavier Niel annonce déjà travailler sur le successeur de la Freebox Revolution

C’est dans une interview pour 01Net que Xavier Niel a annoncé pour la première fois travailler sur une nouvelle arrivante dans la famille des Freebox qui aurait dû arriver en 2014. Il s’était même permis une pique à la concurrence : « Nos concurrents n’ont visiblement pas trouvé de recette miracle ! Notre Freebox est sortie avec deux ans d’avance et, aussitôt, on s’est mis à travailler sur la nouvelle génération ». Si on peut reconnaître plusieurs qualités à l’opérateur Free, la ponctualité a manqué sur ce coup puisque celle qui sera longtemps appelée la V7 n’arrivera qu’en décembre…2018. Depuis, si l’opérateur affirme généralement travailler sur la prochaine box dès le lancement d’une nouvelle offre, il est bien plus prudent sur les dates…


4 avril 2023 : Iliad se lance dans la cybersécurité

Un premier pas dans un nouveau secteur. Le 4 avril 2023, Iliad renforçait sa présence dans la cybersécurité en prenant une participation majoritaire dans ITrust, spécialiste français du secteur. Sa filiale B2B, Free Pro, lançait ainsi ainsi l’offre Cyber XPR, une solution souveraine et labellisée par l’ANSSI, destinée à protéger les entreprises contre les cybermenaces.


05 avril 2014 : Altice rachète SFR

Trois ans et un jour après avoir racheté SFR aux mains de Vodafone, Vivendi cède à son tour l’opérateur au carré rouge au groupe Altice appartenant à Patrick Drahi et possédant l’opérateur Numéricable. Dans le courant de l’année, Altice rachètera le reste des actions possédées par Vivendi pour posséder intégralement l’opérateur.


05 avril 2019 : Altice coupe ses chaînes sur les Freebox

Une affaire qui a duré jusqu’en août de la même année. Après d’âpres négociations entre les deux groupes concernant la rémunération d’Altice pour la diffusion de ses chaînes et services associés, la situation s’est envenimée.

Le vendredi 5 avril 2019, la maison-mère de SFR annonçait en effet mettre fin à la diffusion de ses chaînes BFMTV et Business ainsi que RMC Découverte et Story) , avec une coupure immédiatement constatée sur les Freebox. Mais l’opérateur de Xavier Niel n’a pas tardé à répliquer en rétablissant la diffusion des chaînes, ce qui a conduit à plusieurs imbroglios et affaires pour finalement trouver un accord, notamment après l’implication d’Orange qui refusait lui aussi de payer, quelques mois plus tard.

 

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Vous quittez Free et rendez votre Freebox ? Voici ce qu’il faut faire pour éviter les mauvaises surprises rencontrées par certains

Certains abonnés quittant leur opérateur peuvent se retrouver avec une facturation de matériel manquant, en dépit du fait qu’ils ont bien retourné leur box et tous les équipements. Face à ces soucis, 60 millions de consommateurs donne ses conseils sur la meilleure façon d’éviter que la situation se détériore.

Lorsque l’on quitte son opérateur, il faut rendre le matériel prêté par ce dernier (box, répéteur, décodeur…), sous peine de se voir facturer ces équipements. Si dans la plupart des cas, le retour d’une box se fait sans problème, parfois les choses se compliquent.

Ce fut le cas pour Carla, citée en exemple par l’association 60 millions de consommateurs. Cette dernière, a restitué son matériel à Free et a pourtant reçu un message d’avertissement, affirmant que l’opérateur n’a pas reçu le matériel et menace ainsi d’appliquer des frais. La box serait ainsi facturée 150 €, le décodeur TV 100 € et le répéteur Wi-Fi 80 €, si ces appareils ne sont pas rendus. Le hic étant qu’ils ont bien été envoyés. Comment faire dans ce cas ?

Carla a eu un excellent reflexe, que 60 millions de consommateurs conseille de suivre : «j’ai conservé la preuve de dépôt en point relais, le suivi indique que le matériel a été reçu… J’ai même pris une photo de l’intérieur du colis avant de le fermer ». En effet, conserver un maximum de preuves peut permettre d’éviter bien des problèmes. D’autant que l’opérateur peut simplement être victime d’un raté entre ses différents services, explique l’association “mais il pourrait faire la sourde oreille en l’absence de preuve“.

Si vous avez bien conservé tous ces documents, et si la somme n’a pas encore été débitée, ” il est possible de bloquer le prélèvement étant donné que l’abonnée a bien la preuve qu’il est indu” explique Thomas Gonçalves, juriste à l’INC. De plus, il est techniquement possible de mettre en demeure Free d’arrêter ce prélèvement en invoquant l’article 1217 du code civil, par mail ou lettre recommandée avec accusé de réception (LRAR). “En effet, Free ne respecte pas ici son obligation de mettre fin au contrat” explique l’association. Si la situation perdure, il est alors recommandé de se tourner vers la médiatrice des télécommunications.

Dans le cas où la somme a déjà été prélevée, il faut saisir le service client de Free en citant le même article, pour obtenir un remboursement des sommes. ” L’abonné doit, dans son courrier, demander à l’opérateur réparation des conséquences de son inexécution (en ne procédant pas à la résiliation du contrat comme convenu, l’opérateur a effectué un prélèvement indu, ce qui est la conséquence de son inexécution)“, explique l’association. Là encore, en dernier recours, il reste la médiatrice.

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Ligue 1 : DAZN menacerait de tout quitter dès la fin de saison

Frustré de la qualité du championnat et des conditions de diffusion, DAZN pourrait tout plaquer très vite.

Depuis le 28 février, la LFP et DAZN tentent de trouver un terrain d’entente sous l’égide d’un médiateur après le blocage de 35 millions d’euros par la plateforme britannique. Ce dernier, apprécié des deux parties, a permis d’apaiser le ton des discussions, sans pour autant aboutir à une avancée concrète.

DAZN estime que les clubs ne respectent pas pleinement leurs engagements en matière de valorisation du produit, limitant l’accès aux joueurs et aux coulisses. Le diffuseur plaide pour un modèle de rémunération mêlant part fixe et variable, conditionnée au respect de ces engagements. Il attend également des mesures plus strictes contre le piratage, un point qui pourrait être en partie couvert par une loi prévue pour 2025.

Face à l’inertie des discussions, DAZN envisagerait ainsi de rompre son contrat dès la fin de la saison, bien avant la clause de sortie prévue en décembre, selon les informations de RMC Sport . La LFP, percevant cette menace comme une tactique de négociation, aurait ainsi affirmé être prête à sanctionner plus durement les clubs défaillants. Une proposition qui n’aurait pas vraiment convaincu DAZN, qui souhaiterait toujours quitter le navire dès les barrages passés fin mai. Si la rupture se confirme, un bras de fer judiciaire pourrait s’engager.

En parallèle, la Ligue explorerait ainsi un plan B, même si une clause contractuelle empêche toute négociation avec d’autres diffuseurs. DAZN pourrait accepter de lever cette restriction en échange d’une contrepartie. La création d’une chaîne interne par la LFP semble être la seule alternative viable. Dans ce climat d’incertitude, la prochaine échéance de paiement du 30 avril sera cruciale. DAZN pourrait ne pas régler la totalité des 70 millions d’euros attendus si les clubs ne respectent pas leurs engagements, fragilisant encore davantage la trésorerie du football français à l’approche de la fin du championnat.

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Ligue 1 : DAZN menacerait de tout quitter dès la fin de saison

Frustré de la qualité du championnat et des conditions de diffusion, DAZN pourrait tout plaquer très vite.

Depuis le 28 février, la LFP et DAZN tentent de trouver un terrain d’entente sous l’égide d’un médiateur après le blocage de 35 millions d’euros par la plateforme britannique. Ce dernier, apprécié des deux parties, a permis d’apaiser le ton des discussions, sans pour autant aboutir à une avancée concrète.

DAZN estime que les clubs ne respectent pas pleinement leurs engagements en matière de valorisation du produit, limitant l’accès aux joueurs et aux coulisses. Le diffuseur plaide pour un modèle de rémunération mêlant part fixe et variable, conditionnée au respect de ces engagements. Il attend également des mesures plus strictes contre le piratage, un point qui pourrait être en partie couvert par une loi prévue pour 2025.

Face à l’inertie des discussions, DAZN envisagerait ainsi de rompre son contrat dès la fin de la saison, bien avant la clause de sortie prévue en décembre, selon les informations de RMC Sport . La LFP, percevant cette menace comme une tactique de négociation, aurait ainsi affirmé être prête à sanctionner plus durement les clubs défaillants. Une proposition qui n’aurait pas vraiment convaincu DAZN, qui souhaiterait toujours quitter le navire dès les barrages passés fin mai. Si la rupture se confirme, un bras de fer judiciaire pourrait s’engager.

En parallèle, la Ligue explorerait ainsi un plan B, même si une clause contractuelle empêche toute négociation avec d’autres diffuseurs. DAZN pourrait accepter de lever cette restriction en échange d’une contrepartie. La création d’une chaîne interne par la LFP semble être la seule alternative viable. Dans ce climat d’incertitude, la prochaine échéance de paiement du 30 avril sera cruciale. DAZN pourrait ne pas régler la totalité des 70 millions d’euros attendus si les clubs ne respectent pas leurs engagements, fragilisant encore davantage la trésorerie du football français à l’approche de la fin du championnat.

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Alerte, des escrocs utilisent les IBAN volés des abonnés Freebox pour les arnaquer en se faisant passer pour la gendarmerie

Un nouveau type d’arnaque bien connu utilise les données subtilisées en octobre chez l’opérateur de Xavier Niel, soyez vigilants. 

Le “spoofing” peut faire des ravages et piéger même certains utilisateurs pourtant vigilants. La technique est simple : afficher un numéro de téléphone correspondant à une institution ou à une entreprise bien connue dans le but de voler des informations, voire même de l’argent, en endormissant la vigilance des victimes ciblées par un appel au pretexte souvent urgent.

Pour paraître encore plus convaincants, les escrocs n’hésitent pas à utiliser des bases de données subtilisées illégalement pour mettre les utilisateurs en confiance. C’est notamment ce dont témoigne Tiino, membre très actif de la communauté Free, qui explique avoir été ciblé par une escroquerie de ce genre. En se faisant passer pour la gendarmerie de Toulon, l’escroc a tenté de lui faire peur, affirmant qu’il était victime d’une arnaque suite à un vol de données chez Free.

Le but était simple : lui faire installer une application sur laquelle effectuer des virements et ainsi lui subtiliser de l’argent. D’autant que le faux gendarme avait des informations sensibles : “l’escroc avait mes infos (nom, adresse, IBAN) à cause de la fuite de données de Free et s’est fait passer pour la gendarmerie de Toulon !“. Heureusement, Tiino, sensibilisé à ces thématiques, a su déceler l’arnaque et a directement rappelé le numéro en entier, en le recomposant lui-même, tombant sur la vraie gendarmerie qui n’avait rien à voir avec cette affaire. C’est d’ailleurs ce que vous devez faire dans ce type de cas, vérifiez le numéro et recomposez-le en entier pour recontacter l’institution. Dans un article de Ouest-France décrivant des faits similaires, la gendarmerie rappelle par ailleurs que « Personne ne vous demandera jamais de vérifier vos comptes par téléphone ».

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Free Mobile lance ses “Petits Prix 5G”, avec plusieurs smartphones à moins de 10€ par mois

La 5G à petit prix, c’est maintenant chez Free Mobile !

Jusqu’au 7 avril, l’opérateur annonce proposer une bonne sélection de smartphones 5G avec un tarif avantageux grâce à sa solution Free Flex. Surnommée “Petits Prix 5G” ou “Petits prix Flex”, le concept est simple, mettre en vente des smartphones compatibles avec la dernière génération de téléphonie mobile avec des mensualités à à moins de 111€.

Comme exemple de mobile récent concerné : Galaxy A16 5G est proposé à 51€, avec une mensualité de 6,99€ pendant 24 mois et une option d’achat finale de 33€, ce qui porte le coût total à 252€. Mais il est possible de bénéficier d’une offre de remboursement de 50€ en suivant la procédure décrite dans cette brochure. Mais ce n’est pas le seul appareil concerné par cette opération commerciale, voici la liste fournie par l’opérateur :

Modèle Premier paiement 24 mensualités de : Option d’achat Particularités
Redmi Note 14 5G 49€ 8,99€ 40€ Écran AMOLED 120Hz, batterie 5000mAh
Honor 200 Lite 39€ 9,99€ 45€ Design premium, triple capteur photo
Galaxy A35 5G 59€ 10,99€ 50€ Écran Super AMOLED, IP67
Galaxy A25 5G 29€ 7,99€ 35€ Processeur Exynos, charge rapide
Redmi Note 14 Pro 69€ 10,99€ 55€ Capteur 100MP, Snapdragon
Magic7 Lite 49€ 9,99€ 45€ Charge ultra rapide, IA avancée
Galaxy A36 5G 39€ 8,99€ 40€ Écran 120Hz, design épuré
Galaxy A26 5G 19€ 6,99€ 30€ Excellent rapport qualité-prix

Vous pouvez profiter directement de ces tarifs depuis le site ou dans l’une des boutiques Free. L’opérateur prévient que cela ne durera que jusqu’au 7 avril 2025 et que les stocks sont limités, il conseille de ne pas trop attendre.

 

 

 

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Abonnés Freebox Pop, Ultra et Delta : une nouvelle chaîne cinéma remplie de films cultes débarque gratuitement sur Pluto TV

En ce premier avril, le service AVOD Pluto TV lance une nouvelle chaîne dédiée à des comédies cultes.

La plateforme de streaming financée par la publicité recommence à étoffer son catalogue, après le lancement de Pluto TV Hits France en février dernier et d’une autre dédiée à l’UFC en mars. Cette fois, c’est une nouvelle chaîne de cinéma qui est proposée, avec la promesse d’accéder à des films plutôt appréciés.

Elle se nomme sobrement “Pluto TV Comédies Cultes” et entend proposer une vaste séléction de contenus, allant de “l’humour intemporel des années 90 aux pépites hilarantes d’aujourd’hui” et ainsi permettre de redécouvrir des films qui ont “marqué des générations“.

Facile d’accès, sans aucune contrainte d’inscription, la plateforme propose des centaines de chaînes FAST sélectionnées par Pluto TV à travers le globe et plus d’une centaine en France. Ces dernières offrent une vaste gamme de contenus couvrant tous les genres (cinéma, séries, humour, téléréalité, crime/investigation, télévision classique, jeux télévisés, jeux vidéo et animé, musique, jeunesse, etc.), sans oublier qu’une section “à la demande” existe pour retrouver plus de 1000 films et séries à tout moment. Le service est disponible en mobilité, mais aussi sur de nombreuses plateformes ou box Android, comme la Freebox Pop et mini 4K, ou encore l’Apple TV.

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