La scission de la maison-mère de Canal+ va permettre au groupe Bolloré de bénéficier d’un régime spécial, avec un allègement de la fiscalité.
Une opération rentable à bien des égards pour le groupe Bolloré. Vivendi vient d’être scindée en 4 entités distinctes, chacune cotée sur diverses places boursières. Outre l’avantage stratégique, cette opération entraîne également un changement de régime fiscal grâce à une manœuvre astucieuse.
En effet, chaque actionnaire de Vivendi recevra une action pour Canal+, Havas et Hachette, mais contrairement à l’opération similaire réalisée pour Universal Music en 2021, la distribution d’action ne sera pas taxée. En effet, le schéma choisi par Vivendi est plus rare, nommé “scission partielle”, il exonère d’impôt les actionnaires sur deux tiers de la valeur de leurs actions. Ainsi, ce sont près de 6 milliards d’euros qui échapperont à la taxe sur les plus-values, du fait que les actions sont considérées comme des “remboursements d’apports” d’actifs.
“Tout ou une partie de cette distribution peut constituer un remboursement d’apport, c’est-à-dire que les actionnaires récupèrent leur mise de départ et ne sont donc pas imposables“, explique Charles Ménard, avocat chez EY Société d’avocats, à BFM TV. Du côté de Canal+, 4.5 milliards d’euros sont concernées, et 1.4 milliard chez Hachette. En toute logique, l’actionnaire majoritaire sera le premier à en bénéficier, selon les calculs de nos confrères, avec le régime “classique”, il aurait dû régler 600 millions d’euro pour la scission de Canal+, contre 200 millions au final. Quant à Hachette, il paiera 65 millions d’impôts contre 200 millions s’il s’agissait d’une distribution. Soit une économie totale de 535 millions.
Vivendi a enfin acté la scission de ses différentes filiales, plaçant Canal+ sur le London Stock Exchange.
Une transformation majeure de l’organisation de Vivendi, approuvée par les actionnaires, vient d’être mise en place. L’idée est de séparer le groupe en plusieurs entités principales, chacune cotée sur des places boursières différentes. Canal+ vient donc de faire son entrée en bourse à Londres ce 16 décembre 2024.
L’agence de publicité Havas, pour sa part, a été introduite à la Bourse d’Amsterdam avec un prix de référence de 1,79 €, soit une valorisation totale de 1,77 milliard d’euros. Le groupe Lagardère entre, de son côté, sur Euronext Growth à Paris, et la holding Vivendi continue d’être cotée sur Euronext Paris.
Ce choix est stratégique : le groupe audiovisuel ne cesse de renforcer son développement international, avec une présence majeure hors de France, à savoir en Afrique, en Europe et en Asie-Pacifique. La cotation à Londres entend refléter cette dimension internationale, en particulier dans le cadre de son rapprochement avec le géant africain MultiChoice.
NRJ 12 n’entend pas lâcher l’affaire et a annoncé sa volonté de saisir le Conseil d’État suite au rejet de sa candidature pour la TNT.
En fin de semaine dernière, l’Arcom annonçait ainsi avoir retenu 11 candidats pour l’attribution des fréquences TNT à partir de février 2025. Malgré l’annonce du retrait des chaînes de Canal+, la liste des chaînes retenues n’a pas évolué par rapport à l’été dernier et NRJ 12, tout comme C8, a été exclu de la TNT. Le groupe à la tête de la chaîne a indiqué via un communiqué qu’il n’entendait pas se laisser faire et préparait un recours auprès du Conseil d’État “dans les tous prochains jours“.
NRJ Group pointe notamment du doigt le nombre de chaînes autorisées : “alors même qu’il appartenait à l’Arcom de reprendre le processus de sélection, en vue d’attribuer, conformément au règlement de l’appel à candidatures, quinze autorisations, elle a fait le choix manifestement illégal de reporter la question de l’attribution de cette ressource”. L’Arcom a cependant justifié cette décision en expliquant que la décision n’était pas de nature à remettre en cause le nombre de services autorisés à émettre gratuitement sur la TNT.
Mais ce choix, pour NRJ 12 signifie que le régulateur fait le choix “délibéré” d’interdire sa chaîne de la TNT “et ce alors même qu’elle est une chaîne respectueuse de ses obligations qui contribue depuis 20 ans au succès de la TNT, et qui réunit chaque mois 33,4 millions de téléspectateurs“. Une décision qui “appauvrit l’offre de la TNT” et fragiliserait la plateforme dans son ensemble, “en privilégiant des thématiques de débats et d’information déjà très présentes et qui s’adressent à un public âgé” selon le groupe.
Les abonnés Freebox Pop et Ultra disposant de plusieurs répéteurs Freebox WiFi 5 peuvent se rendre sur leur espace abonné et demander à passer à la vitesse supérieure.
Les migrations pour plusieurs répéteurs WiFi 5 vers le modèle WiFi 7, sont à présent ouvertes sur l’espace abonné des abonnés Freebox Pop et Ultra, nous a confirmé Free le 13 décembre. Réservé jusqu’à présent aux abonnés disposant uniquement d’une unité de ce boîtier permettant une meilleure portée et qualité du réseau sans fil, l’échange vers le répéteur WiFi 7 de l’opérateur est donc désormais proposé aux foyers disposant de plusieurs répéteurs WiFi 5. Beaucoup attendaient cette possibilité depuis leur migration vers les offres Ultra ou Pop avec serveur WiFi 7 lancées respectivement fin janvier et début avril 2024. Si l’échange du 1er répéteur est inclus, il faudra débourser 20€ par répéteur supplémentaire.
Tout comme le serveur Pop WiFi 7, ce répéteur WiFi de nouvelle génération est bi-band, c’est-à-dire qu’il n’intègre pas la bande 6 GHz à contrario du WIFi 6E de la Freebox Delta ou WiFi 7 tri-band de la Freebox Ultra. Il permet toutefois deux fois plus de débit que le WiFi 6, soit jusqu’à 2,2 Gbit/s en download. Ce boîtier MU-MIMO, intègre la technologie Multi-AP (Mesh) avec la connexion automatique au meilleur point d’accès et à la meilleure bande de fréquence (band Steering). Le protocole de chiffrement dernière génération WPA3 est également embarqué. Un répéteur WiFi est aujourd’hui recommandé par l’opérateur dans les habitats de 95 m2 ou plus. A partir de 200 m2, il est même conseillé d’en utiliser deux.
Google relance la réalité mixte avec Android XR : coup de génie ou énième plantage ?
Après plusieurs échecs mémorables, Google retente sa chance dans le monde de la réalité virtuelle et augmentée avec Android XR, une plateforme qui veut transformer nos casques et lunettes en gadgets indispensables. Fini les Cardboard en carton et les fiascos de Glass et Daydream : cette fois, Google promet du sérieux. Et pour cela, l’intelligence artificielle est en embuscade.
Android XR, c’est la nouvelle tentative de Google pour dominer le marché des dispositifs immersifs. Développé en partenariat avec Samsung, ce système d’exploitation veut devenir le Android des casques et lunettes connectés. Parmi les invités à la fête : Qualcomm, Sony, XREAL, Lynx et Magic Leap. Samsung a déjà dégainé son kit de développement, Project Moohan, qui évoque étrangement le Vision Pro d’Apple.
Pour séduire les développeurs, Google a préparé une boîte à outils et assure que ses applications maison (YouTube, Google TV, Photos, Chrome) sont déjà compatibles. Les applications Android existantes fonctionnent aussi, mais des versions dédiées seraient préférables.
Lunettes connectées : le vrai pari
Si les casques VR séduisent les gamers, Google mise davantage sur les lunettes connectées pour toucher le grand public. Inspiré par le succès des modèles Ray-Ban sans écran de Meta, le géant prépare des prototypes Android XR qui entreront bientôt en phase de test. Samsung, de son côté, pourrait rapidement dévoiler ses premières lunettes sous Android XR.
Le vrai joker d’Android XR, c’est Gemini, l’assistant IA qui pilote les interactions utilisateur. Exploitant les capteurs embarqués (caméras, micros), Gemini adapte ses réponses au contexte, promettant une expérience ultra-intuitive. En somme, Android XR n’est pas juste un OS : c’est la première plateforme construite autour de cette intelligence artificielle.
La prudence reste de mise
Android XR doit rivaliser avec les mastodontes du secteur, comme visionOS d’Apple ou Horizon OS de Meta. Mais après les précédents échecs de Google dans la XR, le scepticisme est de mise. Cette fois, l’alliance avec Samsung et la puissance de Gemini suffiront-elles à éviter un nouveau fiasco ? Réponse dans les mois à venir.
Plus d’une cinquantaine de chaînes et de services à la demande à découvrir pour 1€ par mois sans engagement, les abonnés Livebox peuvent se régaler.
Ciné, séries, émissions de divertissement… Il y en a pour tous les goûts avec cette promotion lancée par Orange qui dure jusqu’au 8 janvier prochain. En effet, le bouquet Divertissement est proposé à 1€/mois le premier mois, sans engagement. Une fois la période promotionnelle passée, le tarif original (15.99/mois) s’applique.
Vous pouvez y retrouver une cinquantaine de chaînes diverses et variées, allant des grosses productions avec Ciné+ OCS qui propose des films en exclusivité dès 6 mois après la sortie salles, du cinéma à profusion pour tous les passionnés des films de légende aux succès d’aujourd’hui, ainsi que des séries inédites françaises et internationales, à d’autres types de contenus. D’ailleurs, les chaînes Ciné+ et OCS sont de la partie évidemment, ainsi que Paramount Channel.
En effet, le bouquet se veut divertissant mais aussi généraliste, on peut y retrouver des chaînes comme téva, Paris Première, RTL9, mais aussi des chaînes jeunesse (TFou Max, Boomerang, Cartoonito…) et des services de découverte comme Kitchen Mania, Explore ou Crime District… Vous pouvez aussi retrouver une sélection de chaînes musicales (Trace, RFM TV…) et les fans de vitesse pourront se régaler avec Automoto.
Le 10 décembre dernier, la fédération regroupant de nombreux acteurs de la fibre a élu Ilham Djehaich à sa tête. Une première pour Infranum.
“Cette élection reflète la volonté d’InfraNum de mieux représenter la diversité et de renforcer son rôle dans un secteur en constante évolution” affirme la fédération dans son communiqué. C’est en effet la Directrice générale d’Altitude Infra THD Ilham Djehaich, qui succède à Philippe Le Grand à la tête d’Infranum.
Cette dernière est diplômée d’Excelia et de l’ESSEC et a rejoint le groupe Altitude en 2007. Après avoir exercé plusieurs fonctions stratégiques, elle est nommée Directrice Générale d’Altitude Infra THD en 2017, une filiale d’Altitude Infra, 3ème opérateur d’infrastructures de fibre optique en France.
En tant que dirigeante, elle pilote une entreprise qui joue un rôle central dans l’aménagement numérique des territoires français. Sa vision s’inscrit dans une démarche de développement durable et d’inclusion numérique, traduisant un engagement profond pour réduire la fracture numérique. Ces expériences lui ont permis d’acquérir une maîtrise des marchés publics et des collectivités territoriales dans le secteur des télécoms, ainsi qu’un savoir-faire global en matière de stratégie et de management, contribuant au succès de projets ambitieux et à fort impact. Ilham Djehaich est également membre du COMEX de l’association L-Impact depuis plus de deux ans et promeut ainsi une société plus inclusive et équitable via son association qui accompagne les femmes entrepreneures dans l’accès à la levée de fonds.
Le conseil d’administration a également été remanié avec 9 nouveaux entrants. Voici sa composition :
Face à trop de régulation, les plus grands patrons des opérateurs se laissent même aller à imaginer une grève. Une façon de faire pression pour pousser à une réforme longuement attendue.
Les patrons d’Orange, Vodafone et consorts cherchent “un moyen de démontrer à quel point le problème est dur, profond et doit être traité rapidement“, assène Christel Heydemann, alors qu’ils imaginaient il y a quelques semaines un moyen de faire grève pour une réforme en profondeur de la régulation des télécoms. Les grands opérateurs européens ont lancé un nouvel appel à l’action aux vingt-sept États Européens pour agir.
En effet, les ministres des télécoms de l’UE avaient été plus que circonspects face à l’idée d’alléger les règles de concurrence pour favoriser les fusions et la nouvelle Commissaire européenne chargée du Numérique, Henna Virkkunen, affirme qu’un équilibre doit être trouvé entre la compétitivité réclamée par les grands opérateurs du continent et les règles de compétition. Afin d’apaiser les opérateurs, elle annonce ainsi que le Digital Networks Act est prévu pour « stimuler l’investissement en supprimant la paperasserie ».
Le secteur reste prudent, bien qu’il reconnaisse que c’est un bon départ. La Commission a évolué dans son rapport à une réforme de la régulation européenne, elle y était très fermée notamment du fait des risques d’une hausse de prix préjudiciable au pouvoir d’achat des consommateurs. Mais le secteur réclame depuis longtemps une marge de manœuvre pour respecter les objectifs de connectivité du continent, qui devraient coûter environ 200 milliards d’euros d’ici à 2030. D’où la volonté de consolider le marché et de faciliter les fusions, pour que les grands groupes aient davantage de moyens à investir dans le développement des réseaux et ainsi atteindre la 5G et le Gibabit/s pour tous d’ici 2030.
Du côté du financement, il a longtemps été débattu d’une potentielle contribution des géants du net comme Netflix ou Google pour financer le déploiement des réseaux. Et les opérateurs, qui réclament cela régulièrement, ont trouvé un nouvel allié inattendu : Brendan Carr, à la tête du régulateur américain des télécoms. « Il veut, lui aussi, que les géants du numérique payent pour les infrastructures. C’est très bien, on ne pourra plus nous dire que c’est une lubie des Européens » se réjouit en privé un acteur du secteur.
Comme chaque semaine, Amazon étoffe son catalogue de jeux proposé gratuitement dans son abonnement Prime. Depuis ce vendredi, 6 titres ont été ajoutés à la sélection disponible sur sa plateforme Prime Gaming. Un sacré cadeau pour les fêtes de fin d’année. Vous pouvez les récupérer gratuitement pendant au moins 33 jours, et y jouer quand vous voudrez, même après cette période.
Planet of Lana est une aventure de réflexion à l’allure de film, encadrée par une saga épique de science-fiction qui s’étend sur des siècles et des galaxies. Son style artistique peint à la main et son gameplay unique basé sur les compagnons en font un ajout très attendu au genre.
Vous incarnez Youngho, un lycéen coréen piégé et poursuivi sans relâche par un tueur psychotique dans les couloirs infernaux du lycée de Sehwa. Courez, cachez-vous, explorez et survivez tout en reconstituant le mystère de The Coma dans cette version remasterisée du classique culte coréen.
Dans Hero’s Hour, développez vos villes et vos armées, améliorez vos héros pour acquérir de nouveaux sorts et compétences puissants, et explorez les merveilles et les dangers des cartes générées de manière procédurale pour vaincre vos ennemis avant qu’ils ne vous fassent subir le même sort.
Pour récupérer ces jeux, il faudra posséder un compte Gog, dont vous pouvez télécharger le launcher ici. Une fois votre compte créé, récupérez le code du jeu sur votre page Prime Gaming puis rendez-vous sur GoG, dans la section bibliothèque et cliquez sur le “+”. Sélectionnez “Utiliser le code GOG” et collez votre code, vous pourrez ensuite l’installer.
Dans Electrician Simulator, vous incarnez un jeune électricien qui reprend l’entreprise familiale. Le gameplay se concentre sur l’exécution de diverses tâches, principalement des missions de scénario et de réparation d’objets dans l’atelier. Les créateurs ont décidé de mettre l’accent sur la variété : les différentes tâches consistent notamment à réparer une prise électrique, à créer un réseau électrique complet à partir de zéro, à remettre certains objets en état de fonctionnement (par exemple, des manettes de jeu, des appareils électroménagers et de l’équipement audio), etc. Le jeu a déjà été offert en mai 2024, il est donc possible que vous l’ayez déjà dans votre bibliothèque.
Pour y accéder, il faudra se créer un compte sur l’Epic Game Store et télécharger le launcher. Une fois cette étape remplie, rendez-vous sur votre page Prime Gaming et cliquez sur le jeu puis activer. Il faudra ensuite associer votre compte Epic à votre compte Amazon, en suivant toutes les démarches inscrites à l’écran.
Friendly Fox Studio vous invite à découvrir un classique qui retrouve une nouvelle vie dans ReDrawn: The Painted Tower Collector’s Edition.
Dans cette édition remastérisée et améliorée, revisitez un classique et découvrez le monde peint d’Iris comme jamais auparavant. De magnifiques nouvelles illustrations remplissent les présentoirs modernes et ajoutent une nouvelle dimension au monde de Drawn. L’interface utilisateur mise à jour inclut un système d’indices amélioré, de nouveaux éléments de puzzle ajoutent de nouvelles façons d’interagir dans ces environnements incroyables, les anciennes scènes regorgent de nouveaux détails, et bien plus encore.
Après le premier opus offert la semaine dernière, voilà la suite ! Dirigez avec une juste fureur. Dans les sombres ténèbres du 41e millénaire, votre force de frappe d’élite de Space Marines est le seul obstacle à la destruction complète de la galaxie. Menez le combat directement contre l’ennemi ou protégez un point de défense vital. La façon dont vous déciderez de sauver la galaxie dépend entièrement de vous. Remarque : Cette version de Warhammer 40,000: Dawn of War II est un jeu solo uniquement. Le mode multijoueur en ligne n’est pas pris en charge.
Pour y accéder, il faudra télécharger Amazon Games, disponible en cliquant sur ce lien, il suffit ensuite de vous connecter avec vos identifiants Amazon Prime. Vous retrouverez ainsi, sur une même interface, vos jeux gratuits à récupérer et la possibilité de les installer.
Il faudra ensuite cliquer sur “installer” et une fois la procédure terminée, vous pouvez jouer à votre jeu. Pour rappel, Prime Gaming est inclus pour les abonnés Freebox Delta et Ultra et disponible en option pour tous les autres abonnés avec l’abonnement Amazon Prime pour 6.99€/mois.
L’option Apple Music à 7,69€/mois est disponible pour les abonnés Freebox Ultra. Voici la marche à suivre et plus de détails.
Avec l’option Apple Music Individuel, les abonnés Canal+ peuvent accéder depuis hier à plus de 100 millions de morceaux en streaming, sans publicité au tarif privilégié de 7,69€/mois au lieu de 10,99€/mois, a annoncé Canal+ le 12 décembre. Après l’intégration sans surcoût d’Apple TV+ dans ses offres, la filiale de Vivendi étend ainsi son partenariat avec la firme de Cupertino. Mais qui a concrètement droit à cette nouvelle offre exclusive ?
Tant qu’ils restent abonnés à Canal+, tous les clients Canal+ hors abonnements TV+, beIN SPORTS Connect, Canal+ Séries, CINE+ OCS peuvent accéder à cette promotion, a fait savoir l’assistance Canal+. Selon nos constatations, les abonnés Freebox Ultra avec La Chaîne Canal+ en Live n’ayant pas souscrit d’offre supérieure, ont également droit à Apple Music à 7,69€/mois. Pour en profiter, il suffit de se rendre dans ‘espace client Canal+ via myCanal et de cliquer sur “ajouter des options” dans la rubrique “Abonnement”.
Suivez la procédure en utilisant votre compte Apple si vous en possédez déjà un, soit en un créant un si vous n’en avez pas. Une fois le service activé, il ne vous reste plus qu’à utiliser le service via l’application Apple Music disponible sur les stores (iOS, Androïd et Windows). Et bonne nouvelle, vous “pouvez tout à fait profiter de l’avantage tarifaire réservé aux abonnés Canal+, en étant déjà abonné à Apple Music Individuel. Au moment de l’activation du service sur votre espace client CANAL+, Votre abonnement Apple Music Individuel souscrit via Apple sera suspendu et la facturation du service sera effectuée par CANAL+ au tarif abonné (Non valable pour les autres formules Apple Familial ou Etudiant ou One). Vous conserverez vos playlists et recommandations personnalisées Apple Music”, indique Canal+.