Les frais payés par les opérateurs ne reflètent plus vraiment les coûts d’entretien et de déploiement de la fibre optique dans de nombreuses zones rurales, selon les collectivités. Pour éviter la multiplication de contentieux, elles appellent à un juge de paix.
Le déploiement de la fibre continue avec pour objectif le 100% à la fin de l’année 2025, mais l’opération est loin du long fleuve tranquille. Les charges d’exploitation des réseaux fibre d’initiative publique (RIP) menacent en effet leur équilibre économique du fait que les recettes ne compensent pas ces coûts. « Bien qu’ils soient très variables selon les RIP, ces coûts sont en majorité largement au-dessus de l’étalon de l’Arcep, souvent trois fois plus», explique Mireille Bonnin, conseillère technique au département «numérique » de la Fédération nationale des collectivités concédantes et régies.
En effet, une fois le réseau construit, les opérateurs commerciaux (Free, SFR, Bouygues…) achètent à l’opérateur d’infrastructure un droit indéfectible d’utilisation des prises à 500€ et doivent verser en plus 5€/mois par prise dès que l’abonnement est ouvert. Ces 5€ mensuels doivent recouvrir trois composantes : réserve, génie civil et exploitation. Mais la grille tarifaire imposée par l’Arcep aux collectivités et aux délégataires en zone publique a été calquée sur celles des réseaux d’initiative prix, en 2015 alors que l’objectif était de couvrir 80% du pays en fibre, contre 100% aujourd’hui.
Et les derniers raccordements, souvent plus complexes, coûtent plus cher, ainsi percevoir 1% de 50O euros n’est pas pertinent si la construction d’une prise revient à 2000 euros ou davantage. D’autant que les coûts de maintenance sont élevés au vu de la qualité des infrastructures qui doit être maintenue. Ainsi, les opérateurs d’infrastructure réclament une augmentation des tarifs imposés par l’Arcep, mais les opérateurs commerciaux refusent. “Tout le monde sait qu’il y a un problème. Les opérateurs d’infrastructures voudraient facturer davantage, mais les opérateurs commerciaux ne veulent pas payer plus“, résume Eric Lammaron, président d’Axione, qui prévient: “il faut un juge de paix, sinon, les contentieux se multiplieront.”
Comme chaque semaine, nous vous proposons notre chronique « Ça s’est passé chez Free et dans les télécoms » Celle-ci vous invite à vous replonger dans les événements qui ont fait l’actualité de la semaine en cours, mais durant les années, les décennies, voire les siècles précédents. Ces événements concerneront Free bien sûr, mais plus largement les télécoms et le numérique. Souvenirs, souvenirs …
6 janvier 1975 : création de l’Institut National de l’Audiovisuel
Vous connaissez peut-être l’INA pour son compte Twitter Ina.fr très actif où on trouve beaucoup de vidéos d’archives en lien avec l’actualité. Mais cette institution est bien plus vieille que ça, puisqu’elle fête cette année ses 48 ans ! Sa mission principale est de conserver des archives de télévision et de radio.
Pour fêter ça on vous propose une vidéo publiée par l’INA elle-même qui revient sur les premiers jours de l’Institut
6 janvier 2005 : l’ADSL 2+ accessible pour tous les abonnés Freebox dégroupés
Quelques mois après avoir lancé le nouveau standard dans certaines zones très limitées, l’opérateur de Xavier Niel annonçait le 06 janvier 2005 permettre à tous ses abonnés Free Haut débit dégroupés d’accéder à l’ADSL 2+, permettant d’accéder à un débit allant jusqu’à 20 Mbit/s. Si les nouveaux abonnés équipés de Freebox V4 y avaient automatiquement accès, les personnes ayant déjà souscrit chez Free avaient la possibilité de vérifier si leur ligne était éligible, mais surtout de renouveler leur modem pour accéder à la V4 compatible.
8 janvier 2013 : Free, 1er opérateur à intégrer les appels vers les DOM dans ses offres Freebox et mobile
Free a en effet été le premier à intégrer les appels émis depuis la France Métropolitaine vers les DOM (Guadeloupe, Guyane française, Martinique et Réunion, mais pas Mayotte) dans son forfait fixe de Freebox Révolution mais également dans ses forfaits mobiles. Ainsi, les abonnés en métropole pouvaient joindre les mobiles situés en Outremer sans surcoût et en illimité (ou dans la limite des 2h proposées par le forfait 2€).
9 janvier 2007 : Présentation du premier iPhone
Il y a maintenant 17 ans que le premier smartphone de la gamme iPhone a été présenté aux yeux du monde. Le smartphone qui a bouleversé le marché mobile pour toujours n’a pourtant été commercialisé qu’en juin de la même année aux Etats Unis, puis dans quelques pays d’Europe, mais déjà l’annonce faisait l’effet d’un coup de tonnerre dans le milieu. Tout le monde se souvient du premier iPhone (ou iPhone EDGE ou iPhone 2G).
Pour vous, on a retrouvé la Keynote complète de l’époque, si vous avez une heure devant vous…
10 janvier 2012 : Free Mobile débarque pour tout changer
Impossible de passer à côté dans cette chronique : Free Mobile fête ses 12 ans. L’opérateur de Xavier Niel s’est lancé tête baissée sur le marché mobile en proposant deux forfaits révolutionnaires. L’un à 2 € par mois (0 euro pour les abonnés Freebox) et le second à 19.99 € par mois (15.99 euros par mois pour les abonnés Freebox) et tous les deux sans engagements. Pour en savoir plus sur ce qui a changé depuis ce lancement, rendez-vous sur notre article dédié.
“L’entrée fracassante de Free dans le mobile”, “Free fracasse le marché”, l’opérateur avait surpris la presse avec l’annonce de ses offres
10 janvier 2022 : la promesse de Free Mobile
10 ans après le lancement de Free Mobile, Xavier Niel faisait alors une promesse marquante à laquelle il tient : ne pas augmenter les tarifs de ses forfaits historiques jusqu’en 2027. Un engagement fort que l’opérateur continue à mettre en avant régulièrement, alors que ses concurrents continuent d’augmenter leurs tarifs, justifiant cela par l’inflation. La grande question demeure : et après 2027 ?
11 janvier 2010 : Bouygues Telecom annonce un service de recyclage de mobiles
La tendance écologique, ça ne date pas d’hier et Bouygues Telecom avait ainsi lancé le 11 janvier 2010 un service assez particulier. En effet, depuis internet ou depuis les Clubs Bouygues Telecom il était possible, peu importe la marque ou votre opérateur, de faire recycler votre téléphone. Une initiative qui rendait tout le monde content, puisqu’il était possible de récupérer la valeur du téléphone en bon d’achat, ou même d’en faire le don à une association de protection du littoral (donc déductible d’impôts). Depuis, chaque opérateur propose une solution sensiblement identique.
Déjà à l’époque, 42% des utilisateurs rangeaient leur ancien portable pour ne jamais le réutiliser.
L’opérateur historique déploie actuellement une nouvelle version de son site web permettant de regarder la télévision en direct, plus proche de celles de ses décodeurs.
Une unification de l’univers TV d’Orange avec une récente mise à jour de son site web. L’interface a été remaniée et propose un design plus foncé et une organisation en tuile, très semblable à celles des autres appareils de l’opérateur comme son décodeur ou sa Clé TV.
Outre la couleur plus sombre affichée, on trouve ainsi des tuiles présentant les contenus en direct ou des annonces plus importantes. Il est aussi plus rapide d’accéder à certains contenus grâce à des onglets réservés aux films, séries, jeunesse, sport… L’opérateur propose aussi des sections thématiques : Amour et séduction, animation, gros bras, histoire…
Ces diverses tuiles vous mèneront vers des contenus en replay ou des chaînes en direct et la page d’accueil du site web propose des titres disponibles mais aussi des chaînes. Retrouver les chaînes des bouquets sur la page d’accueil est plus facile et des onglets sont présents si vous cherchez avant tout la TV en direct ou le replay. L’interface permet également d’accéder à vos enregistrements dans le cloud, si vous avez souscrit à l’option ou disposez de cette fonctionnalité.
Une invitation presse est actuellement envoyée par Free Pro pour une conférence au siège d’Iliad à Paris, laissant présager d’une annonce importante.
Que prépare l’opérateur, près de quatre ans après son lancement en mars 2021, l’opérateur invite la presse pour un mystérieux évènement se déroulant le 14 janvier. Si le secret est bien gardé sur la raison de cet évènement, il est raisonnable d’attendre une annonce importante.
La première Freebox Pro a été lancée en mars 2021, il pourrait donc s’agir d’une nouvelle box plus au goût du jour. Mais toutes les portes restent ouvertes : nouvelles offres, nouvelles solutions logicielles…Free Pro avait notamment annoncé son intention de proposer de nouvelles solutions 5G pour la fin d’année 2024, sans pour autant avoir fait d’annonces à ce sujet depuis.
L’opérateur a continuellement innové depuis son lancement, affirmant sa volonté de s’imposer sur un marché où régnait le duopole d’Orange et SFR. L’opérateur expliquait en septembre dernier travailler avec plus de 70 000 entreprises et organisations publiques. Il cherche notamment à être certifié SecNumCloud et avait lancé le 18 juin 2024 son offre “Coms Pro”, de communication collaborative dans le but de permettre aux petites et moyennes entreprises d’accéder aux mêmes fonctionnalités de communication que les grandes.
Les abonnés Freebox ont désormais la possibilité de devenir des testeurs des nouveautés d’Oqee sur leurs appareils tournant sous Android TV.
Free déploie une nouvelle mise à jour disponible sur player Free TV 4K (Pop) et sur les appareils Android TV avec une nouveauté. L’opérateur annonce en effet qu’une nouvelle entrée est intégrée dans le menu des paramètres pour rejoindre la base de testeurs de l’opérateur.
Vous pouvez retrouver cette section dans les paramètres avec une rubrique “Questionnaire et tests utilisateurs”, il vous faudra ensuite scanner un QR code pour accéder à un questionnaire. Ce dernier permet de renseigner vos attentes concernant ce programme de test. Il faudra renseigner votre adresse mail et le type d’abonnement dont vous disposez, mais aussi vos attentes : répondre à des questionnaires, participer à des tests utilisateurs… Une fois l’inscription réalisée, il ne restera plus qu’à attendre de recevoir des nouvelles de votre opérateur.
Le service de presse en ligne Cafeyn lance une nouvelle mise à jour sur iOS permettant aux utilisateurs de peaufiner leurs recommandations.
Cafeyn se présente aujourd’hui comme le leader de la presse en ligne en France. Si son ambition est de créer un champion européen de la distribution de presse numérique, la plateforme continue d’améliorer son application avec une nouvelle mise à jour déployée sur iOS cette semaine. Dans cette nouvelle version, les développeurs indiquent qu’il est désormais possible d’améliorer vous même votre sélection personnalisée de contenu sur Explorer.
En effet, il vous suffit de cliquer sur les trois points situés à côté de chaque article pour aimer ou non le contenu qui vous est proposé et la plateforme adaptera la sélection de recommandations en fonction des vos retours. Un ajout intéressant qui vous évitera de vous voir proposer des articles ne correspondant pas à vos centres d’intérêts.
Cafeyn continue de se développer et a récemment revu en profondeur son identité visuelle, tout en continuant d’enrichir son catalogue via le rachat de miLibris, Blendle, Kidjo, et de la plateforme Toutabo/ePresse (Readly France) l’année dernière par exemple. Le service est inclus pour les abonnés Freebox Delta et Ultra, mais aussi proposé en option avec trois mois offerts aux abonnés Révolution et Pop.
Le régulateur s’estime incompétent pour intervenir dans la guerre des pylônes qui fait rage, mais rappelle que les abonnés ne doivent pas en souffrir.
Un conflit gronde dans le secteur des télécoms : Valocîme, nouvel entrant dans le secteur des “Towerco”, est vivement critiqué pour ses méthodes concernant l’acquisition de terrains où se trouvent des antennes mobiles. Au point que les opérateurs ne souhaitent pas travailler avec cette société. Si Valocîme a saisi l’Arcep pour mettre fin à ce qu’il considère comme une entente entre les opérateurs et les autres sociétés détenant des pylônes téléphoniques, le régulateur botte en touche.
La société démarche le propriétaire du terrain, peu avant l’expiration du bail en offrant un loyer généralement 30% plus cher. Pourquoi une telle hausse des prix ? Tout simplement pour pouvoir sous-louer au propriétaire du pylône (opérateur ou Towerco) à un prix plus élevé ou encore proposer de racheter l’installation telle quelle. Une pratique assez agressive qui inquiète le monde des télécoms.
L’Arcep refuse de trancher
Valocîme réclamait ainsi que le régulateur des télécoms enjoigne Bouygues Telecom, Orange et SFR d’entrer en négociations avec elle pour conclure une convention d’hébergement des emplacements que Valocîme a repris en bail. Cependant, le régulateur affirme qu’elle n’est pas compétente pour statuer sur un refus opposé par une partie d’accéder aux moyens mis à disposition par l’offreur d’accès.
Elle maintient par ailleurs que seul un opérateur peut se plaindre d’une difficulté technique face à un towerco, et pas l’inverse.
Valocîme menace le réseau mobile, l’Arcep effectue un rappel à la loi
En parallèle, la société Valocime a engagé plusieurs actions de justice à l’encontre des Towercos en vue de les faire expulser de certains des emplacements qu’elle a repris à bail. Cela fait partie des sources d’inquiétudes des opérateurs et des municipalités, qui craignent ainsi voir une perte du réseau mobile pour les administrés concernés. D’autant que lors de négociations précédentes, Valocîme n’a pas hésité à priver d’électricité certaines installations.
Si l’Arcep ne tranche pas, elle a tout de même glissé en fin de communiqué un rappel important : “Plusieurs circonstances peuvent expliquer qu’à l’échéance du bail d’un terrain (ou d’un toit-terrasse), un opérateur mobile soit contraint de changer l’emplacement de ses équipements. Il peut s’agit par exemple du cas dans lequel le propriétaire du terrain (ou du toit-terrasse) choisit de le récupérer pour un autre usage ou de conclure le bail avec un autre acteur que la towerco qui héberge les équipements de l’opérateur mobile.
Toutefois, les opérateurs restent tenus de respecter leurs obligations notamment en matière de couverture numérique du territoire. L’Arcep y sera particulièrement vigilante. Il importe également que les opérateurs prennent des dispositions pour assurer une continuité et une disponibilité de service satisfaisantes.” Le message est passé, les opérateurs ont déjà initié leur contre-attaque avec un texte soufflé aux parlementaires pour bloquer les pratiques de Valocîme. Cependant, il n’a toujours pas été adopté, vu le contexte politique actuel.
L’animateur fétiche de la chaîne C8 est revenu sur les projets du groupe Canal pour son programme phare “Touche pas à mon poste” (TPMP). CStar pourrait récupérer la poule aux oeufs d’or.
Quel avenir pour TPMP sur petit écran ? La très populaire émission de Cyril Hanouna était menacée de disparaître en même temps que C8, qui n’a pas été retenue sur la TNT. Mais difficile de lâcher l’une des émissions les plus regardées pour la filiale de Vivendi, qui envisage de continuer l’aventure.
Dans une intervention durant son émission de rentrée, Cyril Hanouna est revenu sur l’avenir de son talk-show à partir du 28 février. “On voulait savoir s’il était possible dans la convention de CStar de faire un talk-show, de type TPMP, entre 18h et 21h30, dans les horaires dans lesquels on est“, commence-t-il. Avant de poursuivre en affirmant que la convention de la chaîne, également détenue par Bolloré, le permet. Rien n’est cependant encore arrêté : “on va travailler là-dessus, il y a d’autres pistes.. On étudie cette piste, mais je vous dirai ce qu’il va se passer dans les prochains jours. Celle-ci est la plus avancée avec les équipes. La bonne nouvelle est qu’il est possible de faire un talk-show sur la chaîne CStar“.
Pendant les vacances, la presse s’est enflammée concernant l’avenir de TPMP. Quelle est la vérité ? @Cyrilhanouna s’exprime dans #TPMP et répond aux rumeurs ! pic.twitter.com/QyCYLBzyAS
Dans le paysage audiovisuel, l’avenir de TPMP fait parler de lui, notamment suite au coup de tonnerre qu’ont été les rejets des candidatures de NRJ 12 et C8 pour la TNT. Une autre piste avait été envisagée avec le lancement d’une nouvelle chaîne “H-TV” sur myCanal.
Il vaut mieux prévenir que guérir, n’hésitez pas à mettre vos appareils sous iOS ou iPadOS à jour.
Apple vient de publier iOS 18.2.1 et iPadOS 18.2.1, des mises à jour axées exclusivement sur des corrections de bogues. D’après les notes de publication officielles, aucune nouvelle fonctionnalité majeure n’a été introduite, mais l’installation de cette version est fortement recommandée pour tous les utilisateurs d’iPhone et d’iPad.
Bien qu’Apple ne précise pas les détails des corrections apportées, il est probable qu’il s’agisse d’une mise à jour de sécurité. Ce déploiement intervient moins d’un mois après iOS 18.2 et iPadOS 18.2, qui avaient apporté des nouveautés telles que des améliorations d’Apple Intelligence et une refonte de l’application Mail.
Comment installer iOS 18.2.1 et iPadOS 18.2.1 ?
Pour télécharger cette mise à jour, suivez ces étapes :
Accédez à l’application Paramètres de votre appareil.
Sélectionnez Général .
Appuyez sur Mise à jour logicielle .
La mise à jour porte le numéro de build 2A3798 et est disponible pour iPhone et iPad. En revanche, aucune mise à jour n’a été publiée pour d’autres produits Apple, tels que l’Apple Watch, le Mac, l’Apple TV, le Vision Pro ou le HomePod.
Même en l’absence de nouvelles fonctionnalités visibles, cette mise à jour garantit une expérience utilisateur plus sécurisée et stable. Rester à jour est essentiel pour protéger vos appareils des éventuelles vulnérabilités.
Après avoir été très en retard pendant des mois, la carte de couverture prévisionnelle de Free Mobile a été mise à jour avec des données plus récentes.
Outre sa carte de couverture, Free Mobile propose également un autre outil assez pratique pour ceux qui attendent encore la 4G près de chez eux. Cette carte de couverture prévisionnelle avait été longtemps laissée à l’abandon, annonçant des données datant de 2023, mais a récemment été mise à jour par l’opérateur de Xavier Niel, avec des données datant du 1er septembre 2024.
Cette carte ressemble assez à l’outil indiquant la couverture actuelle proposée par l’opérateur de Xavier Niel, à ceci près qu’elle vous donne les prévisions à 3 mois du réseau. Il est ainsi possible de saisir son adresse pour voir si une antenne est prévue proche de chez vous mais pas seulement. En effet, la carte est interactive et permet d’afficher au choix les sites dont l’activation est prévue durant le trimestre, la couverture 4G/4G+ ou les deux. La 5G n’est pour l’instant pas indiquée sur cet outil.
Cliquez sur la carte pour accéder à la page
Free précise cependant qu’il est “possible que la mise en service de ces sites intervienne après le trimestre considéré ou n’intervienne pas, du fait des aléas liés aux déploiements des réseaux mobiles.” A noter également, les chasseurs d’antenne peuvent également télécharger directement une liste des sites du réseau Free Mobile contenant l’identifiant des antennes et sa position précise dans l’Hexagone.