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Quelle est votre Freebox préférée de tous les temps ?

Au cours de ses 25 ans d’existence, Free a pu proposer de nombreuses Freebox variées. Mais laquelle a sa place particulière dans votre coeur ?

De la toute première Freebox, imposante, mais innovante par son concept de box triple play à la Freebox Ultra chargée en nouvelles technologies, quelle box préférez-vous ? Univers Freebox vous propose ainsi de plébisciter la box qui vous a le plus plu.

Les raisons peuvent être variées, allant du design aux fonctionnalités proposées, en passant même par l’offre et son contenu en elle-même. Aucun jugement à craindre, nous voulons juste voir quelle Freebox a réussi à toucher le plus d’abonnés dans son histoire. Vous pouvez répondre dans le sondage ci-dessous et n’hésitez pas à donner vos raisons dans les commentaires !

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Netflix, Canal+… Combien les Français payent-ils en streaming chaque mois ?

Avec la multiplication des offres de streaming dans divers domaines, a combien s’élève la dépense mensuelle des foyers en France ?

Selon une étude intitulée “Contenus payants : quels usages et attentes du public ?”, présentée lors de l’événement Médias en Seine 2025, la consommation de contenus numériques payants a connu une croissance significative en France. Cette enquête, réalisée auprès de 1 000 Français par Ipsos, révèle que 70 % d’entre eux sont abonnés à une plateforme de streaming minimum, avec une dépense mensuelle moyenne de 26 euros.

Les moins de 35 ans se distinguent comme les principaux consommateurs de ces services, avec une moyenne de 2,9 abonnements par personne, contre 1,8 pour l’ensemble de la population. Cette tranche d’âge est également plus encline aux achats à l’unité : 71 % ont acquis au moins un contenu “à la carte” en 2024, principalement des films et séries (56 %) ainsi que de la musique (43 %).

Le marché du streaming en France est dominé par Netflix, qui attire 47 % des utilisateurs payants, suivi par Amazon Prime Video avec 34 %. Disney+ et Canal+ occupent la troisième place avec chacun 17 % des abonnés, loin devant beIN Sports et Paramount+ (7 % chacun). Le streaming musical représente quant à lui 11 % des abonnements numériques.

Malgré l’essor des plateformes payantes, les médias traditionnels et gratuits conservent une place importante. Ainsi, 46 % des Français estiment que les offres gratuites sont aussi qualitatives que les payantes. La télévision en direct demeure le principal moyen d’accès aux films et séries (70 % des Français), aux événements sportifs (67 %) et à l’actualité (60 %). Pour la musique, YouTube domine avec 56 % des utilisateurs, devant la radio (37 %).

Dans un contexte économique tendu, le prix devient un critère déterminant : 83 % des Français le considèrent comme principal facteur de choix d’un abonnement. De plus, 80 % jugent les offres trop chères par rapport à leur contenu, et 82 % estiment qu’il y a trop de plateformes différentes. Les perspectives pour 2025 suggèrent une stabilisation, voire une baisse des dépenses en contenus numériques, notamment dans le sport (-9 %), la presse (-7 %) et les jeux vidéo (-14 %).

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Nouvelle fuite de données : changez votre mot de passe si vous êtes clients de cette grande enseigne française

Leclerc alerte certains clients d’une nouvelle fuite de données ayant exposé leurs informations.

Les fuites se suivent et ne se ressemblent pas. E.Leclerc, la célèbre enseigne française de distribution, a été victime d’une cyberattaque ciblant son programme Primes énergie, destiné à encourager les travaux d’économie d’énergie. L’entreprise a détecté des tentatives frauduleuses d’accès à des comptes clients, exposant des informations sensibles comme les noms, prénoms, adresses e-mail, numéros de dossier, montants de primes et libellés de prestations. Ces données pourraient servir à orchestrer des arnaques en ligne visant les bénéficiaires du programme.

Plus préoccupant encore, les hackers auraient eu accès à des identifiants d’accès, tels que les mots de passe ou leurs versions chiffrées. Ces informations augmentent le risque d’attaques par “credential stuffing”, une méthode où les pirates réutilisent des identifiants volés pour accéder à d’autres services. Leclerc a immédiatement réinitialisé les mots de passe des comptes concernés et invite ses clients à modifier leurs identifiants sur tous les services où des mots de passe similaires sont utilisés, afin de limiter les conséquences potentielles.

Conformément à la réglementation, l’entreprise a alerté la CNIL, qui pourrait enquêter sur les mesures de sécurisation des données mises en place. Cette attaque s’ajoute à une série croissante de fuites de données en France, poussant les autorités à intensifier les contrôles. Selon l’expert Clément Domingo, l’attaque pourrait résulter d’une faille exploitée ou d’une opération de scraping, une méthode automatisée d’extraction de données, illustrant une fois de plus la nécessité de renforcer la sécurité des systèmes face à des menaces de plus en plus sophistiquées.

Source : 01net

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Orange prépare le démantèlement de son réseau en cuivre, un trésor recyclable à plusieurs milliards d’euros

Cette semaine, plus de 160 premières communes verront l’extinction de l’ADSL, portée par le réseau cuivre. Assis sur une mine “d’or rouge”, Orange cherche qui pourra se charger de démanteler les installations. 

Orange entame cette semaine une étape majeure de sa transition technologique en amorçant l’arrêt progressif de son réseau de câbles en cuivre, désormais obsolète face à la fibre optique. D’ici à 2030, ce vaste chantier prévoit l’extinction complète du réseau cuivre, suivie de son démontage d’ici 2032. À la clé, un enjeu économique majeur : le recyclage de cet « or rouge », qui pourrait rapporter à l’opérateur plusieurs milliards d’euros.

Le chantier débute par l’arrêt du réseau dans 162 communes. Le démontage des câbles, lui, est attendu pour 2025 et concernera une partie des installations aériennes et souterraines. L’objectif : valoriser environ 80 % des fils téléphoniques, bien que certains câbles enfouis en dehors de fourreaux soient difficilement accessibles et donc exclus du processus. Avec près d’un million de kilomètres de câbles à recycler, les volumes en jeu sont colossaux. Depuis plusieurs années, Orange recycle déjà les câbles endommagés par des intempéries. Toutefois, l’ampleur de l’opération va considérablement s’intensifier avec ce démantèlement généralisé.

« Notre projet est de financer le décommissionnement par le recyclage du cuivre », explique Bénédicte Javelot, directrice des projets stratégiques et du développement d’Orange France, tout en nuançant : « Ce n’est pas une machine à cash. » En effet, démonter un réseau couvrant 44 millions de foyers représente un défi logistique et financier de taille. Les appels d’offres pour la collecte des câbles ont déjà été lancés, et ceux destinés aux recycleurs de métaux suivront dès le printemps. La première tranche, couvrant la période 2025-2027, ouvrira la voie au traitement des volumes les plus importants, prévus entre 2027 et 2032. Parmi les entreprises en lice figurent des poids lourds du secteur, comme Suez, Veolia, Derichebourg et d’autres acteurs européens.

Avec des centaines de milliers de tonnes de cuivre qui seront progressivement injectées sur le marché, les recycleurs devront adapter leurs capacités. Toutefois, Orange n’a pas vocation à conserver durablement un rôle de client dans cette filière, les stocks n’étant pas illimités. Dans un souci de respect de ses objectifs environnementaux – notamment la neutralité carbone d’ici 2040 – Orange privilégiera des recycleurs basés en France ou dans des pays voisins pour limiter les distances de transport. L’État, de son côté, surveillera de près que la filière française tire un maximum de bénéfices de ce projet, même si elle ne pourra pas absorber la totalité des volumes recyclés.

Une partie du cuivre transformé en grenaille ou en billes sera ensuite acheminée vers des fonderies, principalement situées en Belgique, en Allemagne ou en Espagne. Si le groupe français Nexans prévoit d’ouvrir une fonderie dédiée en France, celle-ci ne sera opérationnelle qu’à partir de fin 2026 et ne pourra absorber qu’une fraction des volumes générés par Orange.

Source : Les Echos

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Abonnés Freebox : une nouvelle version de Cafeyn est déployée avec une fonctionnalité pratique

Le service de presse en ligne Cafeyn lance une nouvelle mise à jour sur iOS permettant aux utilisateurs de ne pas louper la sortie de leur média préféré.

Cafeyn se présente aujourd’hui comme le leader de la presse en ligne en France. Si son ambition est de créer un champion européen de la distribution de presse numérique, la plateforme continue d’améliorer son application avec une nouvelle mise à jour déployée sur iOS cette semaine. Numérotée 12.6.1, elle permet d’être tenu informé de la publication de vos magazines préférés via des notifications.

Il vous suffit ainsi d’activer les notifications éditoriales dans vos paramètres. Elles permettent ainsi de vous voir recommander les meilleurs articles concernant vos centre d’intérêts. Les développeurs ont également amélioré la page de chaque média en ajoutant un onglet “A propos” pour mieux connaître ce dernier.

Cafeyn continue de se développer et a récemment revu en profondeur son identité visuelle, intégré la possibilité de peaufiner ses recommandations, tout en continuant d’enrichir son catalogue via le rachat de miLibris, Blendle, Kidjo, et de la plateforme Toutabo/ePresse (Readly France) l’année dernière par exemple. Le service est inclus pour les abonnés Freebox Delta et Ultra, mais aussi proposé en option avec trois mois offerts aux abonnés Révolution et Pop.

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Bouygues Telecom accuse Free Mobile d’avoir envenimé les relations entre opérateurs, le tacle de Xavier Niel en réponse

Olivier Roussat, directeur général de Bouygues Telecom, est revenu sur l’impact de l’arrivée de Free Mobile sur le marché avec un angle assez peu abordé. Et sous la critique, Xavier Niel n’hésite pas à répondre avec une dose d’humour.

L’arrivée en janvier 2012 de Free Mobile a bouleversé le marché des télécoms a bien des égards : baisse des prix, concurrence exacerbée, forfaits plus enrichis… Olivier Roussat, directeur général de Bouygues Telecom, a été interviewé par le youtubeur spécialisé dans la tech et l’entrepreneuriat Romain Lanéry et l’une des questions portait sur l’arrivée de Free Mobile.

Le DG explique ainsi qu’avant l’arrivée d’Iliad, la maison-mère de Free, sur le marché, les opérateurs entretenaient des relations “cordiales”. Mais lorsque Free est arrivé, “on a commencé a voir des insultes dans tous les sens. D’ailleurs on a attaqué et on a gagné, puisqu’on a littéralement été insultés” ajoute-t-il. Il faut dire qu’à son lancement, l’opérateur n’avait pas mâché ses mots, qualifiant les pratiques des opérateurs concurrents de “racket” et “d’arnaques”.

Si de l’eau a coulé sous les ponts depuis 2012, Bouygues Telecom semble donc avoir une certaine rancune tenace envers l’opérateur de Xavier Niel. Et justement, celui-ci a répondu a la déclaration de son concurrent sur X. En effet, sur le compte officiel du milliardaire à la tête d’Iliad, le clip vidéo a été reposté avec un ajout cinglant : les unes portant sur la condamnation pour entente entre Orange, SFR et Bouygues Telecom en 2005. Le créateur de Free ironise ainsi sur la nature “cordiale” des relations entre les opérateurs, pointant du doigt leurs anciens accords autour du prix de la téléphonie mobile.

 

 

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Les réseaux d’Orange, Free, SFR et Bouygues ciblés par l’espionnage, un appel à réagir est lancé

L’Anssi considère que la stratégie historique d’Orange et consorts pour se protéger face aux intrusions n’est plus d’actualité.

Récemment, les fuites de données chez les opérateurs se sont vues prendre de plus en plus d’importance, notamment avec le piratage d’une base de données de Free ou de SFR. Des affaires devenues publiques et qui inquiètent les consommateurs vis-à-vis de la sécurité de leurs données.

Mais les bases de données ne sont qu’une facette du problème. Plus préoccupant encore, les infrastructures des réseaux télécoms elles-mêmes deviennent des cibles privilégiées, souvent pour des opérations d’espionnage à grande échelle. Une enquête retentissante menée aux États-Unis a récemment mis en lumière les agissements du groupe « Salt Typhoon », affilié à la Chine. Ce collectif de pirates aurait infiltré les réseaux de neuf opérateurs américains, dont AT&T, Verizon et T-Mobile, interceptant pendant plus d’un an des communications sensibles. Des opérateurs étrangers seraient également touchés par cette campagne d’une ampleur sans précédent.

En France, l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (Anssi) tire la sonnette d’alarme. Dans un rapport publié fin 2023, elle soulignait déjà une augmentation notable des compromissions ciblant les équipements critiques des opérateurs, tels que les routeurs au cœur des réseaux. Ces attaques, plus de 150 recensées en trois ans, ont parfois nécessité une mobilisation opérationnelle importante de l’agence. L’espionnage est aujourd’hui identifié comme la menace la plus préoccupante pour le secteur des télécommunications.

Cette recrudescence est directement liée à l’évolution technologique des réseaux. Alors que la 2G faisait face à des problèmes de chiffrement rudimentaires, les générations suivantes ont introduit des protocoles complexes que les attaquants exploitent désormais. La 5G, la virtualisation, les interfaces de programmation (API) et l’intégration massive de l’Internet des objets (IoT) ont multiplié les points de vulnérabilité. Les risques incluent désormais des attaques sur la chaîne d’approvisionnement et des intrusions via des appareils connectés.

Face à ces défis, la stratégie historique des opérateurs, reposant sur la « sécurité par l’obscurité », montre ses limites. Pendant des années, limiter la transparence sur le fonctionnement des réseaux suffisait à contenir les menaces. Mais cette approche est aujourd’hui dépassée selon l’agence de sécurité. L’Anssi appelle à une prise de conscience collective et à des efforts renforcés pour anticiper et contrer ces attaques. Les opérateurs doivent désormais se doter de mécanismes de sécurité plus robustes et collaborer davantage avec les autorités pour faire face à un enjeu qui dépasse les simples intérêts commerciaux : la protection des communications, et par extension, de la souveraineté nationale.

Source : Le Monde

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Free lance une nouvelle mise à jour du Player Devialet pour ses abonnés Freebox

Vous disposez du Player Devialet de Free  ? Une nouvelle version 1.5.13 est à présent disponible. Un bug important a été résolu sur la lecture du format MKV.

Avis aux abonnés Freebox Delta et autres clients Freebox disposant du Player Devialet, Free a lancé le 24 janvier une nouvelle version 1.5.13 de son firmware. Si l’opérateur n’a pas dévoilé les améliorations apportées dans cette nouvelle mise à jour, un développeur Freebox a annoncé sur le bug tracker du FAI la résolution d’un problème rencontré par les abonnés depuis la précédente version.  

Et pas des moindres puisque le boîtier TV haut de gamme de Free plantait lors de la lecture des vidéos en format MKV. “Tout était parfait avant. Aucun problème sur le PC pour les lire mais pour les fichiers MKV d’environ 1.5 Go – 30 Go,  je constate un plantage après quelques secondes” a fait savoir un premier abonné le 15 janvier dernier, constatant ce problème “en H264, H265, HEVC, DD, DD+, Atmos, Stereo, DV, HDR10, HDR10+”. La plupart des petits fichiers étaient en revanche encore lisibles. Si vous avez constaté la résolution d’autres bugs ou l’apparition de nouveautés, vous pouvez nous en faire part dans les commentaires.

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Canal+ envoie un mail à certains abonnés Freebox Ultra pour leur annoncer une mauvaise nouvelle

Les abonnés Freebox Ultra qui avaient déjà souscrit à l’offre exclusive Canal+ à 7€/mois ou Canal+ Ciné Séries à 19€ se voient actuellement informés par Canal que leur abonnement va subir des modifications. Moins de contenus au même prix ou pour moins cher selon les offres.

Mauvaise nouvelle, après avoir avoir revu ses offres réservées aux abonnés Freebox Ultra la semaine dernière, Canal+ applique désormais ces modifications aux abonnés existants à l’une de ses formules spéciales. Vous l’aurez compris, les nouveaux comme anciens abonnés à certaines offres à tarif préférentiel proposées en plus de la Canal+ La chaîné en Live incluse, sont ainsi concernés.

En effet, depuis quelques jours, certains abonnés Freebox Ultra ayant souscrit par exemple à l’offre Canal+ à 7€, reçoivent un e-mail qui peut susciter un certain agacement. La chaîne cryptée y annonce une modification de leur abonnement à partir du 1er mars 2025, avec un ajustement significatif : la suppression de Paramount+ de leur formule, tout en maintenant le tarif actuel. Si l’offre reste attractive puisque 15,99 sont pris en charge mensuellement, reste qu’elle se voit appauvrie. Pour le reste rien ne change.

La nouvelle offre Canal+ Ciné Séries Initial qui perd notamment Netflix Standard va également prendra la place de la formule précédente (plus ricche) pour les abonnés Freebox Ultra qui y avaient déjà souscrit. La nouvelle offre est donc moins fournie mais cette fois son prix passe de 19€/mois sans engagement à 14€/mois. Les abonnés concernés reçoivent également actuellement un mail les informant de cette prochaine modification.

“Avec cette nouvelle formule, vous disposerez d’un seul accès à myCANAL (NDLR : au lieu de 2), la plateforme rassemblant tous les contenus disponibles sur Canal+. De nombreuses fonctionnalités comme le Live TV, le téléchargement ou le mode expert, vous offriront une expérience immersive et optimisée selon vos habitudes de consommation”, précise Canal+ sans parvenir à convaincre.

 

 

Source : Merci à Jc Hay

 

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Démarchage téléphonique : son interdiction bientôt examinée, la fin du calvaire approche ?

Un texte très attendu sera bientôt examiné par les députés et pourrait ainsi mettre un véritable cran d’arrêt au démarchage téléphonique.

L’Assemblée nationale étudiera lundi 27 janvier une proposition de loi visant à interdire le démarchage téléphonique commercial sans consentement préalable. Déposé par le député EPR Thomas Cazenave, ce texte cherche à lutter contre les fraudes aux aides publiques, notamment liées à la rénovation énergétique et aux équipements écologiques. Initialement limité à certains secteurs comme les travaux d’adaptation au handicap ou à la vieillesse, le projet a été durci en commission, intégrant désormais un principe général d’« opt-in » : les consommateurs devront donner leur accord explicite pour être démarchés, inversant ainsi la logique actuelle d’« opt-out ».

Inspirée d’un texte déjà adopté par le Sénat en novembre, cette mesure exclut cependant une liste de consentement centralisée, jugée non conforme au RGPD. Les professionnels devront obtenir individuellement l’accord des consommateurs, sauf dans le cadre d’un contrat en cours.

Si cette réforme fait consensus parmi les députés, elle inquiète le secteur de la vente directe. La Fédération de la vente directe (FVD) redoute des pertes d’emplois significatives, affectant des zones où les opportunités professionnelles sont rares. Employant 150 000 personnes, la FVD estime que cette mesure pourrait porter un coup sévère à l’activité économique du secteur.

Source : Le Figaro

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