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NRJ12 prêt à dénoncer son éviction de la TNT au niveau européen pour “obtenir la réparation du préjudice”

Le patron de NRJ12 ne décolère pas suite au rejet de son recours qui visait à faire conserver à la chaîne sa place sur la TNT.

Après un long combat juridique, la décision du Conseil d’État a scellé le sort de NRJ12. La chaîne va bel et bien disparaître de la TNT, suite au retrait de son autorisation d’émettre par l’Arcom. Ce verdict intervient après plusieurs mois de procédures et après que le rapporteur public du Conseil d’État a demandé le rejet de leur recours. Ce dernier a rendu le groupe NRJ pessimiste quant à l’issue du dossier.

Jean-Paul Baudecroux, le fondateur du groupe NRJ, n’a pas caché sa tristesse et sa colère suite à l’annonce. « Beaucoup de colère, beaucoup de déception, beaucoup de tristesse, à la fois pour les équipes et pour les téléspectateurs, surtout les plus jeunes, qui vont être privés d’une chaîne qu’ils aimaient et qui les retenaient encore sur la TNT », a-t-il confié. Malgré l’annonce de la fin de NRJ12 en juillet 2024, la chaîne continue de rassembler quotidiennement 5 millions de téléspectateurs. « Ce sont toujours 5 millions à regarder NRJ12 tous les jours, alors que la mort de la chaîne est annoncée depuis le mois de juillet 2024. C’est dire à quel point la décision de l’Arcom est injuste ! », a-t-il ajouté.

La disparition de NRJ12, qui fêtait ses 20 ans cette année, est vécue comme une grande déception par ses soutiens. « Je remercie tous ceux qui ont grandi avec la chaîne, qui aimaient se divertir avec NRJ12, ceux qui ont témoigné leur soutien… bref, toute cette génération NRJ12 à qui l’on dénie aujourd’hui le droit de retrouver cette chaîne qu’ils aimaient et qui leur ressemblait », a-t-il exprimé.

Baudecroux, toujours attaché à la liberté d’expression, s’est également exprimé en faveur de C8, autre chaîne privée menacée par une décision de l’Arcom. « Lorsque l’on est viscéralement attaché à la liberté d’expression, on ne peut pas trouver normale la disparition d’une chaîne de télévision. C’est vrai pour NRJ12 et c’est vrai aussi pour C8, qui, je le rappelle, est la chaîne de la TNT la plus regardée », a-t-il affirmé.

L’argumentaire du rapporteur public contre la chaîne n’a pas échappé à Baudecroux, qui considère que sa présentation était « aussi caricaturale que contestable ». Il réfute notamment l’idée selon laquelle le téléachat représenterait 30% de la grille de programmes. « Contrairement à ce qui a été dit, le troisième genre de programmes présent sur la chaîne, ce n’est pas le téléachat, qui représente 12% et non pas 30% du temps d’antenne… Le troisième genre de programmes de la chaîne, ce sont les documentaires et les magazines », a-t-il précisé, ajoutant que NRJ12 diffuse une grande variété de programmes, incluant fiction, cinéma, divertissement et spectacles vivants.

Un conseil d’administration du groupe se réunira le 27 février pour discuter des actions à entreprendre. En attendant, le groupe s’engage à contester la décision au niveau européen, estimant que l’Arcom a commis une erreur. « Le groupe reste pleinement mobilisé pour faire constater, au niveau européen, l’irrégularité des décisions de l’Arcom et obtenir la réparation du préjudice important que ces décisions ont causé », a affirmé Jean-Paul Baudecroux.

Quant à l’avenir du pôle télévision, Baudecroux évoque déjà la possibilité de céder Chérie 25, l’autre chaîne du groupe, dont l’autorisation d’émettre expirera en 2027. « La cession de Chérie 25 est une question qui va se poser », a-t-il déclaré. Le projet de migration de NRJ12 vers le câble et le satellite a aussi été évoqué, mais il a été rapidement rejeté par le dirigeant. « Une chaîne TNT nationale et gratuite, quelle qu’elle soit, n’a pas de modèle économique viable sur le cab-sat ». Selon lui, la perte de la numérotation logique des chaînes sur ces supports entraînerait une diminution significative de l’audience. « La bataille qui s’est livrée autour de la refonte de la numérotation des chaînes, à la faveur notamment de la disparition de NRJ12, dont le numéro était manifestement convoité, dit tout des enjeux qui y sont associés », a-t-il précisé.

L’Arcom a décidé de remplacer NRJ12 et C8 par deux nouvelles chaînes, T18 et OFTV, dont les dossiers de candidature ont été jugés plus solides. Baudecroux ne cache pas son scepticisme face à ces nouvelles propositions éditoriales. « L’appréciation faite par l’Arcom des mérites respectifs de la chaîne NRJ 12 et des deux nouvelles chaînes est très contestable. Notamment du point de vue de l’offre pour le public : l’Arcom a privilégié des formats déjà ultraprésents sur la TNT, comme le documentaire, les débats, le talk ou les régions, et surtout destinés à des publics âgés ou très âgés ».

Enfin, Jean-Paul Baudecroux conclut sur une note amère, soulignant que l’arrêt de NRJ12 pourrait avoir des conséquences bien plus graves pour la TNT. « Si l’arrêt de NRJ12 profite à quelqu’un, en tout cas, cela ne profitera pas à la TNT ! », déclare-t-il, ajoutant que la suppression de la chaîne entraînera un appauvrissement de l’offre télévisuelle. « Les téléspectateurs vont payer le prix fort d’une offre télévisuelle appauvrie ».

Source : Le Figaro

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La création d’une BBC à la française, une “fausse solution” pour plus de 1800 élus

Les syndicats et de nombreux élus locaux critiquent la volonté du gouvernement de rassembler toutes les filières de l’audiovisuel public en une seule entité.

Les syndicats des entreprises de l’audiovisuel public, représentant Radio France, France Télévisions, France Médias Monde et l’INA, ont exprimé leur vive opposition à la réforme en cours du secteur, soutenue par le gouvernement. Le 18 février, plus de 1 800 élus ont cosigné un texte où ils dénoncent ce projet qu’ils qualifient de “fausse solution”. Selon eux, la création d’une holding, France Médias, chapeautant ces quatre entités, comme le prévoit la réforme, constitue une mauvaise piste. “Nous vous mettons en garde contre les nombreux risques que comporterait une fusion ou une holding afin de ‘rationaliser’ la gouvernance de l’audiovisuel public”, écrivent-ils dans une tribune publiée dans Ouest-France.

L’intersyndicale souligne que cet objectif de rationalisation ne renforcerait ni les médias publics au niveau national ni à l’international. Pour les signataires, cette réforme ne répond pas aux véritables enjeux du secteur. Fin janvier, la ministre de la Culture, Rachida Dati, a annoncé qu’elle poursuivrait la réforme, dont l’aboutissement est prévu “d’ici l’été”. Elle envisage la création de France Médias, une holding qui regrouperait sous son autorité France Télévisions, Radio France, France Médias Monde et l’INA, placés sous la direction d’un ou d’une présidente.

Ce projet de réforme, qui évoque également la fusion des entreprises de l’audiovisuel public, avait été suspendu l’année précédente suite à la dissolution de l’Assemblée nationale en juin. Les syndicats, eux, ne manquent pas de souligner les risques d’affaiblissement du projet éditorial des médias publics. “L’audiovisuel public ne s’est jamais aussi bien porté”, rappellent-ils, citant notamment les audiences record de stations telles que France Inter et franceinfo. De plus, ils rappellent que ces entreprises représentent 500 millions d’euros d’investissements dans des domaines culturels essentiels tels que le cinéma, la musique, la fiction, les documentaires et les séries. “Souhaitons-nous les voir s’amenuiser ou disparaître ?”, interrogent-ils.

L’intersyndicale craint également des conséquences néfastes sur l’emploi des 17 000 salariés du secteur. “N’oublions pas non plus les risques de pressions, politiques ou économiques, qui pourraient s’exercer sur la présidence d’une holding qui regrouperait tout l’audiovisuel public. Voulons-nous vraiment concentrer tant de pouvoirs entre les mains d’une seule personne ?”, avertissent les signataires de la tribune. Le projet reste cependant assez menacé, dans le climat politique actuel, encore très instable.

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Canal+ finalement prêt à réfléchir à reprendre la Ligue 1, mais en imposant des conditions strictes

Le feuilleton des droits TV de la Ligue 1 continue d’être alimenté, Vincent Bolloré et le groupe Canal+ seraient finalement prêts à considérer la diffusion de la Ligue 1 à la place de DAZN mais avec des exigences.

Le torchon n’en finit plus de brûler entre la LFP et le diffuseur de la Ligue 1 DAZN. Quand la ligue veut récupérer les 35 millions, DAZN quant à lui s’estime lésé à hauteur de plus de 500 millions d’euros… Et Canal+ dans tout ça ? En effet, face à la tourmente dans laquelle est plongée le championnat français, de nombreux regards se tournent vers la chaîne privée qui l’a longtemps diffusé sans problèmes.

Si de premières informations faisaient état d’un désintérêt de la part de la filiale de Vivendi, l’Équipe affirme finalement que l’entreprise serait prête à réfléchir à une reprise de la Ligue 1… Mais à certaines conditions qui ne devraient pas plaire à la LFP. En effet, le groupe pourrait envisager cette option si la LFP lui proposait un contrat de longue durée et surtout, un investissement proche de ce qu’avait décroché Amazon après le fiasco Mediapro, à savoir près de 259 millions par ans. Une somme très loin des attentes initiales du football français, alors qu’avant l’acquisition des droits, la LFP en attendait près d’un milliard d’euros.

La société LFP Media, qui gère justement les droits de diffusion, va d’ailleurs changer de tête dirigeante et c’est Stéphane Richard qui est pour l’instant pressenti pour en prendre la direction. L’ancien PDG d’Orange pourrait ainsi faire jouer ses relations cordiales avec la filiale de Vivendi pour le faire revenir à la table des négociations.

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Tech : Free lance “DigiFree”, un programme innovant pour amener des jeunes de quartiers prioritaires vers l’emploi en 6 mois

La Fondation Free et Konexio lancent un programme innovant pour l’insertion professionnelle de jeunes de Seine-Saint-Denis à travers un initiation au numérique, des ateliers IA et un suivi personnalisé pour décrocher un emploi ou une formation dans les 6 mois.

La Fondation Free et l’association Konexio s’associent une nouvelle fois pour faire du numérique un véritable levier d’insertion. Leur nouveau programme, DigiFree, vise à accompagner des jeunes issus de quartiers prioritaires de Seine-Saint-Denis vers l’emploi. Concrètement, DigiFree propose aux participants 20 heures d’initiation au numérique pour acquérir les bases essentielles, des ateliers dédiés à l’intelligence artificielle (IA) et aux compétences digitales et un accompagnement vers l’emploi ou la formation avec un suivi personnalisé

Dès 2025, 80 jeunes bénéficieront de ce programme, avec l’objectif de les aider à décrocher un emploi ou une formation dans les six mois. Le lancement de DigiFree a rassemblé les équipes de Free, de Konexio et une cinquantaine de jeunes lors d’une soirée immersive. Au programme : découverte des métiers du développement web et échanges avec des collaborateurs de Free, mobilisés pour partager leur expérience.

Avec cette initiative, Free et sa fondation confirment leur engagement en faveur de l’inclusion numérique et professionnelle. En 2023, l’association Konexio et la Fondation Free avaient déjà signé partenariat en faveur de l’inclusion socio-professionnelle par le numérique des publics éloignés de l’emploi ou en reconversion. Au travers de celui-ci, le duo ambitionnait alors  de mettre à profit leurs ressources et compétences respectives pour accompagner la montée en compétences numériques et former aux métiers de la tech, un secteur qui offre de nombreuses opportunités de carrière.

En complémentarité avec les actions du groupe iliad concernant l’emploi des jeunes, la Fondation d’entreprise Free s’était alors engagée à accueillir en contrats d’alternance au sein de l’entreprise des apprenants formés par Konexio aux métiers de développeur web, web mobile et technicien supérieur systèmes et réseaux.

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Ouverture de nouvelles boutiques, Free ralentit le rythme

En 2024, Free a inauguré près de 25 nouvelles boutiques. Depuis le début de l’année, une seule nouvelle ouverture est à noter.

Après avoir déployé une trentaine de nouvelles boutiques en 2023, Free a poursuivi ses efforts en 2024 avec l’ouverture de près de 25 nouveaux espaces de vente et conseils partout dans l’Hexagone afin de parfaire le maillage de son réseau distribution.

L’opérateur s’est notamment implanté physiquement dans des centres commerciaux, mais aussi dans des villes moyennes voire plus petites encore tout en se renforçant dans de grandes agglomérations. S’il a franchi le cap des 250 boutiques fin août 2024, Free a quelque peu ralenti le rythme depuis, avec l’ouverture de 9 magasins jusqu’à aujourd’hui. L’opérateur compte donc ainsi aujourd’hui environ 260 points de vente dans l’Hexagone grâce à l’inauguration ce 19 février d’une nouvelle boutique à Cognac dans le département de la Charente, laquelle est située au sein du Centre Commercial Aushopping. Il s’agit de la première inauguration de l’opérateur en 2025.

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Apple lance son nouvel iPhone 16E, top départ des précommandes dès demain chez Orange, Free, SFR et Bouygues Telecom

Il était très attendu, l’iPhone 16e a finalement été dévoilé par la firme de Cupertino hier.

Si vous voulez passer sur la dernière génération d’iPhone, mais sans dépenser trop d’argent, l’iPhone 16e entend répondre à vos besoins. Les précommandes débuteront le 21 février, notamment chez Free Mobile, Orange et les autres opérateurs, pour une disponibilité dès le 28 février.

L’iPhone 16e est une version plus abordable de la gamme iPhone 16, tout en conservant des performances puissantes grâce à la puce A18 et au modem Apple C1. Il offre une autonomie améliorée, atteignant jusqu’à 26 heures de lecture vidéo, contre 22 heures pour l’iPhone 16, et est conçu pour fonctionner avec Apple Intelligence, le système d’IA d’Apple qui met l’accent sur la confidentialité. Cette intelligence artificielle sera disponible en français début avril. Le smartphone tournera sous iOS 18 dès sa sortie.

La principale différence entre l’iPhone 16e et l’iPhone 16 réside dans l’appareil photo. L’iPhone 16e dispose d’un seul objectif à l’arrière, contre deux pour l’iPhone 16. Apple décrit ce système comme une « caméra fusion » de 48 mégapixels, capable de capturer des photos en « super haute résolution ». Le zoom optique est proposé en x1 et x2, mais il ne dispose pas du x0,5 comme sur les autres modèles de la gamme.

Le design de l’iPhone 16e est sobre et élégant, décliné en deux coloris : noir mat et blanc mat. Il bénéficie d’une résistance renforcée aux éclaboussures, à l’eau et à la poussière avec l’indice IP68. L’écran Super Retina XDR OLED mesure 6,1 pouces avec une résolution légèrement inférieure à celle de l’iPhone 16 : 2532 x 1170 pixels contre 2556 x 1179 pixels. La face avant est protégée par le Ceramic Shield, améliorant sa durabilité.

L’iPhone 16e intègre également un déverrouillage sécurisé avec Face ID et des options de recharge pratiques, incluant l’USB-C et la recharge sans fil, mais sans compatibilité MagSafe. Son IA intégrée permet des fonctionnalités avancées comme la correction d’images, la recherche en langage naturel dans Photos et l’utilisation de ChatGPT directement dans Siri et les outils d’écriture. Le bouton Action personnalisable facilite l’accès rapide à certaines fonctions et applications. Apple affirme mettre un point d’honneur à la protection de la vie privée avec Private Cloud Compute, garantissant que les données des utilisateurs ne sont pas stockées ou partagées avec l’entreprise. Le prix annoncé est de 719€ pour le modèle 128 Go, un tarif moins onéreux que les versions premium des iPhone, mais tout de même moins attractif que celui des iPhone SE précédents.

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Très bonne nouvelle pour les abonnés Freebox Pop, Ultra et Delta : Free offre Disney+ durant 3 mois, et la série déjà culte “Bref 2”

Disney+ offert durant 3 mois et sans engagement pour certains abonnés Freebox.

C’est une très bonne nouvelle que Free vient d’annoncer à Univers Freebox, depuis ce matin, les abonnés Freebox Pop, Ultra Essentiel et Delta profitent de 3 mois offerts à Disney+ (puis 5,99€/mois sans engagement). L’occasion de regarder la nouvelle saison de Bref, qui fait actuellement le buzz et qui est un une vraie claque selon selon les retours, et qui est disponible en exclusivité sur Disney+.

Pour en profiter, rendez-vous sur l’Espace Abonné Free, rubrique Télévision > Disney+, ou sur la TV canal 132 de la Freebox. L’offre est valable une seule fois et réservée aux non abonnés Disney+.

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Ca s’est passé chez Free et dans les télécoms : une révolution se prépare, Free ajoute une nouvelle corde à son arc…

Comme chaque semaine, nous vous proposons notre chronique « Ça s’est passé chez Free et dans les télécoms … » Celle-ci vous propose de vous replonger dans les événements qui ont fait l’actualité de la semaine en cours, mais durant les années, les décennies, voire les siècles précédents. Ces événements concerneront Free bien sûr, mais plus largement les télécoms et le numérique. Souvenirs, souvenirs…


18 février 1999 : Un nouvel opérateur est né

Happy birthday to Free ! C’est la date clé de cette semaine, une filiale d’Iliad est lancée au milieu du mois de février 1999 sans que l’on se doute de l’impact qu’elle va avoir sur le monde des télécoms. Mais c’est quelques mois après que Free surprendra son monde en lançant le premier accès à internet gratuit puis c’était l’escalade des révolutions avec le triple play, son arrivée sur le marché mobile en 2012… Une histoire folle qui mériterait presque son petit documentaire.


18 février 2011 : Orange lance sa Livebox 2

Une nouvelle Livebox a vu le jour ! Avec un Wi-Fi à la norme n (donc pour des débits jusqu’à 300 Mbps), quatre ports éthernet et deux ports USB la box semblait avoir tout pour plaire lors de son lancement le 18 février 2011. Cependant, on notait déjà un couac : l’absence d’un routeur Gigabit Ethernet. Puisque malgré les capacités théoriques en WiFI, le routeur étant quant à lui cantonné à 10/100 Mbit/s en réseau local. Cette Livebox accusait un gros retard côté matériel, de l’avis de nombreux spécialistes, mais était saluée pour son interface et sa finition. Elle était proposée à l’époque à partir de 39.90€/mois.

Un design très épuré pour cette Livebox, qui sera remplacée par la Livebox Play deux ans plus tard


19 février 2013 : Free lance AirMédia sur la Freebox Révolution

Une option de plus en plus utilisée de nos jours, mais bien moins courante le 19 février 2013. A cette date, l’opérateur de Xavier Niel permettait ainsi aux détenteurs d’iPhone d’envoyer des fichiers depuis leur mobile jusqu’au Server ou de les lire directement sur le player Révolution. Dorénavant, on utilise davantage Airplay cependant.

Voici à quoi ressemblait alors AirMedia sur iPhone, iOS en a fait du chemin depuis !


20 février 1986 : La Cinq arrive sur les écrans français

 C’est l’arrivée de la 2ème chaîne privée après Canal + en France : la 5 est lancée il y a 39 ans. C’est la première chaîne privée en France financée uniquement par la publicité et elle restera à l’antenne pendant 6 ans avant d’être remplacée par Arte. Une chaîne assez particulière qui a marqué la télévision française, mais qui est aussi connue pour son créateur que l’on connaît dorénavant pour d’autres activités. En effet, le créateur de la société France 5 n’est autre que… Silvio Berlusconi !

 


21 février 2023 : Free rajouter de la cybersécurité dans son offre

Le 21 février 2023, Free annonçait le lancement de deux nouvelles offres McAfee proposées à ses abonnés. Plus complètes, celles-ci incluent le contrôle parental, la surveillance du Dark Web et un VPN illimité pour l’option la plus avancée. Free proposait ainsi à ses abonnés une solution plus évoluée pour protéger leurs données personnelles et leur confidentialité ainsi que celle de leur famille, partout et à tout moment, sur Mac, PC, tablette et mobile, et le propose encore.


23 février 2006 : le forfait de Bouygues Telecom Néo est annoncé

 10 ans après la sortie de son premier forfait mobile, Bouygues Telecom annonce un nouveau forfait qui renouvelle la définition de l’illimité. Le forfait Néo présenté le 23 février 2006 propose en effet les appels illimités vers fixes et mobiles dès 20h tous les jours, avec 7 gammes de forfaits proposant entre 2 et 15 heures d’appels par mois le tout pour un prix sur 12 mois allant de 43.90€/mois à 147.90€/mois.


23 février 2016 : Orange lance la VoLTE et la VoWiFi

L’opérateur historique était en effet le deuxième à lancer les appels 4G, après Bouygues Telecom en novembre 2015. Le 23 février 2016, la VoLTE et de la VoWiFi étaient annoncés par Orange, après avoir testé la première chez certains abonnés. Pour les appels WiFi, il faudra attendre encore quelques temps pour un déploiement effectif.

Une bonne avance de la part des concurrents de Free, puisque SFR s’est pour sa part lancé en 2017. En comparaison, l’opérateur de Xavier Niel a lancé la VoLTE en septembre 2021 et la VoWiFi en 2022. Entre 5 et 6 ans d’écart selon les concurrents, il était temps pour Free de se mettre à la page.

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Fibre optique : une nouvelle solution testée pour raccorder à petit prix, sans défigurer le paysage

Dans les Côtes-d’Armor, une solution encore assez méconnue est utilisée pour déployer et raccorder des foyers à la fibre, sans passer par de l’aérien ni dépenser trop d’argent.

Coatascorn et son téléphone, c’est toute une histoire pour les quelque 250 habitants de cette petite commune des Côtes-d’Armor. Après des décennies de péripéties télécoms, la municipalité a décidé d’innover pour son passage à la fibre optique, en optant pour une technologie encore méconnue.

Une technologie de micro-tube

Aujourd’hui, c’est la fibre qui s’impose comme nouvel enjeu pour la commune. Lorsqu’il a été question de son déploiement, la municipalité s’est opposée à la pose de nouveaux poteaux prévue par le délégataire Axione, souhaitant préserver l’esthétique du village.

Face à ce refus, une solution a émergé après des discussions entre la commune, Megalis, le SDE, le syndicat mixte des eaux du Jaudy et le chargé de mission numérique de Lannion Trégor communauté. Une partie du réseau sera finalement réalisée grâce à une technologie de micro-tube, un procédé peu coûteux et encore rare en France. Techno Fibre, une entreprise de Côte-d’Or, a été sollicitée pour la mise en œuvre de cette technique, une première en Bretagne qui attire l’attention d’acteurs majeurs comme Orange et Megalis. L’utilisation de microtubes permet de construire/développer une infrastructure réseau de façon rentable. Les microtubes sont généralement utilisés sous forme de tubes simples d’un diamètre de 4 à 16 mm. Leur nature varie en fonction de l’application (interne, aérienne, tube dans tube ou pose directe sous terre). Une fois l’installation des microtubes terminée, les câbles à fibre optique appropriés (microcâbles) sont soufflés dans les microtubes à l’aide d’un dispositif dédié.

Pour financer cette opération, la commune investit 160 000 € via un emprunt sur 20 ans. Cet investissement sera amorti grâce à la location du réseau à Megalis, qui rapportera 10 750 € par an. Par ailleurs, Lannion Trégor Communauté contribue au financement à hauteur de 350 € par prise, soit un total de 72 000 €.

Les travaux, lancés fin 2024, devraient être achevés d’ici à la fin de l’année 2025. Une fois le réseau en place, les habitants pourront librement choisir leur fournisseur d’accès Internet. Coatascorn peut ainsi se présenter comme un exemple d’innovation et de gestion durable pour le déploiement de la fibre en milieu rural. A voir si cette solution fera des émules ou non, notamment alors que le déploiement de la fibre doit accélérer en vue de la fin du réseau cuivre.

Source : Le Trégor

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Les pirates disposent d’un nouvel outil redoutable pour voler vos comptes, même avec la double authentification

Des experts tirent la sonnette d’alarme au sujet d’Astaroth, un kit de phishing redoutable vendu sur Telegram

L’émergence d’Astaroth, un outil de phishing vendu 2 000 dollars sur Telegram, inquiète les experts en cybersécurité. Détecté par les chercheurs de SlashNext, ce kit sophistiqué intercepte en temps réel les données d’authentification, y compris les codes de double authentification (2FA), tout en restant quasi indétectable. En plus d’un hébergement sécurisé, il inclut six mois de support technique et de mises à jour, facilitant son utilisation par des cybercriminels peu expérimentés.

Contrairement aux kits classiques, Astaroth exploite un proxy inversé de type Evilginx pour intercepter les connexions. Lorsqu’un utilisateur clique sur un lien piégé, il est redirigé vers une copie parfaite du site légitime, avec certificats SSL à l’appui. Cette technique permet aux pirates de capturer les identifiants et les tokens d’authentification en temps réel. L’interface de contrôle du kit documente chaque tentative de connexion et alerte instantanément l’attaquant sur Telegram, lui offrant un accès immédiat aux comptes compromis.

Face à cette menace, les experts recommandent des mesures de protection avancées. Les solutions classiques, comme la vigilance face aux e-mails suspects, ne suffisent plus face à des attaques aussi élaborées. L’adoption de clés de sécurité physiques, telles que YubiKey ou Google Titan, constitue une alternative plus résistante aux interceptions. Par ailleurs, les autorités américaines et européennes tentent de sanctionner les hébergeurs « bulletproof » qui facilitent ces attaques, mais la diffusion d’Astaroth sur les forums criminels complique son éradication.

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