Catégorie : Non classé

Une nouvelle plateforme SVOD sera bientôt lancée en France et disponible sur les box de Free et d’Orange

Society +, nouvelle plateforme dédiée aux documentaires, sera lancée en mars prochain dans l’Hexagone, avec un accord de distribution prévoyant déjà une disponibilité sur les Freebox et les Livebox.

Une nouvelle plateforme de streaming à la demande s’apprête à enrichir l’offre audiovisuelle française. Le groupe de presse indépendant So Press a annoncé le lancement de Society +, une plateforme dédiée aux documentaires, qui sera accessible à partir du 6 mars.

Conçue comme une extension naturelle du magazine Society, cette nouvelle offre SVOD proposera dès son lancement une bibliothèque de 200 films et ajoutera une vingtaine de nouveaux documentaires par an, diffusés toutes les deux semaines, en écho au rythme de parution du magazine. « Notre matrice éditoriale, ce sont les histoires qui portent des personnages, qui viennent du monde entier et qui ont un côté irrévérencieux mais aussi humain », explique Franck Annese, fondateur de So Press.

L’abonnement sera proposé à 49,90 euros par an et accessible directement via le site de Society + ou à travers les box des opérateurs Free et Orange, facilitant ainsi son accès au grand public. Elle sera aussi distribuée via Prime Video.

Classés sous les catégories : Non classé

Clin d’oeil : il achète un brouilleur illégal et perturbe le réseau à cause… de Pokemon GO

Quand des joueurs de Pokemon GO peu respectueux poussent à des mesures drastiques…

L’ANFR intervient parfois pour lutter contre les risques de brouillages d’ondes. S’il peut s’agit d’incidents isolés dus à un malfonctionnement, ce sont parfois des personnes qui cherchent à brouiller les ondes volontairement, pour des raisons parfois étranges. C’est d’ailleurs le sujet d’une des enquêtes de l’ANFR, ces histoires un peu étranges, parfois publiée par l’agence.

Tout commence lorsqu’contrôleur de l’ANFR repère un puissant signal de brouillage GPS à un péage isolé et comprend que l’appareil à sa source se trouve dans l’une des voitures en attente. Sachant qu’un brouilleur en mouvement est difficile à détecter, il suit les variations de puissance du signal pour identifier la file suspecte. Après quelques manœuvres audacieuses et quelques klaxons échangés, il parvient à localiser le véhicule en cause. Mais trop tard : la voiture passe la barrière et accélère. L’agent décide alors de poursuivre discrètement le suspect jusqu’à Nice.

Une fois la voiture arrêtée, l’enquêteur explique calmement sa mission au conducteur, qui, bien que surpris, coopère sans résistance et montre un brouilleur GPS branché sur l’allume-cigare. Cet appareil, capable de perturber les signaux jusqu’à 2 000 mètres d’altitude, représente un réel danger pour la navigation aérienne, notamment en cas de mauvais temps. L’agent sensibilise alors le contrevenant aux risques encourus, tandis que ce dernier tente de se justifier avec une raison plutôt loufoque.

En effet, s’il avait fait l’acquisition de cet appareil interdit d’usage, ce n’était pas pour échapper à son employeur ; ni à un règlement de compte ; ni même pour continuer à conduire une voiture volée. Rien de si grave ! C’était pour simplement pour mettre fin aux intrusions dans… son jardin. En effet, il était las de constater que des indésirables se faufilaient sans arrêt, nuit et jour, sur sa propriété privée, armés de leur smartphone, pour en ressortir peu après, l’air inexplicablement satisfait. C’est qu’il était en réalité envahi par… des chasseurs de Pokémon ! En effet, à l’époque du phénomène, il se retrouvait régulièrement face à des joueurs de Pokemon GO qui venaient chercher un quelconque Dracaufeu ou Mew virtuel. Même après la folie passée, il a continué de laisser le brouilleur sur l’allume-cigare de sa voiture “au cas où”, pour rentabiliser son achat.

Cependant, il déplaçait ainsi une véritable bulle de brouillage qui aurait pu causer de véritables problèmes de sécurité, surtout lorsqu’il passait près des aéroports.

 

Classés sous les catégories : Non classé

Free annonce inclure désormais plus de 240 chaînes dans le bouquet basique de Freebox TV

L’opérateur commence à mettre à jour dans sa communication le nombre de chaînes incluses pour ses abonnés Freebox sans TV by Canal.

Dans un mail actuellement envoyé à ses abonnés Freebox pour leur souhaiter la bonne année et leur faire part des dernières évolutions dans leur offre TV comme l’inclusion des chaines Disney Channel et National Geographic, Free a également glissé une nouvelle information.

Les abonnés Freebox sans TV by Canal bénéficient désormais de plus de 240 chaînes incluses dans le bouquet basique de Freebox TV, sont donc concernés par exemple les abonnés Freebox Pop, Révolution Light et mini 4K. Jusqu’à présent, Free faisait mention dans sa communication de 230 chaînes incluses sur 580 accessibles, c’est encore le cas sur son site internet, une modification est donc à prévoir. Les abonnés Freebox avec TV by Canal et Universal+ inclus bénéficient quant à eux toujours de plus de 280 chaînes incluses.

 

Classés sous les catégories : Non classé

Attention, une nouvelle arnaque fait rage sur les iPhone, surveillez vos notifications

Sous prétexte d’une réinitialisation de mot de passe, des utilisateurs se font piéger par une notification sur leur iPhone.

Les utilisateurs d’iPhone sont la cible d’une nouvelle arnaque particulièrement bien ficelée. Des escrocs exploitent le système de notifications d’Apple pour envoyer une fausse alerte de sécurité demandant de réinitialiser le mot de passe iCloud.

Si la victime clique sur “Autoriser”, elle reçoit un code de validation, immédiatement suivi d’un appel d’un prétendu employé du support Apple. Ce faux technicien, affirmant qu’un piratage est en cours, tente alors d’obtenir le code sous prétexte de sécuriser le compte. En réalité, il s’agit d’une tentative de prise de contrôle du compte Apple, qui peut aboutir au verrouillage de l’appareil et au vol des données personnelles.

Face à cette escroquerie, il est impératif de ne pas autoriser la demande et de ne jamais communiquer un code de vérification à qui que ce soit. Apple ne contacte jamais ses utilisateurs de cette manière. En cas de doute, il est conseillé de joindre directement l’assistance officielle et de signaler l’arnaque sur des plateformes dédiées comme signal-spam.fr ou cybermalveillance.gouv.fr.

Source : Capital

Classés sous les catégories : Non classé

La nouvelle Bbox WiFi 7 de Bouygues Telecom est pour le moment réservée aux nouveaux abonnés, les migrations semblent impossibles

Lancée dans ses boutiques le 27 janvier dernier, la Bbox WiFi 7 n’est pour l’instant pas vraiment accessible pour les abonnés déjà existants de l’offre Ultym.

Bouygues Telecom propose depuis le début de cette semaine sa toute dernière innovation, la Bbox WiFi 7, mais uniquement dans ses boutiques et non sur son site web. Cependant, la limitation ne s’arrête pas la, puisque comme l’a remarqué notre confrère Alloforfait, il n’est actuellement pas possible de demande rune migration vers cette nouvelle offre.

En effet, aucune option de migration n’est disponible sur l’espace abonné Bouygues Telecom et même en se rendant en boutique, le passage vers l’offre Bbox Ultym WiFi 7 n’est pas possible. Il semble pour l’instant, la dernière box de Bouygues Telecom soit réservée aux nouveaux abonnés, probablement une question de stocks encore assez limités. Une fois le nombre de Bbox augmenté, l’opérateur proposera certainement des migrations ainsi que de souscrire depuis son site web.

A noter cependant, un abonné voulant passer à la nouvelle Bbox s’est vu proposer une solution : résilier son offre et en prendre une nouvelle, mais cela occasionne des frais de résiliation de 59€ et des frais de mise en service de 48€. Pas vraiment une bonne affaire donc, mais il semble que c’est le seul moyen pour l’heure actuelle pour les abonnés du parc existant de profiter de cette nouvelle Bbox.

 

Classés sous les catégories : Non classé

Ligue 1 : le patron de Canal+ tacle la LFP et affirme “que la situation va continuer à se dégrader”

Maxime Saada, président du directoire de Canal+, n’a pas hésité à tirer à boulet rouge sur la situation du football français lors de son interrogation devant la commission de la Culture, de l’Éducation, de la Communication et du Sport du Sénat.

Une pique bien sentie au football français et à la Ligue de Football Professionnel. Maxime Saada est revenu sur le cas délicat de la diffusion de la Ligue 1 en France. “Ils sont vraiment infiniment plus intelligents dans le rugby que dans le foot français. Et je ne parle pas de la fédération, je parle de la ligue. D’abord, ils sont en réflexion. Ils sont en réflexion constante sur la valeur de leur produit. On des réunions régulières avec le président de la Ligue, son directeur général, l’ensemble des membres clés, les présidents de clubs… pour le produit, ce qui marche ou non“, a-t-il ainsi lancé devant les sénateurs ce mercredi.

Il n’hésite pas a donner un exemple concret : “On a déjà eu une discussion sur les stades parce qu’il y avait moins de ventes de billets. La Ligue (de rugby) avait dit qu’il fallait changer les horaires. On leur a dit que si on changeait l’horaire, il y aurait moins de monde devant Canal. On a arbitré ensemble, on a fait des tests, on a perdu quelques dizaines de milliers de téléspectateurs, les stades ont retrouvé une économie plus satisfaisante et on a choisi ensemble sans modifier le contrat.” Et d’ajouter que même face à peu de concurrence, le groupe Canal n’a pas hésité à augmenter sa contribution lors du précédent appel d’offres pour les droits du Top 14 et de la Pro D2, invoquant pour raison que “quand on travaille avec des gens qui ont ce souci de la valeur, on sait que cet argent va être réinvesti pour que le spectacle soit plus attractif, et sera au bénéfice des abonnés. Cet argent est donc vertueux. C’est la meilleure manière de protéger le rugby et Canal+“.

Un retour de Canal+ dans le foot français : peut-être, mais sous conditions

Évidemment, le président du directoire de Canal est revenu sur la situation difficile des diffuseurs de la Ligue 1. “Actuellement, c’est très compliqué pour DAZN de retrouver une équation économique avec le montant investi aujourd’hui“, affirme-t-il, saluant l’effort financier des diffuseurs actuel. Cependant, à son sens, “la situation va continuer à se dégrader. À un moment, la réalité économique s’impose à tous les acteurs, y compris DAZN. Donc je ne pense pas qu’on soit au bout de l’histoire.

Quant à un retour possible de Canal+ pour les droits TV du football français, Maxime Saada ne donne pas de réponse définitive. “La décision dépend des circonstances. Est-ce que la porte est entrouverte aujourd’hui? Non. Est-ce qu’elle peut s’ouvrir demain? Cela dépendra des conditions“, assène-t-il.

Source : RMC Sport

 

Classés sous les catégories : Non classé

Free indique que le pack Ciné Pop sera en clair durant un mois sur Freebox TV

Un mois de cinéma gratuit sur les Freebox !

Nous vous annoncions hier que toutes les chaînes du pack Ciné Pop étaient actuellement offertes sur Freebox TV mais nous ne connaissions alors pas la durée de cette mise au clair. Suite à notre demande, Free nous indique que les 6 chaînes cinéma de ce pack seront accessibles gratuitement pour tous les abonnés Freebox jusqu’à fin février, donc un peu plus d’un mois au total.

Vous pouvez ainsi dés maintenant et jusqu’au 28 février découvrir gratuitement les chaînes suivantes :

Drive in Movie channel (120)

CinéNanar+ (125)

Emotion’L+ (127)

Scream’IN+ (129)

CinéWestern+ (126)

Fréquence novelas+ (128)

Comme d’habitude, pour bénéficier de cette mise au clair, il n’y a aucune manipulation à réaliser, il suffit simplement de vous rendre sur les canaux idoines durant la période de mise au clair.

 

Classés sous les catégories : Non classé

Chronologie des médias : agacé par le nouvel accord de Disney+, Canal+ menace de baisser ses financements pour le cinéma

Alors que Disney+ s’est fait une bonne place dans la chronologie des médias, Canal+ estime qu’il n’est pas obligé de continuer à payer autant pour bénéficier d’une diffusion des films 6 mois après leur sortie en salle.

Le groupe Canal+ menace de réduire drastiquement ses investissements annuels dans le cinéma, actuellement à 220 millions d’euros, en raison d’un accord qui permettrait à Disney+ de diffuser les films neuf mois après leur sortie en salle, contre dix-sept aujourd’hui.

Devant la Commission de la Culture du Sénat, Maxime Saada a déclaré : « Cette offre (de 220 millions d’euros annuels) n’est plus sur la table aujourd’hui. De mon point de vue, elle baissera nécessairement, la question, c’est de combien ». Premier financeur du cinéma français, Canal+ dispose de la meilleure fenêtre de diffusion des films, six mois après leur sortie en salle.

Disney+, qui a rompu son accord de diffusion avec Canal+, a d’ailleurs obtenu une fenêtre à neuf mois en contrepartie d’un investissement de 115 millions d’euros sur trois ans, soit 38 millions d’euros par an. « C’est là où on a un petit sujet : si Disney est à 9 mois pour 35 millions d’euros, pour Canal+, il y a un sujet des 220 millions d’euros à 6 mois », a-t-il expliqué.

Il a rappelé que les obligations de financement de Canal+ sont d’environ 100 millions d’euros et pourraient diminuer si le groupe séparait le sport et le cinéma : « Si demain, Canal+ sépare le sport et le cinéma dans son modèle, l’obligation est divisée par deux, donc les 100 millions deviennent mécaniquement 50 ». « On me dit “c’est une menace, tu ne le feras jamais”, mais en fait, on est à l’étude », a-t-il prévenu.

Saada a posé un dilemme aux organisations du cinéma : « Est-ce qu’elles préfèrent un modèle dans lequel Canal+ contribue largement, quitte à dépendre de lui, ou est-ce qu’elles veulent se libérer de cette dépendance, mais prendre le risque de perdre 150 ou 200 millions d’investissements du groupe Canal+ ? ». Il a enfin révélé que Canal+ était initialement prêt à reconduire l’accord à 220 millions d’euros sur cinq ans, mais que « les organisations du cinéma ne l’ont pas souhaité ».

Classés sous les catégories : Non classé

Quel opérateur est le plus apprécié de ses employés en 2024 ? Orange devance Bouygues Telecom et Free

Pour la dixième fois, le magazine Capital publie le classement des meilleurs employeurs de France en partenariat avec le cabinet Statista. Chez les opérateurs, Free est troisième derrière Bouygues et Orange dans le secteur de la tech, avec une nette amélioration en quatre ans cependant.

Dans le numéro papier qui sera publié en février prochain, Capital présentera son classement des 500 meilleurs employeurs de France parmi les grandes entreprises. Ce dernier peut donner une idée de l’appréciation des salariés concernant le la gestion de l’entreprise par rapport à la concurrence.

Ces derniers avaient été invités, lors d’un sondage en ligne, à noter de 0 à 10 la société dans laquelle ils travaillent mais aussi les principaux concurrents de cette dernière, qu’ils connaissent soit de réputation, soit pour y avoir travaillé. Des dizaines de critères RH différents (salaires, avantages sociaux, ambiance, carrières…) ont également été évalués. Au final, une note sur 10 a été calculée avec une pondération bien sûr plus élevée pour les avis des salariés sur leur propre entreprise et un classement a été établi, par secteur.

Les opérateurs sont classés dans le domaine de la high-tech et si les géants comme Microsoft, Google ou même DassaultSystèmes sont en tête du classement sur ce marché, les opérateurs ne sont pas bien loin. Orange est considéré comme le meilleur employeur en tant qu’opérateur en 2024, à la 9e place. Bouygues Telecom n’est pas loin derrière, à la 13ᵉ place et Free suit de près à la 16ᵉ place. SFR pour sa part n’apparaît pas On note ainsi qu’Orange a perdu quelque place, puisqu’il était 6ᵉ en 2023. Mais Free s’est amélioré, en passant de la 18ᵉ à la 16e, et la meilleure amélioration concerne Bouygues Telecom, qui était 20ᵉ et gagne ainsi 7 places en un an.

Classés sous les catégories : Non classé

Les forfaits mobile des opérateurs incluent trop de data, vers un projet de loi et une tarification progressive ?

Alors que les enveloppes de data des forfaits mobiles atteignent des sommets, est-ce bien raisonnable ? L’Ademe envisage de bousculer le marché.

Les forfaits mobiles incluent-ils trop de données ? Alors que les opérateurs rivalisent à coups d’offres incluant 100, 200, voire 350 Go de data par mois, la consommation moyenne des abonnés reste bien en deçà de ces seuils. Selon le dernier rapport de l’Arcep publié en septembre 2024, un utilisateur français consomme en moyenne 17 Go par mois. Une donnée qui progresse lentement, freinée par une réalité : la surenchère des gigaoctets semble avant tout un argument marketing.

Renaud Kayanakis, expert en télécoms chez Sia Partners, illustre cette course aux données par une analogie culinaire : « Proposer 250 Go dans un forfait, c’est comme offrir du carpaccio à volonté dans un restaurant : personne n’en mangera trois assiettes ! » Pourtant, les opérateurs continuent d’alimenter cette escalade. Free, en lançant des offres avec une large enveloppe data à bas prix, a obligé ses concurrents à s’aligner. « Si un acteur propose 2 000 Go demain, tous les autres suivront », analyse un observateur du secteur. Cette guerre des gigas masque une autre réalité : celle du “pricing power”, une stratégie qui permet aux opérateurs de justifier des tarifs élevés tout en évitant une chute brutale des prix.

Ce modèle, très éloigné des pratiques internationales, interroge. Dans de nombreux pays, la tarification des données mobiles repose sur une facturation à l’usage, et les forfaits à 100 Go sont quasiment inexistants. « La situation française est une aberration ! » confie un professionnel du secteur sous couvert d’anonymat, tandis que Bouygues Telecom affirme que “la grande majorité des clients souhaitent disposer d’une enveloppe importante pour un usage sans contrainte“. Là où certaines nations facturent 50 € pour 17 Go, la France propose des forfaits largement supérieurs pour un prix dérisoire. Mais cette générosité apparente a un coût environnemental. Une étude conjointe de l’Arcep et de l’Ademe en 2022 révèle que le numérique représente 4,4 % de l’empreinte carbone nationale, dont 46 % proviennent de la consommation de données.

Pour réduire cet impact, une solution est envisagée : la mise en place d’une tarification progressive. « L’usage de la 4G et de la 5G génère un impact environnemental dix fois supérieur à celui du WiFi », rappelle Mathieu Wellhoff, chef du service de la sobriété numérique à l’Ademe. Une facturation adaptée à la consommation pourrait inciter les abonnés à privilégier le WiFi, réduisant ainsi leur empreinte carbone et leur facture. L’Ademe prévoit d’examiner cette piste en vue d’un projet de loi. « Si les forfaits deviennent plus granulaires, les consommateurs ajusteront leur usage », estime Renaud Kayanakis. « Mais aucun opérateur ne prendra l’initiative, car cela reviendrait à montrer à ses clients comment payer moins cher. »

Source : Aujourd’hui en France

 

Classés sous les catégories : Non classé