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Ouverture de nouvelles boutiques, Free ralentit le rythme

En 2024, Free a inauguré près de 25 nouvelles boutiques. Depuis le début de l’année, une seule nouvelle ouverture est à noter.

Après avoir déployé une trentaine de nouvelles boutiques en 2023, Free a poursuivi ses efforts en 2024 avec l’ouverture de près de 25 nouveaux espaces de vente et conseils partout dans l’Hexagone afin de parfaire le maillage de son réseau distribution.

L’opérateur s’est notamment implanté physiquement dans des centres commerciaux, mais aussi dans des villes moyennes voire plus petites encore tout en se renforçant dans de grandes agglomérations. S’il a franchi le cap des 250 boutiques fin août 2024, Free a quelque peu ralenti le rythme depuis, avec l’ouverture de 9 magasins jusqu’à aujourd’hui. L’opérateur compte donc ainsi aujourd’hui environ 260 points de vente dans l’Hexagone grâce à l’inauguration ce 19 février d’une nouvelle boutique à Cognac dans le département de la Charente, laquelle est située au sein du Centre Commercial Aushopping. Il s’agit de la première inauguration de l’opérateur en 2025.

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Apple lance son nouvel iPhone 16E, top départ des précommandes dès demain chez Orange, Free, SFR et Bouygues Telecom

Il était très attendu, l’iPhone 16e a finalement été dévoilé par la firme de Cupertino hier.

Si vous voulez passer sur la dernière génération d’iPhone, mais sans dépenser trop d’argent, l’iPhone 16e entend répondre à vos besoins. Les précommandes débuteront le 21 février, notamment chez Free Mobile, Orange et les autres opérateurs, pour une disponibilité dès le 28 février.

L’iPhone 16e est une version plus abordable de la gamme iPhone 16, tout en conservant des performances puissantes grâce à la puce A18 et au modem Apple C1. Il offre une autonomie améliorée, atteignant jusqu’à 26 heures de lecture vidéo, contre 22 heures pour l’iPhone 16, et est conçu pour fonctionner avec Apple Intelligence, le système d’IA d’Apple qui met l’accent sur la confidentialité. Cette intelligence artificielle sera disponible en français début avril. Le smartphone tournera sous iOS 18 dès sa sortie.

La principale différence entre l’iPhone 16e et l’iPhone 16 réside dans l’appareil photo. L’iPhone 16e dispose d’un seul objectif à l’arrière, contre deux pour l’iPhone 16. Apple décrit ce système comme une « caméra fusion » de 48 mégapixels, capable de capturer des photos en « super haute résolution ». Le zoom optique est proposé en x1 et x2, mais il ne dispose pas du x0,5 comme sur les autres modèles de la gamme.

Le design de l’iPhone 16e est sobre et élégant, décliné en deux coloris : noir mat et blanc mat. Il bénéficie d’une résistance renforcée aux éclaboussures, à l’eau et à la poussière avec l’indice IP68. L’écran Super Retina XDR OLED mesure 6,1 pouces avec une résolution légèrement inférieure à celle de l’iPhone 16 : 2532 x 1170 pixels contre 2556 x 1179 pixels. La face avant est protégée par le Ceramic Shield, améliorant sa durabilité.

L’iPhone 16e intègre également un déverrouillage sécurisé avec Face ID et des options de recharge pratiques, incluant l’USB-C et la recharge sans fil, mais sans compatibilité MagSafe. Son IA intégrée permet des fonctionnalités avancées comme la correction d’images, la recherche en langage naturel dans Photos et l’utilisation de ChatGPT directement dans Siri et les outils d’écriture. Le bouton Action personnalisable facilite l’accès rapide à certaines fonctions et applications. Apple affirme mettre un point d’honneur à la protection de la vie privée avec Private Cloud Compute, garantissant que les données des utilisateurs ne sont pas stockées ou partagées avec l’entreprise. Le prix annoncé est de 719€ pour le modèle 128 Go, un tarif moins onéreux que les versions premium des iPhone, mais tout de même moins attractif que celui des iPhone SE précédents.

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Très bonne nouvelle pour les abonnés Freebox Pop, Ultra et Delta : Free offre Disney+ durant 3 mois, et la série déjà culte “Bref 2”

Disney+ offert durant 3 mois et sans engagement pour certains abonnés Freebox.

C’est une très bonne nouvelle que Free vient d’annoncer à Univers Freebox, depuis ce matin, les abonnés Freebox Pop, Ultra Essentiel et Delta profitent de 3 mois offerts à Disney+ (puis 5,99€/mois sans engagement). L’occasion de regarder la nouvelle saison de Bref, qui fait actuellement le buzz et qui est un une vraie claque selon selon les retours, et qui est disponible en exclusivité sur Disney+.

Pour en profiter, rendez-vous sur l’Espace Abonné Free, rubrique Télévision > Disney+, ou sur la TV canal 132 de la Freebox. L’offre est valable une seule fois et réservée aux non abonnés Disney+.

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Ca s’est passé chez Free et dans les télécoms : une révolution se prépare, Free ajoute une nouvelle corde à son arc…

Comme chaque semaine, nous vous proposons notre chronique « Ça s’est passé chez Free et dans les télécoms … » Celle-ci vous propose de vous replonger dans les événements qui ont fait l’actualité de la semaine en cours, mais durant les années, les décennies, voire les siècles précédents. Ces événements concerneront Free bien sûr, mais plus largement les télécoms et le numérique. Souvenirs, souvenirs…


18 février 1999 : Un nouvel opérateur est né

Happy birthday to Free ! C’est la date clé de cette semaine, une filiale d’Iliad est lancée au milieu du mois de février 1999 sans que l’on se doute de l’impact qu’elle va avoir sur le monde des télécoms. Mais c’est quelques mois après que Free surprendra son monde en lançant le premier accès à internet gratuit puis c’était l’escalade des révolutions avec le triple play, son arrivée sur le marché mobile en 2012… Une histoire folle qui mériterait presque son petit documentaire.


18 février 2011 : Orange lance sa Livebox 2

Une nouvelle Livebox a vu le jour ! Avec un Wi-Fi à la norme n (donc pour des débits jusqu’à 300 Mbps), quatre ports éthernet et deux ports USB la box semblait avoir tout pour plaire lors de son lancement le 18 février 2011. Cependant, on notait déjà un couac : l’absence d’un routeur Gigabit Ethernet. Puisque malgré les capacités théoriques en WiFI, le routeur étant quant à lui cantonné à 10/100 Mbit/s en réseau local. Cette Livebox accusait un gros retard côté matériel, de l’avis de nombreux spécialistes, mais était saluée pour son interface et sa finition. Elle était proposée à l’époque à partir de 39.90€/mois.

Un design très épuré pour cette Livebox, qui sera remplacée par la Livebox Play deux ans plus tard


19 février 2013 : Free lance AirMédia sur la Freebox Révolution

Une option de plus en plus utilisée de nos jours, mais bien moins courante le 19 février 2013. A cette date, l’opérateur de Xavier Niel permettait ainsi aux détenteurs d’iPhone d’envoyer des fichiers depuis leur mobile jusqu’au Server ou de les lire directement sur le player Révolution. Dorénavant, on utilise davantage Airplay cependant.

Voici à quoi ressemblait alors AirMedia sur iPhone, iOS en a fait du chemin depuis !


20 février 1986 : La Cinq arrive sur les écrans français

 C’est l’arrivée de la 2ème chaîne privée après Canal + en France : la 5 est lancée il y a 39 ans. C’est la première chaîne privée en France financée uniquement par la publicité et elle restera à l’antenne pendant 6 ans avant d’être remplacée par Arte. Une chaîne assez particulière qui a marqué la télévision française, mais qui est aussi connue pour son créateur que l’on connaît dorénavant pour d’autres activités. En effet, le créateur de la société France 5 n’est autre que… Silvio Berlusconi !

 


21 février 2023 : Free rajouter de la cybersécurité dans son offre

Le 21 février 2023, Free annonçait le lancement de deux nouvelles offres McAfee proposées à ses abonnés. Plus complètes, celles-ci incluent le contrôle parental, la surveillance du Dark Web et un VPN illimité pour l’option la plus avancée. Free proposait ainsi à ses abonnés une solution plus évoluée pour protéger leurs données personnelles et leur confidentialité ainsi que celle de leur famille, partout et à tout moment, sur Mac, PC, tablette et mobile, et le propose encore.


23 février 2006 : le forfait de Bouygues Telecom Néo est annoncé

 10 ans après la sortie de son premier forfait mobile, Bouygues Telecom annonce un nouveau forfait qui renouvelle la définition de l’illimité. Le forfait Néo présenté le 23 février 2006 propose en effet les appels illimités vers fixes et mobiles dès 20h tous les jours, avec 7 gammes de forfaits proposant entre 2 et 15 heures d’appels par mois le tout pour un prix sur 12 mois allant de 43.90€/mois à 147.90€/mois.


23 février 2016 : Orange lance la VoLTE et la VoWiFi

L’opérateur historique était en effet le deuxième à lancer les appels 4G, après Bouygues Telecom en novembre 2015. Le 23 février 2016, la VoLTE et de la VoWiFi étaient annoncés par Orange, après avoir testé la première chez certains abonnés. Pour les appels WiFi, il faudra attendre encore quelques temps pour un déploiement effectif.

Une bonne avance de la part des concurrents de Free, puisque SFR s’est pour sa part lancé en 2017. En comparaison, l’opérateur de Xavier Niel a lancé la VoLTE en septembre 2021 et la VoWiFi en 2022. Entre 5 et 6 ans d’écart selon les concurrents, il était temps pour Free de se mettre à la page.

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Fibre optique : une nouvelle solution testée pour raccorder à petit prix, sans défigurer le paysage

Dans les Côtes-d’Armor, une solution encore assez méconnue est utilisée pour déployer et raccorder des foyers à la fibre, sans passer par de l’aérien ni dépenser trop d’argent.

Coatascorn et son téléphone, c’est toute une histoire pour les quelque 250 habitants de cette petite commune des Côtes-d’Armor. Après des décennies de péripéties télécoms, la municipalité a décidé d’innover pour son passage à la fibre optique, en optant pour une technologie encore méconnue.

Une technologie de micro-tube

Aujourd’hui, c’est la fibre qui s’impose comme nouvel enjeu pour la commune. Lorsqu’il a été question de son déploiement, la municipalité s’est opposée à la pose de nouveaux poteaux prévue par le délégataire Axione, souhaitant préserver l’esthétique du village.

Face à ce refus, une solution a émergé après des discussions entre la commune, Megalis, le SDE, le syndicat mixte des eaux du Jaudy et le chargé de mission numérique de Lannion Trégor communauté. Une partie du réseau sera finalement réalisée grâce à une technologie de micro-tube, un procédé peu coûteux et encore rare en France. Techno Fibre, une entreprise de Côte-d’Or, a été sollicitée pour la mise en œuvre de cette technique, une première en Bretagne qui attire l’attention d’acteurs majeurs comme Orange et Megalis. L’utilisation de microtubes permet de construire/développer une infrastructure réseau de façon rentable. Les microtubes sont généralement utilisés sous forme de tubes simples d’un diamètre de 4 à 16 mm. Leur nature varie en fonction de l’application (interne, aérienne, tube dans tube ou pose directe sous terre). Une fois l’installation des microtubes terminée, les câbles à fibre optique appropriés (microcâbles) sont soufflés dans les microtubes à l’aide d’un dispositif dédié.

Pour financer cette opération, la commune investit 160 000 € via un emprunt sur 20 ans. Cet investissement sera amorti grâce à la location du réseau à Megalis, qui rapportera 10 750 € par an. Par ailleurs, Lannion Trégor Communauté contribue au financement à hauteur de 350 € par prise, soit un total de 72 000 €.

Les travaux, lancés fin 2024, devraient être achevés d’ici à la fin de l’année 2025. Une fois le réseau en place, les habitants pourront librement choisir leur fournisseur d’accès Internet. Coatascorn peut ainsi se présenter comme un exemple d’innovation et de gestion durable pour le déploiement de la fibre en milieu rural. A voir si cette solution fera des émules ou non, notamment alors que le déploiement de la fibre doit accélérer en vue de la fin du réseau cuivre.

Source : Le Trégor

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Les pirates disposent d’un nouvel outil redoutable pour voler vos comptes, même avec la double authentification

Des experts tirent la sonnette d’alarme au sujet d’Astaroth, un kit de phishing redoutable vendu sur Telegram

L’émergence d’Astaroth, un outil de phishing vendu 2 000 dollars sur Telegram, inquiète les experts en cybersécurité. Détecté par les chercheurs de SlashNext, ce kit sophistiqué intercepte en temps réel les données d’authentification, y compris les codes de double authentification (2FA), tout en restant quasi indétectable. En plus d’un hébergement sécurisé, il inclut six mois de support technique et de mises à jour, facilitant son utilisation par des cybercriminels peu expérimentés.

Contrairement aux kits classiques, Astaroth exploite un proxy inversé de type Evilginx pour intercepter les connexions. Lorsqu’un utilisateur clique sur un lien piégé, il est redirigé vers une copie parfaite du site légitime, avec certificats SSL à l’appui. Cette technique permet aux pirates de capturer les identifiants et les tokens d’authentification en temps réel. L’interface de contrôle du kit documente chaque tentative de connexion et alerte instantanément l’attaquant sur Telegram, lui offrant un accès immédiat aux comptes compromis.

Face à cette menace, les experts recommandent des mesures de protection avancées. Les solutions classiques, comme la vigilance face aux e-mails suspects, ne suffisent plus face à des attaques aussi élaborées. L’adoption de clés de sécurité physiques, telles que YubiKey ou Google Titan, constitue une alternative plus résistante aux interceptions. Par ailleurs, les autorités américaines et européennes tentent de sanctionner les hébergeurs « bulletproof » qui facilitent ces attaques, mais la diffusion d’Astaroth sur les forums criminels complique son éradication.

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C8 et NRJ 12 définitivement rejetées de la TNT, Canal+ critique la décision du Conseil d’État

Comme on pouvait s’y attendre, le Conseil d’État a rejeté les recours de C8 et NRJ 12 tentant de faire annuler la décision de l’Arcom de les retirer de la TNT.

Le glas a finalement sonné pour les deux chaînes sur la TNT, qui arrêteront définitivement d’être diffusées sur la TNT dès le 1er mars prochain. Le Conseil d’État a en effet rendu ce mercredi 19 février son verdict concernant les demandes d’annulation de la décision de l’Arcom de décembre par laquelle les fréquences TNT de C8 et NRJ 12 leur étaient retirées, alors que de nouvelles chaînes obtenaient leurs fréquences.

Le rapporteur public avait appelé de ses voeux cette décision, citant de nombreux manquements de C8 à son obligation de maîtrise de l’antenne et “la place prépondérante” des rediffusions dans la grille de NRJ 12. Elles seront donc bien exclues de la TNT, malgré les efforts de leurs avocats de tenter de renverser la vapeur, celui de NRJ 12 présentant la chaîne comme une “très bonne élève” rentable, tandis que l’avocat de C8 mettait en avant le fait qu’il s’agissait de la “première” “chaîne populaire” de la TNT, relate le Parisien.

Pour la haute juridiction, l’Arcom n’a pas commis d’illégalité en écartant C8 et NRJ 12 au profit des autres candidats sur la base de son appréciation de chacun des dossiers et de la comparaison de leurs mérites respectifs. Le Conseil d’État juge également que l’Arcom n’a pas commis d’illégalité dans l’appréciation qu’elle a portée sur les mérites des candidatures de CMI TV, OFTV, TFX, TMC et W9, compte tenu des spécificités de chacun de ces projets, et sur la comparaison de l’ensemble des candidatures.

Suite à cette décision, le groupe Canal+ qui détient la chaîne C8 a publié un communiqué critiquant vivement la décision du Conseil d’État. “Cette décision, inédite dans l’histoire de la TNT, conduit à une éviction pure et simple de la chaîne C8, installée dans le paysage audiovisuel depuis près de 20 ans, se classant toujours première chaîne de la TNT et réunissant chaque jour plus de 9 millions de téléspectateurs cumulés. Un écosystème tout entier se retrouve sacrifié au regard des enjeux économiques, sociaux et concurrentiels engendrés. Près de 400 collaborateurs et prestataires de C8 s’apprêtent à perdre leur emploi ou à le voir menacé. Cette décision est d’autant plus incompréhensible que 4 fréquences, autrefois occupées par les chaînes payantes du groupe CANAL+, restent disponibles.

 

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La LFP pourrait recruter l’ancien patron d’Orange avec une idée derrière la tête

La société LFP Media va changer de directeur général et les regards se tournent vers Stéphane Richad, notamment pour ses bons rapports avec Canal+.

CVC, le fonds d’investissement à l’origine de la filiale commerciale de la Ligue de football professionnel (LFP), cherche un nouveau directeur général pour remplacer Benjamin Morel, sur le départ à la fin du mois. Ce dernier quitte son poste moins de deux ans après son arrivée, en raison de désaccords avec Vincent Labrune, président de la LFP et de sa filiale commerciale. La crise de gouvernance au sein de LFP Media s’ajoute à la situation financière et audiovisuelle déjà délicate du football français, notamment après l’échec du dernier appel d’offres des droits télévisés. CVC, qui avait soutenu la création de cette filiale avec un apport de 1,5 milliard d’euros, entend cette fois jouer un rôle actif dans la nomination du successeur de Morel.

Parmi les candidats pressentis, CVC a approché Stéphane Richard, ancien PDG d’Orange, aujourd’hui associé dans une banque d’affaires américaine. Énarque et ancien haut fonctionnaire passé par Bercy, il dispose d’un réseau influent dans les sphères économiques et politiques. Plusieurs dirigeants du football français l’ont déjà rencontré, ce qui témoigne de l’avancée de sa candidature. Toutefois, son recrutement n’est pas encore finalisé, certains points restant à clarifier, notamment l’étendue de son autonomie vis-à-vis de la LFP et de Labrune, qui assure ne pas vouloir intervenir dans ce choix.

Mais ce choix a aussi un sens assez particulier. L’un des principaux défis du futur directeur général sera de renouer le dialogue avec Canal+, dont le propriétaire, Vincent Bolloré, reste méfiant vis-à-vis de Labrune. Canal+, qui a investi massivement dans d’autres compétitions comme la Ligue des champions et la Formule 1, n’exclut pas un retour en Ligue 1,bien qu’il préfère pour l’instant ignorer les tourmentes actuelles autour du championnat. Cette mission s’annonce délicate, alors que l’accord actuel avec DAZN, principal diffuseur, prévoit un paiement de 325 millions d’euros cette saison et une moyenne de 400 millions d’euros jusqu’en 2029. Et justement Stéphane Richard a longuement entretenu de bonnes relations avec Canal+, grâce à sa position à la tête d’Orange. Cet historique plutôt favorable permettrait de faciliter les discussions avec la chaîne cryptée et son propriétaire Vincent Bolloré, ou au moins peut être de les reprendre sur de bases moins conflictuelles.

Si la nomination de Richard devait se confirmer, elle nécessiterait l’approbation des clubs, de la LFP et de la Fédération française de football. Cependant, son passé judiciaire pourrait peser dans la balance. Condamné en appel en 2021 pour complicité de détournement de fonds publics dans l’affaire Tapie-Crédit Lyonnais, il avait été contraint de quitter Orange. Néanmoins, la Cour de cassation a ordonné un nouveau procès, qui se tiendra en mars prochain. Reste à savoir si cette procédure influencera la décision finale des instances du football français.

Source : l’Équipe

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Canal+ pourrait finir par diffuser les films neuf mois après leur sortie en salle suite aux nouveaux droits acquis par Disney+

En menaçant de baisser ses investissements dans le cinéma, Canal+ se voit aussi opposer le fait qu’il pourrait perdre sa fenêtre de diffusion des films à 6 mois. 

Depuis quarante ans, Canal+ joue un rôle central dans le financement du cinéma français, mais les discussions pour renouveler son engagement sur les trois prochaines années sont au point mort. La raison principale de cette impasse réside dans l’arrivée de Disney+, qui a signé un accord de financement avec le secteur, suscitant la colère de Maxime Saada, président du directoire de Canal+. Ce dernier compare cette situation à l’épisode Mediapro dans le football, où un nouvel acteur a bouleversé le marché avant de faillir, laissant le secteur en crise. Alors que le précédent accord, qui prévoyait un investissement annuel de 220 millions d’euros de Canal+, a expiré au 31 décembre, les négociations traînent et la possibilité d’un non-accord est même évoquée, ce qui pourrait plonger le cinéma français dans l’incertitude.

Face à ces tensions, Canal+ a publiquement exprimé son mécontentement, notamment lors d’une audition devant le Sénat où Maxime Saada a dénoncé un manque de vision industrielle dans la gestion du secteur cinématographique. Il a proposé un nouvel engagement de 1,1 milliard d’euros sur cinq ans, mais avec des montants réduits les trois premières années, une proposition refusée par les organisations du cinéma. La chaîne cryptée a également menacé de revoir son investissement à la baisse, au seuil réglementaire de 130 millions d’euros, ce qui lui ferait perdre sa fenêtre de diffusion privilégiée à six mois après la sortie en salle. Ce changement pourrait bouleverser l’écosystème actuel et contraindre Canal+ à réviser sa stratégie de diffusion et de financement du cinéma français.

Dans ce contexte tendu, Disney+ a su se positionner en investissant 37 millions d’euros par an, ce qui lui permet d’obtenir une fenêtre de diffusion à neuf mois. La législation encadrant ces accords repose sur un pourcentage du chiffre d’affaires, et Disney a ainsi légitimement gagné sa place dans la chronologie des médias. Cette situation met Canal+ face à un dilemme stratégique, d’autant que son introduction en Bourse en décembre dernier et la baisse de son cours de 15 % ajoutent une pression supplémentaire sur sa direction. En attendant une reprise des discussions, le secteur du cinéma pourrait se tourner vers d’autres plateformes, comme Netflix, qui investit actuellement 50 millions d’euros par an et cherche à réduire son délai de diffusion de quinze à douze mois. Les négociations à venir s’annoncent cruciales pour l’avenir du financement du cinéma français.

Source : Les Echos

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Sosh annonce à certains abonnés mobile une augmentation surprise de 2€, voici comment l’éviter

La série limitée à 20 Go de Sosh pourrait devenir un peu moins attractive avec 2€ en plus sur la facture.

Des abonnés à l’offre 20 Go à 5.99€/mois de Sosh reçoivent actuellement un email les informant d’une augmentation à venir de leur forfait. Elle passerait ainsi à 7.99€/mois, mais l’opérateur justifie cela par l’enrichissement de l’enveloppe de data qui passe à 40 Go.

Cependant, cette augmentation n’est pas une fatalité. Si vous souhaitez conserver ce forfait qui en soi convient peut-être à vos usages, il vous suffit de suivre un lien contenu dans le mail pour vous rendre dans votre espace client, dans la section forfait mobile. Attention, il y a cependant une date limite pour renoncer à l’évolution, comme visible ci-dessous : le 18 mars.

Crédit image : Romain Heullard sur Bluesky

Il est possible de trouver un bouton « Renoncer à la proposition ». En confirmant ensuite via le bouton « Conserver votre offre », il est possible de rester sur l’ancien tarif mais aussi sur le même volume de données. N’hésitez pas à vérifier vos spams si vous disposez de cette série limitée et que vous voulez éviter l’augmentation de tarif. Si la pratique d’augmentation automatique est régulièrement critiquée, elle reste cependant parfaitement légale, tant que vous êtes prévenu au moins un mois avant. De plus, il est possible de résilier sans frais jusqu’à 4 mois après la réception de l’information, même si vous loupez le coche pour conserver votre offre.

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