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WiFi : la majorité des utilisateurs ne fait pas ces trois manipulations ultra simples pour plus de sécurité

D’après une étude, les plus élémentaires conseils pour protéger votre connexion sans-fil ne sont pas suivis par la plupart des internautes. Ils peuvent pourtant vous éviter bien des problèmes.

Malgré les nombreuses alertes de sécurité, les internautes continuent de négliger les bonnes pratiques, comme le révèle une enquête menée par Broadband Genie auprès de 3 045 personnes. Les résultats montrent que 72 % des utilisateurs n’ont jamais modifié leur mot de passe Wi-Fi. Cette négligence semble s’aggraver avec le temps : en 2022, 35 % des répondants avaient changé leur mot de passe, un chiffre qui a chuté à seulement 28 % cette année.

Autre point inquiétant, 89 % des personnes interrogées n’ont jamais mis à jour le micrologiciel de leur routeur, les privant ainsi des derniers correctifs de sécurité. Cette négligence expose davantage leurs connexions aux cyberattaques. Enfin, 75 % des participants n’ont jamais vérifié si leur réseau était utilisé par d’autres personnes, laissant ainsi une porte ouverte aux cybercriminels.

Des manipulations pourtant simplissimes

Il est pourtant assez facile de se plier à ces règles pour éviter de voir son réseau WiFi utilisé par des criminels. Pour ce qui est de mettre à jour votre routeur, il est souvent simplement nécessaire de redémarrer votre box. Les abonnés Free peuvent le faire facilement en débranchant et rebranchant le serveur, ou même depuis Freebox Connect, en cliquant sur le logo de leur appareil puis sur le bouton redémarrer.

Quant au changement de mot de passe, là encore cela est très simple. Depuis Freebox Connect, une fois identifié et connecté à votre réseau sans fil, rendez-vous dans la section “réseau” puis cliquez sur “modifier”.

Enfin, pour savoir qui utilise votre connexion internet, il existe plusieurs solutions, l’une se trouvant sur Freebox OS et l’autre sur Freebox Connect. Retrouvez la marche à suivre directement dans notre article dédié.

 

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Vol de cuivre : une méthode spectaculaire et dangereuse pour récupérer les câbles d’ADSL, “ça pourrait couper quelqu’un en deux”

Les voleurs de cuivre ne font pas toujours dans la dentelle.

Des vols de câbles téléphoniques ont secoué plusieurs communes du Beaunois, dans le nord du Loiret, perturbant gravement les services de télécommunications. Depuis le 22 mars, des câbles en cuivre ont été déterrés et volés, affectant de nombreux foyers, qui se retrouvent sans internet ni téléphone. La commune de Nibelle, par exemple, a alerté ses habitants via PanneauPocket, annonçant que des coupures étaient à déplorer.

Les communes de Boiscommun, Montliard, Chambon-la-Forêt et Nancray ont également été victimes de ces vols. Contactée, la gendarmerie a confirmé que plusieurs plaintes ont été déposées. Selon les forces de l’ordre, la méthode utilisée par les voleurs semble bien rodée : “Ils déterrent une partie du câble, puis l’attachent à un treuil ou une boule d’attelage et tirent le câble sur plusieurs kilomètres. Tant que le câble ne rompt pas, ils continuent de rouler“, expliquent les autorités.

Cette méthode est particulièrement dangereuse : durant le transport, le câble se balance et peut endommager des biens tels que des panneaux ou des jardinières. “Ça pourrait couper quelqu’un en deux s’il croise le véhicule“, avertissent les forces de l’ordre, soulignant les risques importants liés à ces pratiques.

Les habitants des communes touchées subissent des conséquences importantes. “La fibre a été réparée très vite, mais Orange nous a annoncé un retour de la ligne téléphonique pour le 18 avril“, indique Catherine Ragobert, maire de Nibelle. Les abonnés à l’ADSL sont eux aussi affectés par ces coupures prolongées.

D’autres services ont été indirectement impactés. La Présence verte, un service d’alerte pour les personnes âgées en cas de chute, a également vu son fonctionnement perturbé. “Au moins quatre personnes ont la présence verte à Nibelle. Ce sont des gens qui n’ont pas de smartphone, qui ne sauraient pas se servir d’un routeur 4G. Nous sommes à la campagne, donc les voisins sont attentifs, mais ça reste un problème“, précise Catherine Ragobert, soulignant les difficultés accrues pour les habitants les plus vulnérables.

Source : La République du Centre

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Orange et Free sont les opérateurs les plus rapides pour résoudre les problèmes de leurs abonnés fixe et mobile selon l’Arcep

Dans son observatoire de la satisfaction client 2025, l’Arcep dévoile les opérateurs les plus réactifs pour voler à la rescousse de leurs abonnés. Free est le meilleur sur le fixe, quand Orange est premier sur le mobile.

Un problème de connexion, une image de piètre qualité… Les soucis liés aux réseaux fixe et mobile peuvent vite gâcher la vie et une résolution rapide est attendue de la part des abonnés. Sur ce point, les opérateurs se sont bien améliorés, affirme l’Arcep dans son observatoire de la satisfaction client. Sur la base d’un échantillon représentatif, le régulateur a ainsi abordé la question de la résolution des problèmes, avec le taux de soucis résolus, mais aussi la rapidité à laquelle les diverses situations ont été prises en charge.

86% des problèmes fixes résolus

Le taux de résolution est assez globalement en hausse sur le fixe, avec Orange qui résout 90% des problèmes de ses abonnés (contre 82% en 2023), suivi de SFR (87% contre 78%) et Free (85% contre 82%). Bouygues Telecom est dernier, en baisse, avec 78% d’incidents résolus au lieu de 83% l’année précédente. À noter par ailleurs que les taux de résolution sont corrélés avec le nombre de problèmes remontés, Bouygues est celui avec le moins de problèmes comptabilisés (503), Free suit (771), vient ensuite SFR (882) et Orange quant à lui en recoupe 1119.

La question se pose cependant : combien de temps pour résoudre ces problèmes ? La majorité sont résolus en 3 jours ou moins, affirme l’Arcep et sur ce point, Free est le plus rapide avec 70% des incidents réglés dans ces délais, avec une très nette amélioration puisqu’en 2023, ce taux était 59%. On peut noter également que 8% des incidents sont réglés le jour même et 40% après une journée d’attente. La généralisation de Free Proxi, l’assistance de proximité de l’opérateur permettant un contact direct et proche des lieux d’incidents, n’y est sûrement pas pour rien. Orange est deuxième, avec 64% des problèmes résolus en 3 jours ou moins, puis viennent SFR et Bouygues, au coude à coude (62 et 61% respectivement).

Bien moins de problèmes sur le mobile, mais des opérateurs très rapides

80% des soucis remontés auprès des opérateurs mobiles sont résolus suite à un coup de fil au service client en moyenne. SFR est celui qui en résout le plus avec 88% de taux de résolution. Orange suit avec 83%, puis vient Bouygues avec 76%. Free Mobile pour sa part régresse avec un taux de 68% (contre 80% l’année dernière), mais  est aussi l’opérateur où le moins de problèmes sont remontés.

Dans deux tiers des cas, une seule sollicitation est nécessaire pour résoudre les problèmes.Mais là encore, la majorité des problèmes sont résolus en trois jours ou moins, avec Orange qui performe très bien : 78% des incidents réglés dans ces délais, alors qu’il est l’opérateur en comptabilisant le plus. Vient ensuite Free (70%) puis SFR qui s’améliore avec 67% des problème srésolus en trois jours ou moins. Bouygues Telecom pour sa part est bien moins rapide, avec un taux de 54%, en forte baisse (67% en 2023). La moitié des problèmes sont résolus en deux jours pour Orange, Free et SFR et en 3 pour Bouygues, avec plus de 29% des incidents réglas en plus d’une semaine.

 

 

 

 

 

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Fibre optique : coupes budgétaires, indemnisations, sécurité des réseaux… La Cour des comptes tire la sonnette d’alarme

L’institution s’est penchée sur le plan de déploiement de la fibre et la situation en France et dresse une liste de recommandations très claire.

Lors des auditions du 2 avril 2025 devant le Sénat, la Cour des comptes a présenté un état des lieux du plan France Très Haut Débit (THD), mettant en lumière les défis liés au financement, à la régulation et à la résilience des réseaux de fibre optique en France. Plusieurs acteurs institutionnels, dont l’Arcep, l’ANCT et la DGE, ont été invités à répondre aux préoccupations des sénateurs, avec des recommandations essentielles pour garantir la pérennité et l’efficacité du déploiement de la fibre.

Une situation sous tension

Tous les intervenants ont salué le succès du plan THD, soulignant l’important investissement de 22 milliards d’euros entre 2010 et 2024. Toutefois, des coupes budgétaires répétées menacent l’achèvement du plan. La Cour des comptes a noté que, malgré les efforts de l’ANCT pour gérer la trésorerie, les crédits alloués pour 2025 ne seront probablement pas suffisants. L’ANCT, cependant, reste confiante sur sa capacité à couvrir les besoins immédiats, mais la question de la couverture intégrale en FTTH après 2025 demeure en suspens. À cet égard, la Cour recommande une réévaluation des financements pour garantir l’achèvement de la couverture à long terme. La Cour a également exprimé des inquiétudes quant aux retards dans les zones très denses, qui auraient dû être couvertes naturellement par les opérateurs privés. Elle préconise une réflexion sur la régulation dans ces zones, une idée rejetée par l’Arcep, qui estime que la fermeture du réseau cuivre d’Orange forcera la finalisation de la couverture dans ces zones. L’Arcep a également été critiquée pour son manque de sanctions contre Orange concernant certaines zones AMII.

Concernant les raccordements complexes, soit les lignes difficilement raccordables pour diverses raisons, notamment géographiques, l’ANCT a révélé que l’enveloppe prévue pour 2021 avait été largement sous-consommée, avec seulement 20 millions d’euros engagés pour 9 dossiers validés. À l’inverse, la Cour des comptes a recommandé d’introduire une obligation d’indemnisation pour les abonnés en cas d’interruption longue du service, une proposition soutenue tant par les sénateurs que par l’Arcep. La DGE a confirmé l’introduction d’une aide au raccordement pour les particuliers, prévue pour 2025. Un autre sujet majeur abordé par la Cour des comptes concerne l’équilibre économique des RIP. Selon la Cour, les coûts sous-estimés des raccordements complexes ont mis certains RIP en difficulté financière, entraînant des tensions de trésorerie. Elle recommande à l’ANCT de mettre à jour les plans d’affaires des RIP et de revoir les lignes directrices tarifaires pour refléter la réalité des coûts actuels. L’Arcep, de son côté, a insisté sur la nécessité d’objectiver les coûts avant toute révision des tarifs, soulignant des disparités importantes d’un RIP à l’autre.

Un autre point critique soulevé par la Cour des comptes concerne la résilience des réseaux, notamment face aux événements climatiques extrêmes. Seuls 11% des RIP disposent d’un schéma de résilience, et la Cour recommande une stratégie nationale pour intégrer les réseaux de fibre optique dans les plans locaux de gestion de crise. La DGE a annoncé que des travaux étaient en cours pour renforcer cette coordination, et les réseaux devraient être intégrés aux plans ORSEC dès 2025.

Pour améliorer la gestion du déploiement et garantir la pérennité des réseaux, la Cour des comptes a formulé onze recommandations clés :

  • Synthétiser trimestriellement l’avancement du déploiement par opérateur et zone.
  • Négocier des objectifs contraignants pour les zones denses.
  • Renforcer la communication sur la fermeture du réseau cuivre.
  • Accompagner les RIP pour mettre à jour leurs plans d’affaires.
  • Objectiver les coûts dans les RIP et revoir les lignes directrices tarifaires.
  • Sanctionner les opérateurs en cas de défauts de qualité graves.
  • Permettre à l’Arcep d’auditer les réseaux fixes.
  • Introduire une obligation légale d’indemnisation en cas d’interruption longue de service.
  • Donner à l’Arcep un pouvoir de sanction sur les raccordements finaux.
  • Élaborer une stratégie nationale de résilience des réseaux.
  • Intégrer les réseaux de fibres optiques dans les dispositifs locaux de gestion de crise.

Ces recommandations visent à garantir la réussite du plan THD tout en assurant la qualité des services et la résilience des infrastructures dans un environnement de plus en plus exigeant.

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Patrick Drahi serait prêt à vendre SFR, Free, Orange et Bouygues Telecom aux aguets

Le Figaro a enquêté et révèle une possible vente de SFR par Patrick Drahi, bien que le chemin sera encore très long et semé d’embûches.

Altice, maison mère de l’opérateur au carré rouge, se retrouve dans une situation particulière après une restructuration de sa dette. Son dirigeant Patrick Drahi serait prêt à sortir des télécoms en France et Bouygues, Orange et Iliad (Free) lorgnent sur SFR, dont certains actifs, comme les data center, ont commencé à être cédés. L’avenir de l’opérateur reste cependant flou, le sujet d’une consolidation du marché étant bien plus complexe qu’il n’en a l’air.

Altice reste évidemment discret sur ses intentions. “La direction est concentrée sur l’implémentation de l’accord sur la dette“, a précisé SFR à nos confrères, mais la possibilité d’une vente resterait envisagée, affirment-ils. Une cession totale serait incertaine, car la Commission européenne pourrait freiner toute tentative de fusion, craignant la formation d’un duopole, SFR étant le deuxième opérateur français. Un rachat pur et simple par Bouygues ou Iliad est donc peu plausible, car l’acquisition par l’un des deux provoquerait de forts risques pour l’autre de couler et si Orange cherchait à acquérir l’opérateur, cela créerait une situation ingérable pour la concurrence en voyant les deux premiers opérateurs français fusionner.

D’autant que Patrick Drahi entendrait imposer ses conditions. Le scénario d’une cession partielle, où les actifs seraient vendus à plusieurs acteurs, est plus probable, selon les analyses du quotidien. “SFR s’est constitué après plus d’une dizaine de rachats. Il faudra soulever le capot pour voir ce qu’il y a dedans“, souligne un observateur. Une vente à la découpe, permettant à chacun des opérateurs de récupérer une part du gâteau.

Si la consolidation en France nous permet de grandir, nous serons très pragmatiques“, a déjà déclaré Thomas Reynaud, directeur général d’Iliad. L’opérateur pourrait également se tourner vers des investisseurs étrangers, comme les opérateurs saoudiens ou émiratis, qui manifestent un intérêt croissant pour l’Europe. Cependant, une vente à l’étranger soulève des questions politiques, notamment en matière de souveraineté. En dépit des difficultés commerciales – SFR a perdu plus d’un million d’abonnés en 2023 –, le patron d’Altice reste confiant. “Patrick Drahi n’a pas fait tout ce travail sur la dette pour se retrouver à la merci d’une hypothétique consolidation française“, explique un banquier. SFR pourrait chercher à conclure un accord avant la présidentielle de 2027, affirme le Figaro.

Les conditions et le timing de l’opération demeurent essentiels pour SFR, qui chercherait ainsi à maximiser la valeur de ses actifs tout en devant compter sur une réglementation autour de la concurrence plutôt complexe. La consolidation reste une arlésienne pour le marché des télécoms Français, avec plusieurs moments où un opérateur, se retrouvait soupçonné de vouloir vendre, sans que cela ne se concrétise. L’avenir dira si cette fois est la bonne.

Source :

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Un grand mystère autour de plusieurs lignes de téléphonie, Orange et SFR n’ont jamais vu ça

Un mystère plane sur cette petite ville du Finistère où les appels vers l’un se retrouvent chez le voisin, et vice-versa.

Mais que se passe-t-il à Saint-Nic Pentrez, dans le Finistère ? Depuis plusieurs mois, les lignes téléphoniques fixe des habitants se retrouvent tout simplement inversées.

En somme, depuis quelques mois, certains habitants se retrouvent à recevoir des appels destinés à leurs voisins. C’est ce que raconte par exemple Mme Mahé, qui reçoit les appels fixe de Françoise, une voisine. “C’est Toupargel qui m’a appelée. Je leur ai dit qu’ils se trompaient de personne. Et comme ils ont rappelé une semaine après, là, j’ai réalisé qu’il y avait vraiment un problème” explique-t-elle.

Si elle le prend avec un brin d’humour, ce n’est pas le cas d’Hervé, qui s’est retrouvé dans la même situation. “Lorsque vous devez vous faire hospitaliser, si vous avez donné votre numéro de téléphone fixe, automatiquement l’hôpital va vous appeler pour vous dire de vous présenter à telle et telle heure, si vous devez subir une opération ou une intervention quelconque. Si vous n’avez pas le téléphone et que c’est votre voisin qui reçoit l’appel, c’est un peu gênant”, difficile de le contredire.

Des pistes de réflexions pourraient être envisagées : des problèmes logiciels ou matériels au sein de l’armoire téléphonique, ou encore des erreurs de mise à jour de la base de données. De même, parfois des équipements plus anciens ou mal entretenus peuvent cause des couacs dans la gestion des numéros… Mais le hic, c’est que même les opérateurs ne savent pas vraiment ce qu’il se passe.

En 20 ans de carrière, je n’ai jamais entendu parler de cela”, affirme Franck Coudriaud, le responsable délégation Ouest d’Altice (SFR). Réaction similaire de la part de Delphine Escure, chargée du service presse d’Orange en Bretagne. Elle penche cependant sur une potentielle farce organisée par des plaisantins ayant accès à l’armoire téléphonique, et affirme qu’une intervention est prévue dès la semaine prochaine.

Source : ICI

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Abonnés de tous les opérateurs, vous pouvez désormais identifier gratuitement les spams et arnaques grâce à Orange téléphone

Alors que les appels indésirables sont la principale source de plaintes des abonnés mobile, Orange Téléphone propose un nouvel outil pour être sûr de ne pas louper un appel légitime et savoir s’il s’agit d’une embrouille.

S’il communique très peu à ce sujet, Orange propose une application mobile sur Android et iOS permettant de se protéger des appels indésirables. Baptisé “Orange Téléphone”, ce service utile et efficace n’est pas seulement destiné aux clients de l’opérateur historique, il s’adresse aussi aux abonnés Free Mobile, SFR et Bouygues Telecom. Si elle est disponible gratuitement, certaines fonctionnalités, dont notamment le blocage automatique des appels indésirables, est réservé aux clients Orange Cybersecure, une option payante à 7€/mois.

Cependant, un nouvel outil vient d’être intégré via une mise à jour lancée le 3 avril dernier. Avec la version 6.0, il est désormais possible d’identifier un numéro depuis le menu, en recherchant le numéro, pour obtenir des informations sur la personne qui vous appelle. De quoi vous assurer par exemple s’il s’agit bien d’un appel légitime ou non. L’application fonctionnant grâce à la participation de tous les utilisateurs, vous pourrez ainsi voir si l’appel en question est une arnaque au CPF, ou encore du démarchage pour panneaux solaires…  Et vous pouvez même exporter un numéro depuis votre application Téléphone pour connaître l’origine de votre appelant.

Source : Numerama

 

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Tukif et d’autres sites X populaires commencent à vérifier l’âge pour éviter le blocage des opérateurs

Trois plateformes pornographique ont enfin commencé à mettre en place la vérification de l’âge pour se conformer à la loi française

Tukif.com, MrSexe et Spankbang, tous visés par une menace de sanctions de l’Arcom ont instauré un système de vérification de l’âge, comme l’exige la loi française entrée en vigueur en janvier 2024. L’objectif : empêcher l’accès des mineurs aux contenus pour adultes, sous peine de sanctions pouvant aller jusqu’au blocage du site par les opérateurs télécoms.

Les utilisateurs doivent désormais prouver leur majorité, par différents moyens, dont un selfie analysé par intelligence artificielle, ou la vérification de l’âge d’une adresse mail par exemple. Sur six sites initialement dans le viseur du régulateur, un a déjà été bloqué, deux restent sous surveillance, et trois sont désormais en conformité.

Une explication est fournie, y compris en vidéo, pour rassurer les visiteurs

Un arrêté récent a élargi cette obligation aux sites établis ailleurs dans l’Union européenne. Des plateformes majeures comme Pornhub ou YouPorn ont trois mois pour se mettre en règle. La France suit ainsi l’exemple de pays comme l’Allemagne ou le Royaume-Uni.

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Des abonnés Freebox se retrouvent avec un WiFi limité, Free travaille à corriger le problème

Plusieurs abonnés se plaignent de voir leur nombre d’appareils capables de se conner à la Freebox limité depuis la dernière mise à jour majeure des serveurs.

Un couac suite à la dernière grosse mise à jour des Freebox vient perturber certains abonnés. Plusieurs d’entre eux indiquent en effet que depuis le passage de leur box à la version 4.9.0, leur box ne semble plus gérer autant d’appareils connectés que d’habitude.

Au bout d’un certain temps (quelques heures car j’ai le problème tous les jours depuis la 4.9.1 pas constaté en 4.9.0), si j’allume un nouvel équipement en WiFi qui n’était pas connecté quelques minutes avant(ou que je rentre tout simplement chez moi), le réseau 5GHz et aussi le 2.4GHz m’indique que je dépasse la limite du nombre d’équipements connectés“, explique ainsi l’un des abonnés touché. Si ses appareils domotique restent connectés constamment, chaque nouvelle connexion ne veut pas passer, et l’utilisateur se retrouve obligé d’éteindre le WiFi puis de le rallumer, pour un bref répit.

Une situation anormale puisque l’un des admin du bugtracker l’affirme : “il n’y a pas de nouvelle limitations du nombre d’appareils WiFi“. Après plusieurs vérifications, il apparaît que dans ces cas, le système se retrouve à court d’un certain type de mémoire, qu’il ne parvient plus à allouer pour les appareils en WiFi, et qu’il s’agit bien d’un bug. L’admin affirme cependant que cela ne devrait pas durer, puisqu’un correctif est en cours d’implémentation. “Il devrait être présetn dans la prochaine mise à jour de la box“, annonce-t-il.

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Hacking : comment de millions de Français participent sans le savoir à l’attaque de nombreux sites web

Les attaques DDoS : une menace invisible qui mobilise vos appareils connectés

Chaque jour, des millions de Français participent, à leur insu, à des cyberattaques de grande ampleur. Les attaques par déni de service distribué (DDoS) exploitent des objets connectés comme les box internet, les routeurs ou les caméras de surveillance pour submerger des serveurs de requêtes et les rendre indisponibles.

Selon Matthieu Dierick, expert cyber chez F5, les attaques DDoS figurent toujours parmi les principales menaces cybercriminelles. Elles ne cessent de gagner en sophistication et exploitent désormais une large gamme d’appareils connectés. Les cybercriminels privilégient aujourd’hui des attaques plus ciblées géographiquement et misent sur des requêtes plus petites mais massives, rendant leur détection difficile. « C’est comme si quelqu’un parlait très lentement pour monopoliser votre attention. Au bout d’un moment, le serveur sature », explique l’expert.

Les attaques DDoS fonctionnent selon un modèle organisé. Des pirates identifient les appareils vulnérables, les infectent via des logiciels malveillants, puis les contrôlent via des serveurs de Command & Control (C2). Ces infrastructures agissent comme des hubs où les hackers orchestrent leurs offensives.Lorsque les défenses se renforcent, les attaquants adaptent rapidement leurs stratégies pour contourner les blocages.

L’intelligence artificielle (IA) joue un rôle clé dans l’évolution des cyberattaques. Elle est utilisée autant par les défenseurs que par les hackers. Grâce à des outils basés sur l’IA, il devient plus facile de générer du code malveillant, même pour des novices. « Un simple étudiant en ingénierie peut concevoir une attaque sophistiquée en quelques clics », alerte Matthieu Dierick. Cette démocratisation accélère la course aux armements numériques.

Comment savoir si vos appareils sont infectés ?

Votre connexion Internet est-elle plus lente à certaines heures ? Si oui, votre box ou votre routeur pourrait être impliqué dans une attaque DDoS. « Une connexion fibre optique, normalement stable, ne devrait pas subir de variations significatives sans raison », indique Matthieu Dierick. Les opérateurs télécoms comme Orange, Free, Bouygues Telecom et SFR disposent de systèmes de détection capables d’identifier les connexions suspectes vers des serveurs malveillants. Toutefois, la meilleure protection reste la prévention. « Un bon antivirus est indispensable. Les malwares évoluent comme des virus biologiques : mieux vaut prévenir que guérir », conclut l’expert. Dans un monde de plus en plus connecté, la vigilance des utilisateurs est cruciale pour éviter de tomber dans le piège des cybercriminels et protéger l’écosystème numérique global.

Source : Clubic

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