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Réseau mobile : une trêve signée avec un acteur controversé en pleine guerre des pylônes

Une trêve juridique entre Cellnex et Valocîme met provisoirement fin à des affrontements sur le terrain

Un cessez-le-feu temporaire a été signé dans la guerre des pylônes. Cellnex, principal acteur des « towercos » en France, et Valocîme, nouvel entrant agressif sur le marché, ont conclu un accord amiable mettant un terme à plusieurs procédures judiciaires les opposant, ont indiqué des sources proches du dossier. L’accord interrompt provisoirement une série de contentieux qui faisaient planer un risque opérationnel et financier sur l’exploitation de nombreux sites d’antennes.

Le litige entre les deux groupes porte sur des terrains où des tours d’antennes avaient été implantées par les towercos traditionnelles. Valocîme, fondée en 2017 par Frédéric Zimer, a en effet multiplié les offres aux propriétaires de sites — loyers nettement supérieurs à ceux pratiqués par les gestionnaires en place — puis engagé des procédures pour récupérer certains contrats. Sa méthode, telle que la décrivent ses détracteurs, consiste souvent à proposer au propriétaire d’acheter l’infrastructure « au prix de construction » ; si la towerco refuse, Valocîme réclame le départ de l’ancien exploitant, parfois par voie judiciaire. Une critique portée également par certains opérateurs, qui a mené même à des actions en justice, dont l’une remportée récemment par Free Mobile.

De son côté, Cellnex — qui détient plus d’un quart des sites en France — et d’autres opérateurs de tours ont dénoncé ces pratiques, soulignant le coût et la complexité liés au repositionnement d’installations (reconstruction de pylônes, démarches administratives, risques de coupure de service pour les collectivités). Illustratif de ces coûts, Cellnex a dû financer, en avril 2024, l’héliportage d’un pylône déplacé de 200 mètres autour de Bénonces (Ain) pour 300 000 euros, après la perte d’un terrain au profit de Valocîme.

Une pression financière sur Valocîme

Pour Valocîme, l’accord semble aussi répondre à un impératif de trésorerie. L’entreprise, qui affirme gérer environ 3 000 baux, couvre des loyers et salaires importants tout en reconnaissant un chiffre d’affaires encore insuffisant. Son principal actionnaire, le fonds KKR, a déjà procédé à des abandons de créances (environ 65 millions d’euros) pour soutenir la société. Valocîme a engagé des centaines d’assignations — la direction évoque « 230 assignations » et « 80 expulsions exécutoires » obtenues —, ce qui a accéléré la mise en place de négociations et, finalement, de désistements réciproques devant plusieurs tribunaux cet été.

La paix judiciaire s’est matérialisée par des désistements formels : le 18 septembre, le tribunal judiciaire de Marseille a constaté le retrait de Cellnex France de poursuites contre Valocîme ; le 10 septembre, une décision similaire a été rendue à Évreux concernant des actions entre Valocîme et Hivory (filiale de Cellnex). Ces retraits témoignent d’un apaisement ponctuel, mais n’écartent pas d’autres fronts ouverts entre acteurs du secteur.

Un cadre législatif attendu pour trancher le fond du dossier

Le règlement définitif du conflit pourrait finalement dépendre d’un arbitrage législatif : les towercos et Valocîme attendent le vote du Parlement sur l’article 17 du projet de loi de simplification de la vie économique. Selon son contenu, le texte pourrait soit restreindre les possibilités de transfert de gestion des sites et protéger les opérateurs historiques, soit, au contraire, renforcer les droits des propriétaires et faciliter l’entrée d’acteurs alternatifs comme Valocîme. Les acteurs du secteur scrutent donc la trajectoire parlementaire, qui déterminera en grande partie l’équilibre futur du marché des infrastructures d’antenne.

L’accord amiable entre Cellnex et Valocîme offre un répit dans une confrontation aux enjeux techniques, juridiques et politiques importants : protection de la continuité de service pour les collectivités, coûts de remplacement des infrastructures, et modèle économique des towercos. Mais il ne résout pas les interrogations de fond sur la gouvernance des sites d’antennes et sur la manière dont seront arbitrés, à l’avenir, les conflits de loyers et de concessions. Tant que la loi n’aura pas tranché, et que les positions économiques des parties n’auront pas été clarifiées, le marché restera exposé à de nouvelles tensions.

Source : Le Monde

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Un nouveau service disponible sur les Freebox pour les abonnés Amazon Prime, avec une semaine gratuite pour découvrir

La plateforme indépendante Freaks On, dédiée au cinéma culte, rare et expérimental, rejoint Shadowz, Insomnia et compagnie sur Prime Video.

Le catalogue Prime Video s’enrichit d’un nouveau service atypique : Freaks On, une plateforme dédiée aux films d’horreur et thrillers indépendants, oubliés, rares ou inédits, désormais disponible en option dans les Prime Video Channels et donc accessible directement depuis les Freebox pour les abonnés Prime avec une semaine d’essai gratuit.

Lancée en 2021 en version autonome, Freaks On se veut être un refuge pour les cinéphiles en quête d’œuvres singulières et procurant des frissons. Son ambition : faire (re)découvrir des films disparus des radars, proposer des versions inédites (director’s cut, montages alternatifs…) et offrir un véritable tremplin aux jeunes réalisateurs. La plateforme met notamment en avant les créations de nouveaux talents à travers une section dédiée aux courts-métrages, mais aussi des documentaires et des œuvres expérimentales.

Côté programmation, Freaks On rassemble un large éventail de contenus : longs métrages, séries, documentaires, programmes originaux et créations européennes, venus du monde entier. Les abonnés peuvent également plonger dans les secrets de tournage des films cultes, découvrir des lectures de nouvelles horrifiques — un format hybride entre littérature et cinéma — ou encore participer à des rendez-vous live mensuels sur YouTube, où des passionnés commentent et diffusent leurs coups de cœur du moment.

Accessible pour 4,99€/mois (sans engagement), Freaks On revendique une ligne éditoriale claire : défendre un cinéma libre, créatif et audacieux, à l’heure où les grandes plateformes misent sur les blockbusters. Désormais intégrée à Prime Video avec une semaine d’essai gratuit, elle permet à un plus large public de découvrir un autre visage du septième art.

 

 

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Du changement sur Disney+, Hulu débarque dans une catégorie dédiée

Disney entame la fusion de ses deux plateformes de streaming. Aux États-Unis, Disney+ accueille désormais une nouvelle barre de navigation intégrant un onglet Hulu. À l’international, la tuile Hulu remplace progressivement celle de Star, marque héritée du catalogue de 21st Century Fox.

Présent au capital de Hulu depuis ses débuts, Disney en détenait initialement 33 % des parts. Après le rachat de la Fox, sa participation est passée à 66 %, avant que la firme ne rachète la totalité du service pour plusieurs milliards de dollars. Objectif : regrouper tous ses contenus sous une même bannière.

Cette intégration, annoncée depuis plusieurs mois par le PDG de Disney, entre désormais dans sa phase de transition, avant une fusion complète attendue l’an prochain. Celle-ci concernera avant tout les États-Unis, où Hulu conserve une identité propre et n’a jamais réellement dépassé les frontières nord-américaines — hormis une incursion au Japon il y a plus de dix ans.

Hors des États-Unis, la marque Hulu remplace donc Star sur Disney+, même si le changement est surtout symbolique. La section Star regroupait déjà de nombreux programmes issus du catalogue Hulu, tels que The Bear, Dying for Sex, Shōgun ou encore American Horror Stories. Ces contenus conservent leur place, mais arborent désormais un badge Hulu, signe de l’unification en cours.

En somme, cette évolution vise avant tout à clarifier l’organisation du catalogue Disney+, en préparant la fusion totale des offres de streaming du groupe sous une identité unique.

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Après Free et Orange, SFR lance son application TV sur les téléviseurs et vidéo-projecteurs LG

L’application SFR TV débarque sur les téléviseurs LG, comme l’ont fait Oqee et la TV d’Orange avant elle, il ne manque plus que b.TV.

Bonne nouvelle pour les abonnés SFR : l’application SFR TV est désormais disponible sur le LG Content Store, le magasin d’applications intégré aux téléviseurs de la marque. Les utilisateurs peuvent ainsi la télécharger directement depuis l’écran d’accueil, sans passer par un appareil externe.

Tous les téléviseurs LG équipés du système webOS 5.0 ou supérieur sont compatibles, soit l’ensemble des modèles commercialisés à partir de 2020, selon Numerama. Jusqu’à présent, l’application était déjà accessible sur Android TV, Samsung Smart TV et Hisense TV, des plateformes souvent proposées dans les offres Box + High Tech de SFR. Sur les téléviseurs LG compatibles, toutes les fonctionnalités de SFR TV sont disponibles, accès à plus de 400 chaînes en direct (selon les options souscrites), replay et vidéos à la demande, navigation fluide et interface unifiée avec les autres appareils connectés.

Avec cette extension, SFR continue de renforcer la présence de son application sur les principaux écosystèmes télévisuels. Seule l’Apple TV manque encore à l’appel, un support qui ne semble pas constituer une priorité pour l’opérateur à ce stade. On notera par ailleurs que si Free a signé un partenariat avec le fabricant sud-coréen pour distribuer Oqee sur WebOS en 2024 et a même très récemment confirmé sa compatibilité avec certains vidéo-projecteurs de la marque, Orange lui a emboîté le pas en septembre dernier. Il reste encore Bouygues Telecom, dont la disponibilité de l’application est encore assez limitée. Pour l’heure, Oqee by Free reste l’application TV d’opérateur la plus largement distribuée.

 

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Fibre optique : Free annonce un cap important passé en Nouvelle-Aquitaine

Free franchit le cap des 4 millions de logements éligibles à la fibre en Nouvelle-Aquitaine.

Free poursuit le développement de son réseau très haut débit en France. L’opérateur annonce avoir dépassé les 4 millions de logements éligibles à la fibre optique en Nouvelle-Aquitaine, une étape symbolique qui illustre l’ampleur de son déploiement dans l’une des plus vastes régions du pays, avec 93% de logements raccordés.

Selon Free, la fibre est désormais disponible dans 4 088 communes, soit 93 % du parc total de logements en Nouvelle-Aquitaine. L’opérateur indique couvrir à la fois les zones denses, moyennement denses et rurales, en s’appuyant sur des partenariats avec l’ensemble des réseaux d’initiative publique (RIP) régionaux : NATHD, Gironde Haut Méga, Poitou Numérique et La Fibre 64. Pour accompagner ses clients, l’opérateur affirme disposer de 19 équipes Free Proxi sur place et 27 boutiques dans la région.

Free explique vouloir accompagner les habitants dans la transition vers la fibre, notamment dans le cadre de la fermeture technique du réseau cuivre et de l’ADSL. Celle-ci débutera le 27 janvier 2026 dans 133 communes de la région. À cette date, les foyers concernés n’auront plus accès à la téléphonie fixe sur cuivre ni à Internet via ADSL. Pour anticiper ce changement, Free affirme avoir mis en place un dispositif d’information spécifique à destination des abonnés, rappelant que le passage à la fibre se fait sans frais et, dans la majorité des cas, sans modification d’offre.

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Free améliore et optimise ses répéteurs WiFi avec une nouvelle mise à jour

Free améliore la stabilité du réseau à la maison avec la mise à jour 2.7.1 de ses répéteurs Wi-Fi.

Free poursuit l’optimisation de son écosystème domestique avec le déploiement de la version 2.7.1 du répéteur Wi-Fi, disponible depuis le 8 octobre 2025. Cette nouvelle mise à jour, diffusée en ligne, s’installe automatiquement lors du redémarrage du Freebox Server. Si ce n’est pas le cas, un simple redémarrage manuel des répéteurs suffit pour en profiter.

Voici la liste des changements apportés

  • Amélioration de la stabilité de la connexion des répéteurs
  • Correction de problèmes rares d’application de la configuration Wi-Fi
  • Optimisation du roaming des stations non MLO lorsque cette fonction est activée

Cette mise à jour vient renforcer la fiabilité et la fluidité du réseau Wi-Fi dans les foyers équipés de répéteurs Freebox, en assurant de meilleures transitions entre points d’accès et une configuration plus stable. Une évolution complémentaire à la mise à jour 4.9.11 des Freebox déployée hier.

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Free annonce un souci technique sur l’application Oqee : des freezes d’image en cours sur toutes les plateformes

Un incident technique perturbe actuellement le service Oqee by Free, provoquant des freezes d’image sur toutes les plateformes. Free assure que ses équipes sont mobilisées pour rétablir la situation au plus vite.

Petit contretemps pour les abonnés Freebox et Free Mobile utilisant Oqee by Free, le service TV de l’opérateur. Ce jeudi, le compte officiel Free 1337 a annoncé sur X (ex-Twitter) qu’un incident technique affectait actuellement l’application, provoquant des freezes d’image chez certains utilisateurs.

Selon l’opérateur, le problème touche toutes les plateformes, qu’il s’agisse des téléviseurs connectés, des smartphones, des box Freebox ou encore des navigateurs web. Le dysfonctionnement se manifeste par des blocages temporaires de l’image, sans pour autant impacter l’audio ou la navigation dans l’application.

Free précise que ses équipes techniques travaillent activement à corriger la panne. En attendant un retour complet à la normale, aucune manipulation particulière n’est requise du côté des abonnés.

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Freebox TV : clap de fin prévu pour plusieurs chaînes Paramount incluses pour les abonnés Free

Les chaînes Game One, J-One et Paramount Network, toutes accessibles sur les Freebox, vont bientôt disparaître du paysage audiovisuel français. Paramount France met fin à leur diffusion dans le cadre d’une vaste réorganisation interne.

C’est une page qui se tourne pour les abonnés Freebox. Les chaînes Game One, J-One et Paramount Network, toutes accessibles gratuitement sur les Freebox, s’apprêtent à disparaître. Selon les informations de Tech&Co et Satellifacts, Paramount France mettra fin à leur diffusion d’ici fin novembre 2025, dans le cadre d’une réorganisation majeure consécutive à la fusion entre Paramount Global et Skydance, entraînant la suppression de plus de 50 % des effectifs du pôle télévisuel.

Paramount souhaite concentrer ses ressources sur des marques jugées prioritaires à l’international, quitte à sacrifier certaines chaînes historiques. Un choix difficile à accepter pour les équipes de Game One, pourtant rentable à hauteur de 2 millions d’euros par an, d’après Tech&Co.

Des chaînes cultes pour toute une génération

Lancée en 1998, Game One a longtemps été la référence française du jeu vidéo et de la pop culture, avec des émissions phares comme Level One ou TeamG1. Sa petite sœur J-One s’était imposée comme une vitrine de l’animation japonaise, tandis que Paramount Network diffusait une sélection de films et séries du catalogue du groupe.

Ces fermetures marquent la fin d’une époque pour la télévision thématique française. En interne, la résignation domine, entre licenciements annoncés et perte d’identité d’un groupe en pleine mutation. Sauf revirement de dernière minute, les trois chaînes tireront leur révérence d’ici la fin novembre, laissant un vide certain sur le canal des Freebox.

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Free met le turbo, l’opérateur annonce des nouveautés d’ici fin 2025, et des lancements majeurs en 2026

Free se remet à surprendre. Reste désormais à découvrir, pas à pas, ce que l’opérateur a réellement dans sa besace. Lors de la journée des communautés, son directeur général a réussi à nous mettre en haleine.

Dans un marché mobile arrivé à maturité, où innover reste ardu, et un segment fixe encore propice aux offres différenciantes, Free veut se démarquer et a encore faim. Après avoir reconnu fin août, lors de la présentation de ses résultats semestriels, qu’il devait « réagir, innover » face à un contexte plus tendu, l’opérateur enclenche à nouveau la marche avant et n’a pas tardé à remettre l’innovation au centre du jeu.

Mi-septembre, Free a lancé son propre VPN mobile, inclus sans surcoût dans ses offres 5G, une première mondiale, selon lui. Lors de la Journée des communautés Free, le 4 octobre, le directeur général Nicolas Thomas a donné la tonalité en réponse à l’une de nos questions : « Plusieurs nouveautés arrivent chez Free d’ici la fin de l’année », promet-il, avant d’annoncer la véritable montée en puissance : « En 2026, nous allons fortement accélérer avec des lancements importants. »

Dans le viseur des Freenautes, un nouveau player Freebox très attendu, présenté comme un appareil « complètement intégré en soft et en hardware ». Côté mobile, Xavier Niel a aussi teasé un « produit hardware » pensé pour les abonnés, décrit comme « révolutionnaire », sans plus de détails. De quoi alimenter les spéculations sur un accessoire à domicile ou en mobilité… et laisser entendre que Free garde quelques autres cartes surprises pour les prochains mois. Il faudra comme souvent patienter pour en avoir le coeur net.

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Il ne faut pas faire n’importe quoi face au piratage, clap de fin remarqué chez Free Mobile… Vos meilleures réaction à l’actualité de Free et des télécoms

Univers Freebox traite de l’actualité de Free et des télécoms et a toujours été un espace sur lequel la communauté pouvait s’exprimer. Parfois, les réponses sont très drôles, ou très pertinentes, mais il faut se plonger dans les commentaires pour découvrir les bons mots de nos lecteurs. Nous vous proposons alors notre petite sélection dans ce “Best-Of”


Un clap de fin qui en laisse certain sur le carreau

Ce 1er octobre 2025, Free a officiellement mis un terme à FreeWiFi_Secure, son réseau communautaire qui permettait aux abonnés Free Mobile de se connecter automatiquement à des millions de hotspots diffusés par les Freebox partout en France.  L’arrêt avait été annoncé début août via des e-mails et sur l’espace abonné, avec une date d’extinction fixée au 1er octobre. Le service, lancé à l’époque où la 3G/4G était encore coûteuse, tirait parti de la carte SIM (EAP-SIM) pour authentifier les abonnés sans saisie de mot de passe. La fin d’un service historique qui forcément en embête plus d’un.


Le série Free fait toujours débat

Après avoir lancé fin juillet une offre 120 Go à 8,99€/mois avant d’augmenter son prix d’un euro début août, Free Mobile a dégainé la semaine dernière une nouvelle formule moins généreuse en data mais à un prix revu à la baisse. L’offre Série Free est désormais affichée à 8,99€/mois avec 110 Go de données à consommer mensuellement en France métropolitaine et 25 Go de data depuis l’Europe/DOM contre 30 Go précédemment. Mais le concept derrière cette offre itnermédiaire qui repasse au forfait 19.99€ au bout d’un an laisse toujours beaucoup d’abonnés perplexes.


La lutte contre le piratage ce n’est pas si simple

Un nouveau dispositif de blocage, déjà testé dans plusieurs pays européens, pourrait bientôt débarquer en France. Objectif : mettre un sérieux coup d’arrêt au streaming illégal… mais à quel prix ? Le président de l’ARCOM a annoncé la mise en place prochaine d’un système de blocage IP en temps réel, fruit d’un accord signé en mai dernier entre fournisseurs d’accès à Internet et ayants droit. Selon lui, « la priorité est de protéger le contenu légal tout en rendant le piratage plus difficile ». Depuis le début de l’année 2025, 5 000 serveurs ont déjà été bloqués, soit la moitié du total depuis que l’ARCOM a reçu cette mission en 2022. Mais cette solution reste controversée et a déjà mené à des situations ubuesque en dehors de nos frontières.


Les VPN font débat

La lutte contre le streaming pirate franchit une nouvelle étape. Après les fournisseurs d’accès à Internet et les moteurs de recherche, l’Arcom cible désormais les services de VPN, invités à couper l’accès à près de 300 sites diffusant illégalement des compétitions sportives. Les VPN sont de plus en plus populaires, Free e a même intégré un dans son forfait mobile, mais la fonctionnalité fait débat, notamment vis-à-vis certains usages spécifiques.


Un peu d’humour… et de nostalgie?

Au Sommet du Bien Commun, Xavier Niel a défendu la nécessité d’une intelligence artificielle européenne indépendante, appuyée sur des infrastructures souveraines et des modèles ouverts. L’IA et sa place dans la société est un sujet qui mérite d’être débattu et si Univers Freebox n’entend pas trancher la question, on apprécie toujours une pointe d’humour, surtout quand elle est en lien avec l’histoire de Xavier Niel et du minitel ! 😉

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