La Freebox Révolution n’est plus proposée aux prospects lors d’un test d’éligibilité via le site internet de Free.
Si la box iconique de Free reste toujours dans ses plans au moins à court terme, l’opérateur commence à rendre moins accessible son offre Freebox Révolution. Cette dernière n’est dorénavant plus disponible via le test d’éligibilité sur le site du FAI, selon nos constatations. Pas moins de 10 villes ont été testées dans différentes zones (denses, AMII et RIP). L’opérateur privilégie aujourd’hui ses offres Freebox Pop, Delta et Delta S. Affichée à 19€99/mois pendant 1 an puis 44.99€/mois, la Freebox Révolution reste toutefois disponible au sein des offres commerciales de Free, dans la rubrique “Petits prix”.
Des nouveautés sont d’ailleurs encore prévues pour cette Freebox lancée en décembre 2010 : l’intégration du nPVR (Network Personal Video Recorder), qui n’est autre qu’un espace personnel d’enregistrement non physique dans le cloud ou nuage, mis à disposition des abonnés. “Cela permettra par exemple de faire le lien avec les enregistrements réalisés sur Oqee pour les consulter sur le player Révolution”, nous a fait savoir Maxime Bizon, chef d’équipe software Freebox lors de la journée des Communautés Free en septembre 2022. Grâce à cela, le start-over pourrait suivre mais certaines problématiques gênent son déploiement, surtout au niveau de l’impact sur les réseaux au vu de l’importance du parc Révolution. Plus concrètement, des évolutions sont prévues au sujet de l’interface TV qui doit rester la même mais accueillir des fonctionnalités présentes sur Oqee.
Laure de la Raudière, présidente du régulateur des télécoms, a eu l’occasion de s’exprimer devant les sénateurs au sujet de la dernière procédure lancée par Orange à son encontre. Elle critique une tentative “d’arracher son sifflet au gendarme des télécoms”.
Les hostilités ont officiellement commencé en ce mois de février entre l’opérateur historique et l’Arcep avec la demande d’une ouverture de Question Prioritaire de Constitutionnalité auprès du Conseil d’État de la part d’Orange. Quelques jours après, Laure de la Raudière était entendue lors d’une audition au Sénat ce mercredi et n’a pas évité le sujet.
A travers sa demande d’ouverture d’une QPC, c’est une mise en demeure de la part du régulateur concernant les retards de déploiement de la fibre dans les villes moyennes qui est ciblée et plus globalement, le pouvoir de sanction de l’Arcep. Cette mise en demeure a été faite “à la demande du gouvernement” explique par ailleurs Laure de la Raudière, mais Orange conteste donc en estimant que ses engagements de 2018 ont toujours porté sur un volume défini de lignes à déployer tandis que l’Arcep juge que l’opérateur s’est engagé à couvrir en intégralité une certaine liste de commune, malgré la hausse du nombre de logements dans ces dernières.
Cette procédure vise également, selon Laure de la Raudière, un article spécifique du code des postes et communications électronique est “justement la base juridique rendant les engagements d’Orange sur les zones moyennement denses, pris auprès du gouvernement, opposables“.
« En procédant ainsi, Orange demande au Conseil d’Etat de transmettre la QPC au Conseil constitutionnel et ainsi de surseoir à statuer sur la mise en demeure de l’Arcep, dans l’attente de la décision du Conseil constitutionnel. En réalité, ce qu’Orange cherche à faire avec ces questions prioritaires de constitutionnalité, c’est a minima gagner du temps, c’est retarder la décision du Conseil d’Etat sur la mise en demeure elle-même, voire que le Conseil d’Etat ne soit jamais en mesure de se prononcer sur le fond, qu’il soit dans l’incapacité juridique de confirmer la mise en demeure de l’Arcep. » affirme la présidente du régulateur.
Son plaidoyer ne s’arrête pas là, elle s’interroge également sur les engagements de l’opérateur en 2018 qui n’auraient “pas de valeur” et qu’Orange aurait peut être “renié”. “Doit-on comprendre que de nombreux habitants des Sables-d’Olonne, de La Roche-sur-Yon, de Brive-la-Gaillarde, et de bien d’autres communes, vont devoir attendre encore longtemps la fibre ? Doit-on comprendre qu’Orange défie les objectifs assignés à la régulation par la volonté du Parlement ?”
La consommation d’énergie se réduit sur les Freebox Révolution, Pop et mini 4K.
C’est la première mise à jour Freebox de l’année. Une nouvelle version 4.7.4 est actuellement déployée sur le serveur des Freebox Révolution, Pop, Delta, mini 4K et One. Pour en profiter, veuillez redémarrer votre boîtier. Au rang des nouveautés, les développeurs ont activé le mode ethernet EEE (802.3az) pour réduire la consommation d’énergie sur les Freebox Révolution, mini 4K et Pop. Mais pas seulement puisque l’opérateur annonce dans le même temps une réduction de la consommation d’énergie en connexion fibre via désactivation totale du module DSL sur les serveurs de ces mêmes box.
Des soucis techniques ont également été résolus comme sur l’augmentation de la taille max du champs cloud-init dans Freebox OS. Le problème sur un XSS dans l’interface admin des Freebox a été corrigé. Enfin, les abonnés ayant constaté une modification au redémarrage des mappings de ports vers les IP attribuées (clients VPN), ne devraient plus rencontrer ce problème.
Le boîtier TV d’Apple revient chez Free au même prix. La souscription en multi-tv n’est toujours pas possible.
Retirée temporairement des offres de Free, l’Apple TV 4K fait son retour aujourd’hui pour les nouveaux abonnés Freebox Delta et Pop, en atteste le test d’éligibilité de Free. Toujours affiché à 2,99€/mois pendant 48 mois à l’achat, soit 143,52€, le boîtier de la marque à la pomme semble toujours être la version 2021 et non la toute dernière mouture avec la puce A15 bionic, et le HDR10+.
Selon les constatations de plusieurs membres de la communauté Free, les abonnés Freebox désireux d’opter pour l’Apple TV 4K en multi-tv, devront encore prendre leur mal en patience. Tout porte à croire que l’opérateur rencontre des problèmes de stock en privilégiant les nouveaux clients.
L’Apple TV 4K est revenu, uniquement pour les nouveaux abonnés
Vialma, un service original pour les amateurs de musique classique et de Jazz, vient de lancer une offre speciale sur la Freebox, en offrant le premier mois
Vialma est un service de SVOD dédié à la musique classique et au Jazz n. Celui-ci est disponible, sur les Freebox Révolution, Freebox Delta et Freebox One, au tarif de 9,90€/mois. Une offre promotionnelle vient d’être lancée, et le service est offert durant un mois pour tous les abonnés Freebox, sans aucun engagement.
Pour ceux qui ne connaissent pas, Vialma a été créé “parce que chaque moment mérite une belle musique” Quelle que soit votre humeur, Vialma accompagne votre quotidien à travers une large gamme de vidéos et de playlists thématiques élaborées par des experts passionnés. Que vous vous sentiez heureux, fatigués ou en recherche de la musique parfaite pour votre soirée, notre équipe a le programme parfait pour vous. Ce service est donc désormais disponible sur la Freebox avec un catalogue de vidéos HD et de titres audio en qualité CD.
Free vient de lancer deux petites baisses de prix temporaires sur deux modèles des derniers iPhone à savoir l’iPhone 14 et l’iPhone 14 Plus.
Free propose une promo temporaire sur l’iPhone 14 et l’iPhone 14 Plus., que ce soit en achat comptant ou avec Free Flex, la formule lancée par Free, qui permet de bénéficier d’une large gamme de smartphones, en payant une petite partie chaque mois durant 24 mois, et en ayant la possibilité de le conserver à l’issue de cette période. Contrairement au offre de remboursement, la remise est ici immédiate.
Le premier smartphone concerné est le IPhone 14 Plus qui bénéficie d’une remise de 30€.
En achat comptant le prix est donc de 1109€ au lieu de 1139€
Avec Free Flex, sur une durée de 24 mois pour ce mobile, le premier paiement sera de 489€ (au lieu de 519€ sans remise), puis 24 loyers suivants de 22,99€/mois. A l’issue des 24 mois, vous avez le choix entre restituer votre mobile ou l’acquérir en versant le montant de l’option d’achat de 98€. A défaut de choix, prorogation tacite du contrat pour des périodes successives d’un mois.
Le second smartphone concerné est le IPhone 14 qui bénéficie d’une remise de 30€.
En achat comptant le prix est donc de 989€ au lieu de 1009€
Avec Free Flex, sur une durée de 24 mois pour ce mobile, le premier paiement sera de 339€ (au lieu de 369€ sans remise), puis 24 loyers suivants de 22,99€/mois. A l’issue des 24 mois, vous avez le choix entre restituer votre mobile ou l’acquérir en versant le montant de l’option d’achat de 98€. A défaut de choix, prorogation tacite du contrat pour des périodes successives d’un mois.
A noter que d’autres remises immédiates sont déjà proposées depuis quelques semaines sur d’autres modèles d’IPhone de la boutique Free Mobile.
Comme chaque semaine, nous vous proposons notre chronique « Ça s’est passé chez Free et dans les télécoms … » Celle-ci vous propose de vous replonger dans les événements qui ont fait l’actualité de la semaine en cours, mais durant les années, les décennies, voire les siècles précédents. Ces événements concerneront Free bien sûr, mais plus largement les télécoms et le numérique. Souvenirs, souvenirs …
7 février 1987 : Création de la Société Française de Radiophonie (SFR)
La Compagnie générale des eaux crée le 7 février 1987 son opérateur de téléphone nommé SFR. C’est le premier opérateur alternatif à l’opérateur historique France Télécom et il s’avérera être un pionnier notamment dans la téléphonie mobile pour SFR, en ouvrant son réseau de GSM en 1992. C’est sa branche Cegetel qui marquera pour sa part le marché de la téléphonie fixe. L’opérateur est ensuite devenu SFR Group créé en 2016 puis a été racheté par Altice, avec qui il fête ses 36 ans cette semaine.
L’opérateur au carré rouge était né
8 février 2018 : le deuxième opérateur d’infrastructure de France trouve un accord avec Free
Un accord très important pour le déploiement des offres fibre de Free. Le 8 février 2018, le dirigeant de Covage, deuxième opérateur d’infrastructure annonçait avoir trouvé un terrain d’entente avec Free. « Dès 2018, les opérateurs d’envergure nationale que sont Bouygues et Free vont arriver. Et Orange et SFR ne pourront que suivre » annonçait il alors. Depuis, de nombreux RIP de Covage ont vu arriver les offres de l’opérateur de Xavier Niel, même si l’officialisation du partenariat mettra un an à se faire.
9 février 2005 : Free booste le débit de ses abonnés Freebox
Une bonne nouvelle pour les abonnés Free Haut débit de l’époque : l’accès au débit maximum dans toutes les zones non dégroupées. Ainsi, pour l’offre dual-play alors proposée par l’opérateur de Xavier Niel, les abonnés pouvaient accéder à un débit jusqu’à 10 272 kbit/s en réception et jusqu’à 320 kbit/s en émission. La migration, rendue possible le 9 février 2005, était proposée gratuitement pour les abonnés raccordés en 2560 kbit/s.
9 février 2012 : France Telecom propose ses premières offres mixtes au nom d’Orange
Les offres mixtes France Télécom commencent à disparaître puisque c’est le 9 février 2012 que les premières offres combinant fixe et mobile Orange sont présentées par l’opérateur. Le choix était laissé aux utilisateurs vis à vis de la durée des appels : deux heures (19,90€/mois), quatre heures (25,90€) ou illimité (39,90€).
La transition est bien enclenchée !
12 février 2004 : Une troisième Freebox voit le jour
La deuxième génération des Freebox a vu le jour avec la Freebox V3 qui apporte un tout nouveau design à la Freebox le 12 février 2004. Plus compacte, dotée d’un affichage LED que n’avaient pas les versions précédentes, la Freebox V3 fait aussi table rases de connectiques inutilisées comme les connecteurs RCA et le second connecteur téléphonique. A noter la Freebox V3 était surnommée … la coquille saint-jacques, on imagine facilement pourquoi en voyant son look.
V1, V3, V6, des designs toujours renouvelés pour Free (sans mentionner la Delta ou la Pop…).
12 février 2013 : la Freebox Révolution passe au Bluetooth
Une nouveauté qui nous paraît pourtant bien habituelle, mais qui a son importance dans l’histoire des Freebox. Le 12 février 2013 a en effet été déployé un nouveau firmware de la box incluant la gestion du bluetooth. L’occasion également pour Free d’annoncer qu’il allait proposer un clavier et une manette compatible avec ce nouveau standard.
Pour intervenir sur un site mobile en montagne, des techniciens Free ont dû effectuer cette semaine plusieurs kilomètres en ski.
Les interventions de techniciens sur certains sites mobiles nécessitent parfois de l’endurance et certaines facultés sportives, surtout en hiver. C’est le cas cette semaine dans la commune de Modane en Savoie. “Nos techniciens Free sont intervenus sur nos équipements du réseau mobile 3G, 4G et 5G pour corriger une inversion de secteurs et effectuer une vérification complète des bretelles”, annonce aujourd’hui le compte officiel Free_1337 sur Facebook.
Seul hic, ces antennes sont situées aux abords d’un ancien fort militaire, “accessible uniquement en ski de randonnée en hiver et sur plusieurs kilomètres”. De quoi ajouter une difficulté supplémentaire dans le déroulement de l’intervention. Les images parlent d’elles-mêmes.
Le Groupe Iliad fait évoluer ses structures de management “dans un contexte de croissance soutenue de ses activités et d’affirmation de sa dimension européenne”
Iliad a annoncé ce soir que Thomas Reynaud, le Directeur Général du Groupe, avait nommé ce jour Nicolas Thomas au poste de Directeur Général de Free. Par ailleurs, Thomas Robin devient quant à lui Directeur Financier de Free.
Nicolas Thomas et Thomas Robin exercent des responsabilités depuis plus de dix ans au sein du Groupe Iliad, à la fois en Italie et en France. Leur nomination témoigne de la volonté continue du Groupe de faire progresser en interne ses collaborateurs, dans toutes les fonctions, et dans tous les métiers.
Dorénavant, le Groupe précise qu’il disposera ainsi d’une direction générale dédiée pour chacun de ses opérateurs dans les différents pays d’implantation, en France, en Italie et en Pologne. La nouvelle organisation entrera en vigueur le 6 mars 2023.
La Direction Générale Groupe, autour de Thomas Reynaud, Directeur Général, et Nicolas Jaeger, Directeur Général Délégué, supervisera l’ensemble des pays et filiales, s’assurera du bon suivi du plan stratégique, du plan climat, et préparera les développements futurs.
A l’occasion de cette annonce, Thomas Reynaud a expliqué que «cette évolution est très logique. Il est bon, dans un moment où notre Groupe atteint près de 17 000 collaborateurs au service de près de 46 millions d’abonnés, que chaque opérateur ait sa propre structure de management. Cette évolution doit s’accompagner de plus d’échanges de bonnes pratiques entre les opérateurs des différents pays. C’est la clé pour que le Groupe iliad s’affirme parmi les leaders européens, en étant toujours plus innovant, toujours plus au service de ses abonnés et toujours plus à l’écoute de ses salariés. »
Le Netflix à la française n’aura pas fait long feu. Plus de 2 ans après son lancement, le service de SVOD va disparaître. Sa dissolution devrait être effective dans les prochains jours.
Lancé en octobre 2020, le service de SVOD français Salto va baisser le rideau. Selon les informations du Figaro, la plateforme de SVOD de France Télévisions, TF1 et M6 s’arrêtera dans quelques semaines, sa dissolution devrait être actée dans les prochains jours au cours d’une assemblée générale.
Aucun accord n’a été trouvé avec un potentiel acheteur pour la reprise de Salto, la société qui compte près de quarante salariés va être placée en liquidation judiciaire.
Après TF1 et M6, France Télévisions s’est désengagé du projet en janvier. Un Comité sociale économique (CSE) central extraordinaire de groupe audiovisuel s’est alors penché sur la dissolution et la cessation des activités du service.
“La dissolution n’est pas actée, si elle l’est ce ne sera pas devant les instances de France Télévisions mais devant celles de Salto“, avait précisé Antoine Chuzeville, représentant syndical SNJ au CSE central. Avant de reconnaître que faute de repreneur dans les jours ou semaines qui allaient venir, la dissolution ne pourra pas être évitée. C’est donc le cas.
La question des emplois semble réglée : parmi les 42 salariés en CDI et 8 en CDD, ceux provenant à l’origine d’une des entreprises co-fondatrices seront repris si la plateforme est dissoute. Ceux qui avaient été recrutés directement par Salto se verront quant à eux “proposer des postes au sein des trois entreprises (TF1, France Télévisions et M6 ; NDLR)” avait expliqué le représentant syndical.