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Canalplay reprend des couleurs face à Netflix, mais au prix d’une baisse de ses tarifs

Canalplay, le service de SVOD du groupe Canal+ avait eu plusieurs années pour se préparer, mais il a très mal résisté à l’arrivée de Netflix en France. Le service américain de streaming a été lancé en 2014 dans l’hexagone, et le succès a presque été immédiat. Face à cette déferlante, le nombre d’abonnés à Canalplay a été divisé par 2 au cours des années suivantes.

Mais selon L’Express, le service français reprend des couleurs. En 2017, et pour la première fois depuis l’arrivée de Netflix, il a regagné des abonnés. Seulement 20 000 en plus sur l’année, pour un total  de 294 000, mais la tendance est là. Idem pour le chiffre d’affaire en hausse de 12% à 37,9 millions d’euros.

Pour autant, ces chiffres encourageants cachent une autre réalité. En effet, Canalplay a été intégré dans les offres Start by Canal, disponibles sur la Bbox Miami+ mais également dans les offres Canal Ciné-série et Intégral. « Ce procédé donne lieu à une refacturation interne d’une quote part des revenus liés à la vente de ces packs. Du coup, selon des documents internes, le prix moyen par abonné a chuté de 9,8 euros en 2016 à 7,5 euros en 2017. » rapporte L’Express. Dans le même temps, Netflix, augmentait, lui, ses tarifs. Au final, Canalplay coûte donc moins cher, en moyenne, que l’offre de base de Netflix à 7,90€ (pour 1 écran). 

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Déploiement fixe chez Free : il n’y a pas, pour le moment, d’effet positif des nouvelles offres Freebox sur les recrutements

 
Nouveau bilan hebdomadaire du déploiement fixe et du gain d’abonnés chez Free. Avec le déploiement des DSLAM IPV6, francois04, qui permet d’avoir une estimation du nombre d’abonnés, a mis en place une nouvelle méthode de détection qui permet de distinguer les connexions xDSL par rapport aux connexions Fibre par la mesure de la latence (temps de propagation dans le réseau) entre le Dslam et la box de l’abonné.
 
Grace à cette  méthode de détection, il est possible de suivre l’évolution du nombre d’abonnés FTTH et ADSL chez Free, et nous vous proposons donc un bilan hebdomadaire de cet accroissement. Il n’est cependant  pas possible de connaitre la localisation exacte des nouveaux NRA et NRO concernés, ceux-ci étant uniquement répartis en 5 grandes régions.
 
Déploiement FTTH chez Free du lundi 11 au dimanche 17 juin
 
Afin que les NRO soient mieux identifiés Francois04 se base sur la localisation des équipements identifiés par Freepon .
 
Sur la semaine, Free a déployé 4 nouveaux  NRO, pour un total de 794. Le nombre de nouveaux abonnés connectés en FTTH a augmenté de 6 800 depuis la semaine dernière (la semaine précédente ce chiffre était de 7 300) .  A ce jour Free compte au total 724 500 abonnés FTTH
 
Déploiement ADSL et VDSL chez Free du lundi 11 au dimanche 17 juin
 
Actuellement, il y a des bascules adsl ipv4 à ipv6 avec des doubles comptes de connexions (ancienne ipv4 et nouvelle ipv6). Les connexions étant estimées par francois04 sur un cumul de résultats sur 20 jours glissants; il n’est pas facile d’interpréter les estimations publiées pour le total adsl. Nous vous le donnons donc à titre indicatif, mais ce qui est sûr, c’est que le solde est négatif. Le nombre d’abonnés ADSL et VDSL chez Free est en baisse de 11 600 abonnés, soit  5 682 300 au total.
 
Au total (fibre + ADSL) , Free perd encore des abonnés (environ 4 800). Pour le moment, il n’y a donc pas d’effet positif des nouvelles offres Freebox sur les recrutements, alors qu’elles ont été lancées il y plus de 2 semaines,  et qu’il faut entre 1 et 3 semaines pour qu’un nouvel abonné soit câblé et que Francois04 puisse donc détecter sa connexion.
 

 

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Pénurie de fibre optique ‘ un scénario alternatif se dessine pour faire face aux tensions sur l’approvisionnement

Comme l’a expliqué Pierre-Michel Attali de l’IDate lors de la présentation de l’Observatoire du Très Haut Débit à l’OpenLab de Huawei à Paris à laquelle Univers Freebox a assisté, il n’y a pas de pénurie à proprement parler de fibre optique, même si des tensions se feront ressentir sur l’approvisionnement jusqu’en 2019. Un plan de pilotage national des besoins va être mis en place pour offrir plus de visibilité aux câbliers français et un scénario alternatif se dessine afin que la montée en charge de la filière suffise à couvrir les besoins.

La féderation des industriels des RIP a souhaité profiter de cette enquête exhaustive, réalisée à l’échelle nationale et qui est devenue un indicateur de référence pour les collectivités et les institutions françaises, pour sonder ses membres et apporter un éclairage fidèle à la réalité et précis sur des questions d’actualités, notamment sur les problématiques d’approvisionnement de fibre optique en France qui sont sur toutes les lèvres ces temps-ci.

Ces tensions proviennent des capacités de production au niveau mondial de la matière première permettant de fabriquer les câbles de fibre optique : la préforme (ce barreau de verre ultra pur en silice synthétique). En cause, principalement : les besoins de la Chine. En effet la France ne pèse que 2,2% du marché mondial en 2017 contre 58% pour la Chine, en 2018, le seul opérateur chinois China Mobile déploiera deux fois plus de fibres que l’ensemble constitué par l’Europe et les USA.

La fabrication des préformes nécessite de lourd investissements portés par une quinzaine d’acteurs dans le monde mais la capacité de production égale quasiment les besoins en fibre.

Par ailleurs, en France ces besoins vont passer de 13 millions de kilomètres de fibre optique en 2017, à plus de 20 millions en 2018, ces tensions persisteront jusqu’à fin 2019 (date à laquelle la montée en charge de la capacité de production en France devrait permettre de répondre aux besoins). 

Jacques de Heere, PDG d’Acome et Vice-président du Sycabel (Syndicat professionnel des fabricants de fils et de câbles électriques et de communication) a d’ailleurs alerté en ce qui concerne l’objectif de 4 millions de prises en 2018 "notre secteur croît actuellement de 35% par an, ce qui est énorme, pour atteindre 4 millions de prises, il nous faudrait passer à 65% de croissance annuelle, ce qui n’est pas réaliste".

Selon un scénario plus réaliste (avec un léger étalement des déploiements : 5% des prises ZTD et AMII prévues non déployées fin 2022 et 10% des prises RIP prévues non déployées fin 2022 ), la montée en charge de la filière pourrait suffire, "certes les tensions sont là mais la filière est mobilisée au travers d’investissements considérables. Entre les 2 scénarios de croissance de la demande, nous pensons que nous devrions être davantage autour des +40% cette année, ce qui laisse penser que la filière peut gérer". Les câbliers français, la FIRIP et l’Avicca vont ainsi travailler main dans la main pour mettre en place un pilotage national sur les besoins, qui leur permettra d’avoir une meilleure visibilité et pouvoir mieux les anticiper.

L’AVICCA de son côté ne décolère pas et se désole de ce manque d’anticipation "nous avons signé des contrats avec les industriels assortis d’engagements de déploiement chiffrés. Ceux-ci doivent être honorés. Qu’on ne vienne pas nous parler de pénurie pour expliquer les retards alors que cette situation était prévisible".

 

Ci-dessous la carte de France de la répartition des besoins en fibre optique à horizon 2020 :

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Pour ses prochains iPhone, Apple n’abandonnera pas complètement le LCD

Apple a prévu trois nouveaux iPhone pour 2018. Deux d’entre eux bénéficieraient d’écrans OLED tandis que le dernier disposerait d’une dalle LCD afin de proposer un modèle moins onéreux.

Sur la toile, certaines rumeurs laissent entendre que les trois modèles d’iPhone prévu pour cette année seraient équipés de dalles OLED. Cependant, d’après les informations du Wall Street Journal, l’un des modèles prévus par Apple devrait embarquer un écran LCD.

Pour rappel, l’iPhone X a été le mobile le plus vendu au monde lors du premier trimestre 2018. A cause de son prix élevé, la firme de Cupertino en a tout de même vendu moins qu’escompté. C’est en partant de ce constat que la marque à la pomme a décidé de proposer un nouveau modèle, moins cher, censé augmenter le volume des ventes d’iPhone.

En effet, les écrans LCD coûtent bien moins cher que les dalles OLED. Cependant, la technologie OLED offre un bien meilleur contraste ainsi qu’une expérience visuelle enrichie pour ses utilisateurs. Samsung est le premier fournisseur de dalle OLED, suivit par LG puis Japan Display. Même si ces deux derniers cherchent à accélérer leurs productions d’écrans, Samsung reste le numéro un dans le domaine pour le moment. La technologie OLED doit être proposée par plus d’acteurs pour que son coût baisse. Toujours d’après le Wall Street Journal, Apple économiserait 60 dollars par écran en faisant l’usage de dalles LCD au prix de 40 dollars, tandis que le prix d’un écran OLED pour iPhone est d’une centaine de dollars.

La firme dirigée par Tim Cook ne semble donc pas abandonner les dalles LCD. Elle pourrait attendre une diminution des prix jusqu’en 2020, afin remplacer complètement la technologie LCD par l’OLED qui reste un peu chère pour l’instant.

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Très Haut Débit pour tous : le mix technologique est une nécessité pour tenir l’objectif de 2022

L’objectif du très haut débit pour tous à horizon 2022 ne se fera pas sans recours au mix technologique.

S’il ressort de la présentation de l’Observatoire du Très Haut Débit à laquelle Univers Freebox a assisté, qu’en 2022, le taux de couverture en FttH sera meilleur que prévu (84% contre 80% initialement) Antoine Darodes, Directeur de l’Agence du Numérique a rappelé que “nous avons besoin du mix technologique pour assurer l’ambition du THD pour tous d’ici 2022“.

Au moins 16% des foyers devront recourir au mix technologique pour ne pas être privés durablement de THD. Les technologies radio et satellite concerneront potentiellement in fine, un nombre conséquent de locaux, évalué à 2,2 millions par IDate. Une première expérimentation de THD Radio à la société Sem@for77 en Seine-et-Marne, elle permet de fournir du très haut débit à 142 communes qui n’en disposent pas actuellement, ces solutions alternatives à la fibre commencent ainsi à se développer.

Dès le début le mix technologique était intégré au plan Très Haut Débit, mais on a eu un focus sur le déploiement de fibre explique le directeur de l’Agence du Numérique “c’était quelque chose de nouveau, il fallait enclencher la machine et parce que cela concernait la majorité des français”. Désormais les déploiements avancent bien et il est temps d’avoir un regard plus attentif sur les technologies hertziennes “car c’est là où il y a peut-être le plus de risques que l’on atteigne pas nos objectifs“.

Les technologies (THD Radio, satellite, 4G fixe) sont au point, pour Antoine Darodes c’est “l’écosystème de distribution et de commercialisation” de ces technologies qui fait encore un peu peur à une partie de la population. C’est pour répondre à ces inquiétudes que le gouvernement a fait le choix d’alouer 100 millions d’euros sur les 300 millions d’euros restant disponibles des 3,3 milliards dévolus au financement du Plan, pour soutenir l’équipement aux technologies hertziennes (grâce à un chèque de 150 euros). Par ailleurs les mauvaises expériences sur le WiMax ont laissé des traces et un effort de communication va être fait pour promouvoir l’adoption de ces technologies.

L’AVICCA de son côté insiste sur le fait que ces solutions alternatives doivent être pensées comme alternatives et que l’on ne doit pas se contenter d’en faire la promotion mais de réfléchir dès maintenant à comment a mener la fibre dans ces zones. Par ailleurs, Ariel Turpin, délégué général de l’AVICCA, met en lumière la montée en débit sur le cuivre qui a bien rendu service mais qui pose désormais question en particulier sur le coût de fonctionnement du réseau cuivre qui représentera 10% des accès très haut débit en 2022, c’est un coût important pour les collectivités “sur les budgets de certains syndicat mixte cela représente jusqu’à un tiers des frais, des charges de fonctionnement” qu’il convient de réduire pour proposer des abonnements moins chers.

 

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L’opérateur K-Net débarque sur les réseaux fibre de TDF

 

Après Videofutur puis Ozone le mois dernier, c’est au tour de K-Net de signer un accord cadre national avec TDF.

Ainsi, le fournisseur d’accès à internet pourra commercialiser son offre fibre sur tous les réseaux FTTH opérés par TDF, qui représenteront, à terme, plus de 700 000 prises.

Pour TDF, cet accord confirme son positionnement en tant qu’opérateur d’infrastructures fibre, neutre et ouvert, visant à couvrir les territoires situés en zones peu denses. Depuis 2017, cinq départements lui ont fait confiance pour le déploiement, l’exploitation et la commercialisation du réseau fibre optique dans ces zones, à savoir le Val-d’Oise, les Yvelines, l’Indre-et-Loire, le Loir-et-Cher et le Maine-et-Loire.

A noter que l’offre de K-Net sera disponible dès le mois de juillet 2018 dans le Val d’Oise sur le réseau d’initiative publique Val d’Oise Fibre. Pour rappel, l’opérateur propose des offres Triple Play (Internet, Téléphonie fixe et Télévision) sans durée d’engagement avec une connexion allant jusqu’à 1Gb/s. Par ailleurs, celui-ci a fait le choix de proposer ses services uniquement dans les territoires en délégation de service public (DSP) et joue la carte de la proximité en implantant dès que possible une agence physique dans chaque région où elle commercialise ses offres.

 

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Free recherche un conseiller multimédia à Bordeaux

Free recherche un conseiller multimédia pour son Free Center à Bordeaux (33) H/F en France. Les lecteurs d’Univers Freebox étant, à priori, concernés par le monde des télécoms et de Free en particulier, nul doute que certains d’entre vous seront intéressés et qualifiés pour ce poste.

Poste

Intégré(e) à nos équipes opérationnelles du centre d’appels, vous aurez comme principales missions, en tant que représentant de la marque :

• De CONSEILLER, DÉPANNER et ASSISTER nos abonnés par téléphone en leur apportant des réponses claires et de qualité, sur un périmètre plurimédia de niveau 1 ;
• D’assister nos abonnés par webcam Face to Free ;
• De faire connaître et valoriser les services de la marque afin de favoriser leur utilisation et de fidéliser nos abonnés ;
• De faire remonter toute information permettant d’identifier et d’améliorer un dysfonctionnement utilisateur.

• Convention Collective : Télécommunications
• Lieu de travail : Bordeaux Lac (33)
• Type de contrat : CDI à temps plein
• Action de professionnalisation: 12 mois
• Service : ASSISTANCE TECHNIQUE ADSL Free
• Horaires d’ouverture du site : du Lundi au Samedi, 08h-21h (Rotation par semaine type), jours fériés
• Salaire mensuel brut : 1694€ + Prime mensuelle sur objectifs
• Service d’accompagnement à l’installation pour un déménagement de plus de 70km via la société http://www.via-humanis.fr/

Profil

Possédant un esprit logique et de bonnes CONNAISSANCES INFORMATIQUES, vous maîtrisez l’outil informatique et êtes amateur de NOUVELLES TECHNOLOGIES.

Formation de niveau Bac+2 souhaitée ou autodidacte (informatique, multimédia ou réseaux), vous pouvez bénéficier d’une expérience professionnelle dans des fonctions similaires dans la relation client ou auprès d’un Fournisseur d’Accès Internet.

Doté(e) d’excellentes qualités relationnelles, vous êtes à l’écoute des interlocuteurs et faites preuve de pédagogie. Vous savez gérer vos échanges avec directivité, en faisant preuve d’une bonne capacité d’analyse dans la compréhension des demandes et d’un esprit de synthèse dans les réponses apportées.

D’un tempérament calme et diplomate, vous avez le sens du service et savez gérer les situations difficiles.

Vous êtes consciencieux(-se), ponctuel(le), assidu(e) et appréciez le travail en équipe.

Postulez ici.

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Un poste d’infirmier(ère) de santé au travail est à pourvoir chez Free à Marseille

Free recherche un infirmier(ère) de santé au travail pour son Free Center à Marseille (13) H/F en France. Les lecteurs d’Univers Freebox étant, à priori, concernés par le monde des télécoms et de Free en particulier, nul doute que certains d’entre vous seront intéressés et qualifiés pour ce poste.

Poste

L’infirmier(e) de santé au travail en entreprise, effectue dans le cadre de son rôle propre ou de ses missions confiées des actions de prévention, de dépistage, d’éducation et assiste le médecin du travail dans l’ensemble de ses activités.

Missions:

– Soins d’urgence dont : assistance aux blessés, orientation, évacuation selon protocoles validés par le médecin du travail
– Tenue à jour du registre des accidents du travail bénins
– Rôle d’écoute des salariés
– Actions de prévention, de formation et d’éducation pour la santé
– Recueil de données cliniques et épidémiologiques
– Maintenance et gestion du matériel et de la pharmacie
– Formation: SST (FI et MAC)
– Sensibilisation en PRAP
– Mise en œuvre du projet infirmier dans le sens du plan annuel du médecin
– Missions confiées par le médecin du travail, sous sa responsabilité et dans le cadre de protocoles écrits.
– Actions collectives :
a. organisation et facilitation de l’activité en milieux de travail du médecin du travail
b. études de poste
c. fiche d’entreprise
d. métrologie
e. repérage, évaluation des risques
f. Action visant le maintien et l’insertion des salariés
g. participation au CHSCT (avec accord CHSCT)
h. participation aux enquêtes accidents du travail / maladies professionnelles
i. actions préventives de sensibilisation en santé travail liés aux risques professionnels
– Suivi médical individuel :
a. Entretiens infirmiers selon le protocole validé par le médecin du travail
b. Biométrie
c. Examens complémentaires
d. Sensibilisation, information éducation à la santé au travail
e. Suivi spécifique paramédical prescrit par le médecin du travail
f. Réunion hebdomadaire avec le médecin
g. Mise à jour d’indicateurs

-Activités annexes :

Élaboration du rapport d’activité infirmier annuel
La répartition du temps de travail est identique à celle du médecin du travail :1/3 en milieu du travail et 2/3 du temps en suivi individuel des salariés.
Exerçant ses missions au sein de l’infirmerie du site, l’IDEST travaille sous la responsabilité hiérarchique de la Direction de Certicall.
Il/elle dépend du médecin du travail d’un point de vue technique.

Salaire : 2264€ bruts mensuels
Contrat CDD de 9 mois (renouvelable), 35h/semaine, du lundi au vendredi (9h-17h ou 10h-18h)

POSTE A POURVOIR AU 20 AOUT 2018

Profil

– Titulaire IDEST ou IDE avec formation en santé travail dans les 12 mois
– Inscrit au tableau de l’ordre des infirmiers
– Etre à l’aise avec les outils informatique (excel, word, power point)
– Habilitation INRS de formateur de SST souhaitée

Postulez ici.

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Couverture et débit 4G Free Mobile : Focus sur Meaux

Avec les données de notre partenaire Sensorly, Univers Freebox vous propose un focus sur Meaux, 110ème ville de France par sa population et vous fait découvrir la carte de la couverture du réseau 4G et des débits.

Carte de couverture 4G chez Free Mobile :

Carte des débits 4G chez Free Mobile :

Selon les résultats des tests effectués par les abonnés Free Mobile, les zones rouges ont un débit inférieur à 20Mb/s, pour les zones jaunes le débit est compris entre 20 et 60Mb/s et pour les zones vertes le débit est au dessus de 60Mb/s.

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Vague de suicides chez France Télécom : l’ex-patron de l’opérateur historique poursuivi pour “harcèlement moral”

 

La responsabilité de Didier Lombard mise en cause, neuve ans après les premières plaintes.

L’ancien PDG de France Télécom devenu Orange en 2013 est poursuivi pour harcèlement moral dans l’affaire des suicides chez l’opérateur à la fin des années 2000, une première pour une telle entreprise. Les juges ont ainsi ordonné un procès et ont renvoyé devant le tribunal correctionnel, Didier Lombard et six autres ex-dirigeants dont quatre pour complicité. Le procès devrait prendre place aux alentours du second semestre 2019, rapporte l’AFP.

Cette vague de suicides, devenue symbole de la souffrance au travail, avait secoué le monde des télécoms entre 2008 et 2010. Une vingtaine de salariés de France Télécom s’étaient donnés la mort à la suite d’intenses pressions exercées au quotidien au sein de l’entreprise. En résumé, Didier Lombard exigeait 22 000 départs d’Orange-France Télécom dans le cadre du plan Next de restructuration de l’opérateur. Le PDG avait alors annoncé qu’il mènera à bien ce plan quitte à réaliser ces départs "par la fenêtre ou par la porte". S’en est suivi, un changement de métier pour 10 000 salariés et le recrutement de 6000 autres. Dépressions, suicides ou tentatives se sont succédés et le plan a finalement été abandonné en 2009. Trois ans plus tard, plus précisément, le 4 juillet 2012, le haut-fonctionnaire a été mis en examen pour harcèlement moral. Dans le viseur : sa politique désastreuse de gestion des ressources humaines. Aujourd’hui ce sont les juges d’instruction qui ordonnent un procès avec ce renvoi en correctionnelle.  Et force est de constater que les exemples de pratiques déstabilisantes constatées pullulent aujourd’hui dans leur ordonnance de 650 pages  : « Incitations répétées au départ» , «isolement », « mobilité forcée » etc…

 

Source : Les Echos

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