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La Vente  privée Free Mobile  qui propose un forfait Free avec 50Go à 0,99€ par mois durant 1 an (puis 19,99€/mois au delà) et qui devait se terminer mercredi à 6h00, vient d’être prolongée jusqu’à vendredi 22 juin. 

Que propose le forfait Free Mobile VP à 0.99€/mois ?

• Appels illimités vers les mobiles et  fixes en France métropolitaine et DOM (hors Mayotte)

• SMS illimités vers la France métropolitaine et les DOM

• MMS illimités en France métropolitaine

• Internet 4G : 50Go (débit réduit au-delà) en France métropolitaine. 

• FreeWiFi illimité 

Appels, SMS/MMS illimités hors n° courts, spéciaux, surtaxés et SMS/MMS surtaxés.

Internet 4G/3G 50Go valable avec un mobile 4G (Au-delà des 12 premiers mois et sur demande sur l’espace abonné, Internet 4G illimité valable avec un mobile 4G, réservée aux abonnés bénéficiant de la réduction Freebox (15.99€). 

Roaming  inclus depuis Europe et DOM, toute l’année :

• Appels, SMS, MMS illimités depuis Europe et DOM vers les fixes et mobiles d’Europe, des DOM et de France métropolitaine

• Internet 3 Go/mois depuis Europe et DOM en 3G (au-delà : 0,0072€/Mo depuis Europe et DOM) 

A l’issue des 12 mois c’est le Forfait Free classique qui prend le relais (100Go à 19,99€/mois ou data illimitée à 15,99€/mois pour les abonnés Freebox)

– Pour profiter de cette offre promotionnelle, rendez-vous sur Vente-Privée.

NB : pour faire une portabilité de votre numéro et obtenir votre Relevé Identité Opérateur (RIO), composez le 3179 depuis votre mobile.

La semaine dernière, les groupes France Télévisions, M6 et TF1 ont annoncé la création de Salto, une nouvelle plateforme qui se veut être une riposte à Netflix.

On connait pour le moment peu de choses quant aux contenus que proposera Salto, Julien Verley, le directeur du developpement commercial de France Télévisions s’est fait un peu plus précis sur FranceInfo. Il a expliqué que ce ne serait pas une plateforme de VOD, mais "une plateforme numérique de télévision", qui sera disponible en  OTT et sous forme d’application mobile. On retrouvera sur ce service, de façon éditorialisée (et non par chaînes) "toute les diversité des contenus" des Groupe France Télévisions, TF1 et  M6. On pourra ainsi retrouver du divertissement, du sport, de la fiction américaine, européenne et française. 

Les contenus proposés seront fonction de l’offre qui sera choisie par l’abonné. Il y aura un premier niveau de prix qui permettra d’accéder aux contenus live et replay des chaînes des 3 groupes. Une seconde offre, plus chère, donnera accès à "un catalogue très riche d’inédits et d’exclusivités". Les 2 tarifs n’ont pas été indiqués, mais, selon Le Figaro il y aurait une offre à 1,99€/mois et une seconde à 6,99€/mois.  

Julien Verley revient sur les contenus qui seront proposé par Salto. pic.twitter.com/kiwRwvY8Z2

— Salto (@SaltoOfficiel) 18 juin 2018

Finalement, Altice ne rachètera pas le Groupe Media capital au Portugal, qui possède entre autre TVI, la 1ère chaîne du pays.

L’affaire avait déjà débuté en juillet dernier lorsqu’Altice a racheté à Prisa sa part de 94,7% détenue dans le portugais Media Capital pour de 440 millions d’euros. Media Capital possède entre autres la chaîne de télévision TVI, 1ere chaîne du pays en terme d’audiences, et plusieurs stations de radio à succès dans le pays dont notamment Rádio Comercial, la plus écoutée.

Mais en février  l’autorité de la concurrence portugaise s’est penchée sur le dossier et a ouvert une enquête considérant qu’il existait "de solides indications (…) que cet accord puisse donner lieu à de sérieux obstacles en matière de concurrence dans plusieurs pays".

Le 29 mai l’Autorité a statué et "a rejeté les engagements présentés par Altice en vue de l’acquisition de Media Capital car ils ne protègent pas les intérêts des consommateurs et ne garantissent pas la concurrence". Et  l’histoire s’arrête là, puisque Le Figaro rapporte ce soir que le Groupe de Patrick Drahi "a abandonné son projet de rachat du portugais Media Capital à l’espagnol Prisa, le délai pour la conclusion de l’opération s’étant écoulé sans le feu vert de l’autorité portugaise de la concurrence"

GrayShift est une société axée sur le déblocage d’iPhone verrouillés. Les boîtiers Graykey de l’entreprise sont utilisés par le gouvernement dans le cadre d’enquêtes mais aussi par certains hackeurs afin de déverrouiller les iPhone bloqués pour pouvoir accéder aux données personnelles.

Dans cette optique, Apple a déployé un nouveau mode dans sa dernière mise à jour iOS appelé « USB Restricted Mode ». Il se chargera de couper toute connexion USB au terminal après une heure sans authentification.

Cette mise à jour de la firme de Cupertino lui a coûté d’être accusée par les autorités ainsi que la justice américaine de « protéger de manière flagrante les activités criminelles, sous couvert de protection de la vie privée ».

Cependant, d’après le site Motherboard, le groupe GrayShift aurait déjà trouvé le moyen d’outrepasser le nouveau mode « USB Restreint » d’Apple, et annonce même être prêt à contrer les prochaines mises à jour de protection de la marque à la Pomme.

Source : 20minutes

Depuis quelque temps maintenant, nous savons que Samsung est en train de concevoir un smartphone pliable nommé « Galaxy X ». Ce smartphone innovant devrait être le premier de la sorte, cependant son prix a été estimé et il semblerait qu’il soit très cher.

En effet, d’après Kim Jang-yeol, responsable de la recherche pour Golden Bridge Investment, le futur Samsung Galaxy X pliable serait commercialisé au prix de 2 millions de wons, ce qui correspond à 1 575 euros. Même si son tarif risque d’être légèrement différent en fonction des pays, une chose est sûre, ce terminal révolutionnaire sera très onéreux.

L’employé de Golden Bridge Investment vient appuyer de précédentes fuites qui laissaient entendre que le Galaxy X disposerait d’une dalle OLED de 7,3 pouces qui une fois repliée, serait d’une taille de 4,5 pouces. Le groupe sud-coréen intégrerait également l’usage d’une nouvelle technologie de « muscles artificiels » à ses composants pour qu’ils soient mobiles simultanément à l’écran sans aucune détérioration.

Pour rappel, la réalisation du terminal avait déjà été validée par Koh Dong-jin, le président de la division téléphonie mobile de Samsung, ainsi que le fait que l’entreprise soit à la recherche d’une date de sortie pour ce dernier. En parallèle, le porte-parole de Samsung Kim Choon-gon affirme que la conception du Galaxy X doté d’un « vrai écran pliable » continue.

Park Hyung-woo, un analyste de Shinhan Financial, a déclaré : « Nos fournisseurs et sous-traitants commenceront à livrer les pièces et les composants à la division des smartphones de Samsung Electronics début novembre ». De ce fait, certains prototypes de Galaxy X pourraient être montrés lors du CES, début 2019. Il donne également quelques précisions concernant le design du futur smartphone : « Ce nouvel appareil est très intéressant, car il est composé de deux écrans intérieurs et d’un écran extérieur. Ce sont les écrans intérieurs qui formeront l’affichage de 7,3 pouces, lorsque le téléphone sera déplié ».

La firme de Cupertino prévoit pour sa part, de lancer trois nouveaux iPhone au cours de cette année, dont un modèle qui serait doté d’un écran LCD, afin de proposer un terminal plus abordable. De son côté, le géant sud-coréen ne présenterait son futur smartphone pliable qu’au début de l’année prochaine.

Source : Forbes

Nous vous rapportons régulièrement les problèmes liés à l’implantation de nouvelles antennes relais Free Mobile mais chaque opérateur à son lot de contestataires. De nombreux collectifs en appellent au principe de précaution pour tenter d’empêcher l’installation où essayer de faire déplacer les antennes déjà posées.

Dans la deuxième partie de l’épreuve d’histoire-géographie du baccalauréat professionnel (enseignement moral et civique) qui s’est déroulée aujourd’hui, pour illustrer un sujet sur le principe de précaution c’est précisément sur le thème des antennes relais qu’avaient à plancher les élèves.

Vous avez une heure, à vos commentaires…

Merci @Dorian

Google pourrait mettre à profit dans son application Google Maps certaines fonctionnalités héritées de Waze, racheté en 2013 dont notamment celle assez populaire qui permet de signaler les radars.

Selon Android Police qui s’est plongé dans la nouvelle APK de Google Maps, il y serait fait mention de fonctions disponibles sur Waze et qui seraient donc intégrées prochainement à Google Maps. Parmi elles, la fonction de signalement d’incidents ou de danger qui permet aux conducteurs de signaler à la communautés d’utilisateurs sur le modèle de Waze des accidents, un radar fixe ou encore un contrôle de police devrait bientôt voir le jour.

Pour rappel, en France le signalement des radars ou contrôle de police avait fait polémique et dans sa version française Waze avait dû modifié l’intitulé de la fonctionnalité pour rester dans les clous, elle ne signale ainsi plus un radar mais une “zone de danger”. Reste à voir si Google Maps déploie cette fonction comme il la présentera dans son application en français.

source : BFM TV

S’il fait de la cybersécurité son fer de lance avec l’ambition de recruter 1000 experts supplémentaires d’ici 2020, l’opérateur historique n’est pas à l’abri des hackers. La preuve, des pirates ont réussi  à pénétrer un serveur de tests d’Orange en Belgique.

Selon Techzine qui a révélé l’information, un sous-traitant aurait commis une erreur lors d’un test . Au total, 15 000 clients sont concernés. Le dit serveur contenait notamment  les noms, adresses postales et mail, numéros de téléphone, de carte d’identité et de compte en banque. Néanmoins, les numéros de cartes bancaires n’étaient pas enregistrés mais des données ont disparu du serveur et leur nombre varie en fonction des clients. Cette fuite aurait été détectée fin mai mais les techniciens d’Orange ont eu besoin de 15 jours pour mener leur enquête, justifie l’opérateur historique. Finalement, les clients potentiellement impactés ont reçu un mail le 14 juin. Seul hic, selon le RGPD, les entreprises sont dans l’obligation d’informer leurs clients dans 72 heures après la découverte d’une fuite de données.