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Après la fin des frais d’itinérance, l’UE veut mettre fin aux coûts excessifs des appels et SMS entre pays membres

 

Un an après l’abolition des frais d’itinérance dans l’UE, place à une mesure limitant le coût des appels et SMS d’un pays membre à l’autre.

En route vers la fin des appels et SMS trop coûteux et des prix démesurés. Le Parlement européen et les Etats membres de l’Union ont conclu un accord préliminaire allant dans ce sens la nuit dernière. Selon toute vraisemblance, « les appels émis d’un Etat membre de l’UE vers un autre seront limités à 19 centimes d’euro par minute. L’envoi de SMS sera plafonné à six centimes d’euro », rapporte l’AFP. Une bonne nouvelle pour les européens alors que de nombreux opérateurs ainsi que la Commission européenne et les états membres jugeaient jusqu’à présent cette mesure comme inutile eu égard à la possibilité d’utiliser des applications comme Whatsapp ou Viber. Le salut est finalement venu du Parlement européen qui "contrairement à la proposition initiale, a poussé pour que les prix des appels internationaux au sein de l’UE soient plafonnés, estimant que ces prix étaient souvent disproportionnés", précise l’agence de presse. Selon BEUC, soit l’organisation européenne de défense des consommateurs, le prix d’un appel entre pays de l’UE est actuellement compris entre 5 et 80 centimes d’euro par minute. 

A noter que cet accord a été obtenu dans le cadre d’une refonte et une modernisation des lois sur les télécommunications. Celle-ci visant à encourager les opérateurs à investir davantage dans les réseaux fibre.

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En une infographie, l’ARCEP montre le peu de fiabilité des tests de débits actuels

Nous vous rapportions mardi que l’ARCEP souhaitait harmoniser les tests de débit afin de donner une information plus fiable aux consommateurs et lutter contre l’utilisation partielle des données par les opérateurs dans leurs publicités.

Dans son rapport sur " l’état d’internet en France " publié hier, le gendarme des télécoms a publié un graphique qui illustre le peu de fiabilité des tests de débits actuels. Il n’est pas précisé le nom de chacun des outils utilisés, mais on constate qu’il y a un facteur de 1 à 5 en ce qui concerne le résultat observé pour la même ligne.

 

 

Afin de remédier à ce problème de fiabilité des tests de débits, l’Arcep a travaillé pendant deux ans en collaboration avec les opérateurs ainsi que  « des centres de recherche, des associations de consommateurs et les sociétés qui développent ces outils de mesure », et ce dans l’optique  « de proposer la version bêta d’un code de conduite et d’une méthodologie ». Vous pouvez retrouver tous les détails  dans notre article publié ce mardi.

 

 

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Clin d’oeil : la photo étonnante d’Iliad en Italie, qui rappelle le lancement de Free Mobile en France

C’est une photo assez étonnante de la situation actuelle chez les opérateurs télécom en Italie qui nous a été envoyée par un lecteur (merci Alexis). On peut y voir, à la même heure, et côte à côte, une boutique TIM (l’opérateur mobile historique) et une boutique Iliad. D’un coté, une longue queue devant la boutique du nouvel opérateur de Xavier Niel, qui a lancé un forfait à 5,99€/mois, et de l’autre TIM, qui n’attire pas les foules. Il faudra maintenant attendre la publication des chiffres d’Iliad en Italie pour savoir si cette photo est représentative des recrutements.

 

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Apple cherche à concurrencer Google et Facebook au niveau des publicités

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La firme de Cupertino serait en train de rassembler certains grands acteurs du numérique afin de faire la chasse aux revenus publicitaires.

D’après les informations du Wall Street Journal, Apple chercherait à concevoir son propre réseau de publicités. Les équipes de la Pomme auraient récemment rencontré plusieurs grands acteurs du numérique, notamment les deux grands réseaux sociaux Snapchat ainsi que Pinterest, afin de convenir d’un accord. La firme dirigée par Tim Cook prévoirait de reverser une part des bénéfices publicitaires à chacune des applications en partenariat avec elle. Les annonces qui paraîtront sur ces réseaux sociaux seront sélectionnées en fonction de l’activité des utilisateurs à savoir, des contenus qu’ils regardent ou encore des recherches effectuées. La marque à la pomme n’a pas donné plus de précision concernant le fonctionnement du programme.

A l’heure actuelle, Apple gagne environ 1 milliard d’euros grâce aux annonces publicitaires chaque année. A titre de comparaison, elle rapporte à Alphabet quelques 69 milliards d’euros, le groupe de Tim Cook a donc beaucoup à faire pour arriver à un tel résultat. La filiale de Google a expliqué qu’elle représentait 35% des annonces publicitaires sur mobile, tandis que Facebook en couvre lui 25%. En plus d’avoir un sérieux retard dans le domaine de la publicité, Apple ayant toujours mis en avant le fait qu’elle n’utilise pas ou peu les données personnelles de ses utilisateurs, n’a pas accès aux mêmes outils que ses concurrents. Seul le temps nous dira si les offres de la firme de Cupertino intéresseront les annonceurs ou non.

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La France, paradis de la tech : extrait de l’intervention de Xavier Niel dans le Club Les Echos

  

Invité jeudi 17 mai du Club Les Echos Débats, Xavier Niel  s’est prêté  au jeu des questions-réponses autour du thème : « La France, paradis de la tech ? » Au programme de cette vidéo, la fiscalité et les avantages à créer une entreprise dans l’hexagone plutôt qu’ailleurs. Voici un extrait.

 

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Adieu Alice : Free met fin à son offre low cost Alicebox

Cette fois-ci c’est vraiment la fin pour la marque Alice, rachetée par Free en 2008. Il n’est en effet plus possible de s’abonner au forfait Alicebox Initial, l’offre discount à 19,98€/mois (9,99€/mois en dégroupage partiel). Depuis aujourd’hui, lorsque l’on se rend sur le site Alicebox, nous sommes renvoyés sur le site de Free et ses nouvelles offres Freebox (mais également ses offres Freebox Historiques). Cette suppression fait suite au réaménagement des offres par Free, et la relance de la Freebox Crystal, qui n’est autre qu’une Alicebox avec un capot différent. Le tarif de la nouvelle offre Freebox Crystal n’est cependant pas le même puisqu’il est moins cher la 1ère année (9,99€/mois) mais plus cher à partir de la 2ème année (24,99€/mois). Et le service TV n’est pas inclus contrairement à l’Alicebox. Pour les abonnés Alicebox actuels, rien ne change, ils conservent leur tarif.

Et par pure nostalgie, voici la pub Alice qui a marqué toute une génération

Source : Busyspider

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Evolution du nombre d’abonnés depuis 2012 : Free, Orange et Bouygues ont fait le plein d’abonnés, seul SFR en a perdu

 
Comme il le fait régulièrement, Hammett, sur lafibre.info, compile les données des opérateurs télécoms afin de pouvoir les comparer. Il vient ainsi de réaliser un tableau comparatif du nombre de clients fixes et mobiles depuis 2012 et jusqu’au 1er trimestre 2018, dont les opérateurs ont publié récemment les résultats.
 
 
Hammett analyse « SFR remonte symboliquement de 0,1 point. Depuis son rachat par Altice, la perte est 3,338 millions de clients, soit 6,3 points en parts de marché. Bouygues a pris 2,5 points, Free 2,3 points et Orange 1,6 point."
 
Il note par ailleurs que "depuis l’arrivée de Free Mobile et le rachat de SFR, les cartes ont été largement redistribuées. Depuis fin 2012, SFR (ensemble des segments) a perdu 7,5 points et 2,9 millions de clients. Orange (mvno et prépayés) a perdu 1,8 point mais gagné 5,3 millions de client, Bouygues a gagné 2,1 points et 4,7 millions de clients, Free a gagné 7,2 points et 9,7 millions de clients, ce qui lui vaut d’avoir pris la troisième place à Bouygues Telecom. Toutefois, depuis 18 mois, Bouygues a refait 1/3 de son retard." 
 
 
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Free: l’Arcep détaille son enquête sur les problèmes de débit sur Netflix et dévoile ses premières conclusions

 
Si un accord d’interconnexion est en vue entre Free et Netflix, l’Arcep n’a pas manqué de revenir sur l’enquête qu’il a mené début 2018 au sujet des problèmes de débit rencontrés dans son nouveau rapport de l’état de l’internet en France. Il en résulte notamment qu’à contrario de ses rivaux, l’opérateur de Xavier Niel se connecte aux autres acteurs de l’internet en grande partie via un seul transitaire. Un retard constaté pénalisant.

"Nous avons commencé à enquêter et les premiers résultats montrent qu’il n’y a pas d’irrégularités de la part de Free. Il semble fort probable donc que ce soit un problème d’interconnexion à résoudre entre Free et Netflix. Il serait donc injuste de rejeter la faute uniquement sur Free. La balle est aussi dans le camp de Netflix pour mettre fin à cette situation” a lâché Sébastien Soriano à nos confrères de 01Net fin février avant d’ajouter que le sujet sera évoqué dans le futur rapport de l’Arcep sur la santé de l’internet en France. Ce dernier, très dense, ayant été rendu public hier, on en sait donc davantage. Tout d’abord c’est à la suite d’une myriade de sollicitations publiques et à un grand nombre de remontées sur la plateforme « j’alerte l’Arcep », que le régulateur a décidé de faire la lumière et ainsi disposer d’éléments d’information complémentaires sur les causes de la mauvaise qualité de certains services particuliers sur le réseau de Free.

"Ces problèmes de débits et d’accessibilité récurrents semblaient toucher plusieurs services en ligne populaires, au premier rang desquels Netflix", souligne la police des télécoms dans son rapport. A première vue, l’interconnexion du réseau de Free avec le reste de l’internet est un élément d’explication, "contrairement aux autres FAI de grande taille, l’accès de Free à l’essentiel du trafic mondial repose en grande partie sur un seul transitaire, dont certains liens connaissaient des saturations de capacité très régulières", explique l’Autorité. Traduction, Free apparaît en retard sur ses concurrents en matière d’interconnexion.
 
Par conséquent, la gestion de trafic ne semble pas être forcément remise en cause, "les services les plus sensibles en bande passante tels que le streaming vidéo pouvaient connaître des problèmes de qualité dans ces moments de saturation, quel que soit par ailleurs le débit théorique dont bénéficiait l’accès internet du client final" poursuit l’Arcep. Autrement dit la qualité de service perçue "in fine" par le consommateur dépend étroitement de l’ensemble des intervenants de la chaîne technique entre le client final et le contenu qu’il consomme à savoir le FAI, les transitaires, fournisseurs de contenus etc. A noter que les types d’interconnexion entre acteurs sont variées. Il existe le transit mais aussi les liens directs comme le peering gratuit ou payant. S’agissant de Free et Netflix, l’Arcep suivra l’évolution de la situation, en attendant l’annonce de l’établissement d’une interconnexion directe entre l’opérateur et le mastodonte américain.
 

Piqûre de rappel

 

Depuis plusieurs mois, dans les classements publiés par Fast, le service lancé par Netflix et qui permet de mesurer la vitesse de téléchargement, Free apparaît toujours dernier au point que l’opérateur ait porté plainte s’estimant lésé par le classement du fait que tous les concurrents ont souscrit au programme Open Connect de Netflix qui consiste à installer des serveurs directement sur les réseaux des opérateurs contrairement à Free qui s’y est refusé. Récemment une parade consistant à repasser de l’IPV6 à l’IPV4 permet d’obtenir des débits plus raisonnables. Ce qui se dessine avec ces premiers résultats d’enquête du régulateur est un cadre bien moins simple qu’il n’y paraît. En tout cas, fin avril, un premier lien d’interconnexion entre Free et Netflix a été repéré sur Twitter, laissant présagé d’un accord imminent. 

 

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Clin d’oeil : Bouygues publie un projet pub utilisant la Freebox Mini 4K pour illustrer les problèmes de connexion des Français

Sacré Bouygues Telecom. L’opérateur n’a pas manqué de publier aujourd’hui sur Youtube un projet de film publicitaire fait par des élèves de l’ECV d’Aix en Provence qui fait référence à Free et à sa Freebox Mini 4K.

Le pitch, un chômeur passe un entretien d’embauche sur Skype dans sa chambre. Seul hic, sa connexion est trop faible, ce qui l’empêche de mener à bien son grand oral. Aussi surprenant que cela puisse paraître, la box de ce français n’est autre que la Freebox Mini 4K. Une douce ironie suivie à l’écran du message : “pour des millions de Français dont la connexion est trop faible… Bouygues Telecom innove et crée la 4G box“. L’opérateur de Xavier Niel devrait apprécier.

 

La twittosphère n’a d’ailleurs pas tardé à remarquer ce petit tacle adressé à Free.

 

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Comparatif des chaînes 4K disponibles chez Free, Orange, SFR et Bouygues

 
Même si la première box opérateur compatible 4K, la Freebox Mini 4K, a été lancée il y a 3 ans maintenant, les chaînes en Ultra Haute Définition sont encore très rares. Afin de d’avoir une vision globales de celles qui existent et où les trouver, nos confrères de Génération Câble ont réalisé un comparatif des chaînes 4K chez SFR, Orange, Free Canal, mais également Molotov et Fransat.
 
 
On constate qu’avec 4 chaînes 4K, c’est Orange qui est en tête. Free ne diffuse pour le moment que Festival 4K, et va proposer très rapidement TF1 4K, soit 2 chaînes au total.
 
Ainsi que le précise Génération Câble, il n’a pas pris en compte les services délinéarisés tels Canal+ à la demande au sein des offres Canal, Netflix sur SFR ou bien encore les offres de VOD des différents opérateurs

 

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