Catégorie : Non classé

Une astuce Free en moins d’une minute : comment récupérer votre code PUK pour débloquer votre SIM Free Mobile

C’est toujours embêtant lorsque la carte SIM est bloquée, mais Free vous permet de résoudre ce problème simplement.

Durant tout l’été, Univers Freebox vous propose chaque jour une courte vidéo, sur YouTube et TikTok, pour vous présenter une astuce sur Free, Free Mobile ou même plus largement sur les services numériques.

Aujourd’hui, nous vous montrons les différentes solutions pour récupérer votre code PUK, qui vous permet de débloquer votre carte SIM, lorsque vous vous êtes trompé de code :

https://youtube.com/shorts/wxiCSM8G2Ow?feature=shared

Et retrouvez toutes le vidéos Univers Freebox sur tous les réseaux :

sur YouTube : https://www.youtube.com/@universfreebox

sur Tik Tok : https://www.tiktok.com/@universfreeboxoff

sur Instagram : https://www.instagram.com/univers_freebox

sur Twitter : https://twitter.com/UniversFreebox

Classés sous les catégories : Non classé

Cookies publicitaires : Chrome revient sur sa décision

En 2020, Google annonçait la fin des cookies publicitaires dans son navigateur Chrome, avec une échéance prévue deux ans plus tard. Toutefois, cette décision a été reportée à plusieurs reprises, jusqu’à ce que Google indique finalement leur maintien. Voici un aperçu de cette saga qui continue de captiver l’industrie du web.

L’annonce initiale de Google en 2020 prévoyait l’élimination des cookies tiers dans Chrome d’ici à 2022. Cette initiative visait à renforcer la confidentialité des utilisateurs sur le web. Cependant, à mesure que l’échéance approchait, Google a dû repousser cette date à plusieurs reprises, jusqu’au début de 2025.

Un changement de cap

Anthony Chavez, vice-président de Privacy Sandbox chez Google, a récemment déclaré que la suppression des cookies publicitaires dans Chrome ne se ferait finalement pas. À la place, Google prévoit de lancer une nouvelle expérience dans le navigateur, permettant aux utilisateurs de faire des choix éclairés concernant leur confidentialité. Cette nouvelle approche rappelle la politique d’Apple, mise en place avec iOS 14.5, qui exige des développeurs de collecter le consentement des utilisateurs pour le suivi des données.

Réactions et conséquences

Les éditeurs de sites web, principaux concernés par cette mesure, avaient commencé à perdre espoir face aux retards répétés de la Privacy Sandbox, une initiative destinée à remplacer les cookies tiers par des méthodes de suivi plus respectueuses de la vie privée. Ce projet, bien qu’ambitieux, nécessite des ressources considérables pour son implémentation.

Malgré le maintien des cookies publicitaires, Google continue de travailler sur la Privacy Sandbox. Ce projet vise à trouver des solutions innovantes pour améliorer la confidentialité en ligne tout en maintenant un internet financé par la publicité. Les régulateurs britanniques avaient soulevé des préoccupations sur la suppression des cookies publicitaires, ce qui a poussé Google à revoir sa stratégie.

Google encourage les développeurs web à continuer de s’investir dans la Privacy Sandbox, dont les APIs resteront disponibles. De nouveaux contrôles de confidentialité seront ajoutés à Chrome, incluant une option de protection de l’adresse IP en mode Incognito.

Source : Google

Classés sous les catégories : Non classé

La CNIL s’inquiète des négociations européennes sur l’EUCS : Un enjeu de souveraineté et de sécurité des données

Dans un récent communiqué, la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) a exprimé de vives préoccupations concernant les négociations en cours sur l’EUCS, le futur référentiel européen de cybersécurité pour les fournisseurs de cloud. L’autorité française insiste sur la réintroduction des critères d’immunité aux lois extraterritoriales, une mesure qui exclurait les trois géants américains du secteur : AWS, Azure et Google Cloud.

La CNIL souligne l’importance de la protection des droits et libertés fondamentaux des citoyens européens. Selon un avis publié le 19 juillet, le projet de certification européenne du cloud, l’« European Union Cybersecurity Certification Scheme for Cloud Services » (EUCS), dans sa forme actuelle, ne protégerait pas suffisamment les données sensibles des citoyens contre l’accès par des autorités étrangères. Cela inclut les données des ministères et les informations de santé, entre autres.

Un référentiel pour 27 pays

Le but initial de l’EUCS était de créer un ensemble de normes pour protéger ces données des intrusions étrangères et des cyberattaques. Les fournisseurs de cloud traitant ou stockant ce type de données devraient obtenir la certification EUCS pour garantir la sécurité de ces informations.

Le débat sur l’immunité aux lois extraterritoriales

Depuis 2020, les 27 États de l’Union européenne peinent à s’entendre sur cette certification, prévue par le règlement européen sur la cybersécurité, aussi connu sous le nom de Cybersecurity Act. Certains pays, dont la France, insistent pour que le niveau le plus élevé de l’EUCS exclue toute interférence étrangère. Cela implique une immunité aux lois extraterritoriales américaines telles que la FISA et le Cloud Act, qui obligent les entreprises américaines à partager leurs données avec les agences de renseignement.

La suppression de cette immunité dans la dernière version négociée de l’EUCS a suscité de vives critiques de la part de la CNIL. Sans cette protection, les données sensibles des citoyens européens seraient exposées, mettant en danger leurs droits et libertés fondamentaux.

Conséquences juridiques, économiques, technologiques et industrielles

La CNIL avertit que l’absence de critères d’immunité pose des problèmes juridiques, économiques, technologiques et industriels. Sans cette condition, les administrations et entreprises européennes pourraient choisir des fournisseurs soumis à des lois extraterritoriales, nuisant ainsi à l’essor des acteurs européens du cloud. La CNIL note que cette situation représente une occasion manquée pour ces entreprises de renforcer leur position sur le marché.

William Méauzoone, cofondateur de Leviia, soutient cette position. Il estime que des critères stricts d’immunité et de souveraineté sont nécessaires pour protéger les données sensibles et stimuler l’innovation et la compétitivité des entreprises françaises dans le secteur du cloud.

Problèmes juridiques en perspective

La CNIL souligne également les implications juridiques de la suppression de l’immunité. Actuellement, en France, la certification SecNumCloud impose cette immunité pour les données sensibles. Une certification européenne sans cette exigence pourrait contraindre la France à revoir ses standards à la baisse, ce qui serait problématique pour la protection des données régaliennes et de santé.

Source : CNIL

Classés sous les catégories : Non classé

Iliad et Xavier Niel tentent de récupérer 24% de Tim en Italie pour 1 milliard d’euros

Le fondateur de Free a proposé un milliard à Vivendi pour récupérer près d’un quart de l’opérateur téléphonique Tim de l’autre côté des Alpes.

L’ancien Telecom Italia fait l’objet d’une attention particulière d’iliad et de Xavier Niel. Après avoir tenté par deux fois de récupérer Vodafone chez nos voisins, sans succès, le groupe télécom se tourne vers Tim en cherchant à reprendre 24% de l’opérateur.

Cette part est actuellement détenue par Vivendi et la proposition initiale de l’opérateur est d’un milliard l’ensemble des parts possédées par la holding de Vicnent Bolloré. Cette dernière s’est par ailleurs dite plus que disposée à vendre, mais réclame le double du montant proposé par la maison-mère de Free.

Source : Lettera43

 

Classés sous les catégories : Non classé

Google arrête la prise en charge de cette version d’Android

Google a récemment annoncé la fin des mises à jour des services Google Play pour les appareils fonctionnant sous Android 5.0 et 5.1 Lollipop. Cette décision, bien que prévisible, marque une étape importante dans l’évolution de l’écosystème Android. Voici un tour d’horizon de ce que cela signifie pour les utilisateurs et les développeurs.

Android Lollipop, lancé en novembre 2014, a apporté de nombreuses nouveautés à l’écosystème Android. Cependant, avec l’introduction de versions plus récentes, Google a progressivement cessé le support des anciennes versions. En juillet de cette année, c’est au tour de Lollipop de suivre le même chemin que KitKat (Android 4.4), dont le support a été abandonné l’année dernière.

L’une des principales raisons de cette décision est la faible part de marché des appareils sous Android Lollipop, qui représentent moins de 1 % des appareils Android actifs. Cette base d’utilisateurs réduite ne justifie plus le maintien des mises à jour des services Google Play pour cette version.

“Android Lollipop a été publié pour la première fois en novembre 2014, il y a près de 10 ans et depuis lors, nous avons introduit de nombreuses améliorations et fonctionnalités innovantes pour Android, qui ne sont pas disponibles sur Lollipop”, a déclaré un porte-parole de Google.

Conséquences pour les utilisateurs

Les appareils sous Android Lollipop continueront de fonctionner, mais ils ne recevront plus de mises à jour de sécurité ni de nouvelles fonctionnalités via les services Google Play. Cela signifie également que certaines applications pourraient devenir incompatibles, car elles nécessitent des versions plus récentes des services Google Play pour fonctionner correctement.

Google encourage fortement les utilisateurs à passer à des versions plus récentes d’Android pour bénéficier des dernières améliorations en matière de sécurité et de fonctionnalités.

Impact pour les développeurs

Pour les développeurs, la fin du support des API de niveau 21 et 22 (utilisées par Lollipop) signifie qu’ils doivent désormais se concentrer sur les versions plus récentes d’Android. Les services Google Play ne prendront en charge que les appareils avec une API de niveau 23 (Android 6.0 Marshmallow) et supérieur.

Il est probable que d’ici à un an, Android 6.0 Marshmallow sera la prochaine version à perdre le support des services Google Play. Google continue de pousser vers l’avant avec des versions d’Android plus modernes, offrant des performances améliorées, une sécurité renforcée et de nouvelles fonctionnalités.

Source : 9to5Google

Classés sous les catégories : Non classé

Ligue 1 : malgré le choix de DAZN et beIN Sports, la LFP garde son plan de secours de chaîne 100% Ligue 1

Les spécificités de l’accord avec DAZN et beIN doivent encore être finalisées, la LFP préfère assurer ses arrières.

Malgré des négociations exclusives entre la LFP et DAZN et beIN Sports pour la diffusion de la Ligue 1 lancées le 14 juillet dernier, la LFP préfère tout de même garder une porte de sortie en laissant l’Arcom étudier sa chaîne 100% Ligue 1. En effet, les discussions s’éternisent pour finaliser l’accord avec les deux groupes audiovisuels et s’il serait préférable pour la LFP de parvenir à un deal, sa chaîne pensée comme un plan de secours en cas d’absence de diffuseur reste en sommeil.

La solution de la chaîne éditée par la LFP n’est pas au goût des clubs puisqu’elle ne permet pas une rentrée d’argent directe pour les clubs, tandis que l’accord avec beIN et DAZN représenterait 500 millions par an. Il s’agit avant tout d’une sécurité, puisque les différentes parties espèrent aboutir à un accord directement, malgré des discussions qui prennent leur temps, notamment autour de clauses de sortie pour DAZN au bout de deux ans.

Source : l’Équipe

Classés sous les catégories : Non classé

Réseaux fixe : débouté par l’Arcep, un opérateur appelle ses concurrents à continuer à lutter contre l’augmentation des prix d’Orange

Déçu par l’arbitrage de l’Arcep, Netalis appelle ses confrères à continuer à chercher des moyens de faire en sorte que les tarifs d’accès au génie civil d’Orange baissent.

L’opposition à la hausse des prix d’accès au génie civil d’Orange doit continuer pour Netalis. L’opérateur, et il n’était pas le seul,  avait fait connaître son mécontentement en demandant à reporter au 1er mars 2025 cette hausse tarifaire, et à la lisser en plusieurs échéances sur l’ensemble du cycle d’analyse de marché 2024-2028. Une décision qui était dans le spectre des actions possibles de l’Arcep et sa formation dédiée à la résolution des différends s’est ainsi penché sur le dossier. Les demandes formulées par Netalis à titre principal visaient notamment à prévoir au contrat un préavis minimum de 12 mois pour toute évolution tarifaire dépassant le niveau de l’inflation constaté les 12 derniers mois et un lissage de ces hausses tarifaires, déterminé en fonction de leur ampleur, en plusieurs échéances annuelles sur l’ensemble du cycle d’analyse de marché.

Des demandes finalement rejetées par l’Arcep, ce dont a pris connaissance l’opérateur. Mais une réaction a vite été publiée par son président Nicolas Guillaume sur Linkedin qui déplore une “interprétation pour le moins conservatrice par l’Autorité de l’échec des discussions, alors que pour la plupart des autres dossiers ne relevant pas de l’urgence l’Arcep considère qu’une absence de réponse dans les délais impartis suffit à caractériser un échec des discussions“.

Si l’action de Netalis a échoué, “Netalis appelle ses confrères impactés par cette hausse des coûts d’usage du Génie Civil d’orange, mais aussi leurs partenaires revendeurs/distributeurs, les associations professionnelles, à ne pas relâcher les efforts pour obtenir des conditions tarifaires raisonnables ne venant ni grever le modèle économique des opérateurs alternatifs ni impacter la facture des clients finals. Une forme de solidarité contre l’opérateur historique en somme.

Classés sous les catégories : Non classé

Xavier Niel et Iliad ne lâchent pas l’affaire du rachat pour 4,1 milliards de dollars du géant Milicom

L’opposition du comité indépendant du conseil d’administration du groupe ne refroidit pas les ardeurs du groupe européen, qui entend bien continuer son OPA.

Début juillet, Xavier Niel et sa holding Atlas Investissement ont lancé une offre publique de rachat début juillet portant sur toutes les actions en circulation du géant télécoms en Amérique latine à un prix de 24 $ par action, et son équivalent SEK par DTS. Si cette OPA du principal actionnaire du groupe avec une participation de 29%, est ouverte jusqu’au 16 août, le conseil d’administration a recommandé à ses actionnaires et aux détenteurs des DTS de ne pas accepter l’offre le 15 juillet dernier.

Mais le fondateur de Free n’en démord pas et maintient son prix, arguant que ce dernier “offre une valeur convaincante et une opportunité de liquidité unique aux actionnaires de la société“. Atlas rappelle que le tarif représente une prime de 18.8% par rapport au cours moyens pondéré des actions au cours des 90 derniers jours calendaires, voire de 37.8% sur un an. La société rappelle ainsi aux actionnaires d’être prudents lorsqu’ils considèrent “des projections nouvelles et incertaines” du comité indépendant. D’après les informations de La Lettre de l’Expansion, plusieurs institutionnels internationaux sont intéressés, ce qui pourrait permettre à Xavier Niel de franchir le seuil des 30% sans pour autant récupérer tout le capital.

 

Classés sous les catégories : Non classé

Free Mobile ajoute gratuitement 6 nouvelles destinations à son forfait 5G, pour les nouveaux et anciens abonnés

L’opérateur continue d’enrichir son forfait historique à 19.99€/mois, sans surcoût et pour tous ses abonnés.

Le forfait Free 5G continue de s’améliorer, après être passé à 300 Go en mai dernier ou avoir ajouté Monaco à son enveloppe de destinations en mars, l’opérateur intègre désormais 6 destinations supplémentaires dans son offre. Un an auparavant, Free Mobile avait également fait passer son enveloppe à l’internation de 25 à 35 Go.

Ainsi, dès aujourd’hui, 6 nouvelles destinations sont incluses dans l’enveloppe Internet à l’étranger (roaming) de 35 Go/mois en 4G ou 5G selon la destination, et ce, sans surcoût :

– Indonésie

– Égypte

– Hong-Kong

– Corée du Sud

– Macao

– Paraguay

L’opérateur annonce ainsi plus de 110 destinations incluses dans son offre à l’étranger et réitère sa position d’opérateur proposant l’offre la plus généreuse en nombre de destinations incluses depuis l’étranger, et ce, toujours au même prix. Cet enrichissement concerne à la fois les nouveaux abonnés, mais aussi ceux disposant déjà du forfait historique de l’opérateur. Aucune manipulation n’est nécessaire pour en profiter.

Classés sous les catégories : Non classé

Orange, SFR et Bouygues l’emportent en justice face à un chasseur de brevets et évitent de payer des dizaines de millions d’euros chacun

Intellectual Ventures, qui possède près de 50 000 brevets, réclamait à Orange, SFR, et Bouygues les paiement de licences dont il s’estimait propriétaire, sans succès.

Le fond américain réclamait aux trois opérateurs des royalties pour l’utilisation de la technologie DSL. Free était à l’abri du raid en raison d’une situation de conflits d’intérêts, son avocat travaillant au sein d’un cabinent ayant défendu l’entreprise américaine en Allemagne. Dans un arrêt du 28 juin, la cour d’appel de Paris a finalement rejeté toutes les demandes d’Intellectual Ventures.

Cependant, l’affaire n’est peut-être pas encore finie, l’américain peut encore se pourvoir en cassation et une demi-douzaine de brevets font encore l’objet d’un contentieux. Cette entreprise opérait déjà aux États-Unis puis en Allemagne avant de s’attaquer au marché français. La stratégie est rodée : tenter de forcer les opérateurs à payer puis aller en justice si ces derniers refusent. Ainsi, avec un paiement de quelques euros pour chaque abonné, Intellectual Ventures pouvait s’attendre à empocher des millions d’euros de la part de chaque opérateur. Mais la justice en a décidé autrement. Cepednant d’autres entreprises, notamment les fournisseurs des opérateurs comme Huawei, Sagemcom ou Alcatel-Lucent International ont déjà dû capituler.

Source : La Lettre

Classés sous les catégories : Non classé