Auteur : Maxime Raby

Bouygues Telecom : succès insolent sur le mobile et belle progression sur la fibre loin derrière Orange et Free

Après Orange et Free, c’est au tour de Bouygues Telecom de présenter ses résultats pour le 3ème trimestre. Un énième carton plein sur le mobile agrémenté d’une montée en puissance sur la fibre.

Comme ses concurrents, Bouygues Telecom passe à travers les mailles du filet de la crise sanitaire. Mieux encore, sa croissance se poursuit en toute sérénité. Trimestre après trimestre, les performances commerciales s’enchaînent. Sur le mobile, l’opérateur a recruté  181 000 nouveaux abonnés entre le 30 juin et fin septembre, se félicite t-il ce matin à l’occasion de ses résultats. Son parc forfait mobile hors MtoM atteint 12 millions de clients, en hausse de 455 000  depuis le début de l’année contre 163 000 pour Free et 96 000 pour Orange. En matière de recrutement, Bouygues Telecom creuse un peu plus l’écart sur ses concurrents, lesquels n’arrivent pas à suivre la cadence.

 

Bouygues Telecom recrute de plus en plus sur la fibre

 

Sur la fibre, la forte demande des foyers français en sortie de confinement se confirme une fois de plus. Loin derrière Orange (+360 000) et Free (+299 000), l’opérateur continue de progresser à un rythme très soutenu, en recrutant 169 000 nouveaux clients FTTH au troisième trimestre. contre 93 000 et 113 000 lors deux exercices précédents. Sa base totale s’élève sur ce segment à 1,4 millions d’abonnés. Le taux de pénétration FTTH poursuit aussi sa progression à 34% contre 22% un an auparavant. 

Côté déploiement, la filiale de Bouygues accélère et dispose de 15,8 millions de prises FTTH raccordables contre 11,8 millions fin 2019. “On bénéficie de partenariats avec CityFast en ZTD et avec Vauban Infrastructure Partners en ZMD. En zone RIP, on a décidé d’augmenter fortement son nombre de prises commercialisées”, annonce ce matin l’opérateur. Et d’ajouter relever son objectif fin 2022 à 27 millions de prises contre 22 millions auparavant.

Sur le fixe, Bouygues Telecom comptait  fin septembre, 4,1 millions de clients  soit un gain de 64 000 abonnés contre 25 000 au second trimestre, l’opérateur se reprend. Côté déploiement fibre, l’opérateur dispose de 15,8 millions de prises FTTH commercialisées, comparé à 11,8 millions fin 2019.

Enfin, le chiffre d’affaires des neuf premiers mois 2020 ressort à 4 675 millions d’euros, en hausse de 6%. “Sur le seul troisième trimestre 2020, le chiffre d’affaires Services croît de 5% sur un an, soutenu par la forte progression du chiffre d’affaires Services Fixe (+10%) et la hausse du chiffre d’affaires Services Mobile (+3% en dépit de l’impact négatif lié au roaming)”, indique un communiqué.

 

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C’est officiel, Salto va débarquer sur les box d’un premier opérateur, des discussions sont en cours avec d’autres FAI

Le nouveau service SVOD made in France semble trouver son public un peu moins d’un mois après son lancement. Désireux d’optimiser sa distribution, Salto annonce avoir trouvé un terrain d’entente avec un opérateur dont le nom est gardé secret. D’autres accords sont à venir.

Départ encourageant pour Salto, le nouveau service SVoD de TF1, France Télévisions et M6 aurait enregistré 100 000 utilisateurs en 3 semaines d’existence,  selon les informations du Figaro. Néanmoins, les premiers utilisateurs à s’être inscrits au lancement de la plateforme, ne bénéficieront plus à partir de demain du premier mois gratuit, restera alors à constater combien décideront de prolonger l’expérience en déboursant entre 6,99€ et 12,99€/mois.

Si Salto refuse de commenter ces chiffres,  son directeur général, Thomas Follin, a révélé au quotidien que les utilisateurs “passent en moyenne plus de 2 heures par jour et jusqu’à 2h30 le week-end”, pas moins de 82% d’entre eux sont localisés en dehors de Paris, au quatre coins de la France, de quoi laisser penser que Salto est bien “une offre populaire”.  Par ailleurs, un tiers des abonnés  “consomment les programmes en live et en streaming”. Enfin, environ un quart est âgé de plus de 50 ans et 60% sont dans la tranche 25-49 ans.

Un accord trouvé avec un opérateur mais lequel 

Si Salto veut espérer s’installer durablement sur le marché ultra concurrentiel de la SVOD dans l’hexagone, la plateforme devra nécessairement être distribuée sur les box des opérateurs. Et cela se précise, «Nous avons déjà signé un accord de distribution avec un FAI et nous sommes en discussions avec d’autres», confie son directeur général. Il pourrait s’agir logiquement de Bouygues Telecom, le FAI appartient au même groupe que TF1, l’un des groupes fondateurs de Salto.

Récemment, l’alternative française à Netflix étaient en discussions avec Orange et SFR. Cela semble très mal parti pour une disponibilité chez Free, sachant que l’opérateur de Xavier Niel a émis des réserves en juillet 2019 et déposé un recours devant le Conseil d’État en février 2020. Mais depuis, de l’eau a peut-être coulé sous les ponts. En attendant, vous pouvez découvrir notre test de Salto, une agréable surprise.

 

 

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FreeboxSMS : des nouveautés pour le système gratuit d’information de l’état de votre Freebox

Le premier service de monitoring automatisé informant gratuitement par SMS et mail les abonnés Free de l’état de leur box, va débarquer dans une nouvelle version avec un site flambant neuf et un système de notifications.

Avec FreeboxSMS, c’est simple comme bonjour, un texto et un mail vous alertent instantanément si votre Freebox se désynchronise ou se resynchronise. Le service nous informe aujourd’hui du déploiement d’une nouvelle version estampillée 3.0. Au rang des nouveautés, le lancement imminent d’un nouveau site totalement web responsive, compatible avec mobile et tablettes (Freeboxsms.fr). Mais aussi la mise en place d’un système de notifications : “A la première visite sur notre site, les utilisateurs pourront s’abonner à nos notifications pour être informés en temps réel sur PC, Mobiles et Tablettes de l’actualité de FreeboxSMS”, explique l’équipe de développement.

Enfin, le service va permettre la personnalisation du nom de votre Freebox. “Jusqu’à maintenant, le SMS qui était envoyé n’identifiait la box que par son adresse IP. Désormais, vous pouvez donner un nom à votre Freebox pour l’identifier facilement au cas où vous auriez plusieurs Freebox inscrites”.

Fort de son succès, le service déployé par un technicien itinérant de Free, a évolué l’année dernière  avec une accessibilité 100% online. Depuis, plus de 150 000 SMS ont été envoyés pour plus de 70 000 coupures Freebox détectées, nous informe son fondateur. Au total 1000 Freebox sont actuellement surveillées. Ce service de monitoring élaboré via la fonction Notifications SMS de Free Mobile, fonctionne avec toutes les versions de Freebox même la Pop.

Réactif, FreeboxSMS informe en moins de 5 minutes l’abonné par SMS et mail lorsque sa Freebox est désynchronisée, utile quand votre alarme est branchée à votre box.

 

Comment s’inscrire à FreeboxSMS ?

Rien de compliqué :

- Être connecté au réseau de votre Freebox (obligatoire pour l’inscription, le serveur de la plateforme identifie automatiquement votre adresse IP)

- Connaitre son identifiant Free-Mobile pour se connecter à son espace abonné

- Récupérer la clé d’identification que vous trouverez dans les options de votre ligne Free mobile sur votre espace abonné après avoir activé l’option “Notifications SMS”

- Rendez-vous sur freeboxsms.fr et cliquez sur “Vous inscrire” dans le menu du haut et vous laisser guider. Voilà le tour est joué !

Pour toute proposition autour du développement de ce service, deux possibilités : écrire au développeur à l’adresse FreeboxSMS@free.fr ou rejoindre le groupe Facebook “FreeboxSMS.fr”.

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Fibre : Free juge “inacceptables” les conditions d’accès imposées par SFR sur ses RIP et saisit l’Arcep

Free accuse SFR de lui mettre des bâtons dans les roues pour accéder à ses réseaux d’initiatives publiques. Des contraintes contractuelles qui ont amené l’opérateur de Xavier Niel à saisir la police des télécoms.

Désireux de lancer ses offres fibre sur tous les réseaux d’initiative publique même à faible part de marché, Free doit faire face aujourd’hui à plusieurs points de blocage et le faire savoir. Lors d’une audition hier soir devant la commission des affaires économiques de l’Assemblée Nationale, Maxime Lombardini, vice président d’Iliad s’est plaint de “difficultés contractuelles pour aboutir” sur des réseaux où Free n’est pas encore présent. Et de viser tout particulièrement SFR. L’opérateur a d’ailleurs saisi l’Arcep sur les conditions d’accès aux RIP de la filiale d’Altice, qu’il juge “inacceptables”.

Ce type d’entraves a de quoi agacer au plus au point Xavier Niel : “on peut avoir des problèmes avec des opérateurs qui ont bénéficié de fonds publics et qui après mettent volontairement des obstacles à ce que l’on puisse accéder à leurs réseaux. On trouve cela scandaleux et on fait des procédures pour y accéder” a martelé le fondateur d’Iliad

Pour Free, le principal blocage sur le déploiement de la fibre dans ces zones rurales, “c’est le fait que les RIP sont chacun des prototypes à la fois contractuel, économique et opérationnel”, explique Maxime Lombardini.  Une unification du cadre autour de ces trois points, serait à ses dires bénéfique pour tout le monde. Pour l’heure, l’opérateur  a lancé ses offres sur près de 30 RIP en France et  se revendique aujourd’hui comme “l’opérateur français le plus présent sur les RIP après Orange”. 

A noter que les délais entre la signature d’un accord avec un opérateur d’infrastructure et le lancement des offres sur un RIP sont parfois très longs. La signature du contrat signifie simplement que les conditions d’interfaçage des systèmes d’Information sont techniquement faisables et en cours d’installation. Reste ensuite à mettre la machine en route et à assurer le marketing qui en découle. Sans oublier que l’opérateur commercial doit équiper tous les NRO, puis les points de mutualisation, cela prend du temps sans compter les éventuels problématiques juridiques.

Un autre problème en zone AMII

Le 1er février dernier, SFR a revu à la hausse ses tarifs de gros facturés aux opérateurs pour se raccorder à son réseau fibre en zone moyennement dense, à savoir en zone AMII. De quoi faire grincer des dents Orange, Free, SFR et Bouygues. Ce dernier a d’ailleurs demandé un arbitrage auprès de l’Arcep. Le régulateur s’est lui aussi montré agacé: “L’Arcep ne laissera pas de passager clandestin dans le système. Elle ne laissera pas un acteur profiter de la situation pour pratiquer des prix plus élevés en ayant instauré un monopole privé”, a fait savoir en avril dernier, son président Sébastien Soriano.

De son côté, SFR a  expliqué que la révision de ses tarifs de gros n’est seulement que de “quelques centimes”.Selon lui, cette hausse lui permet de « tenir compte des coûts de maintenance plus importants, du fait notamment de dégradations ».

 

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Free révèle envisager un réseau mobile commun avec Orange en zone rurale

A l’heure où Free et Orange se font les yeux doux à distance, Xavier Niel  confirme envisager un accord de mutualisation avec l’opérateur historique. L’idée d’un réseau commun dans des zones peu denses fait surface.

Après l’itinérance, Free et Orange envisagent ouvertement mais sans trop se dévoiler un accord de mutualisation, telle une manière de rééquilibrer le paysage français. Car il faut le dire, l’heure est à l’asymétrie entre Bouygues et SFR d’un côté qui ont une partie de leur réseau en commun et  de l’autre, Free mais aussi Orange qui déploient seuls.

Aujourd’hui, un accord multi-facette semble bel et bien se profiler même si aucunes discussions n’ont pour l’heure été entamées selon la direction des deux opérateurs.

Récemment évoqué,  le partage des infrastructures sur la 5G fait sens. Le patron d’Orange s’est récemment montré favorable à cette éventualité à condition de garder “un avantage clair” pour ses abonnés en matière de qualité de réseau. “La position des fréquences que nous avons acquises nous permettra une mutualisation avec Free si on le souhaite”, a t-il ajouté.  Les deux opérateurs pourraient ainsi partager une partie de leurs investissements mais aussi disposer d’une meilleure couverture notamment dans les zones peu denses.

Par ailleurs, le spectre d’une mutualisation passive sur la 4G revient inévitablement. Un protocole d’accord  aurait été signé en début d’année entre les deux  rivaux, a  révélé La Tribune en février dernier. Plus concrètement, Orange et Free auraient envisagé le partage de pylônes ainsi que leurs coûts d’exploitation, en y installant leurs propres antennes avec pour coeur de cible de ce partenariat non-conclu, la zone de déploiement prioritaire (ZDP) à savoir là où la couverture mobile est jugée mauvaise voire inexistante.

 

Xavier Niel s’ouvre à un réseau commun avec Orange, la mutualisation des antennes “c’est important”

Si aujourd’hui, les deux opérateurs font l’autruche sur ce point, Xavier Niel n’a pas gardé sa langue dans sa poche hier lors d’une audition devant la commission des affaires économiques de l’Assemblée Nationale. Tout de go, le fondateur de Free a révélé l’importance d’une mutualisation entre Free et Orange, “c’est important pour faire face au cycle d’investissement, pour limiter l’impact environnemental du déploiement et pour accélérer la couverture rurale avec la disparition des zones grises”, là où un seul ou deux opérateurs sont présents.

Le fondateur de Free ne s”arrête pas là et lâche une petite bombe, “il s’agit de mutualiser nos réseaux dans des zones peu denses et d’avoir un seul réseau, c’est ce que font aujourd’hui Bouygues Telecom et SFR”. La volonté  est clairement affichée, Free “envisage de faire la même chose avec Orange”, à savoir une mutualisation des fréquences dans des zones définies.

Pour rappel, dans l’accord Crozon entre SFR et Bouygues, l’opérateur leader exploite dans sa zone, sur un site donné, les installations actives de réseau sur lesquelles sont utilisées à la fois ses propres fréquences et les fréquences de l’opérateur accueilli.

L’un des objectifs affichés de la mutualisation des fréquences est d’accroitre la couverture, la densité et la qualité des réseaux au bénéfice des clients des deux opérateurs.

Free prône une mutualisation en zone grise

Dans le cadre du New Deal, les opérateurs partagent de nombreux sites de manière passive  (sites multi-opérateurs) mais Free souhaite aller plus loin dans les zones grises, indique Xavier Niel.

Partant du postulat que celles-ci sont encore trop nombreuses dans l’hexagone, le fondateur de l’opérateur estime aujourd’hui la nécessité de pousser la mutualisation dans ces zones afin d’améliorer la perception des consommateurs sur la qualité du réseau.

Le papa de Free évoque brièvement l’exemple “d’une solution qui soit proche du roaming, quand vous venez de l’étranger et que vous venez dans une zone, vous pouvez accéder aux quatre opérateurs“. Pour lui, il n’y a “pas de sujet concurrentiel dans ces zones, il y a un vrai sujet d’amener une qualité de service peu importe l’opérateur”. Les Français bénéficierait alors à ses yeux d’une meilleure qualité de service et “ce ne serait  pas une situation où nous profiterions des autres”. Reste à convaincre Orange.

 

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Free Mobile augmente temporairement la data de son forfait “Série Free”

Jusqu’au 24 novembre, l’opérateur propose 80 Go de data en France métropolitaine et 10 Go en roaming pour 13,99€/mois pendant 1 an.

Telle une ritournelle commerciale, le volume de data ne cesse de fluctuer pour le forfait “Série Free” lancé en juillet 2018. Après avoir baissé de 10 Go l’enveloppe de données incluse en France métropolitaine, l’opérateur fait l’inverse cette semaine, son offre passe ainsi de 70 à 80 Go, le reste ne change pas, à savoir, les appels, SMS et MMS en illimité mais aussi 10 Go en roaming, le tout à 13,99€/mois pendant un an.

Au-delà de la première année, les abonnés basculeront automatiquement sur le Forfait Free avec enveloppe data de 100 Go à 19,99 euros par mois. L’offre est disponible jusqu’au 24 novembre prochain.

La bataille des forfaits intermédiaires s’intensifie dans l’hexagone. Les opérateurs tentent cette semaine de se démarquer. Côté prix, un ou deux euros différencient aujourd’hui les telcos. Sosh propose 70 Go à 14,99€/mois avec 10 Go en roaming depuis l’Europe. B&You se démarque avec 100 Go pour 14,99€. Pour une offre avec autant de data chez Red by SFR, il faut compter 15€/mois.

 

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Free repousse son lancement sur le marché des entreprises à début 2021

 

Free adressera finalement le marché du B2B  lors du 1er trimestre 2021 avec la ferme intention d’amener une réelle concurrence face au duopole Orange-SFR.

Les PME et TPE impatientes de découvrir et souscrire aux offres professionnelles de Free devront attendre encore un peu. En septembre dernier, Thomas Reynaud, directeur général d’Iliad annonçait pourtant un top départ “dans les semaines à venir”, d’abord sur le fixe, puis plus tard sur le mobile. Aujourd’hui, l’opérateur est en phase de finalisation de ses tests, “la pandémie ne nous a pas permis  de nous lancer courant 2020 comme prévu”, a expliqué hier le numéro 2 de Free lors d’une audition en visioconférence devant la commission des affaires économiques de l’Assemblée Nationale. Le lancement des offres de l’opérateur est dorénavant prévu “dans le courant du premier trimestre 2021.

L’ambition reste la même, à savoir “simplifier et rendre plus accessible ce segment qui est aujourd’hui très peu concurrentiel, on y travaille” a ajouté le fondateur de l’opérateur.  C’est l’un de ses objectifs majeurs inscrit dans son plan Odyssée 2024 présenté en 2019, Free souhaite devenir un nouvel opérateur national de référence capable d’accompagner la transformation numérique des entreprises françaises, afin de renforcer leur compétitivité. Grâce à ses infrastructures et ses data centers en France, l’opérateur entend bien tirer son épingle du jeu sur l’accès à la fibre optique, la sécurité de leurs données et la virtualisation des infrastructures (cloud). Pour cela, Free pourra compter sur la croissance de sa filiale Jaguar Network.

 

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Iliad-Free annonce un nouveau financement de 300 millions d’euros pour le déploiement de son réseau 5G et la densification de sa 4G

La maison-mère de Free emprunte 300 millions d’euros auprès de la banque européenne d’investissement pour accompagner le déploiement de ses réseaux 4G et 5G en France.

Un nouveau prêt portant à plus de 1,1 milliard d’euros les financements apportés à Iliad depuis 2009, la BEI renouvelle son soutien au groupe de Xavier Niel “après l’avoir accompagné depuis plus de dix ans dans le financement de ses déploiements fixes”, annonce Iliad ce matin. Ce financement à hauteur de 300 millions d’euros va permettre d’accompagner Free dans la densification de son réseau 4G et le déploiement de son réseau 5G.

L’opérateur investit en moyenne chaque année près de 30% de son chiffre d’affaires soit un montant cumulé de près de 7,5 milliards d’euros sur les cinq dernières années. Grâce à ses investissements, Free compte aujourd’hui plus de 18 800 sites mobiles sur tout le territoire métropolitain et couvre 97,8% de la population en 4G.

Pour rappel, cet prêt fait suite à un autre financement d’ Iliad de 300 millions d’euros en mars dernier auprès de la BEI en mars 2019 pour accélérer le déploiement de la fibre optique. Le groupa a par la suite souscrit un  emprunt de 500 millions d’euros auprès d’investisseurs institutionnels asiatiques et allemands, puis de 150 millions d’euros auprès de la banque publique allemande KfW IPEX-Bank pour l’accompagner aussi dans déploiement de ses réseaux en France et en Italie.

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Free enchaîne les ouvertures de nouveaux Free Centers avec une 101e boutique

L’opérateur inaugurera demain son 101e Free Center à Béthune dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Le seuil symbolique des 100 Free Centers franchi le 6 novembre dernier, Free met à présent le cap sur son objectif 2020, à savoir compter un réseau de 120 boutiques dans l’hexagone d’ici la fin de l’année. Sur sa lancée, l’opérateur ouvrira demain son 101e Free Centers à Béthune, une commune près de  25 000 habitants située dans le Pas-de-Calais, à environ 40 km au sud-ouest de Lille .

Free poursuit ainsi sa stratégie de quadrillage du territoire pour être au plus proche de ses abonnés et clients prospects. D’autres ouvertures sont prévues prochainement à Bordeaux (Gironde), à Cherbourg (Manche) ou encore à Grenoble (Isère) au sein du centre commercial Grand’Place.

Pour rappel, Free a inauguré début novembre deux nouvelles boutique, la première dans centre commercial de Parly 2, à Le Chesnay dans les Yvelines. Et la seconde, dans celui de So Ouest à Levallois-Perret au nord-ouest de Paris. 

 

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Free lance enfin Amazon Prime Video sur la Freebox Révolution

La boucle est enfin bouclée, le rival de Netflix aka  Prime Video est enfin disponible sur la Freebox Révolution. Les abonnés peuvent souscrire dès à présent à Amazon Prime et profiter de tous ses avanatages, depuis l’espace abonné.

Inclus depuis un an dans l’offre Delta et accessible sur les Freebox One, mini 4K et Pop, le service Amazon Prime débarque enfin en option sur la Freebox Révolution. Free annonce permettre dès à présent à ses abonnés de profiter de milliers de films et série avec Prime Video, mais aussi de Prime Music (2 millions de  titres) de la livraison rapide et gratuite sur vos commandes Amazon, de Prime Reading, Amazon Photos, Prime Gaming sans oublier un accès prioritaire à certaines Ventes Flash Amazon. Le tout moyennant 5,99€/mois.

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Comment en profiter ?

  • Si l’abonné.e n’a pas de compte Amazon Prime :

Vous devez souscrire à Amazon Prime depuis votre Espace Abonné, rubrique Télévision, puis suivre les instructions.

  • Si l’abonné.e a déjà un compte Amazon Prime :

Vous avez la possibilité d’utiliser votre compte Amazon Prime actuel pour accéder aux services Prime Video depuis votre Freebox Révolution. Dans ce cas, vous continuerez à être facturé par Amazon.

Amazon Prime est accessible sur tous les Freebox hormis la Crystal

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  • Freebox Delta (inclus)
  • Freebox Pop, Freebox Révolution, Freebox mini 4K et Freebox One (en option à 5,99€/mois, sans engagement et avec 30 jours d’essai)
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