Auteur : Maxime Raby

Orange, Free, Bouygues et SFR : la police des télécoms milite enfin pour des tests de débit fiables et propose des solutions

 

Si les outils de test de débit et de latence sont légion sur le marché, l’Arcep s’inquiète (enfin) de leur fiabilité et propose de nouvelles méthodes afin d’éradiquer les larges disparités constatées dans les différents classements des FAI. La police des télécoms souhaite harmoniser les tests et ainsi lutter contre l’utilisation partielle des données par les opérateurs dans leurs publicités.

Comme le rapporte en exclusivité 01Net, le régulateur a quelque peu fait son mea culpa ce matin par la voie de son président lors de la publication de son rapport sur l’état de l’internet en France. Prenant entre autres exemple sur son propre observatoire sur la qualité de l’internet fixe lancé en 2016, Sébastien Soriano a avoué que les tests de l’Arcep « manquaient de représentativité sur le territoire et ils se déroulaient en environnement contraint ce qui permettait aux opérateurs d’optimiser leurs accès ». Et d’ajouter qu’aujourd’hui « il n’existe pas d’outil suffisamment robuste pour que nous puissions conclure à leur fiabilité ». Pire encore selon lui, « les consommateurs ne sont bien pas éclairés. Les informations brutes ainsi obtenues peuvent les induire en erreur ».

En effet, bien souvent aucune distinction n’est faite entre certaines technologies, sans parler de tests qui mesurent le débit avec une unique connexion TCP, alors que d’autres dans le même temps optent pour plusieurs connexions. Autre problème, les débits affichés sont tantôt une moyenne, tantôt un pic atteint. Sans oublier que parfois les serveurs sur lesquels sont lancés des mesures sont localisés à divers endroits du réseau des FAI. En somme, les résultats sont largement impactés et donc disparates.

Afin d’y remédier, l’Arcep a travaillé pendant deux ans en collaboration avec les opérateurs ainsi que  « des centres de recherche, des associations de consommateurs et les sociétés qui développent ces outils de mesure », et ce dans l’optique  « de proposer la version bêta d’un code de conduite et d’une méthodologie », révèle 01 Net.

 

Les solutions en question, Free a pensé à l’une d’entre elles en 2011

 

Concrètement, la méthode avancée par l’Arcep , « c’est que les fournisseurs d’accès à internet développent des API pour leur box, afin que les outils de mesure aient accès à un certain nombre d’informations sur la nature de l’accès de l’utilisateur », a déclaré Sébastien Soriano. Le but étant de gagner en fiabilité en mettant fin à l’auto-déclaratif des utilisateurs. Un changement de fusil d’épaule notable. En 2011, Free a proposé cette méthode dans une consultation publique initiée par le régulateur, laquelle portait sur le suivi de la qualité du service d’accès à l’internet sur les réseaux fixes. En vain, cette solution a été jugée non nécessaire par l’Arcep jusqu’à présent.
 

 

Autre mesure annoncée ce matin par le régulateur, la mise en place d’un code de bonne conduite listant les "bonnes" pratiques à suivre ainsi que la publication de recommandations de mesures pour les différents acteurs concernés comme la durée d’un test de débit, le nombre de threads etc. A noter enfin que l’Organe des régulateurs européens des communications électroniques (BEREC) a lancé un appel d’offres afin de développer un outil commun de mesures de la qualité de l’internet. Un portail va donc voir le jour afin de permettre aux utilisateurs d’avoir un accès à des statistiques précises et des cartes. 

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SFR veut devenir le «Netflix du sport» et se dit prêt à négocier avec Mediapro pour la Ligue 1

L’opérateur de Patrick n’a pas participé à l’appel d’offres pour les droits de diffusion de la Ligue mais n’est pas contre le fait de racheter des droits à Mediapro. 

Comme prévu le 3 juillet prochain, SFR Sport passera le relais à RMC Sport. Un changement de nom destiné à une meilleure intégration dans les offres des opérateurs. S’agissant de leur distribution, SFR a annoncé que les chaînes RMC Sport seront disponibles pour tous les français. Tout d’abord sur les box de l’opérateur, avec un tarif privilégié pour ses propres abonnés. Mais aussi dans les bouquets TV d’Orange et de Bouygues Telecom.

Concernant Free, les discussions sont toujours en cours. Dans tous les cas, les contenus sportifs de RMC Sport seront disponibles en OTT via une application, ce qui permettra à tous ceux qui le souhaitent de pouvoir s’y abonner, à un prix de 15€/mois pour les non-abonnés à SFR, un tarif qui devrait augmenter après le mois de juillet. L’ambition de SFR est donc d’élargir au maximum la visibilité et l’accès à son offre via cette plateforme numérique et «devenir le Netflix du sport » a indiqué sa direction, rapporte Challenges.

Pour y arriver, SFR s’appuiera sur son armada de droits sportifs acquis à prix d’or ces dernières années, comme La ligue des Champions et la Ligue Europa en football dès la rentrée prochaine, mais aussi le foot anglais, le basket avec l’Euroligue, l’Eurocup et la Jeep Elite, le rugby anglais, de la boxe, du MMA, de l’athlétisme (Diamond League), de l’équitation et des sports extrêmes.

Ce n’est pas tout car l’opérateur de Patrick Drahi, s’est dit ouvert à des discussions avec Mediapro, grand vainqueur de l’attribution des droits TV de la Ligue 1 pour la période 2020-2024. Alain Weill, patron d’Altice qui n’a pas participé à l’appel d’offres, a notamment déclaré en réaction à l’investissement massif du groupe espagnol dans la Ligue 1, qu’il « pourrait être amené à discuter avec Mediapro, éventuellement, si le timing est compatible avec le nôtre pour conclure des accords dans les mois qui viennent».

Et d’ajouter, « on a un intérêt mutuel à travailler ensemble. Ils ont payé des droits assez chers, il faut maintenant des abonnés. Ils ont intérêt à travailler avec tous les opérateurs». SFR pourrait donc racheter des droits à Mediapro. L’opérateur de Patrick Drahi dépense déjà 600 millions par an dans les droits sportifs et qui espère rentabiliser RMC Sport d’ici trois ou quatre ans en atteignant une base de 3 millions d’abonnés.

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Alain Weill prendra les commandes d’Altice Europe le 8 juin

En bref, en marge de la présentation le mois dernier de ses résultats pour le premier trimestre 2018, le groupe de Patrick Drahi a annoncé qu’Alain Weill allait prendre du galon en passant à la direction d’Altice Europe. Interrogé hier par France Culture à ce sujet, l’actuel patron d’Altice France en a profité pour dévoiler la date de son arrivée à la direction générale de la branche européenne du groupe, comprenant la France, le Portugal, l’Israël et dans une vision élargie, la République Dominicaine. Ce sera le 8 juin, soit après que la scission entre les activités Europe et USA d’Altice soit actée. Alain Weill pourra ainsi compter sur Armando Pereira, directeur des opérations d’Altice Europe et Dennis Okhuijsen, à la direction financière.

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Free Mobile : le taux d’utilisation du réseau propre est sur la corde raide

Point d’étape. Après avoir franchi début mars la barre des 82%, un record, le taux d’utilisation du réseau propre de Free ne cesse depuis de faire du yoyo et a même chuté avant-hier à son niveau le plus bas depuis la période de Noël, à savoir 79,4%.

S’il est coutume de dire que le temps passé sur le réseau propre de Free par les abonnés utilisant l’application Free Mobile NetStat décline pendant les vacances scolaires, cette fois c’est le cas alors que la France est au travail. Au mois de mai, le taux d’utilisation du réseau Free n’a pas dépassé les 80,4% et a évolué jusqu’aujourd’hui en dents de scie.

Autre constat, sur les sept derniers jours, les utilisateurs Free Mobile Netstat ont accroché 21,5% du temps le réseau Orange contre 20% en moyenne sur les trois premiers mois de l’année. Le pourcentage reste assez conséquent alors que la fin de l’avenant au contrat d’itinérance 2G/3G entre les deux opérateurs arrivera à échéance en 2020. Point positif, le taux d’utilisation du réseau 4G de Free approche les  50%, en atteignant aujourd’hui 47,3%. En 3G Free celui-ci est 19,2%. En somme, les utilisateurs de l’application restent connectés pratiquement autant de temps sur le réseau 3G de Free que sur celui d’Orange.

Pour rappel, l’opérateur de Xavier Niel est actif tous les mois sur le 1800 MHz mais aussi le 700MHz. Le déploiement de ces deux fréquences permet de disposer de la 4G+ mais également d’étendre la couverture 4G car ce sont des fréquences plus basses que les 2,6GHz que déployait Free au lancement de la 4G. La libération progressive de la bande 700 MHz de la TNT devrait donc en toute logique permettre à Free de se libérer un peu plus de l’itinérance Orange. Pour le moment une chose est certaine, en plus de l’Ile de France où Free a commencé le déploiement de la dite fréquence en or depuis de nombreux mois, mais aussi de la région PACA et de la Corse, l’opérateur de Xavier Niel a activé sa première antenne 700MHz en Nouvelle Aquitaine courant avril. Le déploiement dans cette région étant autorisé depuis le 1er avril 2018.

 

 

 

Free Mobile Netstat, c’est quoi ? 
 
C’est une application mobile, disponible sous Android, très utilisée par les abonnés Free Mobile. Très simple à utiliser, Free Mobile Netstat permet de comparer le taux d’utilisation des antennes Free Mobile et Orange (lorsque vous êtes en itinérance).
 
Par ailleurs, l’application est dotée de nombreuses fonctionnalités dont le niveau de batterie utilisé par chaque réseau, mais aussi l’affichage d’une icône dans la barre de notification indiquant sur quel réseau le mobile est connecté. De plus, l’application vous informe par une alarme sonore lors du changement de réseau (configurable).
 
Les informations récoltées par l’application sont ensuite diffusées sur le site Free Mobile Netstat, sur lequel vous pourrez consulter le pourcentage d’utilisation globale de chaque réseau, et ainsi découvrir l’étendue de la couverture de Free Mobile. L’application Free Mobile Netstat est optimisée pour consommer le moins de batterie. À l’usage l’application est complètement transparente de ce point de vue.
 
Pour télécharger l’application Free Mobile Netstat, rendez vous sur Play Store.
 
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Free Mobile remporte une dernière bataille devant le tribunal administratif… après avoir construit l’antenne de la discorde

Direction la commune de Perros-Guirec dans les Côtes-d’Armor où Free a érigé l’année dernière une antenne de 43 mètres de hauteur et ce après un bras de fer avec la mairie et les riverains. Si tout aurait pu s’arrêter là, l’opérateur de Xavier Niel a décidé de continuer la procédure.

L’histoire remonte à fin 2016, lorsque le maire de cette station balnéaire refuse le permis de construire d’une antenne-relais à Free Mobile, pour des raisons de pollution visuelle. Revirement de situation courant 2017, l’arrêté est suspendu par le tribunal administratif et la ville se retrouve dans l’obligation de délivrer l’autorisation à l’opérateur de Xavier Niel qui a dans la foulée installé ses équipements. 

Contacté par Ouest France, Alain Couanau, directeur général des services de la ville a concédé que « pour free Mobile, la suspension n’était pas suffisante, c’est pour ça qu’ils ont été jusqu’au bout de la procédure. Mais ce n’est qu’un coup d’épée dans l’eau. Tout est déjà fait. »

En effet, vendredi dernier, le tribunal administratif de Rennes a rendu sa décision en annulant finalement le dit arrêté. celui-ci a notamment considéré que le secteur d’implantation est destiné aux activités artisanales  "où sont implantés des bâtiments industriels et des hangars qui ne présentent aucun intérêt architectural, patrimonial ou historique particulier". Et d’ajouter que l’antenne relais est "réalisée en treillis métallique qui permet une vue traversante et ainsi de limiter l’impact visuel de l’ouvrage". De ce fait,  le projet "n’aura pas un fort impact dans le paysage proche et lointain […] Ainsi, en refusant de délivrer le permis de construire sollicité le maire de Perros-Guirec a entaché sa décision d’une erreur d’appréciation."  Fin du feuilleton.

 

Photo : © ouest-france

Source : Ouest France

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Bouygues Telecom teste un service de réparation rapide d’iPhone en boutique mais…

 

Destiné aux utilisateurs d’iPhone clients ou non de l’opérateur, ce service est actuellement en test dans deux boutiques parisiennes de Bouygues Telecom.

En bref, comme le rapporte BFMTV, l’opérateur de Martin Bouygues a lancé  un service de réparation rapide de smartphones en boutique qui ne concerne que les flagships d’Apple, à partir de l’iPhone 5. Pour le moment, deux boutiques de l’opérateur localisées à Paris proposent, en test, cette prestation. Concrètement, ce service prend en charge le changement d’écran et de la batterie ainsi que «la réparation de la caméra et des connectiques», précise le site d’information. Seul hic et pas des moindres, Bouygues Telecom n’a pas signé d’accord avec la marque à la pomme, l’opérateur n’est donc pas agréé, ainsi votre garantie sera automatiquement perdue dans le cas où vous décidez de confier votre iPhone à Bouygues Telecom. Afin de séduire les utilisateurs concernés, l’opérateur a d’ailleurs décidé de pratiquer des prix inférieurs à Apple.

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La Messagerie Vocale Visuelle Free Mobile pour Android se met à jour

Free lancé le 1er juin une nouvelle mise à jour pour sa Messagerie Vocale Visuelle officielle sur le Play Store. La MVV de Free Mobile permet d’accéder à vos messages vocaux, de les archiver et de les transférer en toute simplicité. 

 
Cette nouvelle version, estampillée 2.6.4 n’intègre pas de nouvelles fonctionnalités, il s’agit surtout d’une mise à jour qui corrige plusieurs bugs.
 
Si vous rencontrez un problème lié à cette version, et uniquement cette version, vous pouvez contacter les développeurs à l’adresse : mobileapps@free-mobile.fr 
 
 
 

Pour rappel, la Messagerie Vocale Visuelle de Free pour Android propose de nombreuses Fonctionnalités :
 
– notification de nouveaux messages
– écoute des messages dans n’importe quel ordre
– archive des messages dans le téléphone
– rappel direct du correspondant
– réponse par SMS
– partage des messages (par email ou autre)
– suppression des messages
– ajout d’un numéro aux contacts
– enregistrement d’une annonce d’accueil
– configuration du délais avant répondeur (dans "Paramètres")
– accès au suivi conso détaillé de la ligne
– installation de la sonnerie "Free Revolution" (dans "Outils")
– configuration simplifiée de FreeWifi_secure (dans "Outils")
– widgets (redimensionnables)
 

 

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La chaîne Numéro 23 devrait être rebaptisée “RMC Story” dès septembre

Altice aurait fait son choix. "RMC Story" pourrait remplacer Numéro 23 dès septembre prochain.

En marge du feu vert donné le 20 avril par le CSA à SFR pour la prise de contrôle à 100% de BFM TV, RMC etc… (Next Radio TV), Alain Weill, patron d’Altice Europe et de l’opérateur au carré rouge, avait indiqué dans les colonnes du JDD  vouloir faire de la chaîne Numéro 23 « l’une des toutes premières de la TNT » en la relançant avec ambition dès septembre. Et d’ajouter qu’une fois reformatée, « Numéro 23 sera une chaîne moderne dite de la connaissance , mêlant reportages, documentaires, fictions du réel et informations. Nous nous sommes solennellement engagés à ce que celle-ci reflète la diversité de la société française dans toutes ses composantes. Or, la France a un retard considérable en la matière. » D’ailleurs aux yeux de SFR, qui dit ouvrir un nouveau chapitre de l’histoire de la chaîne, sous-entend un changement de nom : « Il est probable que nous soyons amenés à changer le nom de cette chaîne pour mieux tourner la page de sa première vie », avait conclu Alain Weill. Aujourd’hui, cette possibilité prend forme puisque d’après les informations de Génération Câble, c’est le nom « RMC Story » qui aurait été retenu par Altice pour remplacer Numéro 23 et ce dès septembre prochain.

 

 

Pour rappel, SFR s’est engagé sur requête du CSA à diffuser un nombre plus élevé d’œuvres cinématographiques provenant d’Asie, d’Amérique latine sur Numéro 23 et ce en première partie de soirée, mais aussi à mettre en avant une fois par semaine une initiative en faveur de la cohésion sociale ou de la diversité ou encore en interne, à "renforcer la part des journalistes représentatifs de la diversité de la société française".

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France 4 va disparaître de la TNT, France Ô en sursis

Dans un discours très attendu, la ministre de la culture Françoise Nissen a présenté ce matin les orientations majeures de la réforme de l’audiovisuel.

Sans grande surprise, parmi les principales annonces, figurent la suppression de France 4 de la télévision hertzienne pour une diffusion numérique sur le net, rapporte le Monde. S’agissant de France Ô, "il faudra interroger nos concitoyens d’outre-mer et leurs élus pour déterminer si l’avenir est au maintien de France Ô sur le canal hertzien ou au contraire au renforcement des offres numériques des Outre-Mer Premières", a ajouté la ministre de culture. A noter également que le gouvernement va demander à France Télévisions « d’augmenter significativement le temps des programmes régionaux », actuellement fixé à 2 heures par jour. Au final, l’audiovisuel public devra investir 150 millions d’euros de plus par an et mettre les bouchées doubles sur l’investissement dans les séries et les documentaires. Objectif, reconquérir les jeunes et ranimer la flamme avec les territoires. Cela passera également par une coopération « ambitieuse » entre France 3 et France Bleu.

 

Source : Le Monde, AFP.

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Comme Free, SFR plancherait sur un assistant virtuel pour sa box TV

Après la rumeur "OK Freebox", place à l’information "OK Altice". Selon le site Frandroid, un assistant virtuel serait en développement au sein du groupe de Patrick Drahi.

Objectif, équiper le décodeur TV de SFR via une mini-enceinte faisant office de microphone à connecter « directement au modèle de box TV actuel pour upgrader  cette dernière », précise le média. Objectif, couper l’herbe sous le pied d’Orange d’abord dont l’enceinte connectée Djingo intègrera l’écosystème de l’opérateur historique à l’automne prochain. Mais aussi de Free si la rumeur de MacGeneration selon laquelle l’opérateur de Xavier Niel a demandé aux employés de ses centres de contact « d’enregistrer l’accroche verbale « OK Freebox » ainsi que dix mots piochés au hasard, dans des pièces spéciales équipées d’un micro», s’avère exacte. Cette information laisse en tout cas penser que la V7 dont la commercialisation est prévue en septembre, embarquerait elle aussi un assistant virtuel. 

 

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