Auteur : Maxime Raby

Vivendi cherche à se séparer de 50% d’Universal Music

 

Quand une surprise en cache une autre.

En marge de la publication de ses résultats semestriels, Vivendi a fait part hier de sa volonté de céder 50% du capital d’Universal Music Group . Objectif, permettre à UMG « d’amplifier sa valorisation ». La maison-mère de Canal+ se met donc en quête de trouver «  un ou plusieurs partenaires stratégiques ». L’opération devrait être lancée cet automne et pourrait s’étaler sur 18 mois. Par ailleurs, un temps envisagée, une introduction en Bourse d’Universal Music a été écartée « à cause de sa complexité ». A noter que la pépite de Vivendi a vu son chiffre d’affaires augmenter de 6,8%  à 2 628 millions d’euros au premier semestre (taux de change et périmètre constants) , ce qui correspond à un peu plus de 40% du chiffre d’affaires global de Vivendi.

Acquisition d’Editis

En parallèle, le groupe a indiqué être entré en négociations exclusives pour l’acquisition de 100 % du capital d’Editis, deuxième groupe d’édition français détenu par Grupo Planeta, dont la valeur est estimée à 900 millions d’euros, pour un chiffre d’affaire en 2017 d’environ 750 millions d’euros. Editis compte entre autres plus de 50 maisons d’édition parmi lesquelles Nathan, Bordas, Robert Laffont, Presses de la Cité, Julliard, XO, Plon, Perrin, Pocket, Belfond, Le cherche midi. Son acquisition «  constituerait une nouvelle étape majeure dans la construction d’un groupe intégré centré sur les médias, les contenus et la communication », a précisé Vivendi.

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Free : les “bons plans de l’été” sur les offres Freebox, ça continue encore et encore

Les "bons plan de l’été" sur les offres Freebox bien partis pour durer jusqu’à la rentrée ? Notre petit doigt nous dit que oui. Lancés fin juin, ceux-ci sont pour la seconde fois prolongés. Vous pourrez ainsi en profiter jusqu’au mardi 7 août, tout comme le forfait spécial Free Mobile 50 Go à 8,99€/mois.

Pour rappel, Free a lancé de nouvelles offres Freebox fin mai, et a surtout changé son système de tarification en s’alignant sur ses rivaux même si les offres historiques sont toujours disponibles. L’opérateur a par la suite mis à jour son site web en dégainant ses "bons plans de l’été". Comme auparavant, les trois offres Freebox affichent un tarif beaucoup plus bas la 1ère année, lequel augmente par contre à partir de la 2ème année, mais, ces"bons plans" temporaires intègrent à présent le remboursement des frais de résiliation de l’ancien opérateur à hauteur de 100€. A noter qu’il y a des frais de mise en service de 49€, et des frais de résiliation de 49€.

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SFR : un nouveau braquage à main armée dans une boutique

C’est la seconde fois en l’espace de quelques mois qu’une boutique SFR est victime d’un hold-up.

Direction la commune d’Echirolles en Isère où hier aux alentours de 19 h, deux individus se sont fait la malle après avoir braqué une boutique de l’opérateur au carré rouge. Le mode opératoire n’est pas nouveau. Entré sans difficulté par l’arrière-porte, l’un des malfaiteurs, cagoulé et ganté a dans la foulée menacé l’employé présent avec un couteau avant d’ouvrir le coffre fort à l’aide de la clé restée en évidence. Le braqueur s’est alors emparé d’une cinquantaine de smartphones ainsi que "d’une boîte contenant des espèces, dont on ne connaît pas le montant", rapporte France 3. Son complice l’attendait à l’extérieur pour récupérer le magot.

Un crime qui n’est pas sans rappeler un braquage à l’arme blanche le 03 mai dernier à Manosque dans les Alpes-de-Haute-Provence où un homme est entré dans la boutique SFR armé d’un revolver factice et d’un couteau avant de mettre en joue les employés et clients présents à l’intérieur et de voler un nombre conséquent de smartphones.

 

 

 

 

 

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Iliad : le gouvernement italien lui demande de respecter sa loi antiterroriste

Les Simbox d’Iliad en Italie font toujours débat.

A la suite d’interrogations de la concurrence sur le respect de la loi anti-terroriste sur le processus de délivrance des cartes SIM de la part d’Iliad, le Ministre du développement économique italien Luigi Di Maio a appelé  jeudi dernier, devant la Chambre des députés, l’opérateur à respecter la législation en vigueur ‘afin de ne pas créer de concurrence déloyale", rapporte Reuters.

Pour distribuer ses cartes SIM, Iliad Italia s’appuie sur des distributeurs automatiques de cartes SIM tels que nous les connaissons en France. Er revanche pour les italiens, c’est une grande nouveauté et nous vous avions expliqué que la loi est plus stricte de l’autre côté des Alpes, ainsi les bornes Free ont été adaptées donnant naissance aux SimBox (ajout d’un scanner et d’une caméra) car les opérateurs doivent vérifier l’identité du futur abonné en demandant la présentation d’une pièce d’identité afin d’obtenir leur carte SIM.

Seulement à la suite à un incident sur une Simbox, Telecom Italia a saisi pour avis sur fond de sécurité nationale, le nouveau ministre italien de l’intérieur, Matteo Salvini, selon il Sole 24 Ore. Un homme aurait ainsi réussi a obtenir une carte SIM en utilisant la pièce d’identité d’une femme et une carte de crédit au nom d’une autre personne. Iliad s’est rendu compte du problème au bout de 10h et a désactivé la ligne. Le concurrent d’Iliad avait de ce fait demandé au gouvernement des  "explications et des éclaircissements sur le respect de la procédure d’Iliad" qui permet de s’assurer de l’identité de l’abonné. 

L’opérateur italien a également indiqué qu’en cas de conformité des bornes d’Iliad, celui-ci pourrait lui aussi déployer à l’avenir des distributeurs automatiques similaires afin de réduire ses coûts. 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Canal+ : perte de 197 000 abonnés direct en un an, les partenariats avec Free et Orange peinent à compenser

Dur dur de trouver la formule gagnante et par extension de relancer la machine en France pour Canal+.

La refonte des offres avec l’arrivée d’abonnements modulaires fin 2016 n’ont pas eu l’effet escompté et la perte du foot français pourrait ne pas arranger les choses à l’avenir. c’est en tout cas devenu une ritournelle, canal+ progresse à l’international mais ne se redresse pas en France. Les résultats semestriels de sa maison-mère Vivendi l’attestent, la perte d’abonnés direct  de Canal+ s’élève à 197 000 en un an, ces derniers passant de 4,989 millions en juin 2017 à 4,792 millions le mois dernier. Pour autant, Canal+ assure sans parler de football, avoir une offre "très cohérente et attractive" et ne compte pas changer de modèle économique dans les deux prochaines années.

Motif de satisfaction, les accords distribution noués avec Free, Orange et Bouygues ne faiblissent pas avec 135 000 abonnés engrangés sur la période, ceux-ci ne compensent toutefois pas la fuite des abonnés en direct. Ainsi ces bouquets ont permis de générer 3,130 millions d’abonnés au 30 juin 2018 contre 2,995 millions il y a un an. En comptant ces partenariat, Canal+ a donc perdu 62 000 abonnés. L’hémorragie continue

A noter toutefois que le chiffre d’affaires mondial du groupe Canal+ s’établit à 2 575 millions d’euros, en croissance de 0,8% par rapport au premier semestre 2017. En France, celui-ci est est encore " en léger recul malgré un dynamique très positive du taux de résiliation", à savoir de 19% sur un an, indique un communiqué. Au total, le parc d’abonnés du groupe atteint 16 millions contre 14,6 millions fin juin 2017.

 

 

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Numéros surtaxés : les prix bientôt tous plafonnés, le régulateur renforce les règles contre les fraudes

 
Les numéros surtaxés, le régulateur en a fait l’un de ses chevaux de bataille tout comme la DGCCRF qui a lancé il y a peu une campagne d’information destinée à sensibiliser le public et donner des conseils pour éviter de se faire piéger.
 
Face à l’inflation autour des appels surtaxés dont le prix moyen a augmenté de plus de 400% entre 2015 et 2016 et en réponse à l’escalade des abus et fraudes comme les appels non sollicités, l’Arcep a décidé d’intervenir et a présenté vendredi dernier son nouveau plan de numérotation pour une meilleure « protection des consommateurs ».
 
Et force est de constater que le régulateur compte renforcer les règles. L’une de ses principales décisions concerne les prix des services de renseignements téléphoniques qui seront plafonnés à compter du 1er août 2021 de manière identiques à ceux existant pour tous les autres numéros courts et spéciaux, à savoir 3 € TTC par appel ou 80 centimes TTC par minute. Deuxième mesure phare, l’encadrement de la modification de l’identifiant d’appelant, qui permet notamment à des entreprises utilisant un même numéro depuis ses centres d’appels. Partant du constat que cette pratique a "donné lieu à des usurpations de numéros", l’Arcep prévoit cette fois à compter du 1er août 2019, "une batterie de mesures visant à encadrer son utilisation, et formule une série de recommandations aux opérateurs, incluant la mise en œuvre des mesures nécessaires pour permettre l’interruption immédiate des appels ou messages utilisant des numéros usurpés".

Dans son plan national, la police des télécoms rappelle également aux opérateurs leur obligation de rendre accessible les numéros spéciaux et courts depuis l’ensemble du territoire national. La raison, certains de ces numéros sont rendus volontairement inaccessibles par des opérateurs, en particulier depuis les territoires ultramarins.

Enfin l’Arcep encourage l’innovation et souhaite accompagner les nouveaux usages avec de nouvelles mesures, comme « assouplir les conditions dans lesquelles les utilisateurs peuvent bénéficier simultanément de plusieurs numéros mobiles sur leur téléphone mobile (par exemple personnel et professionnel), même si celui-ci ne peut recevoir qu’une seule carte SIM ». Ou encore « permettre aux numéros fixes, jusqu’à présent dédiés uniquement aux services vocaux, d’être dorénavant également accessibles aux services SMS et MMS, de façon à permettre aux commerçants de répondre à leurs clients par ce biais. »
 

 

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Altice vend plus de 1000 pylônes… en République Dominicaine

A peine un mois et demi après avoir cédé partiellement ses tours télécoms en France et au Portugal pour 2,5 milliards d’euros, Altice poursuit son processus de désendettement en se séparant cette fois d’un millier de pylônes en République Dominicaine. 

En effet, Altice Europe qui gère les activités du groupe en République Dominicaine a indiqué aujourd’hui avoir signé un accord avec Phoenix Tower International du groupe Blackstone en vue de la cession de 100% du capital de sa filiale de tours de télécommunications dans le pays pour la bagatelle de 170 millions d’euros. Au total, l’opération concerne 1049 pylônes et devrait être finalisée au cours du trois trimestre 2018. Par Ailleurs, Altice Dominicana précise avoir signé en parallèle un partenariat de 20 ans avec le groupe américain permettant à sa filiale Teletorres del Caribe de continuer à soutenir le déploiement de son réseau.

 

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SFR teste le 10 Gb/s sur une ligne fibre grand public

En route vers une forte montée en débit sur la fibre et de nouveaux arguments de vente.

Si Orange a augmenté récemment en toute discrétion jusqu’à 1Gb/s le débit de certains de ses abonnés fibre, de son côté, SFR a annoncé la semaine dernière avoir testé la technologie 10 Gbit/s sur une ligne FTTH grand public. Plus précisément, l’opérateur au carré rouge a réussi à atteindre à Amiens un débit de 8,2 Gbit/s en réception sur son réseau, en conditions réelles. Pour rendre possible cette expérimentation, SFR a utilisé la technologie XGS-PON. A l’avenir, celle-ci  "permettra également de libérer les usages en émission grâce à la bande passante symétrique qu’elle délivre", précise l’opérateur. A titre d’exemple, la durée de téléchargement d’un film HD de 2Go ne nécessite que 2 secondes avec la fibre à 10 Gbit/s contre 13 minutes avec l’ADSL. A noter que la Fiber Box 10 Gb/s de Salt, l’opérateur Suisse de Xavier Niel, utilise la même technologie. Ce qui a permis à l’un de ses abonnés d’être flashé à 5 Gb/s. SFR pourrait donc proposer ces débits prochainement dans ses offres !

 

 

 

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Les tickets de métro sur smartphone en Ile-de-France, c’est pour septembre

 
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Mais uniquement sous Android pour le moment.

Le passe Navigo devient intelligent ! L’expérimentation grand public pour l’achat, le stockage et la validation sur mobile des titres de transport sur les bornes de la RATP et de la SNCF en Ile-de-France sera lancée cet automne. Actuellement, ce sont les personnels de la Régie autonome des transports parisiens et de la Société nationale des chemins de fer français qui testent ce nouveau service avant un passage à grande échelle prévu mi-septembre pour le téléchargement des tickets et en novembre pour les abonnements, rapporte Le Figaro.

Concrètement, ce nouveau service développé par la startup Wizway utilise la technologie de communication sans fil à courte portée NFC (Near Field communication). Seul hic, Apple n’a pas encore débridé celle-ci sur ses appareils. Par conséquent, seuls les utilisateurs Android pourront user dans un premier temps  leur smartphone pour valider leurs titres de transports en Ile-de-France. POur l’utiliser, il suffira aux utilisateurs de télécharger « via navigo », l’application d’Île-de-France Mobilités et de créer un compte. A termes, 3 millions de personnes seront visées. A noté ce type de paiement a déjà été lancé à Strasbourg et débarquera bientôt à Lille.

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Canal + : lancement d’une chaîne entièrement dédiée à l’émission Clique en octobre

Canal+ continue son opération reconquête. De nouveaux rendez-vous au programme à la rentrée mais aussi de nouvelles chaînes en approche comme Clique TV.

Après l’arrivée la semaine dernière des chaînes Ciné+ Western et Ciné+ Horreur, toutes deux disponibles à la demande, depuis l’univers Canal et sur myCanal, la filiale de Vivendi ne compte pas s’arrêter là et prépare l’arrivée de plusieurs chaînes dans les prochains mois, axées sur diverses thématiques.

Et l’une des premières d’entre-elles sera Clique TV. Initialement prévu le 21 juin, le lancement de cette chaîné dédiée à l’émission d’actualité de Mouloud Achour fera finalement ses débuts en octobre prochain, a fait savoir au JDD le directeur général des antennes du groupe, Gérald-Brice Viret. Et d’ajouter que celle-ci comportera une "galerie de portraits d’acteurs du quotidien" avec pour maîtres mots, la parole et la musique. Clique TV devrait être dans un premier temps  disponible sur le satellite et le câble. 

 

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