Auteur : Maxime Raby

SFR : un retour en masse des abonnés mais une rentabilité qui se casse la figure

 
Un trimestre record commercialement. Jamais l’opérateur au carré rouge n’avait autant recruté depuis 2005. En 2018, plus d’un million d’abonnés sont revenus chez SFR. Mais au prix fort. Sa rentabilité dégringole.
 
Il y a tout juste un an, l’heure était au naufrage d’Altice en bourse à la suite de la publication de mauvais résultats de SFR. Depuis, l’opération "reconquête" des abonnés pour rassurer les marchés a été lancée. Pour ce faire, l’opérateur de Patrick Drahi a intensifié de manière drastique la guerre des prix à coups de promotions à vie. Et commercialement cela paie puisque depuis le début de l’année, SFR estime avoir séduit plus d’1 million d’abonnés, "soit l’équivalent du nombre de clients perdus depuis trois ans".

Lors de la publication de ses chiffres trimestriels hier après-midi, l’opérateur a annoncé avoir cartonné sur le mobile avec 378 000 nouveaux abonnés recrutés (forfaits grand public) contre seulement 16 000 il y a un an pour une base totale de 13,36 millions. Chez SFR, on estime que ce regain de forme, résulte de sa stratégie de promotions, d’une amélioration notable de la qualité du réseau et surtout du football et notamment la Ligue des Champions mais aussi d’une réduction du taux de désabonnement et de plaintes.

Sur le fixe, la performance commerciale est aussi notable. La base d’abonnés augmente de 52 000 à plus de 6 millions et efface largement la perte de 75 000 au troisième trimestre 2017. Dans le détail, SFR a engrangé  64 000 sur le FTTH/FTTB, 6 000 sur sa 4G Box et en a perdu 19 000 sur l’ADSL.

 

La rentabilité a du plomb dans l’aile

 

Bémol, cette stratégie de reconquête et de prix attractifs ont engendré un net recul des revenus de SFR et de la marge cette année pour le deuxième trimestre consécutif. Entre juillet et septembre, son chiffre d’affaires consolidé a baissé de 7,6%, à 2,480 milliards d’euros (-5,5% sur un an). Sur la même période, l’excédent brut d’exploitation (Ebitda) a reculé de 7,1% et de 12% en un an, à 962 millions d’euros, avec une baisse de 1,9 points de la marge, désormais à 38,8%. 

Enfin, L’ARPU sur le fixe a diminué de -7,6% en glissement annuel, hors-TVA, ou -11,6%, à 31,7 € au troisième trimestre 2018 (contre 35,9 euros T3 2017), impacté par "des activités de rétention", annonce Altice. Le revenu par abonné sur les forfaits mobiles a diminué quant à lui de -10,6% en glissement annuel, hors-TVA, ou -13,3%, à 22,4 € (contre 25,8 € au troisième trimestre 2017).

Conclusion, SFR va devoir enclencher très rapidement la seconde partie de son plan, à savoir soigner sa rentabilité après avoir réussi à repartir sur de bons rails en matière de recrutement. L’opérateur espère un retour à la croissance l’an prochain.

 

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Orange dénonce l’intensification de la guerre des prix et les promotions à vie de SFR et Bouygues

En 2018, la guerre des prix est repartie de plus belle sur le marché des télécoms et certains acteurs laissent des plumes. Un vrai problème selon Orange à l’heure où les opérateurs doivent intensifier leurs investissements pour accélérer la couverture 4G, les déploiements de la  fibre et préparer l’arrivée de la 5G. En conséquence, un schéma de consolidation est inévitable en 2019 pour l’opérateur historique.

Dans un entretien accordé aux Echos, le patron d’Orange est d’ailleurs revenu sur l’hypothèse d’une consolidation du marché des télécoms qui revient régulièrement : "A ma connaissance, il n’existe pas de schéma établi, ni de négociations engagées, à ce stade", a confié Stéphane Richard, préférant tabler comme son directeur financier la semaine dernière sur une fenêtre de tir au premier semestre 2019.

Si un retour à trois opérateurs va devenir une nécessité dès l’année prochaine pour l’agrume, c’est "surtout en raison des ravages causés, particulièrement en 2018, par la guerre des prix dans les télécoms", dénonce l’intéressé et d’enchérir :" On a atteint des pratiques de marché sans équivalence en Europe, avec désormais deux opérateurs télécoms [SFR et Bouygues Telecom, NDLR] qui pratiquent des promotions à vie ! Je trouve cet emballement particulièrement préoccupant. Il est lié à une dynamique de marché à quatre opérateurs télécoms : chacun est engagé dans une course au recrutement du plus grand nombre de clients chaque trimestre".

Partant de ce postulat, le PDG constate que "certains résistent mal" et qu’Orange "fait mieux" mais subit tout de même les conséquences de cette intensification de la guerre des prix initiée par SFR et Bouygues. Enfin, Stéphane Richard persiste et signe, "il faut bien voir que cette dynamique va provoquer une baisse, à terme, des revenus des opérateurs télécoms" et que tous ne vont pas suivre, le système actuel ayant atteint ses limites. Une chose est sûre aujourd’hui, Orange ne prendra pas la tête d’une initiative mais pourrait jouer un rôle de facilitateur en cas de rapprochement entre deux opérateurs.

 

 

 

 

 

 

 

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Bouygues Telecom ne voit pas l’utilité de permettre à ses abonnés fibre de surfer sur du 10 Gb/s

Comme Orange, l’opérateur de Martin Bouygues estime qu’à l’heure actuelle, une offre FTTH à 10Gb/s n’aurait aucun intérêt pour le grand public.

Si à l’instar d’autres FAI, Bouygues Telecom propose des offres FTTO pour les professionnels à 10Gb/s, l’opérateur a confié à Next INpact ne pas voir "actuellement de cas d’usage réel" pour ses abonnés grand public bien qu’il "s’intéresse aux évolutions technologiques qui apportent un réel bénéfice pour le client". Une telle montée en débit ne fait donc pas partie aujourd’hui des plans de l’opérateur. 

Même son de cloche pour Orange où Laurent Benatar, patron des réseaux de l’opérateur a  déclaré lors d’un point presse en juillet dernier, que l’important n’est pas là pour l’agrume. L’opérateur historique, préfère se focaliser sur la qualité de service et proposer des débits réels et garantis en travaillant d’arrache-pied sur son coeur de réseau. Autrement dit, Orange n’est pas prêt de proposer des débits atteignant 10Gb/s à ses abonnés mais préfère à la place « fournir un vrai 1 Gb/s ».
 
De son côté, SFR se prépare en revanche à une éventuelle forte montée en débit dans ses offres. L’été dernier, l’opérateur au carré rouge  a annoncé avoir testé la technologie 10 Gbit/s sur une ligne FTTH grand public. Plus précisément, SFR a réussi à atteindre un débit de 8,2 Gbit/s en réception sur son réseau, en conditions réelles via  la technologie XGS-PON. A l’avenir, celle-ci "permettra également de libérer les usages en émission grâce à la bande passante symétrique qu’elle délivre", a précisé l’opérateur.
 
A noter que la Fiber Box 10 Gb/s de Salt, à savoir l’opérateur Suisse de Xavier Niel, utilise la même technologie. Ce qui a permis à l’un de ses abonnés d’être flashé à 5 Gb/s en juillet dernier. A titre d’exemple, la durée de téléchargement d’un film HD de 2Go ne nécessite que 2 secondes avec la fibre à 10 Gbit/s contre 13 minutes avec un bon débit ADSL.

 

 

 

 

 

 

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Free maintient ses “Bons Plans” sur ses offres Freebox jusqu’au mardi 27 novembre

Une énième prolongation qui pourrait être la ou l’une des dernières avant l’arrivée de la Freebox V7.

Satisfait des recrutements bruts sur ses nouvelles offres Freebox en dépit d’une perte d’abonnés causée par un grand nombre de résiliations, Free avait décidé dans la foulée de la présentation de ses chiffres la semaine dernière, de poursuivre ses "bons plans". C’est une nouvelle fois le cas aujourd’hui puisque l’opérateur de Xavier Niel vient de prolonger ses offres d’une semaine jusqu’au mardi 27 novembre, date à laquelle la Freebox V7 devrait être présentée selon BFM Business bien que ce soit encore et toujours le calme plat autour de ce tant attendu événement. 

Pour rappel, en mai dernier, l’opérateur de Xavier Niel a lancé ses nouvelles offres, faisant ainsi évoluer son système de tarification en s’alignant sur ses concurrents. Les offres historiques sont, elles, toujours disponibles. Fin juin sont apparus les "Bons plans de l’été", ces derniers ont été renouvelés à la rentrée et perdurent depuis.

Comme auparavant, les trois offres Freebox affichent un tarif beaucoup plus bas la 1ère année qui augmente par contre à partir de la 2ème année. A noter qu’il y a des frais de mise en service de 49€, et des frais de résiliation de 49€, mais que les frais de résiliation sont remboursés à hauteur de 100 euros.

 
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Canal+ annonce le lancement d’une nouvelle chaîne à la demande le 20 décembre prochain

En marge du lancement hier de Ciné+ Crime, le groupe Canal+ a également informé de l’arrivée le 20 décembre prochain d’une nouvelle chaîne de cinéma à la demande. Son nom : Ciné+ Comédie.

"Exclusivement accessible via myCANAL" comme la kyrielle de chaînes digitales signées Ciné+ et lancées au compte-gouttes depuis quelques mois, Ciné+ Comédie diffusera "les succès récents du box-office en passant par les comédies populaires qui firent les belles heures du cinéma français d’avant-guerre, sans oublier les comédies italiennes ou britanniques du siècle dernier", fait savoir la filiale de Vivendi. Au total, la chaîne dispose de plus de 100 films en ligne parmi lesquels "Papa ou maman 2", "The Blues Brothers" ou encore "L’aventure c’est l’aventure". 

Le groupe précise que cette famille de chaînes (Ciné+ Horreur, Ciné + Western, Ciné+ British, Ciné+ de Quartier et Ciné+ Crime)  et contenus exclusifs myCANAL ont vocation à évoluer au cours des prochains mois.

A noter que cette nouvelle chaîne sera également disponible sur la version Android TV de myCanal sur Freebox Mini 4K) mais aussi sur le téléviseur via "Canal à la demande" (depuis Freebox Replay ou depuis l’univers Canal). Si celle-ci sera proposée sans surcoût, elle ne sera disponible que pour les détenteurs d’une formule incluant les chaînes CINE+ (pack CINE-SERIES, formule L’INTÉGRALE…).

 

 

 

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Le forfait intermédiaire de Free Mobile continue sur sa lancée

Pourquoi changer une formule qui gagne depuis plus de quatre mois ?

C’est en tout cas ce qu’il est permis de penser eu égard aux multiples prolongations du forfait 60 Go de Free Mobile depuis son lancement. Une semaine après avoir annoncé un franc succès sur cette offre lors de la publication de ses chiffres trimestriels, l’opérateur de Xavier Niel décide aujourd’hui de la maintenir une fois de plus de façon temporaire et ce au moins jusqu’au mardi 27 novembre. A l’avenir, si le succès commercial devait continuer, il n’est donc pas à exclure que Free pérennise ce forfait intermédiaire. Pour l’heure, le choix marketing est le suivant, relancer inlassablement le compte à rebours toutes les semaines.

Pour rappel, cette offre sans engagement intercalée entre les deux forfaits historiques de l’opérateur, comprend pour la bagatelle de 8,99€/mois pendant un an, appels, SMS et MMS illimités, 60Go en France métropolitaine ou encore 3 Go/mois en roaming depuis Europe et DOM en 3G. A l’issue des 12 mois, les abonnés basculeront automatiquement sur le Forfait Free classique 100Go à 19,99€/mois ou data illimitée à 15,99€/mois pour les abonnés Freebox.
 
 
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Orange dévoile son plan d’action face à la dégradation du réseau cuivre

Entre renforcement de ses ressources, accroissement des investissements et une meilleure organisation face à un réseau qui ne cesse de se dégrader. Voici les plans d’Orange pour "revenir dans les clous en 2019" et éviter une très lourde amende.

Mis en demeure anticipée fin octobre par l’Arcep sur la qualité de service de son réseau cuivre, Orange assure aujourd’hui qu’il se mettra en conformité avec ses obligations de délégataire du service universel dès l’année prochaine. Pour ce faire, l’agrume prévoit la mise en place d’un "plan exceptionnel" visant à améliorer l’entretien de son réseau cuivre et d’un dispositif spécial sur certaines zones critiques. Ceux-ci seront présentés au gouvernement la semaine prochaine.

Dans un entretien accordé au quotidien Les Echos, le PDG d’Orange a davantage détaillé les mesures que l’opérateur historique va prendre. Aujourd’hui, l’objectif est de renforcer les ressources en interne et en externe sur les boucles locales, là où il y a le plus d’inondations et de dysfonctionnements. Pour ce faire, "dès 2019, nous allons recruter 200 techniciens supplémentaires spécialisés sur le réseau cuivre, qui s’ajouteront aux 1.000 spécialistes d’Orange qui interviennent aujourd’hui sur le territoire. Nous doublons également nos « forces d’intervention rapide », qui sont dépêchées en cas d’incident. Elles atteindront près de 500 personnes l’an prochain", prévoit Stéphane Richard. 

Autre mesure, un investissement accru mais de manière mieux organisée. Face à un réseau vieillissant qui compte environ 30 millions de lignes, Orange va mettre en place "une dizaine de « Vigie Service universel » en région, qui veilleront à ce que l’engagement de rétablir les lignes du service universel en moins de 48 heures soit respecté dans 85 % des cas". Par ailleurs, le budget alloué à chaque ligne de cuivre va augmenter en 2019, "il passe de 16,50 € par ligne en 2017, à 19,30 € en 2019", souligne le PDG.

Aux clients impactés sur une plus longue durée ou de manière répétitive par des pannes, l’opérateur prévoit, dans la mesure du possible, de fournir et distribuer des routeurs 4G fixe .

A l’heure où les opérateurs versent 1,5 milliard d’euros chaque année à Orange pour louer ses lignes de cuivre, Orange injecte 500 millions d’euros pour sa maintenance. A la question fâcheuse de savoir si ce n’est pas insuffisant, Stéphane Richard persiste et signe, cela "ne reflète pas que les frais d’entretien courant. Il comprend également l’amortissement de nos investissements considérables consentis au fil des années sur le réseau cuivre. L’Arcep vérifie avec attention que les tarifs du dégroupage reflètent les coûts effectivement supportés par Orange pour le réseau cuivre." A ses yeux, étant donné que les coûts de maintenance augmentent, le régulateur devrait augmenter les tarifs de dégroupage, "en théorie", conclut-il.

 

 

 

 

 

 
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SFR lance une offre 4G+ en illimité à 3€/jour

C’est la journée des nouveautés chez SFR. S’il vient de commercialiser une nouvelle box 4G+ dualplay, l’opérateur au carré rouge lance  dans le même temps et ce jusqu’au 7 janvier, une offre 4G+ en illimité à 3€/jour.

Baptisée « Internet Partout », celle formule permet de profiter d’internet via le réseau 4G/4G+ de SFR en illimité en France métropolitaine sur tous types d’équipements (tablette, PC, …), en incluant également 2 Go de données par jour en Europe/DOM. La carte SIM coûte 1€ et la box de poche 4G de SFR peut également être utilisée.

Sans engagement, l’offre est facturée 3€ aux clients uniquement les jours où ils utilisent leur carte SIM. Son objectif, répondre aux besoins ponctuels du grand public (résidences secondaires, touristes, vacanciers…)

 

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RED By SFR lance ses offres spéciales Noël sur le mobile et la fibre

Comme chaque année à l’approche des fêtes de Noël, RED By SFR dégaine des offres promotionnelles. Cette fois, trois forfaits mobiles sont concernés ainsi que l’offre fibre de l’opérateur.

A cette occasion, la filiale de SFR a décidé de prolonger, jusqu’au 3 décembre, ses bons plans sur deux de ses offres sans engagement, à savoir le forfait incluant 40 Go à 10€/mois et le second proposé à 15€/mois avec une enveloppe de 60 Go. RED By SFR ne s’arrête pas là en canardant une série limitée spéciale football. Dans ce nouveau forfait, l’opérateur intègre l’abonnement à RMC Sport (sur tous vos écrans) en plus de 50 Go de données, le tout au prix mini de 25€/mois et ce sans augmentation de tarif au bout d’un an, de quoi séduire les fans de ballon rond.

 

 

Dans le même temps, RED By SFR  propose jusqu’au 26 novembre prochain et ce toujours sans condition de durée, son abonnement fibre "Red Box" à 20€/mois au lieu de 25€. Au delà des appels vers les mobiles offerts, est également incluse l’option "Débit Plus". Par conséquent, l’opérateur promet des débits allant  jusqu’à 1 Gb/s en download (contre 200 Mb/s à l’accoutumée) et 200 Mb/s en upload (contre 50 Mb/s). 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Antenne-relais Free Mobile : un collectif craint un bombardement d’ondes sur les enfants

À Jouy-le-Moutier, une commune située dans le département du Val-d’Oise, en Île-de-France, le projet d’implantation d’une antenne-relais Free Mobile attise les craintes d’un collectif.

Il ne se passe pas une semaine sans que des riverains s’opposent à l’implantation d’antennes-relais dans leur commune. Cette fois, c’est à Jouy-le-Moutier que la mobilisation s’organise. Si l’opérateur de Xavier Niel a obtenu un permis de construire pour installer une antenne de 26 mètres de haut sur une parcelle boisée dans un quartier résidentiel, ce n’est pas du goût d’un collectif qui s’est créé pour protester contre le projet, rapporte Le Parisien. Les arguments mis en exergue ne sont pas nouveau. Pas contre les antennes, les riverains hostiles s’inquiètent de l’impact des ondes sur la santé des enfants et demandent "une installation dans les champs, loin des habitations".  

Leur constat, la cour de l’école sera située à 200 m de l’antenne si celle-ci voit le jour. "C’est d’autant plus grave qu’il y a déjà une autre antenne de téléphonie au niveau de la piscine. L’école sera prise entre les deux ", craint un membre du collectif. Pour un parent d’élève, « les enfants sont beaucoup plus sensibles aux ondes. Demain ils seront bombardés en permanence, à l’école et à la maison. »

De son côté, le maire joue la carte de la transparence : « j’entends les craintes. Mais j’entends aussi les gens qui se plaignent car ils n’ont pas assez de réseau sur leur portable. Je n’ai pas de réponse miracle», lance t-il dans les lignes du quotidien avant de marteler qu’en France "il y a un vide complet" autour du principe de précaution du Conseil de l’Europe qui préconise un seuil de prévention ne dépassant pas 0,6 volt/mètres.

Enfin, les riverains dénoncent un risque de pollution visuelle alors que le projet prévoit un camouflage en forme d’arbre pour l’antenne, mais celle-ci dépassera la végétation dans cette zone, note le collectif qui s’inquiète par la même occasion de la potentielle arrivée de plusieurs pylônes à l’avenir. Une pétition a été lancée et compte aujourd’hui 184 signatures écrites et 197 adhésions en ligne. Le maire doit rencontrer le collectif dans la journée.

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