Auteur : Maxime Raby

Gulli, Canal J : rachat imminent, deux groupes ont remis une offre dont M6

C’est de notoriété publique, le groupe Lagardère cherche à se séparer de son pôle TV, lequel comprend Gulli et des chaînes thématiques comme Canal J. Aujourd’hui, cela avance à grands pas puisqu’au moins deux offres ont été remises.

Si la chaîne Mezzo "a été exclue du périmètre de la vente", souligne Le Figaro qui a révélé l’information le 21 décembre, au rang des potentiels acheteur figureraient,  M6 et un groupe indépendant. Longtemps intéressé, TF1 aurait finalement décidé de ne pas tenter le coup. Le pôle TV de Lagardère vaudrait environ 150 millions d’euros, fait par ailleurs savoir le quotidien. Pour sa part, Gulli a en tout cas de quoi attiser les convoitises, c’est l’une des trois seules rentables dans l’univers des chaînes TNT, hors historiques. A lui seul, le canal 18 représenterait plus de la moitié des revenus générés par les 17 chaînes du groupe Lagardère ( Canal J, MCM, RFM TV etc).

En 2018, Lagardère Active a entamé comme prévu la cession de ses actifs médias avec la vente de radios internationales et de certaines activités dans la presse (Doctissimo), le groupe est même depuis cet été vendeur de Lagardère Studios (Joséphine l’ange gardien, Clem) dont la valeur est estimée à plus de 200 millions d’euros. Une remise d’offres devrait avoir lieu en janvier. Mediawan (Xavier Niel) est toujours intéressé, le groupe Canal+ est également dans les rangs tout comme M6. 

 

 

 

 

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Iliad : chute en Bourse à la suite du lancement de l’offre “Delta S” de Free

Après l’annonce jeudi dernier via un simple tweet du lancement d’une nouvelle offre baptisée "Delta S" en réponse à de nombreux mécontentements, le titre d’Iliad a chuté de 4,13% le lendemain en clôture de la Bourse.

Le yo-yo. Le 11 décembre dernier, soit à la veille de la conférence de présentation des nouvelles box de Free, l’action d’Iliad s’élevait à 123,65€, celle-ci a augmenté dès le lendemain en marge de la Keynote pour atteindre près de 129€ mercredi dernier. La stratégie de Free visant à opter pour un positionnement haut de gamme afin d’augmenter le revenu mensuel par abonné (Arpu), semblait donc rassurer les marchés. C’était sans compter l’arrivée de l’offre "Delta S" jeudi 20 décembre. Cette version moins chère à 39,99€/mois que sa grande soeur, comprenant seulement le Server du mastodonte de l’opérateur, semble engendrer un certain scepticisme chez les investisseurs puisque vendredi le titre de la maison-mère de Free a chuté de 4,13% en clôture de la Bourse, à 119,40€ soit à un niveau plus bas qu’avant le catapultage de la Freebox Delta et One. A l’heure où nous écrivons ces lignes, le titre perd encore 1,51%.

 

 

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Clin d’oeil : quand un jeu de société se moque de SFR

Le SFR bashing, ce n’est pas que sur les réseaux sociaux mais aussi dans les jeux de société !

Vous y avez peut-être déjà joué. "Blanc-manger Coco" est un jeu de cartes, idéal pour un apéritif entre amis. Le principe, chaque joueur dispose de plusieurs cartes blanches dans les mains et l’un d’entre-eux lit une carte bleue contenant une phrase à trou. Les autres joueurs choisissent alors la carte qu’ils trouvent la plus drôle pour combler le trou.

Dans le Tome 2 du jeu baptisé  "Le Déluge", cette drôle de carte est apparue: "Prendre un avocat pour résilier son forfait SFR". Si l’histoire ne dit pas quel trou a été comblé,  tout porte à croire que les auteurs de Blanc-manger Coco ont une dent contre l’opérateur au carré rouge, lequel est régulièrement pointé du doigt par les abonnés en ce qui concerne la résiliation d’abonnements jugée difficile notamment par ceux censés pouvoir résilier sans frais à la suite de l’augmentation du tarif de leur abonnement. Pire encore, Les Jours ont même révélé en octobre dernier, que chez SFR, les vendeurs ont l’interdiction de fournir la moindre aide à la résiliation aux clients sous peine de se faire licencier. Bref, cette carte tombe donc sous le sens !

 

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Xavier Niel : vendre le Player de la Freebox Delta seul, « pas pour l’instant, sinon on chercherait à faire un peu de marge »

Suite et fin de notre entretien avec Xavier Niel en marge du lancement des deux nouvelles box de Free. Dans cet extrait, le fondateur de l’opérateur revient sur le Player Devialet de la Freebox Delta. Si Free vient de lancer une offre « Delta S » comprenant uniquement le Server, il ne compte pas commercialiser le Player seul dans l’immédiat.

De but en blanc, « si la question, c’est de savoir si l’on va vendre le Player tout seul, pas pour l’instant » annonce Xavier Niel et d’ajouter que dans ce cas « comme il n’y aurait pas d’abonnements avec, on chercherait à faire un peu de marge ». Autrement dit, son prix serait revu à hausse. Par conséquent, les usagers devraient débourser plus de 480€ pour s’offrir le Player Free Devialet. Reste aujourd’hui, la possibilité de s’abonner à l’offre Freebox Delta, sans engagement, payer comptant le boitier et ensuite résilier mais cela occasionne « quelques frais, et puis on est abonné, on sait que l’on a la fibre optique, on est un peu engagé mais en effet on peut résilier au bout d’un mois et garder tout son équipement ». Ce n’est pas ce que préfère Free, ajoute-il sur le ton de l’amusement mais le confirme, « cela fonctionnera partout quelque soit l’abonnement que l’on puisse avoir ailleurs ».

Néanmoins, en partant du principe que certains décident d’utiliser le Player chez un autre opérateur, ceux- ci perdront un certain nombre de fonctionnalités , ils garderont l’accès à Netflix mais l’abonnement basique ne sera plus offert, exit les chaînes et replay de Freebox TV, TV by Canal ou le Kiosk. En revanche, sera toujours possible l’utilisation du système de son Devialet, l’accès à Alexa sera lui aussi conservé.

Xavier Niel note enfin un autre type de besoin, les abonnés « qui viennent chez nous et qui souhaitent cinq Player Devialet », faisant notamment allusion aux abonnés CSP+, « qui sont souvent historiquement chez Free ». Ces derniers ont parfois des factures « super importantes de 150€/mois et régulières », leurs besoins sont bien spécifiques, ils voulaient une box haut de gamme. La Freebox Delta est née pour répondre en partie à cette demande, « c’est ce que l’on a fait en essayant de rendre quelque chose relativement accessible », a-t-il conclu.

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Canal+ a proposé à sa maison-mère de racheter Netflix en 2013, en vain

En 2013, Rodolphe Belmer, alors numéro 2 du groupe Canal+, a proposé à son actionnaire Vivendi de racheter Netflix.

Dans une enquête intitulée « comment Netflix flingue la télé française », l’Obs révèle que durant l’année 2013, Rodolphe Belmer avait un grand projet en tête pour le groupe Canal+. Dans son viseur, le rachat du futur leader incontesté de la SVoD, l’américain Netflix. Après avoir fait valoir ses arguments auprès des administrateurs de Vivendi, ces derniers se sont montré peu convaincus en retoquant « sèchement le dossier ». Lors du Festival de Cannes la même année, le président du groupe Canal+ de l’époque, Bertrand Méheut n’avait pas caché son scepticisme: « Netflix, je n’y crois pas » a-t-il confié avant que Alain Sussfeld et Nonce Paolini, soit le directeur général d’UGC et l’ex-PDG de TF1, estiment que « la SVoD, ça ne marchera jamais, il n’y a pas de marché en France.» 
 
Force est aujourd’hui de constater que les intéressés se sont trompés. Le modèle du mastodonte américain encourage à l’heure actuelle les utilisateurs à consommer et payer pour du contenu, il développe également le marché. En 2013, son chiffre d’affaires global s’élevait à 4,3 milliards de dollars, celui-ci a dépassé en 2017 la barre des 11 milliards de dollars. Son arrivée en France en 2014 a d’ailleurs impacté ses rivaux, notamment CanaPlay, lancée en 2011, lequel a très mal résisté à l’arrivée de la firme de Reed Hastings. Le service SVoD de Canal devrait d’ailleurs tirer sa révérence prochainement, Maxime Saada, président du directoire du groupe, a en effet annoncé jeter l’éponge avec sa plateforme en juillet dernier. Mais celui-ci serait en train de plancher sur l’élaboration d’une offre SVoD en remplacement et faisant la part belle aux séries. En attendant, Netflix compte aujourd’hui plus de 3,5 millions d’abonnés en France et écrase la concurrence. De son côté, le marché de la SVOD a le vent en poupe avec 13,6 millions d’adeptes dans l’hexagone.

 

Source : L’Obs (version papier)

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Allez-vous opter pour la Freebox Delta, One ou garder votre box actuelle ? Place au verdict

Lecteurs d’Univers Freebox, vous êtes une majorité à avoir décidé de conserver votre box actuelle en marge de la sortie de la Freebox Delta et One.

"Allez-vous opter pour la Freebox Delta, One ou garder votre box actuelle ?" La question vous a été posée entre le 6 et le 18 décembre dernier, soit deux jours après la présentation en grande pompe des nouvelles box de Free. Le résultat est sans appel mais il faut le rappeler, l’opérateur  a depuis corrigé  sa copie face à une vague de mécontentements notamment sur les frais de mis en service et a lancé hier une offre "Delta S" avec serveur simple, sans player à 39,99€/mois. Quoiqu’il en soit, sur 17 738 votes, vous êtes 45.8% (8127 votants) à ne pas avoir été suffisamment séduits par les nouvelles box de Free pour sauter pas, votre choix est donc de conserver votre équipement actuel. Arrivent ensuite à égalité, les abonnés Free conquis ayant décidé de migrer vers la Freebox Delta (21,1%) et les grands déçus (21,1%) qui tournent le dos à Free en allant rejoindre la concurrence. Par ailleurs, 7% de sondés ont annoncé vouloir migrer vers la Freebox One quand cela sera possible. Enfin, seulement 3,3% des participants ont déclaré ne pas être abonné chez Free et vouloir souscrire à l’offre Freebox Delta, contre 1,6% pour la One. A noter néanmoins que plus de 45 000 Freebox V7 (Delta + One) auraient été commandées en 10 jours. Xavier Niel s’est quant à lui montré satisfait de ce lancement le 12 décembre dernier : "Ce sont des dizaines de milliers d’abonnés, c’est un énorme succès", a t-il alors confié dans une interview exclusive accordée à Univers Freebox.

 

Allez-vous opter pour la Freebox Delta, One ou garder votre box actuelle ?
  3751 votes 21.1%
Je suis un abonné Free et je vais migrer vers la Freebox Delta
 
  588 votes 3.3%
Je ne suis pas chez Free mais je vais opter pour la Freebox Delta
 
  1243 votes 7%
Je suis un abonné Free et je vais migrer vers la Freebox One quand cela sera possible
 
  290 votes 1.6%
Je ne suis pas abonné mais je vais sauter le pas et commander la Freebox One
 
  8127 votes 45.8%
Je vais conserver ma box actuelle
 
  3739 votes 21.1%
Je suis déçu des nouvelles offres, au revoir Free et bonjour à la concurrence
 
 17738 votes  
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Mediawan (Xavier Niel) se renforce et prend une participation dans “Mai Juin Productions”

Le Spac de Xavier Niel, Matthieu Pigasse et Pierre-Antoine Capton  a annoncé hier, via son activité dédiée à la production de contenus Mediawan Originals, son association à Gilles de Maistre, réalisateur et producteur fondateur de Mai Juin Productions.

Dans le détail,  Mediawan indique avoir pris une participation dans la société de production de Gilles de Maistre, réalisateur d’une centaine de documentaires, téléfilms ou longs métrages cinématographiques, sans en dévoiler la hauteur. Par conséquent, celui-ci rejoint  le pool de talents de Mediawan Originals. S’appuyant sur son expertise et son savoir faire, Mediawan prévoit d’accompagner Gilles de Maistre dans le développement de nouveaux projets ambitieux et compte également continuer à "renforcer son pôle de productions de contenus premium".

Gilles de Maistre a été́ maintes fois primé : Prix Albert Londres, International Emmy Awards, 7 d’or, Prix du public et Prix Cannes Junior au Festival de Cannes, Prix spécial du Jury au Festival de la Fiction de La Rochelle et a reçu de nombreux autres prix à travers le monde. Il crée la société Mai Juin Productions en 2004 et réalise son second long-métrage « Le Premier Cri », sorti en salles en 2007 et nommé au César du meilleur film documentaire. Parallèlement, sa société produit un grand nombre de séries documentaires axées sur l’enfance, thème de prédilection de Gilles de Maistre. C’est sa rencontre décisive avec Kevin Richardson, à l’occasion du tournage du documentaire « L’homme qui murmure à l’oreille des lions », qui a permis la naissance et la concrétisation du projet fou de Mia et le Lion Blanc, son nouveau long-métrage, largement distribué en France avec une sortie en salles le 26 décembre prochain et déjà vendu dans le monde entier.

 

 

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Freebox Delta : les Freeplugs dernière génération font leurs preuves

Encombrants mais rapides.

On ne les présente plus. Les Freeplugs utilisent la technologie des courants porteurs en ligne (CPL) et permettent de disposer le Serveur et le Player de votre Freebox dans deux espaces différents via une synchronisation. La nouvelle née haut de gamme de l’opérateur de Xavier Niel en est donc également dotée. Le FAI l’assure, les deux Freeplugs livrés avec la Freebox Delta sont encore plus rapides, jusqu’1Gbit/s sur cette nouvelle génération (contre 500 Mbits/s auparavant), ils intègrent "la norme la plus avancée Homeplug AV2 MIMO". Par ailleurs, les deux boîtiers blancs, bien que volumineux, se connectent à la Freebox grâce à un seul câble (USB-C) et sont préappairés. Free précise être le seul opérateur à inclure des boîtiers CPL, un équipement équivalent peut coûter plus de 100 euros. Un abonné a d’ailleurs testé les performances des Freeplugs de la Freebox Delta et les résultats sont plus qu’encourageants, dans son cas, 420 Mbits/s en réception et 295 Mbits/s en transmission.

 

 

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Privée de téléphone, une maison de retraite attaque Orange et SFR en justice

Carton rouge.

Depuis deux mois, les résidents et le personnel d’un Ehpad situé dans la commune de Cépet en Haute-Garonne, sont victimes d’une panne de téléphonie fixe. Si l’incident est intervenu fin octobre, depuis c’est le silence radio du côté des opérateurs concernés, notamment Orange et SFR, " chacun à leur niveau" rapporte La Dépêche, et ce en dépit de plusieurs relances de l’établissement.

La maison de retraite ne demande pas de dommages et intérêts mais une «réparation dans les plus brefs délais». Son directeur Paul-Eric Feste n’en décolère pas : «la privation de ces téléphones avec de grosses touches est un drame pour beaucoup de personnes âgées et encore plus à l’approche des fêtes de fin d’année! Nous avons, certes, acheté des téléphones portables mais nombre de nos résidents ne peuvent s’en servir. Résultat, les familles nous appellent sur les nôtres. On se rend vite dans la chambre. On raccroche. On attend qu’elles rappellent sur le téléphone de leur parent et on leur passe enfin. Délirant et invivable au quotidien!».

Afin de mettre du baume au coeur des résidents, l’établissement a donc décidé de se tourner vers SFR pour obtenir des cartes SIM en attendant un retour à la normale. «Mais là encore cette situation nous a montrés l’impensable», s’insurge son directeur avant de lancer : «SFR nous a proposé de nous en fournir, c’est vrai, mais en nous abonnant à 30 euros par mois et sur une durée de deux ans! Finalement j’ai acquis 25 téléphones sur internet. Au moins, pour Noël, nos séniors pourront entendre la voix de leurs proches, c’est la moindre des choses, car beaucoup ne les verront pas…». Contacté par le quotidien régional, SFR annonce aujourd’hui être confronté à un problème technique après avoir promis de faire le nécessaire le mois dernier. L’Ehpad a donc pris la décision de poursuivre en justice l’opérateur historique et celui au carré rouge.

 

 

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Orange, Free, Bouygues et SFR : le trafic entrant vers les opérateurs continue de grimper en flèche grâce à Google et Netflix

L’Arcep a levé le voile sur son baromètre de l’interconnexion de données en France dans lequel il fait un état des lieux notamment du traffic entrant sur les réseaux des quatre grands FAI.
 
Premier enseignement, le trafic entrant, à savoir le transit, le peering public et privé vers Orange, Free, Bouygues et SFR , est passé d’environ 10 Tbit/s à mi 2017 à 13,3 Tbit/s à mi 2018, relève le régulateur,  soit une augmentation de 33% en un an. Plus précisément, le trafic provient à 46% des liens de transit, un taux relativement élevé dû "en grande partie au trafic de transit entre Open transit international (OTI), Tier 1 appartenant à Orange, et le Réseau de Backbone et de Collecte Internet d’Orange (RBCI), qui permet d’acheminer le trafic vers les clients finals du FAI", souligne le baromètre. En revanche, le taux de transit est beaucoup moins élevé chez les autres FAI qui, "n’ayant pas en parallèle une activité de transitaire, font davantage appel au peering". À mi 2018, le trafic sortant atteint pour sa part, 1,5 Tbit/s, soit une augmentation de 20% par rapport à mi 2017. Entre 2012 et 2018, celui-ci a triplé. 
 

 

Autre constat, La part de peering dans les liens d’interconnexion augmente d’une façon régulière. Une croissance principalement due "à l’augmentation des capacités installées en peering privé entre les FAI et les principaux fournisseurs de contenu", commente l’Arcep. Et d’ajouter que le trafic issu du peering public reste globalement stable : sa part relative (4,5% à mi 2017, pour 3% à mi 2018) diminue au profit du peering privé (45% à mi 2017, pour 51% à mi 2017). Pour rappel, le peering public a été conçu afin de rendre viable d’une manière économique" l’interconnexion directe pour des capacités moindres, en mutualisant les capacités d’interconnexion entre plusieurs pairs grâce à des équipements actifs partagés de commutation.
 
 
Enfin, les quatre principaux fournisseurs que sont Google, Netflix, Akamai et Facebook cumulent à eux seuls environ la moitié du trafic entrant sur les réseaux des principaux FAI, "ce qui indique une concentration de plus en plus nette du trafic entre un petit nombre d’acteurs dont la position sur le marché des contenus se conforte", témoigne la police des télécoms. A noter que les tarifs de transit et de peering n’ont pas bougé depuis l’année dernière, ils sont compris entre 10 centimes d’euros HT et plusieurs euros par mois et par Mbit/s pour le transit, et à partir de 25 centimes d’euros HT par mois et par Mbit/s pour le peering payant.
 
 

équipements actifspartagés de commutation.

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