Le torchon brûle une nouvelle fois entre l’Arcep et Orange. Après avoir mis en demeure l’opérateur historique en octobre dernier sur la qualité de service de son réseau cuivre, le régulateur récidive cette fois sur le respect des obligations de l’opérateur en matière de qualité sur les offres de gros à destination du marché entreprises mais également concernant l’accès à la boucle locale .
Dans le détail, l’Arcep a ouvert une instruction en septembre dernier "relative à un éventuel manquement de la société Orange à ses obligations en matière d’accès et de qualité de service". Celle-ci a notamment permis de constater une dégradation de la qualité de service des offres de gros activées à destination des entreprises et des offres de gros d’accès généraliste à la boucle locale. Par conséquent, la police des télécoms a ainsi mis en demeure le 18 décembre dernier Orange "de respecter ses obligations de qualité de service en améliorant celle-ci dès le premier trimestre 2019, pour atteindre progressivement des valeurs cibles selon un calendrier précisé par la décision", a t-elle fait savoir hier via un communiqué.
Sur la boucle locale qui relie un abonné au premier niveau d’équipement du réseau, l’Arcep reproche à Orange, une qualité de service en nette dégradation, les délais de dégroupages sont en cause, atteignant "des niveaux anormalement élevés", ce qui pénalise les autres opérateurs. Le régulateur rappelle ainsi à l’opérateur historique qu’il est "tenu de faire droit aux demandes raisonnables d’accès dégroupé à la boucle locale de cuivre et à la sous-boucle de cuivre avec une qualité de service de nature à assurer l’effectivité de l’accès en garantissant aux opérateurs tiers la capacité de fournir leurs propres offres dans des conditions appropriées, en vue de l’exercice in fine d’une concurrence effective et loyale au bénéfice des clients finaux."
Concernant la production des accès, l’Autorité constate enfin une "dégradation sensible", apparue à partir du premier trimestre 2017. "Il apparaît que tant pour les accès sur support cuivre que pour les accès sur support optique, le taux de respect de la date contractuelle de livraison a diminué au cours de l’année 2017 puis s’est stabilisé autour de 80 % au cours de l’année 2018", résume t-elle, l’objectif est de 90%. L’Arcep estime par ailleurs que l’ensemble des éléments avancés par Orange pour expliquer la baisse de la qualité de la production dans le cadre de l’instruction,"ne permettent pas raisonnablement d’anticiper un retour à la normale à court ou moyen terme".
Ce n’est qu’une question d’heures voire de jours. L’application FMobile est en approche et va libérer tous les abonnés Free Mobile sur iOS de l’itinérance Orange. En marge de son arrivée sur l’App Store, Univers Freebox a interviewé, Michaël (PlugNTweet) le développeur derrière cette app, laquelle s’annonce incontournable en attendant que Free gagne totalement son indépendance vis-à-vis de l’agrume fin 2020. Mode d’emploi, fonctionnalités, compatibilité, c’est par ici que cela se passe !
UF : Pourquoi avoir développé FMobile ?
Michael : Comme vous le savez, il y a quelques mois, en Septembre j’ai créé un raccourcis pour iOS permettant de sortir de l’itinérance. Beaucoup de lecteurs d’Univers Freebox sont venus me donner leurs retours via Twitter et par mail. Une question qui est pas mal revenue et que je me posais aussi était : « le raccourci peut-il se lancer en arrière-plan et ainsi arrêter d’être ponctuel ? ».
J’ai donc commencé par développer un raccourci qui devait tourner en arrière-plan que j’ai appelé « Mon Réseau – Free Mobile » mais qui n’a jamais fonctionné car au bout de 2 minutes il arrêtait de s’exécuter. Pensant au départ à un bug de Shortcuts, j’ai fait mes recherches et ce comportement et tout à fait normal sur iOS : une application doit avoir des paramètres spécifiques pour tourner en arrière-plan. J’ai approfondi mes recherches et j’ai trouvé une première solution pour réaliser l’application Mon Réseau le 29 septembre.
S’en est suivi le développement d’une interface qui était très moche, et mon ami Nathan Fallet est intervenu pour m’aider à la réalisation de cette appli en faisant l’interface et le test de débit intégré. Vers la fin du développement, je l’ai nommée myFM, mais ce nom n’a pas été très bien accueilli donc je me suis retourné quelques jours plus tard sur FMobile. Ce n’est que début janvier que je l’ai trouvé la solution miracle pour la faire tourner en arrière-plan en continu (car jusqu’alors l’application tournait que occasionnellement en arrière-plan) grâce aux services de localisations.
Quelle est la différence avec le « Raccourci » que tu as créé il y a quelques mois sur iOS ?
M : Il y a beaucoup de différences. La plus flagrante, c’est que mon application est une véritable application, bien conçue avec tous les réglages et toutes les options accessibles à portée de main. La vraie différence à l’usage est que l’application peut détecter les boitiers Femto et ran-sharing (ça aussi était pas mal reproché par les lecteurs d’Univers Freebox, je ne pensais pas qu’il y en aurait autant !), mais surtout fonctionne en permanence en arrière-plan. Et comme c’est une véritable application, elle est plus puissante et toutes les questions qui étaient posées dans le raccourci que j’avais créé il y a quelques mois sont obtenues automatiquement par l’appli, il n’y a donc plus aucun popup de confirmation. L’unique ressemblance avec le raccourci que j’avais fait est que l’application FMobile fonctionne toujours à l’aide d’un raccourci, qui est inspiré du premier mais réécrit pour fonctionner en harmonie parfaite avec FMobile.
Concrètement pour les abonnés Free Mobile sous iOS, en quoi consiste cette application et comment fonctionne t-elle ?
M : Il y a un mode d’emploi « officiel » si je puis dire, sous forme de vidéo YouTube. Le lien est le suivant : youtube.com/watch?v=pTQKVb…. Sinon pour en faire un résumé, l’application se sert des requêtes de localisations envoyées par iOS à chaque mouvement (plus ou moins important selon la charge du système, iOS décide : ça va de quelques millimètres à 200m en cas de surcharge lourde : typiquement ça fonctionne même lorsque l’iPhone est posé sur une table) pour effectuer une série de vérifications (pays, zone identifiée, statut de communication téléphonique, statut du wifi, statut des préférences, opérateur, protocole, statut de l’interdiction, test de débit si nécéssaire : tout ça est expliqué dans ma vidéo YouTube « Backstage » : youtube.com/watch?v=bxJqhL…).
Si l’application détecte des boîtiers Femto et ran-sharing à l’issue du Speedtest, ils sont enregistrés dans l’appareil comme « zone identifiée ». L’utilisateur peut d’ailleurs enregistrer sa propre zone identifiée dans le cas ou elle n’est pas couverte par le réseau de Free/Femto/ran-sharing. Après tous ces tests, l’application envoie une notification pour prévenir l’utilisateur et dès que l’utilisateur clique dessus, la procédure se met en marche à l’aide du raccourci dédié. Malgré tout ça, j’enregistre un score de 2% d’utilisation de la batterie pour 115h d’activité en arrière-plan ! C’était également une crainte partagée par tous et un objectif que je me suis fixé, car iOS n’a pas l’habitude de gérer des applications qui tournent aussi longtemps en arrière-plan, en continu.
Quelles sont les fonctionnalités intégrées ou les futures évolutions possibles de FMobile ?
M :J’ai intégré quelques petites fonctions sympas comme le suivi de consommation détaillé, l’accès rapide au code Field Test, un test de débit graphique (attention, il est calibré pour détecter l’itinérance donc il n’est pas représentatif en 3G/4G/Wi-Fi), les numéros utiles de Free, et un « mode radin » (juste pour le fun, parce qu’il faut s’amuser aussi pendant les heures de développement, ça remplace bien la pause café, vous verrez ce qu’il fait). J’ai quelques idées d’améliorations, mais en premier je compte faire ce que la communauté va me rapporter. Parmi les idées que j’avais pour la suite c’était de créer une carte de couverture à l’aide des fonctions déjà présentes dans l’application, mais je ne suis pas certain de le faire pour l’instant car ça va dépendre du nombre d’utilisateurs actifs. Une des fonctions que je vais améliorer c’est pouvoir gérer point par point les zones identifiées plutôt qu’un simple bouton de réinitialisation générale.
Comment se sont passés les tests ? Tout est parfaitement fonctionnel ? Quels terminaux Apple sont compatibles ?
M : Les tests se sont toujours bien passés, que ce soit avec Mon Réseau, myFM et maintenant FMobile. Je n’ai jamais eu affaire à des gros crash ou bugs, c’était toujours relativement stable, même au tout début. J’ai eu quelques difficultés de temps en temps, mais rien de bien compliqué. Tout est parfaitement fonctionnel, oui, et normalement j’ai éliminé tous les bugs flagrants de l’app, donc c’est maintenant à la communauté de la tester et me rapporter tous ce qu’ils voient pour pouvoir l’améliorer encore plus ! Tous les terminaux Apple sont compatibles si ils ont iOS 12.1 minimum, avec préférablement l’application Shortcuts installée.
Qui dit abonnés Free Mobile, dit utilisateurs iOS mais aussi Android, pourquoi une version Android ne verra pas le jour ?
M : C’est une question que j’ai énormément reçu. Sûrement la plus posée de toutes depuis mon premier raccourci. Techniquement, une version Android pourrait voir le jour mais les conditions requises sont beaucoup plus compliquées. Sur iOS, vous devez avoir iOS 12.1 et Shortcuts, c’est tout. Sur Android, vous devez rooter votre téléphone, ou alors posséder un ordinateur avec les outils ADB installés et le mode développeur activé sur le téléphone pour saisir des commandes qui peuvent compromettre la sécurité du téléphone. Ça réduit beaucoup le champ des utilisateurs potentiels, de plus comme le comportement des smartphones Android est différent selon les marques, je ne pourrais pas avoir la certitude qu’une telle application aurait une efficacité sur tous les modèles de smartphones, et j’ai moyennement envie d’investir plusieurs mois de mon temps pour un résultat complètement incertain.
Quand peut-on espérer l’arrivée de l’application sur l’App Store ? Sera t-elle gratuite ?
M : Je suis en pleine phase de validation en ce moment-même. Avec beaucoup de chance elle devrait sortir dans les prochaines heures. Elle sera complètement gratuite (aucun achat intégré) et sans aucune publicité !
As-tu rencontré des problèmes avec Apple pour la validation de l’app ?
M : Elle a été refusée une première fois pour 3 raisons : manque d’informations chez Apple, CallKit illégal en Chine et demande d’accès à la localisation imprécise. J’ai tout corrigé et j’attends la réponse qui devrait arriver dans les prochaines heures…
L’action d’Iliad va t-elle remonter la pente ? Un analyste financier d’Amiral Gestion s’est prêté au jeu des estimations.
Depuis un pic à 235 euros en mai 2017, le titre d’Iliad connaît une véritable traversée du désert. Conséquence, l’action du groupe a perdu 60% de sa valeur entre cette période faste et son creux de novembre 2018, rapporte Capital. Cette semaine ne manque pas à la règle puisque hier à la suite d’un abaissement de l’objectif de cours de Kepler Cheuvreux ( de 125 à 100 euros), le cours d’Iliad a une nouvelle fois chuté, de 113 à 103.25 euros à l’heure à laquelle nous écrivons ces lignes.
Malgré tout, les analystes restent globalement unanimes et optimistes sur un regain de forme de sa valeur, avec un objectif de cours moyen de 158 euros en 2018, note le mensuel. Impacté par une perte d’abonnés sur le fixe et le mobile durant les neuf premiers mois de l’année 2018, elle-même due à une intensification de la guerre des prix de la part de Bouygues et SFR, Iliad a souffert en Bourse en 2018. Interrogé par le mensuel, Youssef Lboukili, analyste financier chez Amiral Gestion, estime que la maison-mère de Free a perdu "son statut de valeur de croissance auquel elle avait longtemps habitué les marchés”.
Néanmoins, la stratégie industrielle du groupe à long terme semble avoir beaucoup de sens à ses yeux: Tout d’abord, la fin de l’itinérance et la montée en puissance du réseau propre de Free Mobile “devrait permettre de réaliser des économies considérables sur l’accord d’itinérance avec Orange”, explique t-il, et d’ajouter que le déploiement de la fibre et la bascule occasionnée va permettre au FAI "d’économiser une dizaine d’euros par abonnés sur les frais de cuivre payés à l’opérateur historique”. Par ailleurs, l’analyste observe que "le bilan de l’activité française reste modérément endetté”, une bonne nouvelle. Par conséquent, Amiral Gestion qui gère gère 4 milliards d’euros en actions et obligations, présage une amélioration de la génération de trésorerie de Free et ce “de manière significative, aidée également par la normalisation des investissements dans le mobile”.
Enfin, en lançant la Freebox Delta, Free pourrait aider sa maison-mère à relancer sa croissance, en visant des consommateurs “recherchant avant tout la qualité au détriment du prix". Youssef Lboukili note enfin que le relais de croissance que constitue Iliad en Italie après un lancement réussi, n’est pas assez valorisé par le marché, à l’heure où les investisseurs Les investisseurs semblent douter de la capacité du groupe à générer "des retours sur investissement dans un contexte concurrentiel fort". Reste également un schéma de consolidation qui pourrait donner un sérieux coup de boost au titre d’Iliad.
Free Mobile ajoute 1 Go supplémentaire depuis l’Europe et remonte le volume de données de son forfait à 8,99€/mois, à 60 Go.
Après avoir augmenté en septembre dernier puis baissé le volume de data de son forfait temporaire fin 2018, lequel est passé de 60 à 50 Go, Free Mobile continue de prolonger son offre, celle-ci est désormais disponible jusqu’au mardi 22 janvier prochain. Mais cette fois, l’opérateur de Xavier Niel apporte une nouveauté, l’enveloppe de data incluse en roaming depuis l’Europe passe de 3 à 4 Go et la data incluse en France repasse à 60 Go.
Ce forfait sans engagement intercalé entre les deux forfaits historiques de l’opérateur, comprend pour la bagatelle de 8,99€/mois pendant un an, appels, SMS et MMS illimités, désormais 60 Go en France métropolitaine et donc 4 Go/mois en roaming depuis Europe et DOM en 3G et 4G parfois. A l’issue des 12 mois, les abonnés basculeront automatiquement sur le Forfait Free classique 100Go à 19,99€/mois ou data illimitée à 15,99€/mois pour les abonnés Freebox.
Orange lancera au printemps 2019 ses offres de télésurveillance de biens à destination de ses abonnés fixes et mobiles grand public en France, une ambition affirmée lors de son Show Hello le 12 décembre dernier. Aujourd’hui, une nouvelle étape est franchie.
Après Orange Bank, l’opérateur historique et Groupama annoncent aujourd’hui avoir signé un nouvel accord visant à créer une société commune dénommée Protectline, opérant sur le secteur de la télésurveillance des biens. Dans le détail, ce partenariat permettra "à Groupama de renforcer son activité existante dans ce métier et à Orange de devenir un acteur à part entière sur ce marché" en s’appuyant sur sa base d’abonnés, sa marque, son réseau de distribution physique et digital.
Plus concrètement, Orange prévoit de lancer au printemps 2019 des offres de télésurveillance de biens à destination de ses clients fixes et mobiles grand public en France. En marge de la keynote du groupe, son PDG, Stéphane Richard a abordé cette nouveauté, baptisée "Maison protégée". Celle-ci nécessitera un abonnement supplémentaire et se placera sur la même ligne que Free et son pack sécurité, à la différence que, selon le patron de l’opérateur historique, le service proposé par Orange "sera nettement meilleur en terme de fonctionnalité, de disponibilité, de capacité d’intervention et nous, c’est un investissement industriel et pas juste la distribution d’un service.
Tout en s’appuyant sur cette plateforme commune, Orange et Groupama conserveront par ailleurs chacun la pleine maîtrise de la distribution, en commercialisant des offres personnalisées dans leurs réseaux respectifs et sous leurs propres marques.
Selon Stéphane Richard, « le lancement prochain de notre offre de télésurveillance s’inscrit dans la stratégie d’opérateur multi-services d’Orange. Pour délivrer le meilleur produit, nous avons de nouveau choisi de nous rapprocher de Groupama pour partager compétences et moyens, dans la suite de notre partenariat Orange Bank. »
C’est aujourd’hui une évidence, s’il ne perd pas de vue que le principal métier d’Orange est le réseau, à savoir le développement de la fibre, la généralisation de la 4G et l’arrivée de la 5G, le PDG en est persuadé « l’avenir des opérateurs se situe en partie hors des télécoms, un secteur régulé et hyperconcurrentiel où la croissance est marginale » a t-il fait savoir il y a quelques mois. Après les services à l’international, Orange Bank, la cybersécurité et les objets connectés de la maison, Orange met donc les deux pieds dans la télésurveillance. La transformation d’Orange en opérateur multi-services continue.
Direction la commune de Saméon dans le Nord où l’opérateur d’infrastructure TDF prévoit d’implanter un pylône sur lequel Free va installer ses équipements. De quoi attiser la colère du maire et d’une partie des riverains.
Convaincu que l’arrivée de la fibre dans la commune en mai prochain suffira à ses administrés, le maire n’en démord pas, il ne laissera pas "son village être détruit en cinq minutes." L’élu n’a pas besoin "de Free en téléphonie mobile" et a déjà refusé une première demande, au même endroit sur une parcelle agricole, il y a un an et demi, rapporte La Voix du Nord. Rebelotte cette fois-ci, le tribunal administratif devra donc trancher, la bataille juridique est lancée.
Une association pour la protection de la ruralité et de l’environnement de Saméon (APRES) a été créée en novembre denier et compte aujourd’hui 300 adhérents, fait savoir son président. Les réfractaires à l’implantation de cette antenne-relais sont actuellement, on ne peut plus, mobilisés. Dans les rues de la commune, les affiches "Non à l’antenne Free de Samion" pullulent sur les fenêtres, les arbres et sur les murs. Un grand rassemblement est dores et déjà prévu le 2 février prochain, l’association promet du "spectaculaire". Parmi ses arguments, des nuisances sur l’environnement, la dépréciation des prix de l’immobilier estimée à 30%, les ondes, " on va vers un scandale de santé publique" lance un de ses membres visiblement consterné à l’idée de voir pousser une antenne à 500 mètres d’une école et d’une crèche. La pollution visuelle engendrée est également dans le viseur de ces habitants hostiles : l’installation, de 45,3 mètres de haut sera « plus haute que la statue de la Liberté », à côté, l’église, 26 mètres, paraît minuscule. Pour d’autres, c’est "un chancre, qui défigure tout et nous bombarde de cochonneries. » Leur maître mot, vivre dans le calme et préserver la santé de leurs enfants via une mobilisation générale
Sosh dans toute sa splendeur. Après les pubs décalées de la filiale d’Orange nécessitant un rendez-vous chez un orthophoniste, place aujourd’hui à un générateur de noms de Wifi stylé.
Manque d’inspiration au moment de trouver un nouveau nom de Wifi ? Sosh pense à vous en lançant un générateur truffé de jeux de mots sous forme de machine à sous : " Let_the_SOSHshine, il_y_a_anguille_sous_SOSH, ou encore SOSH_qui_peut", cliquez à gogo et faites votre choix !
Envie d’un nom de Wifi aussi stylé que Serge ?
Testez notre générateur pour trouver votre nouveau nom de réseau Wifi, c’est votre Boîte Sosh qui va être contente : https://t.co/tSTTTNMg3Rpic.twitter.com/u7rJef8vVE
Lancée en janvier 2018, l’application de télécommande virtuelle baptisée "Freeteuse" a reçu une nouvelle mise à jour. Estampillée 1.8.3, celle-ci intègre une nouveauté, l’ajout du raccourci TV.
Très pratique si vous avez perdu votre télécommande Freebox ou si elle n’a plus de piles par exemple, Freeteuse, uniquement disponible sur Android, reprend le visuel de la télécommande originelle. Grâce à elle, exit le temps de latence au démarrage. Autre point positif au delà de sa gratuité, l’absence de publicité, «une application avec laquelle il faut attendre la fin de vidéos d’annonces avant de pouvoir s’en servir est tout sauf une télécommande.» Par ailleurs, les touches physique V+ et V- de votre smartphone peuvent servir à contrôler le son. A noter aussi la présence de trois touches rapides qui permettent d’accéder à des fonctions qu’il est difficile d’utiliser habituellement car elles sont enfouies dans des sous menus très peu accessibles, à savoir la radio, InfoMusic et PiP. Pour l’utiliser, il vous suffit de vous connecter au réseau WiFi local.
En marge de l’annonce du gouvernement le 27 décembre dernier visant à accélérer le déploiement du très haut débit dans les zones rurales, en débloquant 620 millions d’euros de subventions pour 17 collectivités, les équipes de TF1 sont allées à la rencontre des oubliés de l’internet, particuliers comme professionnels. C’est une réalité, certains habitants sont aujourd’hui dans l’obligation de vivre sans connexion internet, tous espèrent que les promesses du gouvernement d’un bon haut débit pour tous en 2020 soient tenues. Mais comment font-ils en attendant ?
En zones rurales, certains sont parfois contraints de vivre sans connexion Internet. Reportage dans la Manche chez Philippe, qui ne peut souscrire à un abonnement ni chez lui, ni sur son lieu de travail. #LE20H. pic.twitter.com/148Qp0K8AN
Canal+ confirme avoir adressé une demande à la Premier League afin de co-diffuser une partie des matchs avec les chaînes du groupe Altice.
Si la chaîne cryptée ne diffusera plus la Ligue 1 à partir de 2020, la filiale de Vivendi a raflé le 1er novembre dernier au nez et à la barbe de SFR, les droits de diffusion TV de la Premier League anglaise dès la rentrée 2019 et ce pendant trois saisons. Dans la foulée, l’opérateur au carré rouge s’est fendu d’un communiqué dans lequel il a annoncé "travailler avec le groupe Canal+ dans l’esprit des accords trouvés autour de la Champions League, afin de permettre aux abonnés RMC Sport de continuer à vivre le foot anglais dès la prochaine saison". Plus de deux mois plus tard, les discussions avancent puisque selon l’Equipe, Canal+ a demandé l’autorisation aux dirigeants anglais de co-diffuser la quasi-totalité des rencontres avec RMC Sport. La direction de la chaîne cryptée a d’ailleurs confirmé avoir adressé une demande de ce type. Reste à obtenir le feu vert de la Premier League afin de rétrocéder une partie des matchs. "Canal + ne voit pas l’intérêt de priver les abonnés SFR de la Premier League et de favoriser l’inflation des prix d’accès au football en France", a commenté ce matin le président du directoire de la filiale de Vivendi, Maxime Saada. Quoiqu’il en soit, ce rapprochement laisse augurer d’une future entente sur les coupes d’Europe diffusées sur RMC Sport. "Pour l’heure, rien n’est ficelé", souligne le quotidien sportif. En cas de revente, le schéma sera le même, il faudra l’autorisation du vendeur, autrement dit de l’UEFA.