Auteur : Maxime Raby

Après la Tunisie ou encore le Sri Lanka et le Bangladesh la semaine dernière, Free récidive cette fois en incluant dès aujourd’hui neuf nouvelles destinations dans les 25Go/mois de data en roaming de son forfait à 19,99€.

Encore un mardi Free ! L’opérateur de Xavier Niel continue de renforcer son offre pour ses abonnés voyageurs en intégrant  la Serbie, le Monténégro, la Biélorussie, la Macédoine, l’Arménie, la Géorgie, le Kazakhstan, le Pakistan et l’Ouzbékistan dans l’enveloppe de 25Go/mois d’Internet mobile en roaming incluse dans le Forfait à 15,99€/mois (tarif pour les abonnés Freebox, sinon 19,99€/mois).

"Free est le 1er opérateur à inclure du roaming data depuis ces destinations dans un forfait mobile grand public sans engagement à moins de 20€/mois", indique l’opérateur. Aujourd’hui, plus de 65 destinations bénéficient du roaming data inclus dans le forfait. 

 Souvenir souvenir !

Quand tu touchais l’écran t’avais de l’électricité statique https://t.co/zJwqZOnIxg

— Madrayne Corporation (@DazBoneees) January 28, 2019

 Mieux que la journée sans smartphone, la soirée avec un bélinographe !

Avant le fax, les mails, les MMS, Snapchat… Le bélinographe 📵 #journeesansportable pic.twitter.com/KfsYz4AG1f

— Ina.fr (@Inafr_officiel) February 6, 2019

Et ce n’est pas fini !

#2moisattende#freeboxdelta pic.twitter.com/zatnYWuyTv

— Lermier Stephane (@LermierS) 11 février 2019

La vérité sort toujours du Nokia 3310 

@nokia @NokiaMobile #10YearChallenge pic.twitter.com/vYfITqwOwA

— Gaurang Agrawal (@kooolgaurang) January 17, 2019

 Quand Dailymotion appartient à Vivendi !

Petite anecdote cocasse : il n’existe pas de topic "Vincent Bolloré" sur @dailymotion. Sûrement un oubli 🙂 https://t.co/zAVoDks9ji

— 📌 Anaël (@anaelgr) January 24, 2019

Le collectionneur du mois

La collection avance bien 😊
J’ai voulu faire pareil avec les tampons de chambre mais ça prend trop de place 😂
Poke @InfosReseaux pic.twitter.com/XhCu0NBlEB

— A (@Anth084) January 16, 2019

C’est un état de fait, les opérateurs se livrent souvent bataille sur le terrain de l’innovation ou du déploiement de différentes technologies. Le marché du mobile et du fixe leur demande souvent de se différencier tant bien que mal dans l’optique de conquérir toujours plus d’abonnés. Malgré tout, certains ont parfois un train d’avance d’un point de vue technologique sur d’autres, mais parfois les paris ou les choix diffèrent. Néanmoins, quand cela leur est possible, Orange, Free, SFR et Bouygues ne loupent pas l’occasion de se mettre en avant notamment quand ils sont les premiers à lancer une offre ou un service novateur voire aussi lorsque ceux-ci disposent de la meilleure couverture ou du meilleur débit. Partant de ce postulat, Univers Freebox vous propose de tester vos connaissances ou de vous amuser autour d’une question à contre-courant : quel opérateur n’a jamais…?

Pour récompenser les meilleurs joueurs, nous offrons, à chaque quiz, un t-shirt aux 3 premiers d’entre vous. Le classement se fera en fonction du nombre de bonnes réponse. Pour départager tous ceux qui les auront obtenues, c’est le temps qui sera pris en compte. Tout le monde, membre ou non d’Univers Freebox, peut jouer à ces quiz. Seule condition pour tenter de remporter les t-shirts : être connecté à son compte Freezone, afin que nous puissions vous recontacter. Les 3 gagnants seront annoncés le lundi 18 février prochain.

Le quatrième opérateur mobile italien revient sur les écrans des chaînes du pays armé d’ une publicité concentrée sur la vérité et le leitmotiv : " Quand vous découvrez la vérité, vous ne pouvez rien voir d’autre ". 

Décalé, ce spot fait la promotion du forfait à 7,99 euros par mois d’Iliad italia, comprenant 50 Go en 4G, "pour toujours et pour de vrai" canarde l’opérateur toujours soucieux d’user de sa stratégie de "transparence" vis à vis de ses clients. Résolument axée sur la vérité, cette campagne de pub TV s’amuse à dénoncer certaines scènes du quotidien emplies de faussetés : des tee-shirts fabriqués en Chine avec une étiquette "made in Italia", une femme qui boit un soda au citron qui se révèle ne contenir que du sucre. Ou encore la vue d’un panneau publicitaire illustrant un mega burger, qui en réalité sera bien minuscule et moins appétissant une fois entre vos mains.

Le spot a officiellement été lancé aujourd’hui, le 10 février 2019. Il sera diffusé sur les principales chaînes de télévision telles que Rai, Mediaset, Discovery et Sky.

Source : Universo Free

La déroute boursière continue. L’action d’Iliad a chuté de 26% depuis le début de l’année. 

Bien qu’il reprenne légèrement des couleurs ce matin (+1,80%), le titre de la maison-mère de Free a conclu vendredi la séance à 90,04 euros, plombé par une baisse de son cours de 5,22 % dans la journée. Depuis mai 2017, soit son niveau le plus haut à 235 euros, la chute est vertigineuse, plus de 60 % soit "7,2 milliards d’euros de capitalisation boursière qui sont partis en fumée, avec une valorisation tombée à 5,4 milliards d’euros", note Le Figaro.

Si Free a perdu son statut de valeur de croissance en 2018 auquel l’opérateur a longtemps habitué les marchés, l’heure est aux inquiétudes chez les investisseurs. Impacté par une perte d’abonnés sur le fixe et le mobile durant les neuf premiers mois de l’année 2018, elle-même due à une intensification de la guerre des prix de la part de Bouygues et SFR, Free se doit de relancer la machine au quatrième trimestre. Mais sa nouvelle stratégie sur le fixe pourrait ne pas avoir les effets escomptés. Et si les recrutements n’étaient pas à la hauteur des attentes placées en la commercialisation de la Freebox Delta et One ?« Nous n’avons aucune information sur les ventes des Freebox, autre que les commentaires des concurrents qui disent n’avoir ressenti aucun impact », indiquent pour leur part les analystes de Kepler Cheuvreux dans une note. Si Iliad ne publiera pas ses résultats annuels avant le début du mois de mars, les analystes se montrent tout aussi sceptiques après lecture des chiffres de fréquentation du site internet de Free, "pas d’augmentation sensible du trafic", constatent-ils, d’autant plus problématique que le premier réseau de distribution des Freebox est internet.

Côté chiffre d’affaires, les analystes de Deutsche Bank s’attendent à une baisse de 4,7% du chiffre d’affaires d’Iliad dans le fixe au quatrième trimestre 2018 contre 3,8% lors du T3 mais estiment que Free est prêt au combat en 2019, "on peut s’attendre à une amélioration des tendances à compter du second semestre". En attendant, les inquiétudes persistent, notamment sur la rentabilité d’Iliad en Italie, ou encore sur la capacité du groupe à réaliser ses objectifs financiers d’ici 2020 à l’heure où la 5G arrive et que son portefeuille sera probablement soumis à rude épreuve. 

Source : AGEFI

Mais seulement sur iOS.

Tout vient à point qui sait attendre. L’application FMobile, présentée par son développeur dans nos lignes le mois dernier, va libérer tous les abonnés Free Mobile sur iOS de l’itinérance Orange. Mais pour l’heure, l’app est toujours en cours de validation, victime visiblement des exigences de la firme de Cupertino sur l’App store. En attendant une issue favorable, son créateur PlugNTweet, a décidé de rendre FMobile disponible dorénavant au téléchargement via TestFlight, et ce "pour tout le monde" bien qu’elle obligera tous les utilisateurs à posséder iOS12.2 dans sa version définitive, fait savoir son développeur.

FMobile permet de détecter sur quel réseau est connecté votre iPhone et effectue une succession d’actions pour revenir sur le réseau de Free lorsqu’il est bloqué en itinérance Orange.

VOTRE ATTENTION S’IL VOUS PLAIT !

Je suis très heureux de vous annoncer que, même si sa validation dans l’App Store est toujours en attente, FMobile est disponible dès maintenant au téléchargement via TestFlight pour tout le monde !

Téléchargement : https://t.co/3wtvWp4xRQ pic.twitter.com/H0QGW4GA8X

— Michaël 🦁🏰 (@PlugNTweet) 8 février 2019

Retour dans la commune d’Estourmel dans le département du Nord où l’implantation d’une antenne-relais Free Mobile continue de faire polémique bien que les travaux aient déjà débuté.

Abracadabrantesque mais… Si l’autorisation d’implantation d’une antenne Free Mobile a été signée cet été à L’Estourmel par l’un des adjoints du maire, la signature s’est faite en son absence et donc sans son approbation. Embêté, ce dernier a par la suite envoyé un courrier d’excuses aux habitants admettant ne pas avoir mesuré que cela pouvait être un dossier sensible 

Consternés, des Estourmelois ont alors regretté de ne pas avoir été prévenus en amont tout en s’inquiétant de l’impact des ondes sur la santé. Un mystérieux collectif a vu le jour en octobre dernier mais ses membres ont souhaité rester anonymes jusqu’au 4 décembre, et de la tenue d’une réunion publique. Malgré la mobilisation, l’heure était à l’impuissance. Le dossier présenté par Free Mobile ne présentait aucune irrégularité administrative. Certains ont bien tenté de faire jouer le délais de recours en demandant une conciliation au préfet, sans réponse. Interpellé à son tour par les réfractaires au projet, le sénateur LREM Frédéric Marchand a indiqué : « J’ai en effet saisi Free sur le sujet en tentant une médiation… sans réponse de Free, au demeurant. »  Aujourd’hui  les choses avancent  résolument du côté de l’opérateur puisque le chantier a débuté il y a deux semaines, à fait savoir le maire de la commune à la Voix du Nord. La commune disposera bien d’une seconde antenne.

Baptisé « Object Storage », ce système de stockage vise entre autres les développeurs, lesquels doivent faire de plus en plus face à une explosion des volumes de données à gérer, en particulier pour les fichiers médias (vidéos, photos…). Scaleway rappelle à ce titre que « la sphère de données mondiale devrait passer de 33 zettaoctets en 2018 à 175 en 2025 et 49% des données stockées dans le monde devraient résider dans des environnements de cloud public ».

Dans ce contexte, la filiale d’Iliad dont l’ambition est de conquérir une place de leader mondial dans le cloud, a choisi de mettre sa solution sur le marché en facturant sa solution sous la forme d’un pack à 5€/mois pour 500Go de stockage et 500Go d’utilisation de la bande passante sortante. 

« Les gigaoctets supplémentaires sont ensuite facturés 0,01€/mois pour le stockage et 0,02€ pour l’utilisation de la bande passante sortante. L’accès à l’infrastructure de transit réseau vers Scaleway est gratuite dans la région utilisée permettant les échanges avec les serveurs et les instances », précise un communiqué. 

« L’Object Storage » est dores et déjà disponible pour les utilisateurs du data center de la région d’Amsterdam et sera très rapidement déployé dans les data centers de Scaleway à Paris. A l’intérieur, les serveurs  sont équipés « de disques SSD et SSD NVMe permettant une performance de pointe avec des temps d’accès de quelques millisecondes et une garantie de l’intégrité des données à 99,999 % grâce aux mécanismes de réplication dans les data centers européens du fournisseur. » 

Scaleway met également à disposition  des utilisateurs une console de gestion pour paramétrer le niveau de confidentialité des données très rapidement. « Conçu pour s’intégrer avec la plupart des outils de gestion de données, le service est compatible avec l’API S3, standard de référence dans le monde du stockage objet », précise l’hébergeur.

A l’heure où RED by SFR , Bouygues voire Free revoient  à la hausse leurs tarifs, en l’échange par exemple, chez la filiale de l’opérateur au carré rouge, d’une augmentation de la data incluse dans certains forfaits mobiles, Orange se démarque à son tour… mais épargne à contrario le portefeuille de ses clients.

Depuis hier, une kyrielle abonnés de l’agrume reçoivent des SMS les informant d’une augmentation conséquente du volume de données incluses dans leur abonnement Open ( mobile +internet). Certains ont ainsi eu l’agréable surprise de gagner 20 ou encore 27 Go supplémentaires,  et ce "sans changement de prix, ni réengagement". Un geste qui n’est pas sans rappeler celui de Red by SFR la semaine dernière. L’opérateur a lui aussi boosté en gigas le forfait de certains abonnés à la différence qu’il a augmenté automatiquement leur facture mensuelle de 2€ bien qu’un refus de cette augmentation est possible.

Au moins chez @Orange_France avoir + d’internet c’est pas 3 euros de plus comme chez certains 😦 pic.twitter.com/8Ilah0X4KC

— Fab (@Fabian040299) February 7, 2019

Plaît-il @Orange_conseil ? Je passe réellement à 30go sur mon forfait mobile ? 😲 pic.twitter.com/ZrtMy9cVpg

— CallGate (@CallGate74) February 7, 2019

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La plus faible progression enregistrée lors d’un quatrième trimestre selon le régulateur.

Dans son nouvel observatoire des marchés des communications électroniques publié hier, l’Arcep fait le point sur le marché du mobile au 4ème trimestre. Bilan, l’heure est à décélération. Si 2018 a été globalement de moins bonne facture que l’année dernière, le dernier exercice enregistre la  "plus faible progression d’un quatrième trimestre, celle-ci a été divisée par trois par rapport au quatrième trimestre 2017", révèle le régulateur. Soit une croissance de seulement 105 000 cartes SIM en France métropolitaine contre 400 000 un an auparavant. Un gain provenant en totalité "des opérateurs de réseaux mobiles qui enregistrent 135 000 cartes supplémentaires", précise l’observatoire. Malgré tout, ce niveau est inférieur de 100 000 par rapport au quatrième trimestre 2017. Conséquence, la dynamique de marché s’affaiblit.

Cette contreperformance s’explique par "une croissance trimestrielle deux fois plus faible du parc post-payé (+365 000 contre +750 000 fin 2017), compensée en partie par un recul bien inférieur du nombre de cartes prépayées en service (-225 000, après -510 000 fin 2017)", résume l’Arcep. A contrario, le nombre de cartes des MVNO (7,9 millions) diminue de 30 000 au cours du trimestre, en raison du recul important du nombre de cartes prépayées. "En revanche, la progression sur le marché post-payé est plus soutenue qu’un an auparavant (+120 000 cartes contre +90 000). La part de marché de ces acteurs s’est stabilisée à 11% environ depuis un an", conclut la police des télécoms.