Auteur : Maxime Raby

Free Mobile : les Samsung Galaxy S10, S10+ et S10e débarquent en précommande dans la boutique en ligne

A peine officialisés, les nouveaux flagship de Samsung font leur entrée en précommande dans la boutique en ligne de Free Mobile. Les premières livraisons sont prévues à partir du 5 mars prochain.

Avis aux abonnés Free Mobile. Compatibles avec la bande de fréquence 700 MHz (28) et disponibles en achat comptant, quatre fois sans frais ou en location (pour les versions 128 Go seulement), les trois smartphones du géant sud-coréen sont désormais à portée de main.

Le Samsung  Galaxy S10 est ainsi proposé en version 128 Go à 909€ à la commande et à 1159€ pour le modèle 512 Go. Si vous optez pour un paiement en 4 fois sans frais, il vous en coûtera respectivement, 228€ à la commande puis 3 fois 227€ sans frais, ou 292€ à la commande puis 3 fois 289€.

Pour sa part, le Samsung Galaxy S10+ au format XXL ( 6,3 pouces)  est affiché en achat comptant à 1009€ en version 128 Go et à 1259€ en 512 Go, soit 253€ à la commande puis 3 fois 252€ sans frais pour le premier modèle et 317€ à la commande puis 3 fois 314€ pour le second.

Enfin, le Samsung S10e, plus accessible, est également disponible en précommande à 759€ en version 128 Go. S’agissant du 4 fois sans frais, il faudra débourser 192€ à la commande puis 3 fois 189€. 

A l’occasion de ce lancement et ce jusqu’au 7 mars, la marque ne fait pas les choses à moitié puisque pour tout achat du Samsung Galaxy S10 et S10+, une paire d’écouteurs sans fil Galaxy Buds est offerte d’une valeur de 149€.

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Orange continue de cartonner sur la fibre et se reprend un peu sur le mobile

Orange et Bouygues Telecom ouvrent le bal des résultats annuels ce matin. L’opérateur historique a également levé le voile sur ses recrutements au quatrième trimestre. Les voyants sont toujours au vert.

Il s’en sort bien malgré un tassement. En France, Orange a engrangé 111 000 nouveaux abonnés sur le mobile hors MtoM, en progression en comparaison au troisième trimestre (82 000) mais en recul par rapport au quatrième trimestre 2017 où l’opérateur a enregistré 212 000 ventes. Celles-ci sont  "positives à la fois sur la marque Orange et sur la marque Sosh", fait savoir l’agrume. Une performance d’autant plus notable à l’heure où le marché du mobile décélère. Le dernier exercice de l’année a enregistré la "plus faible progression d’un quatrième trimestre, celle-ci a été divisée par trois par rapport au T4 2017", a révélé récemment l’Arcep.

Seul bémol pour Orange, l’ARPO mobile seul a baissé de 18 cents sur un an à 17,1 euros en raison de l’impact lié à l’inclusion des offres de livres audio et de lecture numérique ainsi que des migrations vers les offres convergentes et, par conséquent, de l’augmentation du poids relatif de Sosh dans le parc mobile seul.

Sur le haut débit fixe seul, le FAI peut se targuer d’afficher également un 4ème trimestre de bonne facture en termes de performances commerciales avec 71 000 ventes nettes, contre 68 000, 36 000 et 57 000 lors des trois derniers exercices de l’année. Une performance essentiellement tirée par un trimestre record sur la fibre où Orange a recruté 186 000 nouveaux abonnés mais aussi par "le succès" des offres La Boîte Sosh.  Au 31 décembre 2018, Orange compte 11,8 millions de foyers raccordables, en ligne avec son ambition de 12 millions fin 2018, et un total de 2,6 millions de clients FTTH. La fibre d’Orange reste ainsi en croissance en 2018, avec 593 000 ventes nettes en France contre 546 000 en 2017.

Pour la seconde année consécutive, l’agrume enregistre une croissance de son chiffre d’affaires dans l’hexagone, en légère accélération entre 2017 et 2018, "tirée par la forte dynamique des services convergents". Dans le détail, celui-ci progresse de +0,9% en 2018 (18 211 millions d’euros) . Au 4ème trimestre, le chiffre d’affaires est stable à +0,1% à 4, 687 millions d’euros, "mais serait en hausse de +0,5% sans l’impact lié à l’inclusion des offres de livres audio et de lecture numérique", justifie l’opérateur.

Enfin, si l’excédent brut d’exploitation ajusté (Ebitda) du groupe au global a progressé en 2018 de 2,7% par rapport à 2017 , Orange annonce un ralentissement cette année, "cela s’explique par un contexte toujours très concurrentiel, notamment en France et en Espagne, et par la disparition du bénéfice des offres de livres audio et de lecture numérique".

 

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Free est contraint d’afficher sur son site une décision de sanction pour des clauses abusives

Free vient de publier sur son site Internet une décision de sanction datant de 2016 prononcée à son encontre pour de nombreuses clauses abusives.

C’est à travers un bandeau sur son site internet que l’opérateur informe actuellement d’une décision du tribunal de grande instance de Paris du 23 févirer 2016, le condamnant à supprimer des clauses de contrats jugées "abusives". Le message est le suivant  :
 
"Par jugement en date du 23 février 2016, le tribunal de grande instance de Paris, dans l’affaire opposant le directeur départemental de la protection des populations de Paris à la société Free, a ordonné à Free de cesser ses pratiques commerciales trompeuses et illicites ainsi que la suppression de certaines clauses déclarées abusives ou illicites figurant dans les conditions générales de vente et conditions générales d’abonnement de ces offres Triple Play Free et Alice." 
 
 
Parmi ces clauses "abusives", figuraient notamment l’impossibilité de demander des factures papier lors de la souscription, ou encore "le mode de livraison le plus onéreux coché par défaut lors de la commande".  A noter que Free a fait appel de cette décision et obtenu une infirmation partielle le 12 octobre 2018.

En 2016, Le tribunal de grand instance a ordonné à Free la diffusion du communiqué précité sur la partie supérieure de la page d’accueil des sites www.free.fr, www.aliceadsl.fr et www.alicebox.fr, pendant un délai de trois mois, aux frais de l’opérateur, sous astreinte de 10.000 euros par jour de retard passé un délai de un mois courant à compter de la signification de la décision.

 
 
 
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Prix Excellence Client 2019 : Free décroche sa deuxième étoile pour la qualité de son assistance

Et de deux. Lors de la 3ème édition, hier, du Prix Excellence Client récompensant « les entreprises qui réussissent en prenant soin de leurs clients », Free a remporté le Prix Excellence Client 2019 au même titre que neuf autres lauréats. Angélique Gérard, directrice de la relation abonnés de l’opérateur et quelques collaborateurs étaient présents pour recevoir ce trophée.
 

Et les lauréats sont… Decathlon, Direct Énergie, Free, Ikea, ING, Maif, Nocibé, Picard, Sosh et Toyota. Organisé par l’Académie du Service, Ipsos et Trusteam Finance, trois acteurs experts de la relation client, le Prix Excellence Client distingue avec exigence « les organisations qui ont compris que satisfaction et recommandation client sont des facteurs clés de succès, de performance et de compétitivité ». La mesure de l’Excellence Client repose sur quatre indicateurs stratégiques : la satisfaction client, la recommandation client, la culture de service et les moyens mis en oeuvre pour satisfaire les clients. L’assistance Free est ainsi récompensée pour la seconde année consécutive pour la qualité de son travail, au même titre que Sosh. A noter que lors de la première édition, les télécoms ne figuraient pas dans les secteurs clefs analysés. 

 
 Les lauréats du prix Excellence Client 2019
 
 
Les organisateurs du Prix ont ainsi étudié 156 entreprises dans 9 secteurs : l’énergie (nouveau secteur étudié à l’occasion de cette édition), la distribution home, la distribution care, l’e-commerce, la grande distribution, les télécommunications, la banque, l’assurance et l’automobile. Ils étaient 5 en 2017 et 8 en 2018. Parmi les lauréats, quatre entreprises ont reçu le Prix Excellence Client pour la troisième année consécutive (Decathlon, ING, Nocibé et Picard). Dans le dossier de presse, un verbatim concerne Free : 
 
"Dans une industrie où la différenciation par le prix est la règle, se singulariser et innover dans l’approche client est une problématique à laquelle Free a voulu apporter des réponses concrètes et efficaces. L’opérateur a donc entrepris de se réinventer en innovant dans l’expérience relationnelle avec ses clients. L’entreprise accorde une grande importance aux communautés formées par ses clients, les « Freenautes », avec lesquelles elle entretient des relations étroites. Les « Freenautes » sont conviés à une convention annuelle, avec Xavier Niel, le président, au cours de laquelle ils bénéficient d’informations confidentielles. En interne, le thème de « l’enchantement » du client fait
l’objet de réflexions conduisant à la prise de décisions concrètes. Free travaille également sur la modélisation du lien entre satisfaction collaborateur et
satisfaction client."
 
Présent sur place, Univers Freebox a filmé la remise du prix de Free. La directrice de la relation abonnés de l’opérateur, Angélique Gérard, répond notamment à une question sur l’une des pratiques aspirantes de l’opérateur, à savoir l’esprit de service Free : " En quoi cette initiative interne est très symbolique et qu’est-ce que vous mettez en oeuvre pour atteindre l’excellence client ?" 
 

 
Les lauréats se sont ainsi distingués par des scores de satisfac­tion et de recommandation supérieurs à la moyenne de leur secteur, selon le baromètre Satisfaction Client Ipsos-Trusteam Finance, lequel évalue des scores de satisfaction et de recommandation  de plus de 900 marques par un panel de 100 000 clients interrogés, soit 1 000 personnes sollicitées dans 16 secteurs et dans 5 pays." Les pra­tiques d’exception partagées" ont été aussi passé au peigne fin  lors d’entretiens appro­fondis menés par l’Académie du Service et Trusteam Finance afin de "mesurer l’ancrage de la culture de service et la stratégie et les moyens mis en œuvre pour satisfaire les clients", font savoir les organisateurs.
 
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Free Mobile : le forfait “Série Free 50 Go” poursuit son bonhomme de chemin

Toujours en voie de pérennisation, le forfait intermédiaire de Free Mobile vient d’être prolongé une nouvelle fois jusqu’au mardi 5 mars prochain.

Sans engagement, celui-ci comprend pour la bagatelle de 8,99€/mois pendant un an, appels, SMS et MMS illimités, désormais 50 Go en France métropolitaine et 4 Go/mois en roaming depuis Europe et DOM en 3G et 4G parfois. Mais à l’issue des 12 mois, les abonnés basculeront automatiquement sur le Forfait Free classique 100Go à 19,99€/mois ou data illimitée à 15,99€/mois pour les abonnés Freebox.

A noter que cette offre est réservée aux personnes n’ayant pas été abonné au Forfait Free dans les 30 jours qui précèdent cette souscription. Aucune migration n’est par ailleurs possible d’un Forfait 2€ ou Forfait Free 100 Go vers la Série Free 50Go. 

 

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Litiges abonnés : Free accepte toujours moins les avis du médiateur que ses rivaux, mais s’améliore

L’AMCE soit le médiateur des communications électroniques, a levé le voile hier sur son rapport annuel pour l’année 2018. Si les relations entres abonnés et opérateurs s’améliorent pour la première fois depuis 5 ans avec une baisse de 12% des saisines, les avis du Médiateur acceptés par Orange, Free, SFR, Bouygues et autres sont en légère augmentation et passent  à 93,41% contre 93% en 2017.

Bien que Free se démarque chaque année dans le monde des télécoms par une satisfaction client élevée, l’opérateur de Xavier Niel se classe dernier en ce qui concerne le taux de refus autour des avis du médiateur. A l’instar de l’exercice précédent, Free est de loin le plus mauvais élève en la matière avec seulement 72,57 % d’avis acceptés contre 68,26% l’année dernière. Le FAI progresse au même titre que ses rivaux. Bouygues passe de 99,77% à 98,96% et Orange de 98,96 % à 99,28%. Mention spéciale à SFR, l’opérateur au carré rouge d’adjuge la première place avec un taux d’acceptation de 100 % en 2018 contre 99,93% en 2017

 

Pour rappel, le médiateur est une association dont Orange, Free, Bouygues Telecom et SFR sont membres, financée par trente-huit professionnels du secteur. Celle-ci a rendu 5.500 avis l’an dernier sans compter les demandes irrecevables. Au total, 11481 consommateurs se sont tournés vers les services de l’AMCE contre 13 030 l’année précédente. Le médiateur intervient en troisième ressort pour régler les litiges entre abonnés et opérateurs lorsque le service consommateur n’y parvient pas. 

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Orange, Free, SFR et Bouygues : le nombre de plaintes des abonnés a baissé sensiblement en 2018

L’AMCE, le médiateur des communications électroniques, a levé le voile sur son rapport annuel pour l’année 2018. Premier constat, le nombre de litiges entre consommateurs et opérateurs est en chute libre après l’explosion de 2016 et l’augmentation mesurée de 2017.

C’est un signal fort, résume le médiateur. L’état de santé du secteur s’améliore, les abonnés ont moins l’occasion de se plaindre de la qualité des services proposés, et les opérateurs répondent mieux à leur réclamation soit "en résolvant leur problème technique ou en indemnisant correctement leur préjudice". En d’autres mots, "le résultat est là. Les plaintes diminuent, on ne peut que s’en féliciter", indique le rapport.

Plus concrètement, le nombre de saisines a diminué de 12% en 2018, contre une hausse de 8% en 2017 et de 26% en 2016. C’est la première fois en cinq ans quand que le médiateur assiste à une baisse. Cette association dont Orange, Free, Bouygues Telecom et SFR sont membres et financée par trente-huit professionnels du secteur a rendu ainsi 5.500 avis l’an dernier sans compter les demandes irrecevables. Au total, 11481 consommateurs se sont tournés vers les services de l’AMCE contre 13 030 l’année précédente. 

Dans son rapport, le médiateur tente de comprendre les raisons de cette baisse sensible des saisines de la médiation. Selon lui, certaines plaintes ont tout bonnement disparu comme celles liées à l’itinérance à l’international. L’abolition des frais supplémentaires en roaming depuis l’UE a permis de réduire les explosions de forfait sur la voix ou la data. « Mécaniquement, après une phase d’apprentissage, le nombre de dossiers sur ces thèmes a fortement chuté », note le rapport.

Autre motif de satisfaction, les opérateurs ont amélioré la présentation de leurs offres, évitant désormais de mauvaises surprises. L’AMCE a observé des modifications contractuelles plus respectueuses du droit de la consommation de la part d’Orange, SFR, Bouygues et Free : « Les informations lapidaires sur des modifications de forfait excluant en bas de page, en police de caractère difficilement lisible sans loupe, certaines destinations à l’international ou changeant la composition de bouquets de chaîne, se font de plus en plus rares ; les défauts d’information sur le droit de rétractation aussi. En revanche, l’absence de confirmation de commande dans le cas d’une vente à distance ou l’insuffisance des informations contenues dans cette confirmation comme le prix du forfait"  sont toujours à déplorer, constate le médiateur.

Sont également mis en exergue d’autres effets positifs, comme l’ amélioration du traitement des réclamations, avant et pendant la médiation :"Quand les propositions d’indemnisation de l’opérateur sont satisfaisantes et répondent à des défaillances indiscutables, la relation de confiance n’est pas entamée. Ce constat statistique est conforté par l’analyse des saisines des clients. Le climat est en effet apaisé. On n’exige plus systématiquement, comme en 2016, la formulation d’excuses de la part de son opérateur dont on ne veut plus entendre parler".

Il y a toujours un "mais" 

Bémol. Si la situation s’améliore eu égard aux chiffres publiés, le médiateur s’interroge toutefois sur les choix de certains opérateurs, à savoir notamment "pourquoi, dans l’environnement concurrentiel extrêmement compétitif que connaissent les opérateurs, ces derniers affectent-t-ils aussi peu de moyens humains et financiers à leur service clients ?". Le rapport note que les services d’assistance téléphonique à destination des clients "ne sont pas dans l’ensemble des modèles du genre".  Et d’ajouter que les délais de réponse sont parfois exaspérants, "la langue française imparfaitement maitrisée"," les réponses entre service commercial et service technique" sont incohérentes. Bref, la liste des griefs est encore longue et les marges de progrès significatives conclut le médiateur avant de se fendre d’un pique : "et si les services clients étaient considérés non comme des centres de coûts, à compresser nécessairement, mais comme des centres de profit ?"

 

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TF1 : les accords de distribution signés avec Orange, Free, SFR et Bouygues soignent son bilan 2018

Si le groupe TF1 peut se targuer de bons résultats en 2018 avec notamment une hausse de ses recettes publicitaires, la filiale de Bouygues Telecom peut aussi dire merci aux contrats de distribution signés dans la difficulté avec les opérateurs télécoms.

Après une chute de 42% en bourse en 2017, TF1 retrouve des couleurs en rassurant les marchés. Le titre du groupe s’est en effet envolé de 17% en marge de la publication, hier, de ses résultats annuels 2018. Le bilan est positif, le sursaut en est même salvateur. Le chiffre d’affaires consolidé du groupe s’élève à 2 288,3 millions d’euros, en hausse de 155,9 millions d’euros, soit +7,3% par rapport à 2017. Cette progression est portée principalement par les Antennes, les audiences liées à la Coupe du Monde et les accords de distributions signés au cours de l’année à la suite d’un long bras de fer avec l’ensemble des opérateurs télécoms, sans omettre la bonne performance du chiffre d’affaires publicitaire télévision et digital, fait savoir la filiale de Bouygues.

D’après les informations des Echos, TF1 toucherait dorénavant en année pleine, "entre 50 et 60 millions de la part d’Orange, de SFR, Bouygues Télécom et Free" pour la diffusion de ses chaînes de télévision gratuites ( TF1,LCI ,TMC…) et l’intégration de ses services associés ( replay, start-over etc). Les recettes publicitaires du groupe TF1 sont ainsi passées de 1567,7 millions d’euros en 2017 à 1 662,2 millions d’euros en 2018. « Les revenus comprenant le replay sur MYTF1 et les contrats de distribution avec les opérateurs télécoms ont compensé la baisse de la publicité télé », indique dans les lignes du quotidien, Jean-Baptiste Sergeant, analyste chez MainFirst. En effet, le chiffre d’affaires publicitaire des chaînes gratuites du groupe est en recul au quatrième trimestre. 

En revanche, si TF1 a réussi son pari de faire passer les opérateurs à la caisse à coups de pression et d’ultimatums, Les Echos estiment que les telcos pourront très facilement renégocier leurs contrats puisque ceux-ci ne valent que pour "trois à cinq ans". De quoi "bousculer les règles du jeu en essayant de récupérer une part du gâteau publicitaire". A l’heure où TF1 développe la publicité ciblée en souhaitant accélérer sur la géolocalisation des utilisateurs via les box tout en intensifiant les achats programmatiques (automatisés) de publicité avec notamment la création d’une régie en partenariat avec ProSieben et Mediaset, le groupe va avoir à l’avenir besoin des données des opérateurs télécoms. Ces derniers pourraient à leur tour demander un partage de la valeur créée. Une première.

 

 

 

 

 

 

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Un nouveau smishing tente de se faire passer pour Free Mobile et s’attaque aux abonnés

Les SMS frauduleux prétextant un hors-forfait ou un impayé pour subtiliser les données des abonnés deviennent récurrent.

Si de nouveaux cas de phishing par mail sont recensés toute les semaines, ce genre de tentative de piratage existe aussi par SMS, cela s’appelle le smishing. L’un des modes opératoires les plus fréquents, celui d’annoncer un défaut de paiement en joignant un lien menant vers un site pirate imitant parfois le site de l’opérateur. C’est encore une fois le cas avec ce filoutage. Des abonnés Free Mobile mais aussi d’autres opérateurs reçoivent actuellement un message frauduleux d’un hacker se faisant passer pour l’opérateur de Xavier Niel dans lequel il leur rappelle de régulariser leur situation à la suite d’un impayé. Seulement, le lien intégré dans le message, ne laisse pas de place au doute, il s’agit bien d’une campagne de smishing puisque celui-ci diffère totalement du seul lien officiel pour accéder à son espace abonné (https://mobile.free.fr/moncompte/). Mais parfois, seules quelques lettres changent et sans une grande vigilance, il est possible de se laisser berner par l’URL.

  

 

Comme d’habitude, il ne faut donc ne pas tenir compte de ce SMS et surtout ne pas cliquer sur le lien inclus. Si vous avez déjà mordu à l’hameçon, veuillez immédiatement modifier votre mot de passe et contacter votre établissement bancaire, afin de faire opposition sur votre carte de crédit.

 

 

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Orange va lancer son propre PC dans le cloud à destination du grand public

Après la start-up Blade et ses PC dématérialisés, l’opérateur historique met les pieds dans le cloud computing. Orange prévoit de lancer dans les prochains mois une offre de streaming de PC à distance. Sa stratégie de devenir un opérateur multi-services, prend forme.

Courant 2019, l’agrume va proposer à ses utilisateurs un service de PC dans le cloud, lequel fonctionnera avec la clef TV 2 4K d’Orange déjà utilisée par des centaines de milliers de clients de l’opérateur. "Demain, celle-ci vous permettra d’accéder à un PC virtuel" a confié Bertrand Rojat, directeur opérationnel d’Orange Fab, à 01 Net. Ainsi, la clef TV de l’opérateur se connectera au téléviseur en HDMI et à un point d’accès WiFi. Via bluetooth, le smartphone de l’utilisateur fera alors office de clavier, mais un clavier physique fera aussi l’affaire . "Vous pourrez donc transformer votre écran TV en ordinateur Windows, vous pourrez surfer sur internet, ouvrir vos applications préférées ou autres", a indiqué l’intéressé et d’ajouter, que c’est "une capacité à la demande, mais aussi de stockage". La performance du PC pourra d’ailleurs s’améliorer en fonction des usages, annonce l’opérateur. Cette solution sera accessible aux professionnels dès le printemps, une commercialisation grand public est attendue un peu plus tard.

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