Auteur : Maxime Raby

Le lancement de Free Mobile à Mayotte approche, son réseau 4G est à présent disponible en itinérance pour les abonnés

Le réseau 4G de Free s’affiche désormais à Mayotte avec une carte SIM Free Mobile de métropole. Le lancement des offres de l’opérateur sur île se précise.

En juillet dernier, une première étape a été franchie puisque le réseau Free, encore en développement, a été accroché pour la première fois à Mayotte en roaming, avec le forfait "complétement Toké" de l’opérateur lancé à La Réunion. Mais aujourd’hui c’est au tour d’un abonné à un forfait Mobile Free de capter la 4G de l’opérateur et même la 4G+. Actuellement sur l’île, celui-ci a effectué des tests de débits. Cela indique que le lancement des offres de Free à Mayotte se rapproche, même si la date n’est pas encore connue.

 

 

Pour rappel, Free Mobile s’est lancé en grande pompe à La Réunion en juillet 2017, avec un forfait à 9,99€/mois, différent de ce qui est proposé en métropole. Mais cette île n’est pas le seul département où l’opérateur de Xavier Niel dispose déjà d’un réseau. En effet, c’est le cas également à Mayotte, où Telco OI, le partenaire local d’Iliad, est également présent. Hassanein Hiridjee, le PDG du groupe Telma (co-actionnaire de Telco OI à coté de Free) nous avait confié il y a un an et demi que ce n’était pas encore prêt à Mayotte en précisant que le réseau Only, racheté peu avant à Patrick Drahi, était tellement délabré et à l’abandon qu’il fallait tout changer de A à Z, aussi bien les antennes que les câbles.

Mais depuis, les premières antennes 4G ont été activées sur le département et il s’agit de fréquences 1800MHz. Selon les derniers chiffres de l’ANFR, le nombre de supports 4G Free autorisés à Mayotte était de 50 au 1er février dernier.

 
 
 
 

Merci à Abdoul !

 

 
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Free Mobile : mais quelle antenne leur est tombée sur la tête ?

Un collectif d’habitants s’oppose à l’implantation d’une antenne-relais Free Mobile et craint non seulement un risque sanitaire mais aussi l’effondrement de l’installation.

Le collectif "Anti antenne Debacq" se démène depuis deux ans pour empêcher l’arrivée d’une antenne-relais Free Mobile de 18 mètres de hauteur dans la commune de Saran située dans le département du Loiret, en vain. Aujourd’hui, ce groupe de riverains organise une nouvelle manifestation pour faire entendre sa voix. Les arguments ne manquent pas mais laissent songeur : "Cette antenne s’installera sur un terrain qui a fait l’objet de remblaiements, au-dessus d’un sous-sol marécageux, totalement instable et qui est en pente. […] Il y a donc un risque d’effondrement", a fait savoir le collectif dans les lignes de la République du Centre. Seulement, Il est à parier que l’opérateur ait pris toutes les mesures nécessaires en matière d’analyse du terrain avant de jeter son dévolu sur ce site.

Viennent ensuite les risques sanitaires selon le collectif,  les ondes qui émaneront de la future antenne posent problème. "Les émissions des antennes sont contrôlées par les opérateurs", a indiqué la représentante du collectif avant d’ajouter : "C’est un peu contradictoire. C’est comme si vous faisiez le contrôle technique de votre propre véhicule." Pour rappel, depuis le 1er janvier 2014, un dispositif est en place afin de renforcer la transparence et l’indépendance du financement des mesures d’exposition du public aux ondes électromagnétiques. Ainsi, toute personne peut faire mesurer l’exposition aux ondes électromagnétiques aussi bien dans les locaux d’habitation que dans des lieux accessibles au public (parcs, commerces…). Cette démarche est gratuite et gérée par l’ANFR.

Enfin, le collectif craint une perte de "valeur de 30 à 40% pour les terrains qui jouxtent cette antenne". De son côté, la mairie s’est déjà opposée au projet avant d’être "déboutée et condamnée à verser une amende par le tribunal administratif d’Orléans en novembre 2016", rapporte enfin le quotidien régional.

 

 

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Free active la 4G en roaming dans le pays du LEGO

Les remontées d’abonnés Free Mobile ne s’arrêtent plus autour de l’activation de la 4G en roaming à l’international.

Si l’opérateur de Xavier Niel a intégré pour la première fois le mois dernier la disponibilité de cette technologie depuis l’étranger dans la brochure tarifaire et la fiche standardisée de son forfait 100 Go à 19,99€, les abonnés Free Mobile n’ont pas attendus pour remarquer l’activation de la 4G en roaming lors de leurs déplacements ou voyages et ce dans au minimum 18 pays sur plus de 65 destinations selon nos constatations mais il est fort à parier que la liste soit bien plus longue à l’heure actuelle. Le dernier en date est le pays du LEGO, le Danemark. Un abonné, Sylvain, nous a rapporté hier avoir accroché la 4G de l’opérateur TDC à Copenhague avec une carte SIM Free Mobile, en effectuant un test de débit.
 
A ce rythme là, la 4G pourrait être activée au cours de l’année sur l’ensemble des destinations incluses en roaming dans le forfait le plus onéreux de l’opérateur. Xavier Niel l’a laissé entendre en décembre dernier au micro d’Univers Freebox : "on a ouvert le roaming 4G à l’international, on a maintenant du roaming de terminaux étrangers sur notre réseau en France en 4G, de plus en plus et ça explose, et ensuite on arrivera sur la VoLTE " et ce "à court terme." Free souhaite donc faire les choses dans l’ordre et s’il prévoit de lancer la voix sur 4G en 2019, l’itinérance à l’international sera disponible intégralement avant. 
 
La liste des pays où la 4G en roaming a été détectée : Italie, Belgique, Suisse, Luxembourg, Pays-Bas, Autriche, Allemagne, Portugal, Royaume-Uni, Roumanie, Autriche, Israël, Afrique du Sud, Finlande, Grèce, Canada, Russie, Danemark.
 
 

 

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RMC Sport : chez les abonnés, à la déception de perdre s’ajoute la frustration de ne pas pouvoir se désabonner

Double peine.

La défaite n’est pas passée inaperçue, le Paris Saint-Germain est sorti par la petite porte hier en huitième de finale de la Ligue des Champions, défait par Manchester United. Diffuseur exclusif de cette compétition, RMC Sport doit grincer des dents aujourd’hui, la filiale d’Altice misait beaucoup sur un bon parcours du club parisien pour engranger davantage d’abonnés. Pire encore, le groupe de Patrick Drahi vient de signer un partenariat "exceptionnel" avec Neymar pour toutes ses marques en particulier la France avec SFR et RMC Sport, ça tombe mal.

S’il est encore bien trop tôt pour juger de l’impact réel de cette déconvenue sur le recrutement des chaînes sportives d’Altice, ça s’agite sur les réseaux sociaux. Sur Twitter, une rafale d’abonnés, manifestent depuis ce matin leur déception post-défaite mais aussi leur mécontentement autour de la qualité du service proposé, au point d’avoir pris la décision se désabonner. Seul hic, la majeure partie s’est retrouvée dans l’impossibilité de résilier son abonnement. Une fois la manipulation réalisée, une page s’affiche agrémentée du message : "une erreur est survenue, veuillez nous excusez pour la gêne occasionnée." Ah ces bugs techniques !"

A noter que sur l’oiseau bleu, une page compile les témoignages similaires.

 

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L’arrivée de Free Mobile a été un “séisme, d’une violence inouïe” d’après SFR, Bouygues Telecom grince toujours des dents

En marge de la célébration des 10 ans de l’Autorité de la concurrence mardi dernier, Free, Orange, SFR et Bouygues sont revenus tour à tour sur l’aspect concurrentiel du marché et ce notamment depuis l’arrivée du 4ème opérateur : Free Mobile. 

C’est l’une des décisions les plus fortes du gendarme de la concurrence en matière de télécoms : avoir milité pour l’arrivée de Free Mobile en 2012 en tant que quatrième opérateur mobile. Ce lancement tonitruant aux effets que l’on connaît depuis sur le marché a permis une baisse historique des prix et plus de concurrence. Nos confrères de La Tribune ont profité de l’anniversaire de l’Autorité pour recueillir à cette occasion les témoignages des quatre opérateurs sur le sujet. 

Maxime Lombardini, président du conseil d’administration d’Iliad, a pour sa part vanté, il fallait s’en douter, les "effets globalement très positifs" de l’arrivée de Free Mobile sur le marché . Il a par ailleurs jugé que « les quatre opérateurs se portent tous bien, la France est très bien équipée ». 

Free : "un séisme […] d’une violence inouïe" dans les télécoms

De quoi agacer Alain Weill, patron d’Altice, lui aussi de la partie.  « Incontestablement, l’arrivée de Free Mobile a été un séisme, un mouvement d’une violence inouïe pour les trois autres opérateurs », a t-il réagi. Et de rappeler, « Quand Altice a pris le contrôle de SFR, l’entreprise n’investissait plus depuis deux ou trois ans. Le réseau mobile était totalement défaillant, et la couverture 4G était de 30% quand elle était de 70% ou 80% chez les autres. Certains disent qu’il y a pas eu de conséquences pour l’emploi, mais sur 15.000 collaborateurs de SFR, il y en a 5.000 qui ont quitté l’entreprise. » Malgré tout, Alain Weill s’est dit satisfait de l’ouverture du marché.

Si l’arrivée de l’ex-trublion a mis à mal l’opérateur au carré rouge, Orange préfère quant à lui botter en touche. Stéphane Richard, pdg de l’opérateur historique, a simplement mis en garde contre « les conclusions un peu simples et hâtives qu’on peut tirer » suite à l’arrivée de Free Mobile et à la forte baisse des prix en France, rapporte le quotidien. Selon l’agrume, disposer de beaucoup d’opérateurs dans un marché pour garantir la concurrence, comporte des limites.

Place enfin à la tornade Bouygues Telecom. L’opérateur vient de perdre une bataille juridique face à Free autour de l’accord sur l’itinérance Orange mais n’en démord pas : « Quand on regarde ce qui s’est passé, c’est grâce à cette décision qu’on a pu avoir le fort développement de Free Mobile », a déclaré Olivier Roussat. Et d’ajouter « Finalement, l’autorité s’est dit [qu’en permettant à Free d’accéder, via Orange, à une itinérance 3G, Ndlr] qu’on était peut-être allé un poil trop loin. Et elle a expliqué que cela devait s’arrêter en 2018. Cela dit, on est en 2019 et le contrat d’itinérance ne s’est pas arrêté ! Mais c’est une manière de rééquilibrer les choses. » Pour rappel, Free et Orange ont signé un avenant à leur contrat d’itinérance 2G/3G, celui court jusqu’à la fin 2020. Cet accord met en oeuvre le désengagement progressif de Free Mobile de son itinérance sur le réseau de son rival. La loi permet à l’Arcep de demander la modification des contrats si cela s’avère nécessaire à la réalisation des objectifs de régulation. Après avoir validé l’avenant du contrat des deux opérateurs, le régulateur avait également confirmé celui de Bouygues et SFR autour du partage de leurs réseaux mobiles dans les zones moins peuplées. De quoi faire des économies. Pour autant, l’opérateur de Martin Bouygues estime que Free Mobile a profité d’un avantage certain qui lui a permis de casser les prix d’un marché et de se moquer de la concurrence, tout en n’assurant que partiellement son service, avec des débits bridés lors du basculement sur le réseau Orange.

 

 

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Regarder Freebox TV sur smartphone et tablette : Box’n TV se met à jour

Box’n TV, disponible dans le Google Play Store, transforme vos smartphones et tablettes en écrans Freebox TV supplémentaires. L’application vient de recevoir une nouvelle mise à jour avec l’intégration dans sa liste des nouvelles chaînes et la suppression de celles ayant disparu.

Box’n TV permet de visualiser toutes les chaînes disponibles dans le service « multiposte » de Freebox TV sur vos tablettes et mobiles, tout en bénéficiant de fonctionnalités qui n’ont rien à envier à votre téléviseur. 

Cette application s’adresse surtout aux Freenautes qui ne disposent pas de l’offre Freebox Révolution avec TV by Canal, pour laquelle l’application myCanal est incluse. Toutefois, Box’n TV ne fonctionne que sur le réseau wifi local de la Freebox.

Pour mettre à jour ou télécharger Box’n TV, rendez vous sur le Play Store.

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Les chaînes Canal+ gratuites pour tous les abonnés Freebox : la sélection ciné à ne pas louper

Dès ce soir et jusqu’à dimanche midi, tous les Freenautes auront le loisir de zapper jours et nuits, encore et encore sur l’ensemble des chaînes de Canal+. Et ce, sans débourser un centime. Presque cinéphile, Univers Freebox vous souffle ses incontournables 

 


Ce soir :

 

Ça commence fort sur Canal+ avec un film documentaire à ne pas louper à 21h05 : "Ni juge ni soumise". Le pitch, pendant trois ans, les réalisateurs Jean Libon et Yves Hinant ont suivi le quotidien de la juge d’instruction Anne Gruwez, à Bruxelles. Une personnalité "cash" qui pose un regard lucide sur sa profession. Enquêtes criminelles, scènes de crime, exhumations, elle ne cache rien d’un univers où la réalité dépasse la fiction ! C’est le  premier long-métrage de l’émission de reportages Strip-tease.

Suivra à 22h45, l’oscarisé "3 Billboards : Les panneaux de la vengeance". Une comédie dramatique emplie d’humour noir qui plonge dans l’Amérique profonde, entre satire sociale et drame. L’intrigue tourne autour d’une femme qui loue trois  panneaux géants à l’entrée d’une petite ville du Missouri pour rappeler aux autorités le meurtre impuni de sa fille.

 

Vous ne connaissez pas l’histoire du célèbre trafiquant colombien Pablo Escobar ? direction canal+ Cinéma à 20h54, le biopic "Escobar". A la tête du cartel de Medellin, Pablo Escobar a semé la terreur en Colombie dans les années 1980. Son empire de la drogue a fait de lui un milliardaire, au prix nomb. Vedette de la télévision, Virginia Vallejo décide de mieux connaître ce loup cupide et sanguinaire. Elle deviendra sa maîtresse… 

Pour les fans de films à suspense, "Traque à Boston" vous contentera. Ce long-métrage revient sur l’attentat du lundi 15 avril 2013 à Boston, lors de la 117e édition du marathon de la ville, où deux bombes ont explosé. Les engins explosifs, placés près de la ligne d’arrivée  ont tué trois personnes et en ont blessé 264 autres. Une course contre la montre s’engage pour retrouver les auteurs de l’attentat.

 

 

Toujours pas convaincus, laissez-vous tenter en début de soirée avec les premiers épisodes de la saison 8 "d’American Horror Story" sur Canal+ Séries. Sinon, vous ne serez pas déçus par "Lion" sur Canal+ Family à 20h55.  Le film, tiré de l’histoire vraie de Saroo Brierley, a reçu six nominations aux Oscars 2017. Une histoire poignante, Saroo a 5 ans. Perdu, il traverse son pays seul en train avant d’échouer dans un orphelinat de Calcutta puis d’être adopté. Un quart de siècle plus tard, il part à la recherche de ses racines indiennes. Nicole Kidman est épatante en mère adoptive, tout comme Dev Patel, le héros devenu adulte.

 


 

Jeudi :

 

Pour les couche-tard, patientez jusqu’à 23h50, Canal+ vous réserve une bonne surprise avec un thriller politique intitulé "The Secret Man : Mark Felt". Ce film se penche sur le scandale du Watergate, qui a causé la chute de Richard Nixon en 1974, il est raconté du point de vue du fameux informateur secret surnommé « Gorge profonde », dont l’identité est désormais connue.
 

Pour le reste pas grand chose à se mettre sous la dent, si ce n’est pour les fans de science fiction pas vraiment exigeants.  Ça se passe sur Canal+ Cinéma, d’abord à 20h50 avec "Titan" qui avait tout pour plaire sur le papier. Le pitch : "La situation de la planète n’est guère engageante : les ressources commencent à manquer et l’environnement se dégrade inéluctablement. Les scientifiques en sont sûrs : la Terre sera bientôt inhabitable pour les humains. Une solution existe toutefois. Il s’agit de coloniser Titan, une lune de Jupiter. Pour ce faire, des militaires sont sélectionnés pour participer à un programme spatial mais…"
 
Suivra à 22h25 sur la même chaîne, "Attraction", un film russe divertissant au scénario toutefois limité, qui vous propulsera à Moscou où un vaisseau extraterrestre pacifiste est abattu par des avions russes. Une écolière parvient à sauver et à cacher un des extraterrestres. 
 
Enfin sur Canal+ Family, à 20h50, faites-vous un avis sur Taxi 5 puis à 23h55, "Chasseuse de Géant" vous embarquera dans la vie très spéciale de Barbara Thorson, 12 ans qui s’échappe souvent de son triste quotidien pour se retrouver dans un monde totalement fantastique, où elle combat des géants.
 
 



Vendredi : 

 
Vous ne sortez pas ce soir ? Zappez sur Canal+ Cinéma où le drame "State of Grace" vous attend chargé d’optimisme. C’est l’histoire de Grace, une éducatrice qui parvient à remettre sur pied des adolescents aux parcours compliqués. 
 

 
 
Pas rassasié ? Ne bougez pas, "Kings" avec Halle Berry et Daniel Craig vous fait les yeux doux à 23h15. Le pitch, retour en 1992 sur le quotidien  tumultueux d’une mère célibataire et de ses enfants, alors que le procès Rodney King bat son plein sous fond de violences raciales.
 
Sur Canal +, l’atmosphère sera plus familiale avec à 21h05, les aventures de Spirou et Fantasio. Fidèle à la BD, cette comédie a de quoi faire sourire ! Suivra à 22h22, le blockbuster "Rampage : Hors de contrôle", ne se démarquera pas par son scénario mais par ses effets spéciaux !.
 
Enfin, pour ceux qui les auraient loupé, "Justice League" et "Street Fighter (1994)" tenteront de combler votre soirée.
 
 



Samedi : 

 

Si vous êtes accro à Marvel, cette soirée est faite pour vous. Le délirant et réussi "Deadpool 2" frappera fort dès 20h55 sur Canal+ Family. Puis sur Canal+ Family, "Black Panther" prendra la relève.

Pour les autres, chavirez pour "La surface de réparation", un drame français de 2017 avec Franck Gastambide présentant une chronique sociale dans le milieu du foot, loin des clichés. La gratuité des chaînes prenant fin dimanche midi, un conseil profitez de votre grasse matinée !

 

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Orange facture des abonnements Netflix à certains abonnés contre leur gré, la faute à un “dysfonctionnement informatique”

"Chéri, t’es-tu abonné à Netflix à trois heures du matin ?" Non pourquoi ?

Quand Le Canard Enchaîné se déchaîne. Selon le palmipède, un certain nombre d’abonnés Orange ont vécu la même mésaventure sur leur bouquet TV récemment ou il y a plusieurs mois, l’en atteste le forum de l’agrume où les mécontentements se sont multipliés. Aussi étrange que cela puisse paraître, ces derniers ont été abonnés "par l’opération du Saint-Esprit", soit à leur insu à Netflix par l’opérateur. Conséquence, certains ont ainsi constaté amèrement un prélèvement mensuel de 13,99€/mois, pendant que d’autres se sont vus facturer trois abonnements au leader de la SVoD. Pire encore, d’autres abonnés impactés ne possèdent pas de télévision ou ont déjà souscrit à Netflix sur leur ordinateur. 

A la suite d’un véritable "parcours du combattant", autrement dit à force d’appeler l’assistance d’Orange, d’envoyer des lettres recommandées etc, quelques-uns ont réussi à obtenir un remboursement, révèle le Canard Enchaîné en prenant l’exemple d’une abonnée à qui l’opérateur historique a payé "les sommes indûment prélevées" en lui offrant "deux mois d’utilisation gratuite de sa Livebox". 

Contacté par l’hebdomadaire satirique, Orange  a reconnu "un dysfonctionnement informatique" entre ses propres plateformes et celles du mastodonte américain ce qui a provoqué la création en chaîne d’abonnements Netflix sur le compte de certains clients Orange . "Dès la connaissance de ce problème , Orange s’ est mobilisé pour identifier les clients impactés et a pris contact avec eux pour effectuer les remboursements nécessaires ", a enfin réagi l’opérateur.

 

 

 

 

 

 

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Clin d’oeil : une télécommande Freebox peut se cacher là où on ne l’attend pas

Quand la Freebox fait tourner la tête !

Zeste d’humour. S’il est coutume de glisser son smartphone dans sa poche ou dans son sac dans les transports en commun, il est plus rare d’emporter la télécommande de sa Freebox avec soi. C’est pourtant arrivé à cette abonnée, qui en cherchant ses écouteurs, a fait une découverte surprenante, sa zapette de Mini 4K était du voyage avec elle dans le métro. Fatigue quand nous tient !

 

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Free ne s’arrête plus et lance une seconde Vente Privée, cette fois sur le mobile

Ou comment faire une pierre deux coups !

Après avoir dégainé hier son offre Freebox Révolution avec TV by Canal à 9,99€/mois pendant un an sur le site Vente-Privée, Free récidive en lançant dès demain à 19h une nouvelle offre sur le site d’e-commerce, cette fois sur le mobile. Il pourrait s’agir comme en décembre dernier, d’un forfait 50 Go à 8,99€/mois à vie. 

 

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