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Arnaque aux appels surtaxés ? C’est la piste privilégiée par l’opérateur de Patrick Drahi : " l’enquête interne a démontré le caractère frauduleux de ces appels, notamment émis depuis l’Afrique du Nord, dont l’abonné peut être tenté de rappeler le numéro". L’ampleur de la fraude serait toutefois limitée à en croire SFR : "le nombre d’abonnés impacté par cette pratique abusive reste restreint, néanmoins nous appelons à la vigilance lors d’appels entrants de l’étranger et immédiatement interrompus".
Face à la recrudescence de ces arnaques constatées ces dernières semaines, Red by SFR dit travailler avec les autorités et les opérateurs pour identifier et contrer chaque mode opératoire naissant. Si la facture est salée pour certains abonnés, dépassant souvent 100 euros et parfois 500 euros, "les surfacturations liées à ces fraudes feront l’objet d’un traitement au cas par cas", précise l’opérateur. Des régularisations sont déjà en cours.
Comme un air d’arnaque. Des abonnés Red by SFR ont la mauvaise surprise depuis plusieurs semaines de recevoir des factures anormalement élevées pour des appels passés à l’étranger. Seulement, ces derniers refusent d’endosser la responsabilité de ces communications. Après avoir fait la sourde oreille, l’opérateur admet finalement une anomalie.
Depuis le mois de mai, les plaintes d’abonnés Red By SFR se multiplient sur forum de la filiale low cost de l’opérateur au carré rouge. En cause des appels émis vers l’étranger, toujours en pleine nuit, facturés mais jamais passés, assurent les clients impactés. Les hors forfaits constatés oscillent entre deux minutes et plusieurs heures. Pour certains abonnés, la facture est salée dépassant souvent 100 euros et parfois 500 euros. Plus chanceux, d’autres ont dû payer seulement quelques euros bien qu’ils jurent ne pas avoir appelé à l’étranger, révèle Le Parisien. Autre constatation, les destinations concernées sont la majeure partie du temps les mêmes à savoir la Tunisie, l’Algérie, Comores, Madagascar et le Canada.
En colère et s’estimant victimes d’une arnaque, une flopée de clients se sont alors lancés dans un véritable parcours du combattant pour faire entendre raison à l’opérateur. Il aura fallu finalement attendre le 20 juin pour que RED by SFR admette avoir détecté « une anomalie», laquelle est « en cours de résolution », précise le quotidien.
Alors qui est à l’origine de ces appels indûment facturés ? Selon l’opérateur, l’hypothèse d’une arnaque aux numéros surtaxés est privilégiée. Red By SFR a lancé une enquête interne et poursuit à l’heure actuelle ses investigations. Du côté des abonnés impactés, il est bien difficile d’en connaître le nombre exact aujourd’hui. Un porte-parole de SFR a simplement affirmé qu’une « une dizaine de personnes » ayant manifesté leur mécontentement sur le forum ont été contactées par l’opérateur et sont « en cours de régularisation ».
Dur dur d’implanter une antenne-relais. Retour dans la commune de Grâces dans le département des Côtes-d’Armor, en région Bretagne où Free Mobile prévoit d’implanter un pylône de 38m sur le parking d’un magasin Carrefour. Seul hic et pas des moindres, un collectif de riverains et le maire s’opposent au projet en l’état. Deux représentants de Free se sont ainsi déplacés en mairie pour répondre aux inquiétudes, sans convaincre.
Pour ce projet d’antenne 4G, l’opérateur de Xavier Niel s’est vu accorder un permis de construire du service urbanisme de Guingamp-Paimpol Agglomération mais le maire de la commune, a émis un avis défavorable. Cette installation, fruit d’un partenariat avec Carrefour, doit s’ériger sur le parking de la grand enseigne. Les travaux étaient prévu en juillet pour une activation en octobre prochain. Mais au terme d’une permanence publique le tenue par Free le 2 juillet dernier au sein de la mairie de Grâces, l’implantation a été repoussée. « Le calendrier est déstabilisé. Nous ne commencerons pas avant la fin de l’année », a indiqué l’un des salariés de Free.
Dans le viseur des réfractaires, le lieu d’implantation. A la question de savoir pourquoi Free ne veut pas utiliser un pylône existant en l’occurrence celui d’Orange, l’opérateur a répondu : « Avant de nous lancer dans la création d’un pylône, particulièrement coûteuse, nous étudions toujours les possibilités de nous raccorder sur un pylône déjà présent. Là, aucun d’eux ne nous permet de déployer notre réseau dans un rayon de 500m autour de Carrefour ». Mais le maire n’en démord pas, il souhaite un changement de site.
Sourve : Ouest-France / Le Telegramme
Au détour d’une simple déclaration préalable dans le but d’implanter une nouvelle antenne-relais à La Réunion, Free Mobile et son partenaire Telco OI lâchent le morceau : une offre Freebox quadruple play est dans les cartons.
En marge du lancement de Free Mobile, il y a moins de deux ans à la Réunion, Xavier Niel avait sous-entendu la possibilité d’un lancement d’offres Freebox à l’avenir en soulignant à juste titre que l’opérateur a déjà déployé un réseau fibre sur l’île. Un an plus tard, Thomas Reynaud, directeur général d’Iliad a déclaré "travailler sur le sujet, on y réfléchit". Les voyants sont donc au vert et l’arrivée d’une offre commerciale Freebox sur le fixe n’est plus qu’une question de mois à en croire la presse locale. Reste à savoir avec quels types d’offres, Free souhaite conquérir ce marché. Dans une déclaration préalable déposée par Free Mobile le 25 mai dernier, dont nous avons eu lecture, et ce en vue d’implanter une nouvelle antenne-relais sur l’île, l’opérateur de Xavier Niel fait mention du lancement futur d’une offre quadruple play.
Dans la description du projet, on peut lire : "notre souhait est de devenir le moteur de la convergence fixe-mobile à la Réunion. Avec pour objectif d’assurer à terme, des services de téléphonie fixe, pour faire profiter ses abonnés d’un abonnement quadruple-play et de mieux les servir pour l’ensemble de leurs besoins de communication. Toutes ces nouvelles offres reposeront sur un réseau entièrement renouvelé qui permettra d’asseoir une qualité de service élevée."
Pour rappel, la quadruple play est un abonnement internet adsl ou fibre comprenant quatre services dans le cadre d’un contrat unique à savoir, un accès à internet, la téléphonie fixe, la télévision avec parfois des services de vidéo à la demande et la téléphonie mobile. On peut donc imaginer à l’avenir une offre Freebox à la Réunion avec la possibilité d’opter pour un forfait mobile "toké" comprenant plus data et à moindre prix pour les abonnés, un peu à l’instar du marché métropolitain.
Pour les abonnés Freebox en vacances, trois applications mobiles possiblement déjà téléchargées dans votre smartphone viennent de se mettre à jour : Pushvid Freebox sur Android, mais aussi Zapette pour Freebox et Fbox TV sur iOS.
Vous souhaitez pouvoir envoyer vos vidéos Youtube, Dailymotion ou autres depuis votre mobile vers la Freebox Révolution, à la manière de chromecast ? L’application Pushvid Freebox est ce qu’il vous faut ! Celle-ci elle vient d’être mise à jour en sur le Play Store Google. Au programme, des corrections de bugs et surtout un nouveau logo ! Pour le moment, Pushvid Freebox fonctionne uniquement avec la Freebox Révolution, mais, interrogé au sujet de la Freebox Delta, le développeur explique que "seule la fonction ’regarder plus tard’ fonctionne pour l’instant sur Delta, et la lecture n’est pas encore supportée par la Freebox, mais ça devrait arriver".
« Zapette pour Freebox » est une application de télécommande virtuelle sans pub pour Freebox Révolution, et nous profitons d’une mise à jour "interne" de cette dernière sur iOS pour la présenter à ceux qui ne la connaissent pas. L’application est proposée gratuitement, et vous permet de contrôler votre Freebox Révolution. Cette télécommande affiche un contraste élevé et des gros boutons qui permettent de ne pas avoir besoin de chercher les touches dans le l’obscurité. Si vous disposez de plusieurs Freebox, vous pouvez choisir le nom à utiliser. Le nom hd1 est pour la première Freebox, hd2 pour la seconde et ainsi de suite.
Après le Haut-Rhin et le Bas-Rhin via le réseau d’Initiative Publique (RIP) Rosace, l’offre Fibre Free devient accessible pour les habitants d’Auvergne.
Bouygues met en avant Netflix dans sa dernière publicité, un spot TV cachant une multitude de références de films et séries originaux de Netflix.
Les contenus Netflix n’ont aucun secret pour vous ? A l’instar de Free la semaine dernière, Bouygues Telecom lance un concours en partenariat avec le mastodonte de la SVOD. Pour ce faire, l’opérateur a réalisé une publicité dont laquelle 20 références à des séries et films de Netflix sont dissimulées. En jeu, des places pour l’avant-première exclusive de la Casa de Papel, saison 3 à Paris le 15 juillet prochain, ou encore un voyage pour deux à Tokyo, Rio ou Marseille.
Pour rappel, Bouygues Telecom propose depuis fin juin une promotion d’été sur ses offres fixes + mobile, avec un abonnement à Netflix inclus durant les 12 premiers mois pour toute nouvelle souscription à une BBox Ultym ou Must avec un forfait 50Go ou plus.
La nouvelle pub Bouygues Telecom vous cache quelque chose… 👀 20 références à des films et séries originaux @Netflixfr ont été dissimulées à l’écran. A vous de les retrouver sur https://t.co/fpC5HG8vg6 😉 A gagner : un voyage à Tokyo, Rio ou Marseille ✈🌎 #JaiLaRef pic.twitter.com/fR2UnrXcla
— Bouygues Telecom (@bouyguestelecom) 7 juillet 2019
En bref, la filiale de Vivendi et l’opérateur historique renégocient leur partenariat capitalistique de 2012 marquant l’entrée de Canal+ au capital d’Orange Cinéma séries devenu par la suite OCS pour faciliter la distribution chez les autres FAI.
D’après les information de la Lettre A, les deux acteurs "doivent conclure avant la fin de l’année un nouvel accord concernant leur filiale commune OCS". En tête de des options possibles, la fusion entre Ciné+ de Canal+ et OCS. Un mariage entre les chaînes rivales est donc à prévoir.
Pour rappel, si Ciné+ étaient à l’origine diffusée en exclusivité sur les bouquets Canalsat et Numericable, à la suite de l’annulation de la fusion entre Canalsat et TPS, le Groupe Canal+ s’est vu contrait de permettre la diffusion de ses chaînes aux FAI. Ainsi, l’ensemble des 6 chaînes Ciné+ sont disponibles chez Orange, Free, SFR et Bouygues. A noter que Ciné+ à la demande s’étoffe mois après mois avec un compteur 10 chaînes thématiques dont la dernière a été lancée la semaine dernière.
Dans le même temps, l’alliance en discussion depuis 2018 entre OCS et Altice Studio semble pour sa part s’éloigner. En mars dernier, bien que les discussions se poursuivaient, celles-ci "tournaient en rond" selon les Echos. Le quotidien avançait alors la difficulté de trouver un « deal » financier : "Altice n’aurait pas l’intention de brader les droits des studios américains qu’il a payés cher, entre 300 millions et 400 millions. Et OCS, qui n’est pas rentable, ne va pas charger un peu plus sa barque… La présence de Canal+, actionnaire (dormant depuis que l’Autorité de la concurrence a neutralisé sa part) à 33,3 % dans OCS et donc en position de bloquer un « deal » touchant à la modification du capital d’OCS, ne facilite pas les échanges."
Un plan social à l’ampleur importante, 500 à 800 postes vont être supprimés.
Ce n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd, en France, le groupe Canal+ continue d’assister à une fuite de ses abonnés, Après une perte conséquente en 2017, la filiale de vivendi a vu son portefeuille d’abonnés individuels baisser de 300 000 en 2018 puis de 100 000 clients au premier trimestre 2019 et ce malgré un retour en forme de la chaîne cryptée. Conséquence de ces mauvais résultats, le chiffre d’affaires de la télévision en France métropolitaine a reculé de 3,4 % à 3 137 milliards d’euros l’année dernière et de 3,6 % lors des trois premiers mois de l’année. Si le groupe explique notamment ce repli "par la baisse du parc d’abonnés à Canalplay, l’arrêt de la commercialisation de l’offre Canalsat au profit des nouvelles offres Canal et des abonnements en partenariat avec les opérateurs télécoms", cette hémorragie d’abonnés semble le mener tout droit vers "un plan de départs volontaires massif", révèle Satellifax. Selon le site d’information spécialisé, le groupe Canal+ devrait annoncer "très prochainement" ce plan qui visera les effectifs en France, soit environ 500 à 800 salariés sur les 2700 (CDD inclus) que compte le groupe dans l’hexagone, rapporte de son côté Les Jours. Le pôles les plus touchés, celui de l’édition des chaînes, Studiocanal et la distribution. Seuls les postes en CDI seront visés.