Auteur : Maxime Raby

L’Arcep souhaite des cartes de couverture mobile fiables à 98%. Les opérateurs pourrait être obligés d’améliorer la qualité de leur données prochainement.

Certains lieux apparaissent couverts mais ne le sont pas, beaucoup d’utilisateurs ont déjà dû se rendre à l’évidence, la carte de couverture mobile du site “Mon réseau mobile” de l’Arcep pêche encore en fiabilité. Lors de l’Université d’été du THD à Marcq-en-Baroeul hier, le président du régulateur l’a rappelé et compte bien corriger davantage le tir même si selon lui “une carte parfaite est impossible à réaliser”. Pour ce faire, Sébastien Soriano a indiqué que l’Arcep pourrait obliger Orange, Free, Bouygues et SFR à fournir des cartes de couverture mobile fiables à 98% contre 95% actuellement. Plus précisément, le régulateur souhaite des données de meilleure qualité. Ces dernières, utilisées pour produire ces cartes, proviennent des opérateurs eux-mêmes à qui l’Arcep a demandé de réaliser des simulations. Dans un second temps, la police des télécoms fait tourner sur le terrtioire des voitures équipées d’une batterie de smartphones pour s’assurer de la véracité des mesures communiquées par les opérateurs. 

Constatant une inéquation avec la réalité du terrain, le président du régulateur a également annoncé l’utilisation prochaine d’ applications de tests de débit pour améliorer la fiabilité même si cet affinage sera limité. En attendant, les élus réclament toujours “un diagnostic de la couverture mobile réelle” du territoire français, pour ne plus décider à l’aveugle.

 

Source : 01 NET

 

 

 

 

 

 

Très actif, le spac de Xavier Niel, Pierre-Antoine Capton et Matthieu Pigasse poursuit sa stratégie d'acquistions en prenant les commandes de "Fit Production" à qui l'on doit "H", célèbre série humoristique des années 90.

Mediawan a toujours aussi soif en 2019,  après s'être notamment emparé de Paloma en mars dernier, 1er producteur audiovisuel italien mais aussi de "Nice Pictures" de l'auteur-illustrateur Joann Sfar, le leader indépendant de la production de fictions et de documentaires en France  s'empare de "Fit Production",  derrière "H", série télévisée culte avec Jamel Debbouze ou encore en Eric et Ramzy,  diffusée dans les années 90 sur Canal+. En acquérant à 100% "Fit", Mediawan  met donc la main sur son catalogue et les droits afférents, révèle selon ses informations, Les Echos. Le montant de la transaction n'a pas été communiqué.

Si cette fois Mediawan jette son dévolu sur une vieille série qui sans nul doute trouvera encore son public à l'heure où les sitcoms des années 90 semblent toujours susciter un réel engouement, le groupe audiovisuel continue de déployer ses capacités de distribution, en particulier son partenariat avec Netflix. En effet, en novembre, les télespectateurs pourront découvrir  la première diffusion en linéaire des saisons 1 à 4 de Narcos (Netflix), en exclusivité sur la chaîne Action de Mediawan. A la fin de l'année, ce sera au tour d'AB1 de diffuser une autre série du mastodonte américain, à savoir  The Get Down.

A noter que le spac de Xavier Niel, Pierre-Antoine Capton et Matthieu Pigasse s'est calssé ce mois-ci pour  la deuxième année consécutive  en tête du classement annuel des producteurs de fiction, devant Lagardère Studios. Avec un nouveau record à la clef : 116,42 heures de fictions produites diffusées en prime-time ces 12 derniers mois. Avec ses 18 labels de productions, Mediawan a également enregistré une hausse de 72% dans la production de fiction française par rapport à l'année dernière.

 

 

 

 

Oeil pour oeil, dent pour dent. Orange en a ras-le-bol d’être trop souvent dans le viseur de l’Arcep à l’heure où il investit et déploie la fibre à tour de bras. Dans une interview accordée aux Echos, son PDG, Stéphane Richard, explique pourquoi il remet aujourd’hui en question le pouvoir de sanction du régulateur.

Le torchon brûle entre l’opérateur historique et l’Arcep. Face à la multiplication des procédures de sanction lancées à son encontre par la police des télécoms comme sur la qualité de ses offres de gros, le retard de déploiemement en zone AMII ou encore l’entretien de son réseau cuivre, Orange a décidé fin août d’aller contester devant le Conseil d’état la légitimité de l’Arcep à sanctionner les opérateurs au nom du principe d’impartialité, et ce pour une question prioritaire de constitutionnalité. En réponse, le régulateur s’est fendu la semaine dernière d’un édito plutôt sanglant dans lequel il brandit la menace d’une séparation fonctionnelle entre les activités de réseau et commerciales d’Orange comme au Royaume-Uni. Pour la police des télécoms, attaquer son pouvoir de sanction, “c‘est défier l’esprit pragmatique de la régulation à la française”.

Si l’Arcep venait à perdre son siflet, la décision serait lourde de conséquences puisqu’elle pourrait mettre en danger le respect des engagements pris par les opérateurs sur leurs déploiements, la qualité de leur service. Interrogé à ce propos par Les Echos, Stéphane Richard, ne le perçoit pas ainsi : “Ce n’est pas la question. Orange respectera quoi qu’il arrive ses engagements, tant sur la fibre que sur le mobile, je m’y engage formellement. Il faut un minimum de confiance”. Pour lui, le problème est ailleurs. Pour comprendre, il faut se pencher sur la multiplication des mises en demeure de l’Arcep visant directement l’opérateur historique  : “Il y a chez Orange une forme d’incompréhension. Nous sommes mobilisés à fond, pour déployer la fibre et la 4G, comme jamais dans notre histoire. Et en face, le régulateur multiplie les procédures à notre égard. On peut presque parler de harcèlement juridique et médiatique. L’Arcep a lancé dix procédures contre Orange, c’est un record historique ! Si encore Orange renâclait à investir ou était défaillant, on pourrait comprendre. Mais nous sommes l’opérateur européen qui investit le plus en pourcentage de son chiffre d’affaires – et essentiellement en France”, explique Stéphane Richard. Autre point d’interrogation, à l’heure où la France a fait le choix coûteux du FTTH à contrario de l’Allemagne et du Royaume-Uni et alors que le secteur investit en masse, ” pourquoi choisir précisément ce moment pour mettre la pression”, questionne encore Stéphane Richard avant de se rendre à l’évidence :  il y a ” un décalage entre notre rôle de locomotive dans le déploiement des réseaux et le comportement du régulateur”.

La conviction du patron du FAI est fondée : “Le rôle d’un régulateur est de réguler. Ce n’est pas un chef de chantier, ni un ministre de l’Industrie ! Qu’il y ait une forme de dialectique, des périodes de tension entre le régulateur et les opérateurs télécoms, c’est tout à fait normal. Ces relations sont d’ailleurs bien plus difficiles ailleurs en Europe, notamment en Allemagne. Remettons ce débat à sa juste proportion. Je dis simplement que notre régulateur semble ces derniers temps avoir opéré un glissement progressif vers un climat de suspicion. C’est tout l’inverse du modèle français de régulation, auquel nous sommes attachés, tout autant que l’Arcep.”

Enfin, Orange persiste et signe. Ses juristes contestent une l’absence de séparation au sein de l’Arcep entre les équipes en charge d’écrire la règle, de la contrôler et de sanctionner en cas de non respect.

 

 

 

 

 

Non disruptive mais écoresponsable, la nouvelle Livebox 5 d’Orange est dans les starting blocks. Sa présentation est prévue au début de l’automne. Son lancement commercial devrait donc intervenir dans quelques semaines.

Déjà en juillet dernier en marge de la présenation des résultats semestriels d’Orange, le PDG d’Orange a vendu la mèche autour de la future Livebox 5. En annonçant une commercialisation d’ici la fin de l’année, Stéphane Richard, a notamment expliqué ne pas avoir la volonté de chambouler le marché mais au contraire de se renforcer : “Nous ne la voyons pas comme un élément disruptif sur ce marché”.  Sur cette nouvelle génération de box, l’opérateur historique va notamment ” augmenter la puissance du WiFi à l’intérieur du domicile” avait-il alors fait savoir. Des propos confirmés aujourd’hui par Fabienne Dulac, directrice générale d’Orange France, laissant penser au Wi-Fi 6, officiellement lancé hier et  intégré dans la SFR Box 8. Un certain nombre d’autres fonctionnalités seront également présentes bien qu’elles n’aient pas été dévoilées pour le moment. Une chose est sûre, la nouvelle Livebox 5 sera “écoresponsable” et sera présentée au “début de l’automne”, a également révélé Fabienne Dulac.  Enfin, côté design, voici à quoi pourrait ressembler la future boîte de l’opérateur.

Présenté en décembre 2017, Djingo,  l’assistant intelligent d’Orange et  fer de lance de la stratégie d’innovation de l’opérateur , devrait finalement êtré lancé ” d’ici 2 ou 3 mois” et ce après de multiples reports. En cause, différents problèmes techniques.

 

Source : 01 Net

 

 

 

Officialisé hier, l'accord de distribution inédit entre Netflix et Canal+ se dévoile davantage. 

"Aujourd'hui, vous avez une offre qui s'appelle le pack cinéma-série, avec 21 chaînes, et qui coûte une trentaine d'euros. Nous allons intégrer Netflix à cette offre dans laquelle il y aura toutes les chaînes cinéma de Canal+, les chaînes OCS avec HBO, les chaînes Ciné+, la chaîne de cinéma Disney et Netflix au prix de 15 euros, en plus du prix de l'abonnement à Canal qui est de 20 euros au plus bas. Ceux qui sont déjà abonnés à Canal auront un tarif préférentiel de l'ordre de 20%", a présenté ce matin sur franceinfo, le président du directoire du groupe Canal+, Maxime Saada.

Plus précisément,  pour les nouveaux abonnés, ce pack exclusif comprendra l’offre Netflix Standard (2 écrans, HD) et sera proposé au lancement à 15 euros/mois, en plus de l’abonnement à CANAL+ à 19,99€/mois soit 35 €/mois, au moins jusqu'à début 2020.  Pour leur part, les abonnés ayant déjà souscrit à l'actuel pack Ciné/Séries ne seront pas dans l'obligation de prendre Netflix et conserveront pour le moment leur offre à 29,99€. En revanche, ceux désirant passer à l'abonnement avec Netflix devront débourser environ 10€ supplémentaires, a fait savoir la filiale de Vivendi à Numérama.

Par ailleurs l’abonnement Intégral à 79,90 euros par mois intégrera gratuitement Netflix, via une mise à jour dès le 15 octobre, a précisé également Canal+. Enfin, les abonnés souhaitant  souscrire uniquement à Netflix pourront  le faire sur leurs décodeurs les plus récents.

A noter que les programmes de Netflix s'afficheront sur l'interface de Canal+ exactement de la même manière que les contenus OCS avec un petit logo en bas à gauche de la vignette du programme. Une fois le contenu sélectionné, l'abonné basculera automatiquement sur la plateforme de Netflix.

 

 

 

Cyberdépendance, quand tu nous tiens. Nous sommes nombreux à utiliser de manière abusive nos smartphones dans la rue, sans prêter attention à ce qui nous environne. A sa manière, Orange tente de vous faire regarder autre chose que votre écran !

Après la campagne “la bonne conduite” autour de l’usage du mobile au volant,  le “premier smartphone de l’enfant” ou encore la sensabilitation aux phishings avec sa fausse pub  prétendant offrir un incroyable “forfait illimité 6G pendant 100 ans”, Orange poursuit son opération “Bien Vivre le Digital”, une stratégie de long terme dédiée à aider chacun à bien vivre le numérique. Aujourd’hui, le siège d’Orange participe à cette campagne d’engagement sociétal de l’opérateur, révèle Béatrice directrice communication et marque de l’agrume. Objectif, faire en sorte que les passants lèvent la tête de leur mobile et les féliciter de ce grand pas vers la fin de la cyberdépendance, ou pas ! 

Orange l'assure, il tiendra ses engagements en matière de déploiement de la fibre optique notamment dans les zones moyennement denses, même s'il manque aujourd'hui de ressources.

A l'heure où la fibre se démocratise de plus en plus chez les français, les déploiements se poursuivent à un bon rythme et montent en puissance, c'est le constat de l'Arcep dans son dernier suivi du marché des services fixes à haut et très haut débit à fin juin 2019 : "Sur les quatre derniers trimestres, 3,79 millions de locaux supplémentaires ont été rendus raccordables au FttH, dont 1,13 million au T2 2019 soit environ 37 % de plus que sur la même période de l'année précédente". Une performance notable puisqu'il s'agit du meilleur trimestre enregistré jusqu'à présent. Au 30 juin 2019, 15,58 millions de locaux étaient éligibles aux offres FttH, soit une hausse de 32 % en un an. Cependant, le régulateur a appellé Orange et SFR à intensifier le rythme de ces déploiements en zone AMII où par exemple,  55 % des locaux des communes sur lesquelles Orange s'est engagé, ont été rendus raccordables. La crainte,  que cet engagement portant sur au moins 92 % de locaux raccordables à fin 2020, ne soit pas tenu.

A l'occasion d'un point presse hier, la PDG d'Orange France, Fabienne Dulac a tenu à rassurer dans un premier temps : « Nous tiendrons nos engagements » a t-elle assuré sans ambages. Avant de mettre en exergue certaines difficultés rencontrées par l'opérateur dans le déploiement de  la fibre. Selon Orange, «il manque encore 10% à 15% de techniciens et de ressources pour être à l'aise dans le déploiement de la fibre ». Et ce, malgré « les efforts faits pour anticiper les formations, l'alternance et la préparation de nos techniciens », rapporte La Tribune. De son côté, Marc Blanchet, directeur technique et du système d'information de l'opérateur historique estime que les sous-traitants d'Orange ont beaucoup de peine à recruter :  «Il nous manque, par exemple, des ouvriers pour planter des poteaux. »

Enfin, Fabienne Dulac a confirmé que certains chantiers prennent du retard mais l'avance pris par d'autres, compense. En zones rurales, le déploiement de la fibre va selon elle plus vite que prévu et cela se confirme dans les chiffres. Sur les RIP par exemple, le rythme des déploiements des lignes FttH est en progression trimestre après trimestre, avec 323 000 locaux rendus éligibles lors du dernier exercice. Pour rappel, le Plan THD vise à apporter le très haut débit à tous les Français avec des débits supérieurs à 30 Mbit/s d'ici 2022.

 

 

 

 

 

 

Fin août , Free Mobile a lancé une offre sur Veepee avec un smartphone offert ainsi que des accessoires. Celle-ci devait se terminer demain à 6h mais l'opérateur de Xavier Niel  vient de la prolonger de quelques jours, jusqu'au vendredi 20 septembre.

Ce forfait Forfait Free Veepee est proposé à 9,99€/mois pendant 1 an, puis 19,99€/mois avec un smartphone Nokia 3.2 16Go offert (d’une valeur de 149€) ainsi qu’une coque et un verre trempé (valeur 22,99€). L’engagement est de 24 mois et la carte SIM est facturée 10€

Vous pouvez retrouver le test du Nokia 3.2 réalisé par Univers Freebox

 

 

Cette offre est valable pour une nouvelle souscription exclusivement sur Veepee, réservée aux membres Veepee, à l’exclusion des membres ayant déjà bénéficié d’une offre promotionnelle mobile Free vente-privee au cours des 13 derniers mois et ayant résilié leur ligne mobile Free dans les 30 jours qui précèdent cette souscription. La portabilité entrante du numéro après la souscription n’est pas accessible dans le cadre de cette offre promotionnelle. Offre limitée à un forfait par abonné.

A noter que même si l’engagement est de 24 mois, la réduction abonnés Freebox est applicable après 12 mois (soit le forfait à 15,99€/mois avec data illimitée), à condition de réaliser l’association avec le compte Freebox sur votre espace abonné. 

Détails du forfait

En France métropolitaine :

• Appels illimités vers les mobiles et fixes de France métropolitaine, vers les mobiles Etats-Unis, Canada, Alaska, Hawaï, Chine et DOM et vers les fixes de 100 destinations 

• SMS illimités vers la France métropolitaine et les DOM

• MMS illimités vers la France métropolitaine

• Free WiFi illimité 

• Internet 100 Go en 4G/4G+ et 3G, avec mobile 4G+/4G (débit réduit au-delà). Le volume de données est ramené à 3 Go en cas d’utilisation de la ligne avec un mobile non compatible 4G/4G+.

Depuis l’étranger et DOM :

• Appels, SMS, MMS illimités depuis Europe et DOM vers les fixes et mobiles d’Europe, des DOM et de France métropolitaine et depuis les Etats-Unis, Canada, Afrique du Sud, Australie, Nouvelle-Zélande et Israël vers les fixes et mobiles du même pays et de France métropolitaine.

• Internet 25 Go/mois depuis Europe, DOM, Suisse, Guernesey, Jersey, Ile de Man, Etats-Unis, Canada, Mexique, Brésil, Argentine, Algérie, Tunisie, Israël, Turquie, Afrique du Sud, Australie, Nouvelle-Zélande, Inde, Malaisie, Thaïlande, Sri Lanka, Bangladesh, Russie, Ukraine, Serbie, Monténégro, Biélorussie, Macédoine, Arménie, Géorgie, Kazakhstan, Pakistan, Ouzbékistan et Chine (Hors Taïwan, Hong-Kong, Macao). (au-delà : 0,0054€/Mo depuis Europe, DOM et facturation au tarif en vigueur depuis les autres destinations).

Vous bénéficiez par ailleurs de l’option Youboox One jusqu’au 31 janvier 2020, qui permet d’accédez à des dizaines de milliers de livres dans tous les genres. Et ce, même hors connexion pendant 30 jours

C'est fait, Canal+ vient de signer un accord de distribution avec le leader mondial de la SVOD. Les abonnés Canal+ vont pouvoir bénéficier dès le 15 octobre de tous les contenus de Netflix via un pack exclusif ou directement sur leur décodeur.

Cana+ va distribuer l'ensemble des productions de  Netflix ! Malmenée en France, la filiale de Vivendi prend un nouveau virage et officialise un accord gagnant-gagnant inédit avec le mastodonte américain. "A partir du 15 octobre, les abonnés CANAL+ qui souscriront au pack Ciné/séries auront accès dans un même abonnement à la chaîne premium CANAL+ et au service Netflix", indique un communiqué officiel. Dans le détail, ce nouveau pack exclusif comprendra l’offre Netflix Standard (2 écrans, HD) et sera proposé au lancement à 15 euros/mois, en plus de l’abonnement à CANAL+ à 19,99€/mois soit 35 €/mois, au moins jusqu'à début 2020.  Ce n'est pas tout puisque ce nouvel abonnement "comprendra également plus de 20 chaînes cinéma et séries déjà présentes dans le pack Ciné/Séries". Selon Les Echos, on retrouvera ainsi les chaînes OCS, les chaînes Ciné + ou encore Canal+ Series, le service de SVOD de la filiale de Vivendi. Par ailleurs, les abonnés Canal+ souscrivant déjà à Netflix, "auront la possibilité de s’abonner au nouveau pack et de profiter de l’ensemble de leurs services vidéo dans un même abonnement", précise Canal+. Et d'ajouter que les abonnés désirant souscrire uniquement à Netflix pourront également le faire sur leurs décodeurs les plus récents.

«Netflix est la référence mondiale dans son domaine avec des programmes reconnus internationalement. Cette offre vient compléter notre proposition généraliste de cinéma récent, de grands événements sportifs en direct, de séries de classe mondiale, dont nos Créations Originales, et conforter ainsi notre rôle d‘agrégateur de contenus et services», a déclaré Maxime Saada, président du directoire de Canal+. Disponible en OTT et sur les box des quatre opérateurs, Netflix renforce ainsi son maillage en France, à l'heure où il dispose dores et déjà de 6 millions d'abonnés.

 

 

 

YouGov lève le voile sur son classement “Top Brands Health” répertoriant les marques dont la santé globale est la plus élevée en 2019. Dans le secteur des télécoms en France, Orange prend les devants, Free se démarque également.

Impressions, qualité/prix, satisfaction, recommandation et réputation. De manière globale, ” les entreprises de technologie possèdent les marques les plus saines”,  introduit YouGov. Au niveau mondial, Google occupe à nouveau la première place de ce classement annuel, suivi de WhatsApp, YouTube, Samsung et Facebook. Dans l’hexagone et plus précisément dans le secteur des télécoms, Orange tient le haut du pavé avec un score de 13,8 et devance Free, l’opérateur de Xavier Niel se démarquant avec une note de 10,9. Derrière, Bouygues Telecom limite les dégâts avec un score de 7,4. Sosh, l’opérateur low cost d’Orange suit avec une note de 5,7 devant B&YOu (5,0). Distancé, SFR ne figure pas dans le TOP 5 mais peut se consoler, avec sa filiale Red by SFR, d’apparaître aux deux premières places du classement des marques télécoms françaises ayant enregistré la plus forte augmentation de l’Indice. Bouygues telecom, Orange et Sosh se démarquent également, à contrario de Free donc la progression est estimé inférieure à ses concurrents.

 

 

Méthodologie

Les 1 000 marques analyseés par le YouGov BrandIndex ont été classées en fonction de leur santé globale calculée en prenant la moyenne des impressions, de la qualité/prix, de la satisfaction, de la recommandation et de la réputation.

Le tableau Index Rankings présente les marques affichant les scores moyens les plus élevés de l’Indice pour la période de 12 mois allant du 1er juillet 2018 au 30 juin 2019. Le tableau “Index Improvers” classe les marques ayant enregistré la plus forte augmentation de l’Indice, en comparant les scores des 12 derniers mois. Tous les résultats sont basés sur un échantillon représentatif de la population générale des adultes de 18 ans et plus.  A noter que l’ensemble des marques doivent avoir été suivies pendant au moins 6 mois pour pouvoir être incluses dans le classement.