Auteur : Maxime Raby

Free a dores et déjà déployé 155 000 km de fibre optique

Au total, 15 000 km linéaires supplémentaires de fibre optique ont été déployés par l'opérateur de Xavier Niel au premier semestre.

Iliad/Free poursuit sa politique d’investissement dans ses réseaux en France et en Italie. L’en atteste l'évolution du déploiement de son réseau de transmission longue distance au 30 juin 2019. A cette date, ce réseau totalement construit en fibre optique comptait 155 000 km linéaires de fibre optique contre 140 000 fin 2018, dont près de 20 000 km en Italie afin de raccorder les principales villes aux deux principaux centres du réseau mobile du d'Iliad Italia situés à Milan et Rome. Le groupe rappelle qu’il a mis en place une technologie de communication optique basée sur la technique de multiplexage de longueur d’onde (DWDM – Dense Wavelength Division Multiplexing). Cette technique permet de faire passer plusieurs ondes de longueurs différentes sur une seule fibre optique. Avec les équipements de transmission optique mis en place par le Groupe, chaque onde est porteuse d’un signal à très grand débit (10 Gb/s et 100 Gb/s), et un minimum de 32 ondes peuvent être passées sur une seule fibre optique. Ceci assure une capacité pouvant atteindre, pour chaque lien, plusieurs centaines de Gb/s, ce qui peut être considéré comme une capacité de transmission « infinie ». 

Iliad souligne par ailleurs que "la construction ou la location des tronçons de fibres noires et l’exploitation en interne des équipements de transmission en investissant dans les multiplexeurs, lui permettent d’avoir la maîtrise totale de ses capacités de transmissions".

Pour rappel, les réseaux du groupe s’articulent autour d’une infrastructure de transmission longue distance, d’une bande locale fixe à travers le dégroupage et le déploiement de la fibre optique et des déploiements du réseau mobile en France et en Italie. Dans l'hexagone, Iliad s’appuie sur cet important réseau pour relier les Nœuds de Raccordement Abonnés (NRA) et permettre le dégroupage de la boucle locale. Le groupe poursuit l’extension de sa couverture en dégroupage en déployant  700 nouveaux NRA au premier semestre, et dispose ainsi de 14 000 NRA dégroupés sur l’ensemble du territoire.

 

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Iliad revendique près de 11 000 salariés et recrute à tour de bras pour le déploiement de sa fibre

 

 

Année après année, Iliad fait figure de grand créateur d’emplois en France. Après avoir passé la barre des 10 000 salariés fin 2018 , la maison-mère de Free revendique au premier semestre près 11 000 salariés.

A fin juin 2019, l’effectif du groupe de Xavier (hors Italie) se compose de 10 200 salariés, en hausse de plus de 400 salariés par rapport à fin 2018. En comptant la filiale italienne, Iliad compte près de 11 000 salariés, fait-il savoir. Cette hausse est liée à l’intégration des effectifs de Jaguar Network au cours du 1er semestre, à des embauches liées à l’accélération du groupe sur les déploiements et raccordements Fibre, ainsi qu’à des recrutements sur l’activité mobile, l’activité d’hébergement et l’extension du réseau de distribution. Iliad précise par ailleurs recruter massivement sur le FTTH  et revendique désormais 3000 collaborateurs dédiés au déploiement de la fibre. La diversité n'est pas en reste, 63 nationalités sont ainsi représentés au sein du groupe, 62% des salariés sont âgés de moins de 35 ans, sans écart salarial entre hommes et femmes.

Pour rappel, Iliad a plus que doublé son effectif total entre 2010 soit avant l’arrivée de Free sur le marché du mobile et 2016, avant de poursuivre sa politique active de recrutements  en créant près de 350 emplois sous forme de CDI en 2018 contre 600 en 2017.

 

 

 

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Inauguration de l’école 42 à Madrid en présence de Xavier Niel avec l’annonce de l’ouverture de quatre nouveaux campus

A peine inaugurée, 42 Madrid grandit.

Lors de la cérémonie d’ouverture du campus hier dans la capitale espagnole, José María Álvarez-Pallete, président de la fondation Telefónica à l’origine de l’importation de 42 à madrid, a annoncé l’ouverture de quatre nouvelles académies dans le pays au cours des 18 prochains mois, àMalaga, Valence, Barcelone et Biscaye.

42, école atypique de codage informatique sans profresseur poursuit ainsi son expansion internationale et  Madrid rejoint officiellement le groupe d’écoles déjà en activité dans le monde. Le réseau 42 est actuellement développé France,  Belgique,  États-Unis, Maroc, Finlande,  Pays-Bas, Russie, Brésil, Indonésie, Arménie, Japon et Canada. Présente au même titre que Xavier Niel lors de l’inauguration du campus à Madrid, Sophie Viger, directrice générale de 42 Network a partagé son enthousiasme avec les personnes présentes: «Le lancement de notre réseau international est une étape importante dans l’histoire de 42. Depuis sa création, il nous a motivés à essayer de créer la meilleure école au monde et nous sommes prêts à relever ce défi en reproduisant le modèle qui a connu du succès dans le monde entier. et maintenant aussi à Madrid. En tant que pionniers des écoles numériques, nous allons de l’avant avec Network 42 en restant fidèles à notre ADN et aux valeurs que nous promouvons sans compromettre l’excellence de l’éducation. Grâce à notre pédagogie innovante, 42 Madrid permettra à tous les talents espagnols de révéler leur meilleur ».

42 Madrid est située dans le district de la fondation à Las Tablas. L’enceinte sera composée de 2 étages et aura une capacité de 900 étudiants avec un ratio de 3 personnes par ordinateur. Un auditorium, des salles de repos et de loisirs, un cafétéria, une salle e-Sports et des salles de réunion seront à disposition des étudiants.

Toute personne souhaitant s’inscrire peut se rendre sur le site web 42Madrid.com afin de passer deux tests en ligne, soit un exercice de mémoire de 10 minutes et un test logique de 2 heures et demie. Ceux qui surmonteront cette étape devront ensuite se confronter à la difficile épreuve de la piscine.

En 2020, 42 sera présent dans 14 pays et revendiquera 20 campus avec une prévision de 10 000 étudiants formés par le réseau en 2020 et 15 000 dans les 3 prochaines années contre 7000 actuellement. 

Plus concrètement, tous les campus partenaires utiliseront le même processus de sélection ainsi qu’un tronc commun ou socle de compétences et de connaissances fondamentales pour former de bons développeurs, le tout sous l’égide de 42 Paris, via une charte commune de pratiques et valeurs partagées. Mieux encore, ce nouveau réseau international qui devrait après 2020 s’enrichir de 10 nouveaux campus par an, prendra la forme d’un véritable hub d’innovation mondial. « Parce que dans un environnement numérique mondialisé, presque sans frontières, acquérir une expérience internationale est devenu indispensable », 42 encourage ainsi la mobilité des étudiants. Une fois les fondamentaux acquis, ces derniers pourront postuler dans n’importe quelle école du réseau, tout en continuant à bénéficier de la même pédagogie. Cela s’illustrera par la mise en place de projets intercampus leur permettant de « se confronter à des expériences permises jusqu’ici uniquement dans l’univers professionnel, comme par exemple des collaborations avec des partenaires issus de cultures de travail multiples et sur des fuseaux différents».

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Pouvoir de sanction de l’Arcep, Orange retire finalement sa plainte

Seulement trois semaines après avoir contesté le pouvoir de sanction de l’Arcep devant le Conseil d’Etat, Orange retire finalement sa question prioritaire de constitutionnalité.

S’estimant trop souvent dans le viseur de l’Arcep à l’heure où il investit et déploie la fibre à tour de bras, Orange a contesté fin août la légitimité de l’Arcep à sanctionner les opérateurs au nom du principe d’impartialité. Selon lui, l’absence de séparation au sein du régulateur entre les équipes en charge d’écrire la règle, de la contrôler et de sanctionner en cas de non respect, posait problème. L’Arcep n’avait pas manqué de répliquer en rappelant que les sanctions sont liées à son rôle de régulateur et à la volonté des élus avant que son président ne joue la carte l’apaisement avant-hier devant le Sénat.

Mais finalement, Orange a réculé. Selon les informations des Echos, l’opérateur historique va retirer sa question prioritaire de constitutionnalité  à suite de l’audition de son PDG, par le collège de l’Arcep hier après-midi.

Le quotidien rappelle qu’il y a 10 jours, Stéphane Richard, après avoir justifié son choix, a évoqué la possibilité de retirer sa QPC, en espérant en revanche un amendement législatif de  l’Etat pour modifier l’organisation de l’Arcep. Mais Bercy ne serait pas allé dans ce sens, au contraire, le Ministère aurait fait part de son mécontentent après des deux parties. Le régulateur garde donc son sifflet.

 

 

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Attaque d’une boutique Bouygues Telecom à la voiture bélier, des smartphones dérobés

Après trois hold-up recensés chez SFR en 2018, et un braquage dans une boutique d’Orange en août dernier, c'est au tour d'un magasin Bouygues Telecom d'être attaqué.

Direction Dunkerque, où ce mercredi très tôt dans la matinée des malfaiteurs ont utilisé une voiture bélier pour enfoncer la vitrine d'une boutique Bouygues Telecom, moins de 4 heures avant son ouverture. Dans la foulée, les auteurs de ce casse ont pénétré à l'intérieur pour s'emparer de nombreux smartphones, pour certains dépassant les 1000 euros. Si le montant du préjudice n'est pas encore connu, "des enquêteurs de la sûreté urbaine de Dunkerque se sont rendus sur les lieux du vol afin d’effectuer les premières constatations, relevant d’éventuelles traces d’empreintes, cherchant des indices", informe la Voix du Nord. Les individus ont pris la fuite à bord du véhicule, lequel a été retouvé calciné une demie-heure plus tard.

Photo : La Voix du Nord

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Free : vous le voulez où le prochain Free Center ? L’opérateur de Xavier Niel fait appel à ses abonnés

Un second Free Center va ouvrir ses portes à Nice ! Mais où ? A vos claviers !

Depuis fin 2018, Free met le pied sur l’accélérateur en matière de déploiement de son réseau de boutiques. S’il prévoyait au moins une centaine de Free Center à l’horizon 2014, l’opérateur de Xavier Niel en est aujourd’hui très loin puisqu’il dispose de 69 boutiques avec désormais 5 nouvelles ouvertures prévues prochainement.

Dans sa volonté de mieux quadriller le territoire, l’opérateur annonce ce matin l’implantation à venir d’une seconde boutique dans l’agglomération niçoise et comme il a pu le faire à Lyon très récemment, Free sonde actuellement sur Twitter les habitants de la région sur le meilleur lieu d’implantation, parmi deux propositions, à savoir “Jean Médecin”, grande artère commerçante au centre ville ou “Lingostière” en périphérie. 

 

 

 

 

 

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Canal + aurait fait basculer automatiquement 1 million d’abonnés vers des offres plus chères

Décidément, tout va mal pour Canal+ en France. En plus de perdre des abonnés, la filiale de Vivendi est soupçonnée de “ventes forcées” par Bercy.

En pleine traversée du désert dans l’hexagone, le groupe Canal+ continue de perdre des abonnés trimestre après trimestre. En 2019, 167 000 clients ont déjà résilié leur offre. Pire encore, l’hémorragie va continuer selon le président du conseil de surveillance de la filiale de Vivendi. Dans le rouge commercialement mais aussi financièrement avec un chiffre d’affaires en recul, Canal+ serait actuellement dans le viseur de Bercy selon les informations de La lettre A.

La raison, Canal+ aurait fait migrer automatiquement un million d’abonnés vers des offres plus onéreuses. Considérant ces pratiques commerciales comme “des ventes forcées”, le ministère de l’Économie et des Finances aurait ainsi saisi la justice. 

 

 

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Clin d’oeil : pulp diction, une première star hollywoodienne prête sa voix à Alexa d’Amazon

D'autres stars prêteront également leur voix en 2020 à Alexa !

Les interactions avec l'assistant virtuel d'Amazon, Alexa, pourraient bientôt devenir beaucoup plus divertissantes et cocasses. Vous connaissez certainement Samuel L Jackson (Pulp Fiction, Shaft ou Avengers), la star hollywoodienne devient la première voix de célébrité à intégrer Alexa.

"Cette fonctionnalité sera mise à la disposition des utilisateurs plus tard cette année moyennant des frais", a fait savoir le géant américain, le prix avancé est de 0,99 dollars pour les Etats-Unis. Cette volonté d'Amazon de répondre aux critiques d'utilisateurs jugeant la voix d'Alexa pas assez humaine, va se poursuivre puisque davantage de voix de célébrités seront ajoutées en 2020. Et pourquoi pas des stars françaises comme Marion Cotillard et Jean Dujardin ? On s'imagine déjà leur demander des blagues, des informations sur la météo, de régler des minuteries et des alarmes, de jouer de la musique, tout comme la voix de Samuel L Jackson le fera prochainement. Pour rendre tout ça possible, Amazon a utilisé une technologie de synthèse vocale (NTTS).

 

 

 

 

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Après avoir perdu 167 000 abonnés depuis le début de l’année, Canal+ annonce que l’hémorragie va continuer en France

Les trimestres se suivent et se ressemblent pour le groupe Canal+. La filiale de Vivendi continue d’assister en France à une fuite massive de ses abonnés aussi bien en auto-distribution qu’avec les partenariats noués avec Free, Orange et Bouygues. Mais que se passe t-il ? Pessimiste, le Président de conseil de surveillance de Canal+ s’est fendu de quelques explications.

Depuis le début de l’année, le groupe Canal+ continue de laisser des plumes dans l’hexagone avec une perte de 167 000 abonnés, soit 68 000 au deuxième trimestre. S’il cartonne à l’international où il continue de se développer, notamment avec le rachat du groupe M7 qui va lui permettre d’empocher 3 millions d’abonnés, la direction ne le nie plus, “c’est en France que nous rencontrons le plus de difficultés”, avoue dans une tribune parue dans Les Echos, le  président du conseil de surveillance de Canal+.

Affirmant que le groupe est toutefois “redevenu un fleuron national, présent sur l’ensemble de la chaîne de valeur des contenus audiovisuels : la création (avec StudioCanal), l’édition (avec les chaînes Canal+), l’agrégation et la distribution de ses contenus et de contenus tiers (sur l’ensemble de ses plates-formes)”, Jean-Christophe Thiery, explique pourquoi même réformé, Canal+ vacille dans l’hexagone : “même restaurée, la situation de Canal en France est celle d’une entreprise assiégée. Marchés et consommateurs ont des exigences nouvelles. Et sous la férule d’une concurrence forte et mondialisée, libre de toutes obligations vis-à-vis de la création française, Canal en France a revu toutes ses offres, baissé tous ses prix, réduit toutes ses charges fixes”.

Autrement dit, les arrivées des beIN, Netflix, Amazon, ou encore prochainement de Mediapro pour la Ligue 1 mais aussi des SVoD Disney+ et HBO Max, l’ont et vont l’impacter. S’il assure que la filiale de Vivendi “a eu le courage de faire face à cette nouvelle concurrence en se réformant”, le président du conseil de surveillance estime que ce mouvement d’intensification ne fait que commencer. Conséquences à l’avenir,  “d’autres départs d’abonnés se feront sentir, et le résultat français de l’entreprise va de nouveau se dégrader”, regrette t-il. Reste à savoir si le partenariat de distribution trouvé avec Netflix redonnera des couleurs commercialement à la filiale de Vivendi. 

Les chiffres du 2ème trimestre confirment en tout cas la tendance. Le portefeuille global d’abonnés du groupe en France comprenant les abonnés à la chaîne Canal+, à Canalsat et à Canalplay, est toujours troué, passant de 7,727 millions au 31 mars 2019 à 7,659 millions fin juin. Au total, pas moins de 68 000 clients se sont désabonnés au cours de l’exercice contre 99 000 au premier trimestre.

De leur côté les accords de distribution noués avec Free, Orange et Bouygues n’ont pas réussi à compenser cette perte, bien au contraire, ces derniers sont toujours dans le négatif malgré une stabilisation. Les recrutements dans cette catégorie accusent une perte de 8 000 abonnés au T2 contre 9 000 au T1  pour une base totale de 3,076 millions fin juin soit 17 000 abonnés évaporés sur le semestre.

Conséquence de ces mauvais résultats, le chiffre d’affaires de Groupe Canal+ recule inévitablement. Celui-ci s’établit à 2 518 millions d’euros au premier semestre, en repli de 2,2 % à taux de change et périmètre constants. Les revenus de la télévision en France métropolitaine reculent également en raison de la baisse du portefeuille global d’abonnés, malgré une nouvelle croissance du nombre d’abonnés à la chaîne Canal+ (près de 45 000 au cours des 12 derniers mois).

Alors que s’est-il passé pour Canal + ? “Justement rien”, répond amèrement Jean-Christophe Thiery. Selon lui,  “le « monopole » accordé à Canal, il y a trente-cinq ans, équilibré alors par les dispositifs en faveur de la création française, est mort depuis bien longtemps. Les obligations, elles, se sont accrues. La TVA appliquée à Canal est passée de 5,5 à 10 %, la fiscalité sectorielle du CNC s’est alourdie et Canal est taxé jusqu’à 7,25 % quand Netflix – zéro emploi en France – ne supporte qu’un taux de 2 %.” Sans parler de la question des droits sur les oeuvres financées où la filiale de Vivendi qui finance “quasi intégralement des oeuvres”, n’a pas le droit “de prendre les mandats à l’étranger et, qu’en France, il doit racheter après trois ans et demi de diffusion seulement”.

 

 

 

 

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Free Mobile prolonge son forfait “Série Free” mais baisse à nouveau la data incluse

Une semaine après avoir augmenté de 10 Go le volume de données de son forfait à 8,99€/mois, Free Mobile fait cette fois l’inverse en baissant l’enveloppe de data, de 60 à 50 Go. 

Retour à la normale. La “Série Free” de l’opérateur fait une nouvelle fois le yoyo. Free Mobile vient de faire évoluer son forfait intermédiaire, en réduisant la quantité de data incluse de data incluse de 10Go, comme il l’a déjà fait a plusieurs reprises. L’offre est par la même occasion prolongée jusqu’au 1er octobre.

Le reste du contenu de ce forfait sans engagement ne change pas. Intercalé entre les deux forfaits historiques de l’opérateur, il comprend pour 8,99€/mois pendant un an, appels, SMS et MMS illimités, désormais 50 Go en France métropolitaine et 4 Go/mois en roaming depuis Europe et DOM en 3G et 4G. A l’issue des 12 mois, les abonnés basculeront automatiquement sur le Forfait Free classique 100 Go à 19,99€/mois ou data illimitée à 15,99€/mois pour les abonnés Freebox.

 

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