Auteur : Maxime Raby

Free, SFR, Orange et Bouygues : les internautes se lâchent sur Twitter # 116

Aficionados de Twitter, les opérateurs français postent plus vite que leur ombre sur le réseau social. Et les internautes leur rendent bien ! Entre humour, désespoir et parfois satisfaction, voici un zeste du meilleur et du pire des tweets qui ont déferlé sur l’oiseau bleu cette semaine. 

 


 

La VOLTE est toujours attendue de pied ferme chez Free Mobile. Un abonné a tenté d’en savoir plus auprès de Xavier Niel. Toujours aussi accessible mais toujours aussi peu bavard en matière d’annonce !

 

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Bouygues Telecom continue d’augmenter automatiquement ses tarifs, un petit forfait est concerné

 

La pratique est légale mais dérange autant les abonnés concernés que les associations de consommateurs.

La hausse discrète et automatique des tarifs continuent chez les opérateurs, en particulier chez Bouygues Telecom. Depuis quelques mois, l’opérateurs informe ses abonnés à certains forfaits de la hausse prochaine du prix leur offre en l’échange d’un enrichissement, avec selon les cas la possibilité de refuser ou non ces modifications. Après l’annonce il y a quelques jours d’une augmentation à venir de 60% du prix d’un forfait, l’opérateur récidive une nouvelle fois. Des abonnés à un forfait B&You 2h 1Go reçoivent actuellement un mail de l’opérateur les prévenant d’une hausse tarifaire de 3€ à compter du 6 mars prochain moyennant une augmentation de 9Go de l’enveloppe de data incluse en France métropolitaine, soit un passage à 10Go. Les abonnés concernés peuvent refuser toutefois cette évolution avant le 6 juillet 2020 depuis leur espace abonné et ainsi conserver leur offre actuelle.

Pour sa défense, Benoît Torloting, Directeur général adjoint en charge des opérations Grand public chez Bouygues Telecom, a récemment justifié cette pratique certes légale, par le besoin d’investissements nécessaire pour proposer le meilleur service possible. ” A présent, nous pouvons effectivement être amenés à dire “pour avoir plus, il faut payer un petit peu plus cher”  a-t-il expliqué à nos confrères d’Ariase avant de revenir sur la manière de procéder de l’opérateur: “Nous vous proposons un bon deal. Nous allons vous ajouter telle chose dans votre offre, qui vaut normalement tel prix dans le catalogue, et que vous allez avoir à un prix plus bas. Mais si vous n’en voulez pas, vous ne le prenez pas” . Rappelons cependant que dans certains cas, le refus n’était pas possible et que les abonnés n’avaient alors que deux choix : accepter ou résilier.

 

Merci à @_mathkhel !

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Freebox TV : c’est fini pour Sundance TV

Comme prévu la chaîne payante de cinéma Sundance TV a cessé ce week-end sa diffusion dans l’hexagone.

Seul distributeur de Sundance TV dans l’hexagone , Canal+ a décidé ne ne pas continuer l’aventure en retirant la chaîne ce 8 février de ses offres. Par conséquent, cette dernière n’est plus diffusée sur les Freebox et les box des autres opérateurs.

Pour rappel, Sundance TV est une chaîne américaine axée sur les films indépendants et documentaires issus des festivals du monde entier. Appartenant à AMC Network International, celle-ci diffuse également des séries telles que « The Walking Dead », et plus récemment “Clique”. 

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Extinction du réseau cuivre d’Orange : l’Arcep entend jouer un rôle de garant pour éviter une bascule au détriment des utilisateurs

Le régulateur se félicite du chantier colossal dans lequel s’est lancé Orange, à savoir le démantèlement de son réseau cuivre durant la prochaine décennie. Mais l’enjeu est de taille. Le régulateur souhaite jouer un rôle de garant pour éviter tout dérapage.

La fin du réseau de cuivre de l’opérateur historique est actée : d’ici 2030, Orange prévoit une bascule de l’ensemble des abonnés vers la fibre. Le FAI arrêtera ainsi la commercialisation de nouvelles lignes dans environ 3 ans puis procédera à l’arrêt du cuivre progressivement par plaque. Le chantier a déjà commencé mais il est de taille. En parallèle, l’opérateur historique dans sa mission de délégataire du service universel, prévoit d’optimiser son réseau cuivre en France. L’opérateur envisage en revanche de “forcer” la transition vers la fibre en relevant les tarifs du cuivre lesquels sont régulés par l’Arcep, pour inciter ses abonnés à franchir le pas.

À cet égard, le régulateur se félicite aujourd’hui de la mobilisation d’Orange pour ce chantier inédit. Aux yeux de l’Arcep, “l’enjeu est maintenant de dessiner les contours d’une France de la fibre, pour créer les conditions d’une substitution totale, à terme, du réseau historique en cuivre par la fibre”.

Néanmoins, les enjeux autour de ce démantèlement “dépassent” Orange selon la police des télécoms qui “entend jouer un rôle de garant de cette bascule, pour  qu’elle ne se fasse pas au détriment des utilisateurs, tout en permettant au jeu concurrentiel très dynamique de continuer”.

Il s’agira en particulier de “s’assurer que les différents opérateurs ont les bonnes incitations pour que la bascule se fasse dans un calendrier adapté et qu’aucun utilisateur ne soit laissé de côté”, poursuit le régulateur.

Dans une interview accordée aux Echos, Sébastien Soriano a justifié hier cette nécessité de veiller au bon rythme du démantèlement. Un risque subsiste selon lui : “En toute hypothèse, Orange pourrait être incité à ne pas faire la bascule cuivre/fibre aussi vite qu’annoncé pour continuer à valoriser son réseau de cuivre. Cela aurait un surcoût qui serait payé par les opérateurs alternatifs et, in fine, le consommateur”. C’est aujourd’hui une évidence pour l’Arcep, avant d’éteindre une bonne fois pour toute le réseau cuivre, il faudra donc s’assurer que tous les clients ADSL aient bien tous un accès à des offres fibre. En attendant, l’Autorité de régulation demande à Orange de maintenir la qualité du réseau cuivre et de trouver un juste équilibre.

 

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Démarchage téléphonique : une nouvelle loi va contraindre Orange, Free, SFR et Bouygues à protéger leurs abonnés

Fraude aux numéros surtaxés, un projet de loi va obliger les opérateurs à les éradiquer. Ces derniers vont devoir faire preuve d’innovation selon l’Arcep.

L’Assemblée Nationale a examiné la semaine dernière en deuxième lecture le projet de loi sur le démarchage téléphonique, issu de l’échec de Bloctel. Diverses mesures, présentées fin janvier, vont ainsi être menées pour lutter contre les abus et les fraudes en la matière. Parmi elles, des dispositions pour rendre plus efficace la lutte contre l’usurpation de numéro d’appelant qui proviennent principalement de l’international et représentent une grande partie des nuisances subies par les consommateurs. Dans le viseur, les “ping calls”, soit des appels en absence incitant la proie à appeler un numéro surtaxé. Un frai fléau puisque cette pratique frauduleuse représenterait 44% des appels intempestifs d’après le député Christophe Naegelen, rapporteur du projet de loi sur le démarchage téléphonique.

D’après 01 NET, le texte prévoit ainsi d’interdire les opérateurs à acheminer ces communications. Mais aussi de leur permettre de couper le numéro et résilier leur contrat “sans préjudice” lorsqu’ils disposent “de suffisamment de signalements vis-à-vis d’un éditeur”. Il doivent également arrêter de reverser les sommes liées à ces services frauduleux.

Lors d’une conférence de presse ce matin, Sébastien Soriano, président de l’Arcep a commenté ce texte : « Nous changeons de logique. Jusqu’à maintenant la chaîne de responsabilités était diffuse. Désormais, les opérateurs vont avoir la responsabilité de protéger par défaut leurs clients », a t-il déclaré avant d’ajouter que Orange, Free, SFR et Bouygues “vont devoir faire preuve d’innovation. Ils pourraient, par exemple, mettre en place des algorithmes pour identifier des appels frauduleux. Certains d’entre eux disposent aussi déjà de systèmes de white et black lists. Nous les appelons à partager leurs bonnes pratiques ».

A noter que ce projet de loi encadre le démarchage téléphonique et l’autorise uniquement lorsqu’il y a un contrat entre une entreprise et un client. Il l’interdit en revanche dans le domaine de la rénovation énergétique. Son adoption est attendue au printemps 2020.

 

 

 

 

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Inclusion numérique : l’Etat débloque 30 millions d’euros pour former un million de Français, de nouvelles mesures en approche

Le gouvernement va injecter 30 millions d’euros supplémentaires dans le “pass numérique” annoncé en mars 2019. Objectif, former 1 millions de Français au numérique notamment pour les démarches administratives en ligne.

Favoriser l’inclusion numérique, plus qu’un enjeu, une nécessité. Aujourd’hui 13 millions de Français éprouvent de grandes difficultés à utiliser un ordinateur et internet. Sécurité sociale, chômage, impôts, taxe d’habitation, retraites ou encore les loisirs et la réservation de vols et d’hôtels, les démarches administratives en ligne sont au coeur de cette problématique. A l’occasion d’un déplacement aujourd’hui dans les Pyrénées-Atlantiques  le secrétaire d’État au numérique, Cédric O, révèle dans «La Croix» le déblocage d’une enveloppe de 30 millions d’euros pour former un million de personnes au numérique dans l’hexagone dès 2020.

« Nous avons trop longtemps pensé uniquement en termes de fibre et de réseau », poursuit Cédric O. Selon lui, la « politique numérique doit être granulaire », adaptée et cela commence par une bonne « cartographie des acteurs ». Pour ce faire, le gouvernement se doit “d’aider à bâtir l’architecture, soutenir les acteurs locaux qui connaissent le mieux les besoins “.

En mars 2019, l’Etat  a annoncé deux nouvelles mesures pour le désenclavement numérique, notamment le “pass numérique”. Ce dernier permet de “donner une capacité numérique à ceux qui en manquent” a expliqué le premier Ministre Edouard Philippe. Cet outil est testé depuis septembre dans une quarantaine de collectivités, il prend la forme d’un carnet de coupons. «D’une valeur de 50 à 100 €, il donne droit à une formation, ce qui est décisif pour ceux qui ont du mal à franchir le pas » explique dans les lignes du quotidien Gérald Elbaze, directeur général d’Aptic, la société émettrice des carnets.

Si le gouvernement a prévu initialement un apport de 10 millions d’euros au côté des collectivités pour financer le “pass numérique”, celui-ci va donc être davantage soutenu. Les quelques 30 millions d’euros débloqués y seront injectés, financés à parts égales par les collectivités territoriales et par l’État, explique La Croix.

Le secrétaire d’Etat au numérique doit également présenter aujourd’hui de nouvelles mesures autour de l’inclusion numérique. Cedric O devrait promouvoir le dispositif Aidants Connect testé depuis plusieurs mois. Celui-ci délivre un statut aux personnes venant en aide à d’autres dans leurs démarches en ligne.

Pour rappel, l’Etat a alloué l’année dernière une enveloppe de  100 millions d’euros dans le cadre du “guichet cohésion numérique”. L’objectif, est de venir en aide aux foyers les plus isolés via un chèque de 150 euros destinés à près d’1,5 million de ménages afin qu’ils puissent s’équiper d’une des technologies permettant d’avoir accès au très haut débit. Cette mesure doit permettre d’aider à atteindre les objectifs fixés par le président de la République, Emmanuel Macron, soit garantir d’ici à 2020 un accès au bon haut débit (8 Mbits/s) à tous les Français et le très haut débit pour tous dès 2022. 

 

 

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Orange s’associe à Bouygues Telecom et SFR pour créer Mobile ID, une nouvelle offre de services multi-opérateurs simple et sécurisée

Issue d’une collaboration inédite entre lOrange, SFR et Bouygues, Mobile ID est une solution “multi-opérateurs” nationale simplifiant et sécurisant les phases d’identification ou de création de comptes clients en ligne.

“Avec Mobile ID, les opérateurs s’offrent de limiter la fraude à l’identité, d’optimiser la création de comptes en ligne et de fiabiliser l’identification des utilisateurs, le tout grâce aux données qu’ils possèdent, dans le respect du consentement de leurs clients” résume Orange, un des acteurs moteurs de cette nouvelle solution dans l’hexagone.

Partant du postulat qu’en 2020 un internaute crée encore dix à vingt comptes client chaque année, l’opérateur constate que les parcours sont trop complexes ; “35 % d’achats sont abandonnés à cause de l’inscription en ligne, et le piratage des comptes reste l’une des principales voies de fraude”. Par conséquent, l’identification devient l’un des enjeux de la décennie pour l’expérience utilisateur.

“Face à des acteurs comme Apple ou Facebook, qui ne sont aujourd’hui pas en mesure de certifier l’identité de leurs utilisateurs, un opérateur comme Orange peut capitaliser sur des données fiables, vérifiées, et d’un haut niveau de complétude”, soutient l’opérateur historique.

 

Plus concrètement,  Mobile ID est une offre grand public mais aussi à destination des entreprises regroupant quatre produits : “Form ID pour remplir automatiquement un formulaire en ligne, Home Verify pour obtenir instantanément un justificatif de domicile, Match ID pour contrôler la cohérence des informations fournies par un utilisateur et Sim Verify pour gérer le risque lié aux fraudes à la carte SIM”.

Ainsi, l’utilisateur passera par trois séquences : l’identification, le consentement en conformité avec le RGPD, la récupération et le partage des données.

Frederic Reboulleau, Directeur produits Data et IA chez Orange, a notamment initié le projet dans le Groupe. Il explique : “Les deux enjeux étaient d’améliorer l’expérience client et de donner au client la confiance nécessaire pour partager ces données. Cela se traduit principalement dans les moyens d’authentification et de consentement. On ne peut pas prétendre simplifier la vie d’un utilisateur et lui demander un identifiant et un mot de passe, qu’il ne connaît pas la plupart du temps.”

Avec Mobile ID,  le client recevra un SMS avec un code d’identification quand il est connecté en Wifi et il est automatiquement authentifié sur le réseau opérateur lorsqu’il est sur son mobile en 3G/4G. En ce qui concerne la sécurité, “l’enrichissement par le réseau implique un cloisonnement de l’authentification, dédiée uniquement au partage des données afin d’éviter les malversations qu’une authentification générale rend possibles”, indique Orange.

Coopération avec Bouygues et SFR

Le développement de Mobile ID a été rendu possible grâce à un travail commun inédit entre opérateurs. “Cette technologie est déjà partiellement utilisée en Amérique du Nord. Nous nous sommes tournés vers des partenaires d’AT&T pour nous accompagner sur le continent européen. Une fois montés en maturité, nous avons démarché Bouygues Télécom et SFR afin de partager nos connaissances. Nous voulions entamer une collaboration pour faire émerger cette technologie. Car c’est là l’enjeu de Mobile ID, au-delà des défis techniques : évangéliser le marché. Pour cela, il fallait rassembler les acteurs et créer un écosystème”, confie enfin Frederic Reboulleau. L’opérateur historique  envisage également  de développer la technologie de Mobile ID ailleurs en Europe.

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La future chaîne 100% foot de Mediapro se dévoile un peu plus, “discussions avancées” avec Orange, Free, SFR, Bouygues et Canal+

Premier diffuseur de la Ligue 1 et de la Ligue 2 à compter de la saison prochaine, Mediapro lancera sa chaîne 100% foot le 25 juillet prochain et compte mettre le paquet en matière de distribution et d’innovation.

Le lancement de la chaîne 100% foot du futur diffuseur de 80% des matchs de Ligue 1 sur la période 2020-2024  se précise et ses contours se dessinent petit à petit. Julien Bergeaud, directeur général de Mediapro France a annoncé ce mercredi lors d’une conférence de presse  avoir déposé son dossier de demande de convention au Conseil Supérieur de l’Audiovisuel (CSA). Parmi les nouvelles informations, la chaîne sera bien entendu linéaire avec une diffusion 24/7 et disposera de huit canaux événementiels, avec des sessions de rattrapage ainsi que des magazines à retrouver toute la semaine. Le tarif indicatif est confirmé, il sera de 25€ par mois. Une offre particulièrement “attractive” selon le directeur général comparée aux prix actuels. Selon ses calculs, il faut aujourd’hui dépenser 49,90€/mois pour accéder à l’intégralité de la Ligue 1 et de la Ligue 2. Une date de lancement a également été dévoilée : « notre point de départ sera le 25 juillet avec notre premier match de Ligue 2. Nous sommes en train de finaliser certains détails. »

Côté diffusion, Mediapro ne change pas de fusil d’épaule et l’assure : “Nous serons distribués sur tous les distributeurs qui le souhaitent et nous allons également adresser tous les nouveaux usages, tous les terminaux, tous les moyens de diffusion en OTT.”

Pour le moment, le nouvel arrivant est en “discussions avancées” avec les distributeurs traditionnels à savoir Orange, Free, SFR, Bouygues et Canal+, mais aussi avec les GAFA. “Donc nous aurons certainement une distribution qui sera innovante par rapport à ce que vous avez pu connaître jusqu’à présent autour des chaînes de télévision sportive”, poursuit Julien Bergeaud.

Autre volonté, celle de magnifier le produit, le jeu et l’action. On le sait, Mediapro souhaite doubler le nombre de matches produits en 4K, avec des nouvelles caméras et des angles de vision totalement innovants. Ces dernières ” seront fixées en altitude, pour avoir une vision aérienne en totale immersion sur le jeu, mais aussi situées derrière les buts pour avoir une vision à 180 degrés”, précise enfin le directeur général de Mediapro France. Par ailleurs, les meilleures actions des affiches seront disponibles en multiview, et des statistiques précises seront accessibles en temps réel.

Reste également à connaître son nom, Mediapro a tenu à garder le secret pour le moment.

 

Source : Footmercato

 

 

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Free Mobile augmente temporairement la data de son forfait “Série Free”

C’est devenu une habitude, Free augmente une nouvelle fois le temps d’une semaine la data incluse dans son forfait “Série Free”. Les nouveaux abonnés ont désormais droit à 60 Go pour 9,99€/mois pendant un an.

L’offre “Série Free” de l’opérateur fait une nouvelle fois le yoyo. Jusqu’au 12 février prochain, Free Mobile augmente de 10 Go sa formule. Le reste du contenu cette offre sans engagement ne change pas. Intercalée entre les deux forfaits historiques de l’opérateur, celle-ci comprend pour 9,99€/mois pendant un an, appels, SMS et MMS illimités, désormais 60 Go en France métropolitaine et 4 Go/mois en roaming depuis Europe et DOM en 3G et 4G. A l’issue des 12 mois, les abonnés basculeront automatiquement sur le Forfait Free classique 100 Go à 19,99€/mois ou data illimitée à 15,99€/mois pour les abonnés Freebox.

A noter que l’opérateur de Xavier Niel applique une date de validité uniquement lorsqu’il gonfle la data de son forfait lancé en juillet 2018. Un retour à 50 Go est donc à prévoir mercredi prochain.

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Free officialise le lancement de ses offres fibre sur un RIP d’Altitude

Deux jours seulement après les premières détections, Free officialise le lancement de ses offres sur le RIP Numérique 66 dans les Pyrénées-Orientales.

Seulement un an après le début des travaux, “l’offre Fibre Free devient accessible pour les habitants du département des Pyrénées – Orientales desservis par le Réseau d’Initiative Publique (RIP) THD66, dans le cadre du projet Très Haut Débit”, annonce ce matin l’opérateur. Dans le détail, sont dès à présent éligibles aux offres FTTH de Free, 1 000 logements sur les communes d’Argelès-sur-Mer, Céret et Saint-Cyprien. Toutes les communes prochainement déployées par ce réseau d’initiative publique soit 190 au total, pourront également souscrire un abonnement fibre chez l’opérateur. 

Dans les Pyrénées-Orientales, les offres Fibre Free sont par ailleurs déjà accessibles sur plus de 82 000 logements déployés sur la zone AMII de Perpignan. 

Le 9 mars 2018, le département a signé avec Altitude Infrastructure  une délégation de service public du Réseau Numérique 66. Pour l’accompagner dans sa mission, Altitude Infrastructure a créé une société filiale THD 66 dont la mission est d’assurer la gestion et la commercialisation auprès des opérateurs ainsi que l’exploitation et la maintenance du réseau public. Pour rappel, Free et Altitude ont signé en juin 2018 un contrat cadre permettant à l’opérateur de lancer progressivement ses offres sur tous les RIP opérés par son partenaire.

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