Auteur : Maxime Raby

Free : le serveur de la Freebox Delta se met à jour

Avis aux abonnés concernés, Free commence à déployer un nouveau firmware du serveur de la Freebox Delta.

Estampillée 4.1.6, cette nouvelle version apporte une seule correction. Les déconnections intempestives rencontrées par de nombreux abonnés depuis l’année dernière sur les jeux en ligne quand ils sont connectés en Ethernet, sont désormais de l’histoire ancienne.

Pour bénéficier de cette mise à jour, il vous suffit de redémarrer votre Server.

 

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La 5G de Free Mobile flashée à près d’1 Gbit/s

Environ 5 mois avant le lancement des premières offres 5G grand public, un premier test de débit 5G de Free Mobile a été détecté sur Nperf. 

Une dizaine de jours après l’apparition des premiers tests 5G de Free Mobile sur la carte de nPerf, l’opérateur remporte le record du mois en matière de débits sur l’application de test de connexion 3G, 4G et 5G ou Wi-Fi.  

Depuis le siège social d’Iliad dans le 8e arrondissement de Paris où il teste depuis de nombreux mois la cinquième génération de téléphonie mobile, l’opérateur de Xavier Niel a atteint ce mois-ci un débit de 970,73 Mbits/s sur son réseau 5G, nous confirme nPerf.  Voilà enfin un premier aperçu de ce qui attend les abonnés prochainement.

 

Merci @ Leo_alex_

 

 

 

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Mutualisation des réseaux d’Orange et Free : de nouveaux détails révélés

 

Un protocole d’accord a dores et déjà été signés entre Free et Orange. Le duo souhaite partager leur réseau dans les territoires ruraux afin de réduire les coûts dans des zones à faible densité de population et donc peu rentables.

Orange et Free, en route vers une nouvelle idylle. Un accord de partage du réseau des deux opérateurs en zone rurale est actuellement étudié par l’Arcep, il s’agit en réalité selon La Tribune d’un “accord de mutualisation passive”. Plus concrètement, L’ex-trublion et l’ex-France Télécom désirent partager des pylônes ainsi que leurs coûts d’exploitation, en y installant leurs propres antennes. Coeur de cible de ce partenariat non-conclu pour le moment, la zone de déploiement prioritaire (ZDP) à savoir là où la couverture mobile est jugée mauvaise voire inexistante. D’après le régulateur, 18% de la population et 63% du territoire seraient concernés.

L’Arcep pousse Orange et Free à partager leurs réseaux en zone de déploiement prioritaire

Dans le cadre du New Deal, soit l’accord trouvé en janvier 2018 entre l’Etat et les opérateurs, Orange, Free, SFR et Bouygues sont dans l’obligation de consulter leur rivaux et sonder leur intérêt autour d’une mutualisation lorsqu’ils prévoient une implantation en ZDP.  De quoi irriter au plus point Orange dont la stratégie de différenciation pouvait alors selon lui, être mise à mal. Finalement, l’Arcep a calmé le jeu en proposant aux acteurs de lever cette obligation dans le cas où un opérateur formulait une offre de mutualisation passive dans cette zone à un concurrent.

Une manière pour l’Arcep de pousser Orange à se rapprocher de Free, estime le quotidien. Les dernières déclarations de Sébastien Soriano, président du régulateur, semblent le confirmer :  « Il y a une véritable asymétrie entre Bouygues et SFR d’un côté qui ont une partie de leur réseau en commun et Free qui le déploie seul », a t-il indiqué hier dans les lignes du Figaro. Cet idylle entre l’opérateur de Xavier Niel et de Stéphane Richard est également une façon de rééquilibrer le paysage français. Elle pourrait aussi leur permettre de réduire les coûts dans ces zones moins denses et moins rentables. Sans oublier que le déploiement de la 5G va leur demander un investissement colossal. A deux, c’est donc plus facile.

En mars dernier, Orange et Free ont ainsi signé un protocole d’accord de mutualisation, apprend-on. Les deux opérateurs ont par la suite demander à l’Arcep de faire sauter l’obligation de consultation préalable. La demande de Free diverge un peu puisqu’elle concerne une levée seulement pour les sites qui seraient construits avec Orange. 

Toujours d’après La Tribune, le régulateur a lancé de son côté une consultation publique autour d’une éventuelle surpression de l’obligation pour tous les opérateurs. Une décision devrait intervenir prochainement.

 

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Clin d’oeil : un des quatre grands opérateurs français aurait hésité à candidater pour l’attribution des fréquences 5G

Clin d’oeil – C’est le président de l’Arcep lui-même qui le dit !

Le régulateur a comme prévu dévoilé hier la liste des opérateurs candidats pour les enchères 5G. Sans surprise, Orange, Free, SFR et Bouygues ont déposer leur dossier de candidature. Mais l’un d’entre-eux a quelque peu tergiversé : « un opérateur a hésité avant de se lancer », a révélé hier Sébastien Soriano, président de l’Arcep dans les lignes du Figaro sans en dire davantage. De leur côté, les quatre opérateurs assurent ne pas avoir eu de moment de flottement, logique.

Car pas fréquences, pas de 5G, il est impossible d’imaginer Orange, Free, SFR ou Bouygues faire l’impasse étant donné les enjeux. Par ailleurs, aucun acteur tiers n’a sauté sur cette attribution pour se frayer un chemin sur le marché français. En tout cas, la bataille sur les fréquences 5G est lancée. Les enchères prendront place mi-avril et le régulateur attribuera le spectre en juin pour un lancement des premières offres 5G à partir de juillet.

 

 

 

 

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Un accord de mutualisation entre Free et Orange est à l’étude sur la 5G

A tour de rôle, Orange et Free se sont dits récemment favorables à une mutualisation des réseaux sur la 5G. Aujourd’hui, les deux opérateurs se font les yeux doux au point que l’Arcep est entrain d’étudier un accord.

Partage des infrastructures quand tu nous tiens ! A l’heure où la 5G est sur toutes les lèvres, mutualiser les réseaux en France apparaît comme une option évidente pour les opérateurs. Outre des investissements colossaux en perspective que ce soit au niveau des enchères qu’en terme de déploiement, Orange, Free, SFR et Bouygues devront par exemple installer trois fois plus d’antennes en zone rurale que pour la 4G s’ils désirent atteindre une couverture équivalente. 

La question d’une “mutualisation poussée se pose” alors sur les futurs réseaux 5G a fait savoir début février Stéphane Richard, PDG de l’opérateur historique, rejoint une semaine plus tard par Thomas Reynaud, directeur général d’Iliad/Free pour qui “mutualiser certaines infrastructures ferait beaucoup de sens et permettrait de rediriger des dépenses de génie civil vers des investissements à enjeux” tout en limitant l’impact environnemental des opérateurs.

Le régulateur étudie un accord de mutualisation entre Free et Orange

Si des réflexions étaient jusqu’à présent en cours entre les opérateurs selon Orange, un rapprochement semble s’opérer entre l’opérateur historique et Free. Selon Le Figaro,  le régulateur étudie actuellement un accord de mutualisation entre les deux opérateurs autour du partage de sites mobiles dans les zones rurales et de déploiement prioritaire.

De leur côté,  le duo ne confirme pas pour le moment l’existence de ce projet. Quoi qu’il en soit, la mutualisation semble inévitable aujourd’hui dans l’hexagone. C’est également une façon de rééquilibrer le paysage français d’après le président de l’Arcep : « Il y a une véritable asymétrie entre Bouygues et SFR d’un côté qui ont une partie de leur réseau en commun et Free qui le déploie seul », a ajouté Sébastien Soriano. Les prochains moins devraient être agités en matière d’annonces !

Le souhait d’Orange de seulement collaborer avec Free

En plein débat sur une consolidation dans le secteur, Stéphane Richard avait déjà laissé entendre la possibilité d’une future idylle avec Free en juin 2018. Prenant exemple sur SFR et Bouygues qui partagent leurs réseaux, le PDG a assuré que si une collaboration venait à voir le jour prochainement, ce serait avec celui de Xavier Niel.

Les deux opérateurs ont déjà un contrat d’itinérance 2G/3G en cours qui arrivera à échéance en 2020. Un accord du mutualisation sur la 4G était il y a deux ans dans les tuyaux mais le  projet est visiblement tombé à l’eau. Il comprenait un partage des pylônes d’Orange et la co-construction de milliers de sites en zones rurales. Alors pourquoi pas cette fois-ci sur la 5G ?

 

 

 

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L’implantation d’une antenne-relais Free Mobile, une histoire sans fin

Après un long combat face à une commune, Free commence enfin les travaux d’implantation d’une antenne-relais. Mais élus et riverains sont toujours mobilisés.

L’espoir fait vivre, la mobilisation continue pour un collectif de Aix-Noulette dans le Pas-de-Calais où l’implantation d’une antenne-relais Free Mobile sème la zizanie également chez les élus.

A la suite de plaintes, environ 25 lettres de recours d’habitants, le maire a décidé de déposer un arrêté le 10 mai 2019 et ce après avoir donné son feu vert 5 mois plus tôt  à l’installation d’un pylône de 25 mètres de haut de l’opérateur sur un terrain privé au centre-ville.

La goutte d’eau qui fait déborder le vase pour Free Mobile

C’en fut trop pour Free Mobile qui tente d’implanter son antenne dans la commune depuis 2017, et s’est d’ailleurs déjà heurté à un premier refus avant de changer d’emplacement. L’opérateur a finalement pris la décision d’attaquer en octobre dernier l’arrêté devant tribunal administratif, l’estimant illégal. Free a pourtant tenter de trouver une solution et a envisagé un recours gracieux mais face à l’absence de réponse de la municipalité ,une procédure contentieuse était inévitable.

Free Mobile a commencé les travaux

Depuis l’arrêté a été suspendu par ordonnance au tribunal administratif, rapporte aujourd’hui La Voix du Nord. La municipalité a saisi à son tour la juridiction de premier ressort mais cette dernière n’a toujours pas tranché. La procédure n’étant pas suspensive, Free a donc débuté ses travaux.

Ce futur pylône sera être visible de l’église de la commune, ce qui selon la municipalité et les riverains réfractaires au projet, ne respecterait pas le Plan local d’urbanisme. En cause également et cela devient une habitude, la pollution visuelle et l’impact des ondes sur la santé.

La commission de concertation sur les antennes-relais votée l’année dernière par le conseil municipal, pourrait être saisie. Le collectif devrait une nouvelle fois grincer des dents prochainement, un projet d’implantation d’antenne de Bouygues Telecom est à l’étude. Une histoire sans fin…

 

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Fibre optique pour tous en 2025, “verre à moitié vide ou verre à moitié plein” ?

Le nouveau cahier des charges du gouvernement pour une France totalement fibrée en 2025 calme la colère récente de l’Avicca mais il faudra faire mieux en termes de cohésion.

La suite du Plan THD à savoir la généralisation de la fibre sur tout le territoire d’ici 2025 prend forme, de quoi rassurer en partie les associations de collectivités, récemment en grogne face au rabotage initial de l’Etat. Le gouvernement a dévoilé la semaine dernière un nouveau cahier des charges avec quelques assouplissements pour le financement des réseaux d’initiative publique tout en annonçant finalement injecter 280 millions d’euros. 

Doit-on dès lors voir “le verre à moitié vide ou à moitié”, s’interroge aujourd’hui en réaction l’association des collectivités engagées dans le numérique. Côté réjouissance, l’Avicca se félicite des engagements pris par le gouvernement. L’enveloppe débloqué par l’Etat à savoir 140 millions d’euros déjà disponibles (reliquat du Plan THD) et 140 millions supplémentaires qui le seront probablement dans les prochaines années, “permettront d’accompagner financièrement les départements qui n’ont pas encore enclenché toutes les phases de leurs déploiements 100% FttH, sur fond d’extinction programmée du réseau de cuivre”, indique l’association. Et d’ajouter : “ En cessant de puiser dans les 3,3 milliards d’€, initialement dévolus par les gouvernements Sarkozy et Hollande aux seules subventions de RIP, pour subventionner les seuls opérateurs privés, le gouvernement semble enfin changer de stratégie.”

Suites du Plan France THD : toujours pas de cohésion en vue

Reste que l’annonce de la réouverture tant espérée du guichet THD à destinations de 25 départements le 20 février dernier par communiqué de presse du Ministère de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales, laisse dubitative l’Avicca qui note toujours un réel manque de cohésion. Son appréciation est toute autre à ce sujet : ” L’État a certes amendé, à la marge, ses propositions de décembre. Mais en dehors de ces trop rares adaptations certes bienvenues (simplification de la procédure de dépôt, retour à 100% des prises FttH éligibles), l’Avicca ne peut, une nouvelle fois, que porter haut et fort la voix des relégués numériques actuels et futurs qui devront financièrement supporter le désengagement de l’État.”

Si le gouvernement entend par là « réouverture du Plan France THD », “alors le verre est bien à moitié vide et cette coupe est amère”, prévient l’Avicca dont le conseil d’administration appelle à l’unanimité “à poursuivre ses travaux pour obtenir un véritable traitement numérique équitable des Français et soutenir les territoires les plus fragiles.”

 

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Orange, Free, SFR et Bouygues : “le meilleur et le pire des opérateurs” selon 60 millions de consommateurs

60 millions de consommateurs dévoile son classement des meilleurs opérateurs mobiles et FAI actuels. Orange et Bouygues arrivent en tête, Free déçoit mais devance SFR.

Quatre ans après sa dernière enquête, 60 millions de Consommateurs remet le couvert. A l’heure où les opérateurs mettent en avant la qualité de leurs réseaux, la rapidité de leur connexion autant sur les box que sur le mobile, tiennent-ils toutes leurs promesses ? Afin de répondre à cette question, l’association de consommateurs dévoile sans version papier, une nouvelle enquête évaluant le niveau de satisfaction de plus de 2000 abonnés vis-à-vis des quatre grands opérateurs mais aussi des marques Sosh et Red By SFR.

Premier enseignement, “il y a du mieux mais aussi du moins bien”, note 60 millions de Consommateurs. Au top il y a quatre ans, Free dégringole à l’avant dernière place au général. “Les notes de satisfaction que lui attribuent ses abonnés à un service mobile (7,9/10) et ses abonnés à une ligne fixe (7,47/10) sont en-dessous des moyennes, tous opérateurs confondus. La faute notamment à une connexion à Internet décevante et à un service client jugé moins efficace que ceux de la concurrence”, révèle l’enquête. 

Orange et Bouygues en tête sur le mobile, SFR en queue de peloton

Pour déterminer son classement sur le segment du mobile, l’association a établi un barème spécifique. La satisfaction des abonnés (30 %), la qualité des services mobiles (40 %) mais aussi les contacts avec l’opérateur (30 %) à savoir le service client , la souscription à une offre et la résiliation. A ce jeu là, Orange et Bouygues tiennent le haut de pavé avec une notre globale de 15,5/20. L’opérateur de Martin Bouygues progresse significativement et se démarque sur la qualité de ses services et notamment son service après-vente (SAV). 

Avec une note globale de 14,5/20, Free s’adjuge la troisième place et pêche sur la qualité de service de ses offres mobiles avec une satisfaction moindre sur la disponibilité de son réseau et la qualité de connexion. 

Bon dernier, SFR (14/20) est notamment impacté par son service client. En 2017, l’association de consommateurs lui avait d’ailleurs décerné son “cactus d’or” pour avoir « pourri » la vie de ses clients.

Sur les box, “les coupures internet trop nombreuses chez Free et SFR”

Premier constat en matière de satisfaction sur le fixe, la qualité de la connexion des Livebox et Bbox à savoir la qualité de l’utilisation d’internet et la qualité des images TV et en streaming, permettent aux deux opérateurs de se démarquer avec une note de 14/20.

Sur ces indicateurs, Free et SFR sont en retrait, l’opérateur au carré rouge “décrochant même les notes les plus basses sur le temps de chargement des fichiers  ou des vidéos en streaming . En revanche, sa marque Red est légèrement mieux notée sur tous les critères”, poursuit l’enquête. Chez Sosh, la satisfaction globale est également plus élevée que chez Orange.

Du côté des coupures internet, l’opérateur historique et Bouygues s’en sortent le mieux. En revanche, chez Free et SFR, “elles se révèlent beaucoup plus nombreuses chez Free et SFR, avec respectivement 16 % et 14 % des abonnés disant subir des interruptions de service « régulièrement » voire « souvent ».

Le service client de SFR et les résiliations difficiles dans le viseur 

Autre enseignement, le service client de SFR est également à la peine sur le fixe. Parmi les mauvais points, “le temps d’attente moyen avant de pouvoir surfer à très haut débit est de 49 jours chez le FAI (contre 21 à 27 jours chez les concurrents), mais, une fois le technicien sur place, 19 % des candidats ont dû faire face à des difficultés de raccordement”, fait remarquer 60 millions de Consommateurs.

Ici encore, les abonnés interrogés n ‘étaient pas au bout de leurs sur prises puisque près d ‘un sur cinq (18 %)a rencontré des difficultés pour résilier son offre, et même un sur quatre chez SFR qui,

Méthodologie

Réalisée entre le 23 octobre et 5 novembre 2019 par le centre d’essais comparatifs de  de 60 Millions de Consommateurs, cette enquête a permis de sonder 2 209 abonnés, disposant au moins d’une offre Internet ou d’un forfait de téléphonie mobile. Un questionnaire de 70 items portant sur leur satisfaction vis-à-vis de leur opérateur, leur a été soumis.

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Free : incident en cours sur le réseau de l’opérateur, plusieurs régions touchées

Depuis environ environ 1h30 du matin, une partie du réseau fixe Free est hors service. Selon Free-reseau.fr, 188 DSLAMs ne sont pas actuellement joignables sur le territoire et notamment en Ile-de-France.

Les abonnés concernés n’ont plus de connexion et n’ont donc plus accès aux différents services de la Freebox. Le réseau Free Mobile peut également être impacté par cet incident sur les zones concernées. Parmi les régions les plus touchées, l’Ile-de-France et plus particulièrement Paris, les Hauts-de-Seine et la Seine-Saint-Denis.

Des incidents sont également localisés en Auvergne-Rhône-Alpes (Isère, Rhône, Puy-de-Dôme) mais aussi dans Sud ( Alpes-Maritimes et Bouches-du-Rhône), ou encore en Gironde et en Normandie.

Pour le moment, il n’y a pas d’information concernant la cause du problème ni le délai de rétablissement des services, mais pour ce genre d’incident impactant, la résolution est généralement rapide.

A l’heure où nous écrivons ses lignes, voici la liste des DSLAMs injoignables depuis environ 7 heures et 45 minutes  :

bar06-1 bau06-1 crr06-1 gou06-1 mir06-1 ax113-1 ax213-1 ax313-1 cav13-1 fer13-1 jol13-1 men13-1 nap13-1 pra13-1 sju13-1 slo13-1 gam14-1 lya14-1 ven14-1 bon31-1 gar31-1 laf31-1 lan31-1 min31-1 mir31-1 pur31-1 aqu33-1 bas33-1 bdn33-1 cau33-1 che33-1 eys33-1 mac33-1 mek33-1 mal35-1 sud35-1 vil35-1 mut38-1 mut38-2 pas38-1 pas38-2 vig38-1 cam44-1 glo44-1 lgp44-1 mar44-1 xbn44-1 c5z45-1 g5m45-1 gbc45-1 hbb45-1 sat50-1 ble59-1 boi59-1 can59-1 hel59-1 pon60-2 auz63-1 bac69-1 bac69-2 cxr69-1 cxr69-2 gai69-1 lal69-1 mne69-1 mne69-2 mon69-1 par69-1 par69-2 ril69-1 tok69-1 tok69-2 tri69-1 vai69-1 vil69-1 vil69-2 8cm70-1 aut75-2 bdv75-2 bne75-2 bob75-2 car75-2 cev75-2 dan75-2 did75-3 did75-4 men75-2 mna75-2 mna75-3 mon75-3 nor75-11 nor75-15 nor75-17 pas75-1 pha75-3 pha75-4 pro75-1 ras75-2 rke75-2 seg75-2 ter75-1 tui75-2 vau75-2 vol75-3 gqp76-1 roa76-1 roa76-2 rob76-1 sek76-1 thr83-1 rhh87-1 bgn92-1 bgn92-2 bny92-1 bny92-2 cha92-2 cha92-3 cla92-1 cla92-2 gen92-1 gre92-1 gre92-2 lon92-1 lon92-2 mar92-1 mar92-2 mar92-3 mic92-1 mic92-2 mic92-3 mol92-1 mol92-2 nan92-1 nan92-2 ney92-1 ney92-2 per92-1 per92-2 put92-2 rob92-1 rob92-2 bdy93-1 bdy93-2 bgl93-1 bny93-1 bny93-2 cou93-1 fla93-1 mtl93-1 mtl93-2 nsg93-1 nsg93-2 pla93-1 rny93-1 rny93-2 std93-1 std93-2 sto93-1 vil93-1 vil93-2 alf94-1 alf94-2 alf94-3 bos94-1 cac94-1 cac94-2 cho94-1 cho94-2 chy94-1 cpy94-1 cre94-1 dag94-1 fny94-1 fny94-2 gra94-1 gra94-2 ivr94-1 ivr94-2 ram94-1 ram94-2 vit94-1 vit94-2

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C’est officiel, Bouygues signe un partenariat d’1 milliard d’euros avec Cellnex pour fibrer ses sites mobiles

C’est fait, Bouygues Telecom a trouvé son investisseur pour l’exécution de son projet “Saint-Malo”. L’opérateur vise à déployer une infrastructure nationale de fibres optiques “pour répondre à la croissance des usages data sur ses réseaux“ avec pour objectif de relier pylônes et noeuds de raccordement optique en fibre mais aussi de proposer des offres FTTH aux entreprises a t-il annoncé la semaine dernière lors de la présentation de ses chiffres annuels.

Création d’une société commune dont Bouygues et actionnaire minoritaire

En négociation depuis plusieurs semaines  avec “un partenaire” pour déployer l’infrastructure, la commercialiser et en gérer l’exploitation, le tout dans le cadre d’une coentreprise , Bouygues annonce ce matin la signature d’un accord stratégique avec Cellnex, principal opérateur d’infrastructures de télécommunications sans fil en Europe.

Dans le détail, les deux acteurs deviendront bel et bien partenaires d’une société nouvellement constituée (51% Cellnex, 49% Bouygues Telecom). Sa mission, déployer un réseau national de fibre optique en France pour fournir une connectivité mobile et fixe par fibre et notamment accélérer le déploiement du réseau 5G de l’opérateur français.

Un réseau fibre optique de 31 500 km pour Bouygues Telecom

L’investissement prévu jusqu’en 2027 s’élève à 1 milliard d’euros, lequel sera utilisé pour déployer un réseau de 31 500 km au maximum, interconnectant les toits et tours de télécommunications desservant Bouygues Telecom – dont 5 000 appartiennent et sont exploités par Cellnex – avec le réseau de data centers (Edge Computing).

Le directeur du réseau Bouygues Télécom, Jean Paul Arzel se félicité de ce nouveau partenariat qui selon lui “offrira de grandes opportunités pour accroître la capacité de notre réseau fixe et mobile grâce à une infrastructure de fibre optique à haute performance, et accélérer notre déploiement 5G. Développer également de nouveaux services pour nos clients B2B et continuer à offrir une excellente qualité de service à tous nos clients.”

Une fois le réseau fibre entièrement déployés, l’EBITDA généré par la nouvelle société devrait s’élever à 80 millions d’euros, précise un communiqué. L’acquisition de 51% de la société par Cellnex et les investissements envisagés “seront financés principalement par des apports du groupe espagnol via des fonds propres et un prêt d’actionnaires, des financements bancaires et des cash-flows générés par la société elle-même“.

Bouygues Telecom sera le locataire phare de la nouvelle société, avec laquelle il va signer un contrat de 30 + 5 ans. En conséquence de cet accord, le carnet de commandes de Cellnex sur les ventes futures contractées augmentera de 4 milliards d’euros pour atteindre 44 milliards.

 

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