Auteur : Maxime Raby

Inarrêtable, Free va lancer une seconde vente privée dès demain

Après avoir lancé hier une promo Freebox sur Veepee, Free va récidiver dès demain en dégainant une nouvelle offre mobile avec smartphone offert.

Les opérations séduction se multiplient chez les opérateurs et notamment chez Free pour conquérir les abonnés. Depuis le début du déconfinement, l’opérateur de Xavier Niel a déjà lancé deux offres promotionnelles sur Veepee. La première sur le mobile s’est terminée lundi matin, la seconde lui a très vite emboîté le pas. Lancée hier, il s’agit d’un abonnement Freebox Révolution avec TV by Canal à 9,99€ pendant un an.

Mais jamais deux sans trois dirait l’autre. Free continue en effet aujourd’hui sur sa lancée avec une nouvelle vente privée mobile en approche, son lancement est prévu demain à 19h sur le site d’e-commerce. Il s’agira comme à l’accoutumée d’un forfait 100 Go avec un smartphone offert (engagement de 24 mois). Côté prix, il faudra débourser 19,99€/mois ou à 9,99€/mois pendant un an en fonction de la gamme du mobile associé. 

Free Mobile a donc à coeur d’attirer de nouveaux abonnés à l’heure où ses concurrents se montrent de plus en plus agressifs sur les promos après un ralentissement général enregistré en matière de recrutements à la fin du 1er trimestre et lors de la première moitié du second trimestre, crise sanitaire et fermeture des boutiques obligent. Hyperactif, l’opérateur de Xavier Niel vient également de lancer une nouvelle “Série Free” 80 Go sur son site internet, à 10,99€ pendant un an. C’est certain, la bataille des promos bat son plein.

 

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Clin d’oeil : le Canard Enchaîné ironise sur Martin Bouygues et son appel à un report de la 5G

La volonté soudaine de Martin Bouygues d’un report de la 5G, du pain béni pour  pour le palmipède.

Fidèle à lui-même , le journal satirique s’est fendu hier dans ses pages d’une analyse aussi moqueuse qu’ironique . Dans son viseur, le PDG de Bouygues Telecom et sa tribune dans les colonnes du Figaro.

” Le 23 mai , Martin Bouygues a pris sa plus belle plume pour demander le report jusqu’à 2021 des enchères d’attribution des fréquences 5G”, s’amuse le Canard Enchaîné. Selon lui, il y a de quoi puisque ni le gouvernement, ni l’Arcep n’étaient au courant, la méthode a d’ailleurs été jugée étonnante par le président du régulateur.

Pour autant, les déclarations de Martin Bouygues n’ont rien de surprenantes pour le palmipède. Les enchères 5G vont rapporter à l’Etat au minimum 2,17 milliards d’euros.“L’Etat a besoin d’argent ? Martin Bouygues aussi . Le Covid-19 a mis sa branche BTP sur le carreau. Malgré les audiences record de TF1, la pub ne paie plus . Il lui faut donc retrouver des marges”, canarde le journal.  Heureusement, le pédégé peut compter sur les performances financières et commerciales de sa filiale telecom mais il se porterait encore mieux s’il pouvait éviter des investissements colossaux en particulier sur le cas Huawei.

Car pour l’heure, le flou persiste toujours autour de l’autorisation du gouvernement d’utiliser les équipements du géant chinois sur la 5G. En cas de refus, Bouygues SFR seraient dans l’obligation de remplacer leurs antennes 3G et 4G pour des raisons de compatibilité, près de la moitié étant équipée par l’équipementier. Les sommes à débourser seraient alors énormes.

Un autre argument exposé par Martin Bouygues pour un report des enchères 5G, titille le Canard Enchaîné, celui de prendre le temps de la pédagogie et de la conviction au vu du contexte actuel. “Il suffit de regarder le débat public pour constater que la 5G suscite aujourd’hui bien plus de méfiance et de scepticisme que d’engouement et d’enthousiasme. On assiste même à une montée inquiétante des thèses complotistes expliquant que la 5G aurait un rôle dans la diffusion du coronavirus! Toujours est-il que, partout en Europe et notamment en France, les dégradations criminelles d’antennes mobiles se multiplient” a t-il expliqué. Ce à quoi le journal satirique répond : “Martin Bouygues dans les habits du défenseur des sans culottes gauchos-écolos . . . c’ est assez culotté”.

 

 

 

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Malgré l’opposition, Free Mobile réussit à installer une antenne 700 MHz

 

Près de 15 mois après son autorisation, une antenne Free Mobile voit le jour dans une commune d’environ 5000 habitants. Les riverains réfractaires devront s’y faire.

En cas d’opposition, collectifs ou municipalités ont parfois gain de cause obligeant Free Mobile et ses rivaux à changer de lieu d’implantation. A Lion-d’Angers, une commune située dans le Maine-et-Loire, l’opérateur de Xavier Niel a tenu bon. Début mars, il a installé sur un terrain de 39 000 m², un pylône de 36,90 mètres de haut supportant 3 antennes dont l’une dans la bande 700 MHZ si chère à l’opérateur, logique puisque 90% des sites 4G de Free Mobile sont aujourd’hui équipés de cette fréquence. La portée de cette installation est de 2 à 3 km.

© L’Impartial

Si le confinement a bousculé le calendrier de sa mise en service, sa sortie de terre n’a pas été de tout repos pour l’opérateur, lequel a dû composer avec l’opposition d’un collectif de riverains “Sauvons nos enfants des ondes” depuis plus d’un an. Une réunion publique a même été organisée en présence de la sous-préfète afin de trouver une solution. Une cinquantaine d’habitants réfractaires se sont entretenus avec un représentant de Free Mobile, présent sur place pour tenter de les rassurer en particulier sur l’émission d’ondes de cette antenne, mesurée à 1 volt par mètre soit cinq fois en deçà du seuil autorisé, un projet respectant par la même occasion le Plan local d’urbanisme et autorisé par la mairie depuis début 2019.

Pas vraiment de quoi apaiser les craintes des administrés regrettant alors l’absence d’information préalable et de concertation pendant, sans parler des inquiétudes récurrentes sur la santé et la dévalorisation de leurs habitations. Leur souhait d’un changement de lieu d’implantation dans une zone moins habitée et leur pétition de 350 signatures n’ont finalement pas été entendus, rapporte Actu.fr. Cette antenne de Free Mobile est la quatrième dans la commune, en plus de celles d’Orange, SFR et Bouygues.

 

 

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Ticket SMS : les abonnés Free Mobile peuvent désormais “voyager stylés” dans trois nouvelles villes

Le ticket SMS poursuit son déploiement partout en France, les abonnés Free Mobile peuvent désormais l’utiliser à Lyon, Reims et Quimper.

Voyager en toute tranquillité sans se soucier d’avoir l’appoint de monnaie. Après, le Havre, Rouen et Caen, c’est au tour de Lyon, Reims  et Quimper de rendre le ticket SMS accessible aux abonnés Free Mobile.

Dans la ville Lumière, le titre SMS est uniquement disponible sur le réseau de bus TLC, venant ainsi pallier la suspension de la vente à bord dans les bus. Le principe est simple, il suffit d’envoyer ‘Bus” au 93030, 1,90€ sera alors prélevé directement sur la facture mobile. Les voyageurs des réseaux Cars du Rhône et Libellule pourront également bénéficier de ce nouveau service à partir du mois de juin. Tant pis pour  les voyageurs dans le métro et le tramway.

 

A Reims dans le Grand-Est, le ticket 1 heure par SMS est également disponible depuis mercredi chez Free Mobile sur l’ensemble du réseau Citura (bus et Tramway), via le service Mobitick lancé en 2018. Encore une fois, rien de plus simple : le voyageur reçoit son ticket par SMS au prix de 1,60€ après avoir envoyé « 1H » au 93093. Pas besoin d’application, ni de rentrer ses coordonnées bancaires. Une fois acheté, le ticket SMS vous permet de “voyager stylés”, au revoir au titre individuel classique.

 

Et ce n’est pas tout puisque les abonnés Free Mobile vont pouvoir aussi profiter de cette technologie à Quimper dans le Finistère dès le 2 juin. L’objectif est toujours de faciliter l’achat de titre de transport tout en respectant au maximum les mesures et gestes barrières. Le ticket SMS (1€50) sera disponible sur l’ensemble du réseau de transport en commun QUB. 

 

 

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Les anciens abonnés Freebox Delta peuvent désormais revenir chez Free et utiliser leur Player Devialet

Free permet désormais aux ex-abonnés Freebox Delta de revenir chez l’opérateur. De quoi profiter à nouveau pleinement de leur Player Free-Devialet et des services associés.

Chose promise, chose due. Free s’est penché fin 2019 sur le cas des abonnés Freebox Delta ayant résilié leur offre avant de vouloir revenir chez l’opérateur. ”Pour un ré-abonnement, comme pour un abonné qui achèterait un Player Devialet d’occasion, il est à ce jour impossible de relier un Player à un autre Server que celui d’origine ” , a alors expliqué un développeur Freebox.

Depuis plusieurs mois, le projet est en travaux. Rien d’impossible techniquement pour les développeurs mais beaucoup de fil à retordre pour le service marketing. Il a fallu élaborer une offre spécifique de retour uniquement accessible aux ex-abonnés propriétaires du Player et non aux acquéreurs de boîtier d’occasion, avant de développer notamment une automatisation en matière de rattachement.

Ainsi que le rapporte notre confrère Busyspider, c’est désormais une réalité, les anciens abonnés Freebox Delta peuvent à nouveau s’abonner chez Free et continuer de profiter de leur boîtier TV en souscrivant dans un premier temps à une offre Delta S, qui n’est autre qu’un abonnement comprenant le serveur de la box haut de gamme de Free sans la partie TV.

L’information nous a été confirmée par Free qui nous a indiqué qu’une fois abonné à la Delta S, il faudra faire la demande de migration auprès du service client de l’opérateur au 3244. Il vous sera alors demandé l’adresse MAC de votre Player Devialet ainsi que celle de son Freeplug, pour basculer sur un abonnement Freebox Delta classique et ainsi retrouver tous les services inclus comme Netflix et Amazon Prime. 

 

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En images : l’installation spectaculaire d’une antenne 4G par Free Mobile en pleine montagne

Installer un pylône en montagne par héliportage, c’est toujours impressionnant.

Au ralenti pendant le confinement, le déploiement des réseaux 4G reprennent de plus belle chez les opérateurs. Parfaite illustration, Free Mobile a réalisé une intervention de haut vol le 14 mai dans le cadre du New Deal avec son partenaire SPIE, à savoir l’installation par héliportage d’un pylône au Casset, un village des Hautes Alpes situé dans le massif des Ecrins. L’occasion pour Thomas Reynaud, directeur général de la maison-mère de Free de mettre en exergue le travail des équipes.

 

Si le New Deal mobile a déjà apporté des améliorations concrètes aux citoyens dans les zones rurales, avec une meilleure couverture et un débit internet multiplié par deux  en un an, certains objectifs  s’annoncent compliqués à tenir pour Orange, Free, SFR et Bouygues malgré leur mobilisation. La crise sanitaire les a coupé dans leur élan avec son lot de difficultés (approvisionnement produits métalliques, fermeture des constructeurs etc). Sur les 1300 sites identifiés fin 2019 dans le cade du dispositif de couverture ciblée, 485 sont à construire d’ici le 27 juin prochain. Au total 93 supports ont été mis en service fin mars contre 26 en décembre dernier. D’après la Fédération française des télécoms, 151 autres sites étaient prêts à être activés mi-avril. En attendant de savoir si les telcos vont rentrer dans les clous, les déploiements se poursuivent, parfois de manière spectaculaire.

 

 

 

 

 

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La CNIL donne son feu vert à StopCovid, l’application pourrait être lancée dès ce week-end

 

Avant dernière étape de franchie pour StopCovid, la CNIL vient de donner son feu vert malgré des améliorations à apporter. Le parlement doit encore se prononcer mercredi et jeudi. En cas d’approbation, l’application pourrait être disponible ce week-end sur Android et iOS.

Considérée comme un geste barrière supplémentaire en complément du dispositif global, l’application StopCovid est sur la rampe de lancement deux mois après l’annonce du projet par le secrétaire d’Etat au numérique. Cédric O s’est dit hier prêt à déployer dès ce week-end cet outil de traçage permettant d’informer une personne d’un contact avec un individu diagnostiqué positif au Covid-19 dans les jours précédents. Reste que l’application doit être présentée demain à l’Assemblée Nationale et jeudi au Sénat. “Cela étant dit, si le Parlement devait s’opposer au déploiement de StopCovid, l’application ne serait pas déployée”, a fait savoir hier le secrétaire d’Etat dans une interview accordée au Figaro. C’est l’étape ultime pour l’application qui depuis plusieurs semaines fait couler beaucoup d’encre en matière d’utilité et de protection de la vie privée.

La CNIL dit oui à StopCovid

“Raisonnablement confiant”, Cedric O peut depuis ce matin s’appuyer sur la CNIL. La Commission nationale de l’informatique et des libertés vient en effet de rendre un avis favorable à son déploiement. 

“L’application utilisera des données pseudonymisées, sans recours à la géolocalisation, et ne conduira pas à créer un fichier des personnes contaminées. La CNIL constate que ses principales recommandations ont été prises en compte et estime ainsi que ce dispositif temporaire, basé sur le volontariat, peut légalement être mis en œuvre”, fait-elle savoir ce matin dans son avis.

La commission a toutefois formulé plusieurs recommandations complémentaires comme l’amélioration de l’information fournie aux utilisateurs, “en particulier s’agissant des conditions d’utilisation de l’application et des modalités d’effacement des données personnelles.” Mais aussi la nécessité de délivrer une information spécifique pour les mineurs et les parents des mineurs. La CNIL appelle aussi le gouvernement à confirmer dans le décret à venir “un droit d’opposition et à l’effacement des données pseudonymisées enregistrées”, ainsi que donner le libre accès à l’intégralité du code source de l’application mobile et du serveur.

Initialement prévue pour le 2 juin, StopCovid pourrait donc faire son apparition dès ce week-end sur le Google Play store et l’App Store d’Apple. L’application a été testée sur une centaine de smartphones, de 17 marques différentes. Les premières images de son interface ont été dévoilées hier. L’utilisation semble être un jeu d’enfant.

 

 

 

 

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Tubio : l’app idéale pour caster facilement des contenus sur Freebox Révolution et Delta, se met à jour

Talon d’Achille des Freebox Révolution et Delta, la fonction Chromecast. Très utile, l’application Tubio permet de caster simplement des contenus sur votre box. Sa version Android s’améliore aujourd’hui.

C’est le point faible des box de Free, la fonction Chromecast est disponible uniquement avec YouTube sur la Freebox Révolution, et sur la Delta, peu de services affichent l’icône dédiée pour envoyer des vidéos du web, même si c’est possible avec Netflix et la célèbre plateforme de Google. Simple alternative, l’application Tubio est idéale pour caster sur ces box depuis votre mobile, des services comme Vimeo, SoundCloud, Dailymotion ou autres services. Compatible notamment avec la Freebox Delta, l’application a reçu récemment une nouvelle mise à jour sur Android. Estampillée 2.63, cette version apporte une meilleure stabilité et une amélioration des performances mais aussi l’ajout du protocole de streaming HLS avec un support audio alternatif.

Comment utiliser Tubio avec la Freebox Révolution et la Freebox Delta

Au préalable, il faut être connecté sur le réseau wifi de votre Freebox. Une ffois l’application lancée, Tubio découvre automatiquement les Freebox ou autres box, et télévisions connectées dans les environs (sur le même réseau wifi) et vous permet de les regarder en streaming simplement avec votre téléphone.

L’application vous proposera ainsi de choisir le Freebox Player de votre choix que ce soit celui Freebox Delta, de la Mini 4K (l’intérêt est toutefois limité puisque Chromecast est déjà intégré), ou de la Freebox Révolution. Il ne vous reste plus qu’à choisir votre service et de lancer le contenu de votre choix pour le diffuser sur l’écran TV.

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Le saviez-vous : certains abonnés Freebox peuvent désactiver l’option TV et réduire leur facture

Vous ne regardez jamais la télévision sur Freebox TV ? Free permet à ses abonnés Révolution sans TV by Canal, One et Delta de désactiver l’option TV en quelques clics pour ainsi réduire votre facture de 2,99€/mois.

A l’heure où le triple play est légion dans les offres internet des opérateurs, Free en tant qu’initiateur de ce type d’abonnement en France ne déroge pas à la règle. Aujourd’hui, toutes ses offres Freebox proposent le trio internet, télévision et téléphone hormis la Delta S et la Crystal.

Pour les abonnés One, Delta et Freebox Révolution sans TV by Canal ne regardant jamais la télévision, il existe toutefois une solution pour payer moins cher son abonnement, la désactivation de l’option Freebox TV, de quoi réduire sa facture mensuelle de 2,99€, soit 35,88€ sur 12 mois. On imagine toutefois mal un abonné Freebox Delta se priver de Freebox TV sauf sur une courte durée (vacances etc) puisque la réactivation est possible à tout moment.

Vous l’avez compris, Free ne permet pas aux abonnés Freebox Mini 4K et Révolution avec TV by Canal (service intégré à l’abonnement) de gérer leur option Freebox TV. 

Pour les autres, il suffit de se connecter à son espace abonné Freebox et de se rendre dans la rubrique “Télévision” puis “gérer mon option Freebox TV”.

Pour rappel, l’option Freebox TV permet de bénéficier plus de 220 chaînes dont 100 en HD et de Freebox Replay pour voir ou revoir vos programmes parmi plus de 30 chaînes. Cette souscription est également obligatoire pour accéder aux chaînes et bouquets en options (hors univers Canal+, Canalsat, Netflix etc). 

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Une antenne 4G++ de Free, Bouygues et SFR détruite par un incendie

Nouvel incendie d’un site mobile 4G utilisé par Free, SFR et Bouygues. Une enquête est en cours.

Les incendies d’antennes-relais décuplent depuis plusieurs semaines, une vingtaine d’attaques ont déjà été recensées. Si les coupables restent difficiles à identifier en l’absence de revendications, la piste de l’ultragauche est de plus en plus privilégiée. Des tutoriels expliquant comment détruire les installations de télécommunications circulent sur des sites de cette mouvance depuis plusieurs mois.

Pour l’heure, diverses enquêtes sont en cours pour faire la lumière sur ces sabotages en série au quatre coins de la France. Dans la commune d’Azille dans l’Aude, un nouvel incendie est venu s’ajouter à la liste ce week-end.

Dans la nuit de vendredi à samedi, un site mobile 4G++ supportant les équipements de Free, SFR et Bouygues Telecom a été détruit par les flammes, rapporte L’Indépendant. Des investigations sont actuellement en cours, les circonstances exactes ne sont pas encore déterminées. “Tout le système filière de téléphonie” est parti en fumée, explique le quotidien régional. Selon le parquet de Carcassonne, cet incendie a été causé  “à priori sur intervention d’un tiers” bien que l’acte volontaire reste à prouver. Les abonnés impactés ont rapidement être renvoyés sur une autre antenne à proximité.

 

 

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