Auteur : Maxime Raby

Téléfoot : “des discussions très avancées avec Orange et des négociations en cours avec Canal+”

Pour atteindre ses objectifs et être accessible au plus grand nombre, le nouveau diffuseur de la Ligue 1 a bien l’intention de ne pas se passer d’Orange. Les discussions sont aujourd’hui très avancées selon le directeur général de Téléfoot. Dans le même temps, des propositions sont sur la table avec Canal+.

Le plus dur reste à faire, c’est-à-dire convaincre Orange et Canal+. Après avoir signé un accord de distribution avec SFR et Bouygues Telecom en l’échange de services (partenariat avec TF1 et co-diffusion de la Ligue des Champions avec RMC Sport), mais aussi Free, Netflix et Samsung, la chaîne Téléfoot continue de négocier dans l’optique de maximiser sa distribution. Reste notamment à trouver un terrain d’entente avec l’opérateur historique, lequel compte plus de 12 millions d’abonnés, pour espérer atteindre son objectif de 3,5 millions d’abonnés. Confiant, Julien Bergeaud, directeur général de Téléfoot a révélé ce matin sur Franceinfo que “les négociations sont très avancées avec Orange.” Et d’ajouter que la FAI “a très intérêt et très envie d’aboutir à un accord”, tout comme Mediapro. Mi-juin, Stéphane Richard PDG d’Orange s’est quant à lui montré très prudent : “ si Orange va signer un accord de distribution, je ne peux pas y répondre aujourd’hui ; nous serons très prudents sur l’éventuel montant d’un minimum garanti”, a t-il déclaré.

S’agissant de Canal+, place aux éclaircies. Des discussions sont actuellement en cours également avec Canal+, “des propositions sont sur la table”, confie Julien Bergeaud. Le chemin pourrait toutefois être encore long avant la signature d’un éventuel accord. En juin dernier, le patron du groupe sino-espagnol s’est dit quelque peu dubitatif : « On a discuté avec Canal mais ils se sont associés avec beIN… Cela n’aurait pas de sens aujourd’hui. On verra… ». De retour en force sur le foot, Canal+ dans sa nouvelle position d’agrégateur-distributeur pourraient ainsi renforcer à l’avenir davantage son offre sportive.

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Free Mobile augmente le prix de son forfait Série Free sans l’enrichir en data

Après avoir boosté en roaming la semaine dernière son offre “Série Free”, l’opérateur revoit cette fois à la hausse le prix de son forfait.

Autant de gigas à un 1 euro de plus. C’est devenu une habitude, Free tente depuis plusieurs semaines toutes les formules imaginables avec son forfait mobile “Série Free”. Aujourd’hui, l’opérateur prolonge son offre jusqu’au 8 septembre en augmentant son prix, lequel passe de 12,99€/mois à 13,99€/mois. Pour le reste rien ne change, Free Mobile propose toujours 80 Go de data en France métropolitaine, appels, SMS et MMS illimités ainsi que 10 Go de données en roaming. 

Au-delà de la première année, les abonnés basculeront automatiquement sur le Forfait Free avec enveloppe data de 100 Go à 19,99 euros par mois ou avec data illimitée à 15,99 euros par mois pour les abonnés Freebox.

Lancé en juillet 2018 et intercalé entre les deux forfaits historiques de l’opérateur pour améliorer le mix d’abonnés de Free et contribuer à sa montée en gamme, ce forfait ne cesse ainsi de gagner ou perdre de la data (50, 60, 70 ou 80 Go). Son prix change lui aussi régulièrement, de 8,99€ au lancement à 13,99€ récemment.

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Free prépare le lancement de ses offres fibre sur un nouveau réseau

A défaut d’une date précise, Seine-Maritime Numérique annonce l’arrivée prochaine des offres de Free sur son réseau FTTH.

Ça bouge sur le réseau d’initiative de la Seine-Maritime. Exploité et commercialisé depuis 2017 par SFR Collectivités à travers sa filiale Connect76, ce RIP a pour objectif le 100% fibre dans 605 communes d’ici à 2023 via la construction de 230 000 prises FTTH, 29 noeuds de raccordement optique et plus de 600 armoires de rue. Chaque habitant, service public, établissement d’enseignement ou hospitalier sont ainsi concernés. Seul hic, le déploiement prend du retard,  30 000 lignes sur les 70 000 prévues pour fin 2019, ont été rendues raccordables au 13 mars 2020, peut-on lire sur le site du syndicat mixte.

Mais bonne nouvelle, de premiers logements desservis par le réseau Seine-Maritime Numérique sont dorénavant éligibles à une offre fibre d’Orange et SFR. S’agissant de la commercialisation du réseau auprès des autres FAI, “Bouygues Telecom et Free préparent leur arrivée”, fait savoir Connect76 sur son site internet. Les abonnés Freebox concernés devront donc encore patienter.

Ce RIP est porté par le Syndicat Mixte Seine Maritime Numérique, qui regroupe le Département de la Seine-Maritime et l’ensemble des intercommunalités, assurant le financement du projet.

Le financement du projet 100% fibre de la Seine-Maritime

 

Source : Ariase

 

 

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Free annonce l’ouverture “bientôt” d’un nouveau Free Center, à vous de deviner où

En marge de l’inauguration aujourd’hui de sa 96e boutique à Bourg-en-Bresse, Free prévoit déjà une nouvelle ouverture prochainement. Et quoi de mieux qu’une énigme pour deviner la ville sur laquelle l’opérateur a décidé de jeter son dévolu.

“Heureux qui comme Ulysse a fait un beau Voyage” , à travers cette citation du célèbre poème de Joachim Du Bellay en guise d’indice, Free annonce ce matin l’arrivée prochaine d’un nouveau Free Center, quelque part dans l’hexagone. C’est désormais aux internautes de trouver la ville qui accueillera vraisemblablement la 97e boutique de l’opérateur, pour la 31e nouvelle inauguration depuis le début de l’année.

L’objectif est toujours le même pour Free, quadriller davantage tout le territoire pour être au plus proche des abonnés grâce à une équipe de conseillers prêts à les accompagner au quotidien.

 

 

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Panne importante sur le réseau fixe de Bouygues Télécom, des abonnés Bbox privés d’internet

De nombreux abonnés Bbox ont été privés d’internet hier soir, la faute à un “incident technique” important sur le réseau fixe de Bouygues Telecom.

Plus de connexion, les voyants au rouge. A l’instar d’SFR, le réseau internet fixe de Bouygues Telecom a été fortement perturbé dans la soirée du 1er septembre par une panne. “Suite à un incident technique, certains d’entre vous rencontrent peut-être des difficultés pour utiliser vos services Bbox. Nous mettons tout en oeuvre pour rétablir la situation dans les plus brefs délais”, s’est excusé aux alentours de minuit l’opérateur sur Twitter. 

Tout comme l’opérateur au carré rouge, l’incident semble être d’envergure, en atteste plusieurs milliers de rapports hier à 22h sur le site Downdetector. Les abonnés Bbox d”Ile-de-France, du Nord et de la Gironde semblent avoir été les plus impactés. Il s’agit vraisemblablement d’un problème de DNS. Les équipes techniques ont opéré à un retour à la normale dans la nuit.

 

 

 

 

 

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Freebox TV : lancement d’une nouvelle déclinaison de BFM TV dans les prochains mois, cap sur les territoires

Une chaîne locale très regardée va passer dans une autre dimension après son rachat par Altice (SFR, BFM, RMC). Dans les prochains mois, D!CI TV deviendra BFM D!C!.

Après BFM Paris-Ile de France, BFM Lyon, BFM Grand Lille et Grand Littoral plus récemment, une nouvelle déclinaison de la première chaîne d’info en continu de France va voir le jour dans les prochains mois. “Altice a pris le contrôle de D!CI TV qui deviendra prochainement BFM D!CI et le premier exemple d’un modèle de télévision de territoires. D!CI devient ainsi pour le groupe Altice le laboratoire d’un format de télévision de proximité qui sera appelé à d’autres déclinaisons”, annonce aujourd’hui le groupe média, détenu désormais par la maison-mère de SFR.

Suivie par 70% de ceux qui la captent dans les départements des Hautes-Alpes et des Alpes de Haute-Provence, D!CI TV est depuis 6 ans, la chaine locale la plus regardée de France, en 6ème position de l’audience cumulée toutes chaines confondues sur sa zone. Les deux chaînes D!CI Alpes et D!CI Provence sont actuellement disponibles sur la TNT locale et accessibles gratuitement sur les box des opérateurs (canal 930 et 940 sur les Freebox).

Altice poursuit ainsi sa stratégie de régionalisation afin de faire de l’ombre à France 3. La maison-mère de SFR s’est cette année rapprochée du premier réseau de TV locales  “Vià” (22 chaînes), le CSA leur a d’ailleurs donné son accord fin mars pour la création d’une joint-venture à part égale en vue de la constitution d’un réseau de chaînes locales permettant des synergies en matière de publicité et des échanges de programmes.

 

 

 

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Abonnés Free Mobile : le ticket SMS disponible en septembre dans une nouvelle grande ville

Les abonnés Free Mobile pourront très bientôt payer leur ticket de bus par SMS sur le réseau de transports en commun “STAS” de Saint-Etienne Métropole.

Avec votre mobile, vous avez un titre de transport dans la poche. Depuis plusieurs mois, le ticket SMS se démocratise, même pour les abonnés Free Mobile. Si beaucoup d’entre-eux l’attendent toujours de pied ferme en Ile-de-France, force est de constater que peu de grandes villes aujourd’hui couvrent les quatre grands opérateurs sur ce plan. 

Après, le Havre, Rouen, Caen, Lyon, Reims, Quimper ou encore Alès et l’agglomération du Pays Basque, c’est au tour de Saint-Etienne Métropole de lancer le ticket SMS pour les abonnés Free Mobile. Ces derniers pourront en profiter courant septembre, a annoncé le vendredi 28 août le président du réseau de transports en commun Luc Jourdain lors d’une conférence de rentrée de la STAS, en compagnie du maire de Saint-Etienne, Gaël Perdriau.

Déjà disponible pour les clients de Bouygues Telecom, SFR et Orange, cette solution d’achat est proposée à 1,40 €, prélevé directement sur la facture de l’opérateur mobile de l’usager. Pour en profiter, Il suffit d’envoyer par SMS “1VOYAGE” au 93042 afin de recevoir son titre instantanément.

Chaque année, 50 millions d’usagers utilisent le réseau de transports en commun de cette métropole française.

 

Source : 42info.fr

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Iliad : la fondatrice de Leetchi entre au conseil d’administration du groupe de Xavier Niel

Comme prévu, Céline Lazorthes intègre le conseil d’administration du groupe de Xavier Niel.

 

Nommée en tant qu’administrateur indépendant d’Iliad le 21 juillet lors de l’assemblée générale du groupe au même titre que Jacques Veyrat, ancien PDG de Neuf Cegetel, Céline Lazorthes a officialisé hier sur Twiiter son entrée au sein du conseil d’administration de la maison-mère de Free. 

Fondatrice et Présidente du Conseil de Surveillance du Groupe Leetchi,  elle a créé en 2009 cette célèbre plateforme de cagnotte en ligne, ensuite rachetée à 86% en 2015 par le Crédit Mutuel Arkéa. Pour l’anecdote, cette cheffe d’entreprise hyperactive a lancé en 2012 Bankiwi, un service de tirelire online dédié aux adolescents, co-financé par Xavier Niel et son business angel, Kima Ventures. En 2014, elle a notamment déclaré “Xavier Niel me fascine”, tout en expliquant pourquoi la France a besoin de patrons comme celui de Free. 

En 2013, elle a par ailleurs lancé la solution de paiement Mangopay, dédiée aux marketplaces, aux crowdfunding et à l’économie collaborative.

Par ailleurs, Céline Lazorthes siège aux Conseils d’administration du Think Tank Génération Libre et de la SNCF. Ardente défenseuse de l’entreprenariat féminin, elle a co-fondé avec Tatiana Jama le collectif SISTA qui œuvre pour plus d’égalité dans l’accès au financement des entreprises de la Tech.  

Sur les dix membres figurant au sein du conseil d’administration d’Iliad, 4 sont désormais des femmes, à savoir Virginie Calmels, Orla Noonan, Bertile Burel, et Céline Lazorthes. 

Pour rappel, un administrateur indépendant “n’entretient aucune relation de quelque nature que ce soit avec la société, son groupe, ou sa direction, qui puisse compromettre l’exercice de sa liberté de jugement”, a défini le rapport Bouton.

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5G : Emmanuel Macron veut “une vraie solution européenne sécurisée” mais assure ne pas exclure Huawei

Pour le déploiement de la 5G, le chef de l’Etat souhaite une solution européenne sécurisée avec Nokia et Ericsson. Mais il ne ferme pas la porte à Huawei dans les zones sans risque.

A l’heure où Bouygues et SFR se préparent à une vie sans Huawei, le premier ayant notamment été sommé par l’Etat de retirer 3000 antennes Huawei d’ici 2028 en zone très dense, le Président de la République persiste et signe. Il ne s’agit pas d’interdire des équipementiers comme Huawei sur la 5G, à l’instar des Etats-Unis et du Royaume-Uni. Malgré tout, la volonté de l’Etat est de privilégier une politique de souveraineté européenne pour le déploiement de la cinquième génération de téléphonie mobile, actuellement au centre des débats et de plusieurs contestations.

“Aucune entreprise, quelle que soit sa nationalité, n’est visée mais la volonté est affirmée, alors que nous avons deux fournisseurs européens – Ericsson et Nokia – d’avoir une vraie solution industrielle européenne, pleinement sécurisée, sous nos législations parce qu’il en va de la sécurité de nos communications et de la sécurité de nos réseaux 5G”, a  déclaré vendredi Emmanuel Macron devant l’Association de la presse présidentielle (APP). Et d’ajouter qu’il est normal “que sur les parties les plus critiques et les plus stratégiques, nous voulions avoir une solution européenne sécurisée”, a-t-il précisé. Ainsi en dehors des zones très denses et à risque, l’Etat français n’a ainsi pas de contre-indication dans l’usage des équipements Huawei pour la 5G. En tout cas pour le moment.

Source : Reuters

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Orange : son projet de cession d’une partie de son réseau fibre en France prend du retard

Dans une interview accordée à Bloomberg, le patron d’Orange annonce prévoir trouver un partenaire financier en 2021 pour monétiser un partie de son réseau fibre en France. La pandémie a causé du retard.

Le confinement et la Covid-19 ont retardé Orange Concessions, le projet de l’opérateur historique de monétiser son infrastructure française de fibre.  Depuis deux ans, Orange se pose la question de “la maximisation de la valeur” de ses réseaux en France mais aussi en Europe.

Dans son nouveau plan stratégique “Engage2025” présenté en décembre dernier, le FAI a posé les premières pierres de la cession partielle de certains réseaux , “tout en en gardant le contrôle”.

Pour ses infrastructures FTTH, Orange souhaite d’investir en propre, pour tenir ses engagements en zone moyennement dense (AMII) en France . En revanche, dans certaines zones, il prévoit de s’associer à des partenaires. Sa nouvelle filiale Orange Concessions, doit regrouper 4 millions de prises des Réseaux d’Initiative Publique (RIP) appartenant aux collectivités locales et dont il est concessionnaire. Il va sans dire qu’une partie de ces prises sera cédée.

Dans une interview accordée hier à Bloomberg, Stéphane Richard, PDG d’Orange  a confié que ce projet accuse aujourd’hui un certain retard, le FAI prévoit de trouver un partenaire financier pour le véhicule dédié en 2021, plus tard que la date limite prévue pour fin 2020. Et de rassurer, il y a «beaucoup d’appétit pour ces actifs». Au total, deux investisseurs pourraient être de la partie.

Sur le mobile, «Il va y avoir une sorte de consolidation sur les sociétés de tours en Europe», assure également Stéphane Richard,  y compris entre opérateurs, et Orange a eu quelques discussions à ce sujet. «Nous avons eu des échanges avec Deutsche Telekom AG et Vodafone Group Plc à certains moments, mais ils ne sont pas du tout avancés”.

 

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